" ¡Vete a mi viña también! " Septuagésime 2019 .
Publié le 17 Février 2019




Reste avec moi. C'est l'heure où le jour baisse ;
L'ombre grandit ; Seigneur, reste avec moi.
Quand les autres appuis échouent et que le réconfort me fuit,
Force du faible, ô Seigneur, reste avec moi.
Le flot des jours rapidement s'écoule ;
Les joies de la terre s'obscurcissent, ses gloires disparaissent ;
Je le vois, tout change et s'écroule autour de moi ;
O Toi qui ne changes pas, reste avec moi.
Heure après heure, j'ai besoin de Ta présence :
Quoi d'autre que Ta grâce peut déjouer le pouvoir du tentateur ?
Qui donc, comme Toi, peut être mon guide et mon séjour ?
Dans l'ombre ou la clarté, Seigneur, reste avec moi.
Je ne crains aucun ennemi, quand Tu es est là pour bénir ;
Les maux n'ont plus de poids, et les pleurs plus d'amertume.
Mort, où est ta victoire ? Mort, où est ton aiguillon ?
Je triomphe toujours, si Tu restes avec moi.
Montre-moi Ta croix avant que je ne ferme les yeux,
Brille dans l'obscurité et dirige-moi vers les cieux.
Le matin du Paradis s'entrouvre, et les ombres vaines de la terre s'enfuient ;
Dans la vie et la mort, O Seigneur, reste avec moi.
L'ombre grandit ; Seigneur, reste avec moi.
Quand les autres appuis échouent et que le réconfort me fuit,
Force du faible, ô Seigneur, reste avec moi.
Le flot des jours rapidement s'écoule ;
Les joies de la terre s'obscurcissent, ses gloires disparaissent ;
Je le vois, tout change et s'écroule autour de moi ;
O Toi qui ne changes pas, reste avec moi.
Heure après heure, j'ai besoin de Ta présence :
Quoi d'autre que Ta grâce peut déjouer le pouvoir du tentateur ?
Qui donc, comme Toi, peut être mon guide et mon séjour ?
Dans l'ombre ou la clarté, Seigneur, reste avec moi.
Je ne crains aucun ennemi, quand Tu es est là pour bénir ;
Les maux n'ont plus de poids, et les pleurs plus d'amertume.
Mort, où est ta victoire ? Mort, où est ton aiguillon ?
Je triomphe toujours, si Tu restes avec moi.
Montre-moi Ta croix avant que je ne ferme les yeux,
Brille dans l'obscurité et dirige-moi vers les cieux.
Le matin du Paradis s'entrouvre, et les ombres vaines de la terre s'enfuient ;
Dans la vie et la mort, O Seigneur, reste avec moi.