Publié le 22 Septembre 2009






c'est bien parti...

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Rédigé par philippe

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Publié le 21 Septembre 2009

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Publié le 20 Septembre 2009



Probablement né à Capharnaüm, ville située au nord-ouest du lac de Génésareth, en Galilée, Lévi, de son nom de naissance, était le fils d'Alphée. Capharnaüm, située sur une des routes principales qui reliaient Damas à la Méditerranée et à l'Égypte, possédait un bureau où l'on percevait à la fois les droits de douane, d'octroi et de péage. IL était receveur des tributs pour les romains c'est-à-dire "publicain". Lévi travaillait près du lac de Génésareth à la perception du "portorium", (à la fois douane, octroi et péage) entre les états du roi Hérode Antipas et de son frère, le tétrarque Philippe.
Cette profession était méprisée par les juifs et jugée odieuse. Le Talmud interdisait aux publicains les fonctions de juges ou de témoins dans les procès. Les exactions et les vexations dont les publicains se rendaient coupables, n'avaient fait qu'accroître cette impopularité, inhérente à la fonction. Hérondas affirme que chaque demeure frissonnait de peur à leur vue.
Un jour, Jésus l'aperçut près du lac de Tibériade (ou mer de Galilée) et l'appela.
Evangile selon saint Luc V 27-29 : "Et après cela il sortit, et il remarqua un publicain du nom de Lévi, assis au bureau du péage, et il lui dit : Suis-moi. Et, quittant tout, se levant, il le suivait. Et Lévi lui fit une grande réception dans sa maison".
Evangile selon saint Marc II 13-14 : "Et il sortit de nouveau le long de la mer. Et toute la foule venait vers lui, et il les enseignait. Et en passant, il vit Lévi, le fils d'Alphée, assis au bureau du péage. Et il lui dit : Suis-moi. Et se levant, il le suivit".
Lévi, captivé par les propos de Jésus, le suivit, quittant sa fonction de publicain. Il devint l'un des 12 apôtres de Jésus et pris le nom de Matthieu. Afin de convaincre ses amis de partager ses nouvelles convictions, Matthieu les convia à prendre un repas chez lui, en compagnie de Jésus. et de ses disciples. Les Pharisiens en prirent ombrage car il était malvenu de déjeuner avec les publicains. Jésus leur répondit : "Les médecins sont pour les malades et non pour ceux qui sont en bonne santé. Sachez-le donc bien, je veux la miséricorde et non le sacrifice ; car je suis venu appeler, non les justes, mais les pécheurs."
La tradition hagiographique, reprise par Rufin, saint Eucher de Lyon et Socrate dit qu'il passa un temps en Egypte avant que d'aller dans la capitale d'Ethiopie, Naddaver, où il fut accueilli par cet eunuque, haut fonctionnaire de la Candace, que le diacre Philippe avait baptisé. Il y avait dans cette ville deux habiles magiciens, Zaroës et Arfaxat, qui trompaient les habitants en leur causant des maladies qu'ils savaient guérir. Matthieu ne tarda pas à découvrir leurs sortilèges et à désabuser le peuple dont beaucoup se convertirent.
Quand Matthieu eut ressuscité le prince héritier Euphranor, le roi et la reine, avec toute la maison royale et les notables de la province reçurent le baptême. Iphigénie, fille du roi d'Ethiopie et quelques unes de ses compagnes, firent voeu de virginité et se retirèrent dans une maison particulière qui devint le premier monastère du pays.
Le roi Eglippe étant mort, son frère Hirtace s'empara du royaume et, pour mieux asseoir son pouvoir, voulut épouser Iphigénie. Hirtace eut recours à Matthieu qui lui répondit : "Vienne votre Majesté au discours que je vais faire aux vierges chrétiennes rassemblées avec Iphigénie et vous verrez vous-même avec quel zèle je vais remplir vos ordres". Matthieu fit un tel éloge de la virginité, invitant ses filles à mourir plutôt qu'à y renoncer, qu'Hirtace se résolut à le faire mourir. Les bourreaux arrivèrent alors que Matthieu finissait la messe, ils montèrent à l'autel et le tuèrent.
Le corps de Matthieu fut d'abord conservé avec beaucoup de vénération dans la ville de Naddaver où il avait enduré le martyre. En 956, il fut transféré à Salerne, dans le Royaume de Naples. Comme on se trouvait alors souvent en péril de guerre et que l'on craignait que quelqu'un s'emparât furtivement des reliques, on cacha le corps de saint Matthieu dans un endroit secret connu de quelques personnes. Près de cent vingt ans plus tard, sous le pontificat de saint Grégoire VII, on découvrit le caveau secret ce dont le Pape félicita Alfane, archevêque de Salerne. De Salerne, le chef de saint Matthieu fut transporté en France et déposé dans la cathédrale de Beauvais. Une partie de ce chef fut donnée au monastère de la Visitation Sainte-Marie de Chartres. La relique de Beauvais disparut pendant la révolution française en 1793.

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Publié le 20 Septembre 2009





Sancte Michael Archangele, defende nos in praelio. Contra nequitiam et insidias diaboli esto praesidium. Imperet illi Deus, supplices deprecamur. Tuque princeps militiae caelestis, Satanam aliosque spiritus malignos, qui ad perditionem animarum pervagantur in mundo divina virtute in infernum detrude.

Amen.


HERMAS ..

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Publié le 18 Septembre 2009

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Publié le 18 Septembre 2009

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Publié le 18 Septembre 2009

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Publié le 18 Septembre 2009




Je serai ordonné le samedi 3 octobre 2009, diacre en vue du sacerdoce par Mgr Dubost ! (Messe d'ordination à 18h, église du Saint Esprit à Viry-Chatillon)

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Publié le 17 Septembre 2009



«Regarde-toi : tu as en toi le ciel et la terre.»





.. de nombreuses figures emblématiques de la spiritualité surgissent de l'oubli. C'est le cas de la grande visionnaire bénédictine allemande du Moyen Age, Hildegarde de Bingen.

Grande personnalité de son époque marquée par une vaste éclosion culturelle, la mère supérieure Hildegarde s'impose par son impressionnante productivité artistique. Et tout ce qu'elle compose, aussi bien dans le domaine musical que littéraire, prend sa source dans une inspiration divine. Dépourvue de formation théologique et scientifique, Hildegarde a composé ainsi une œuvre colossale à partir de ses innombrables visions. La richesse de son œuvre scientifique a fortement participé à sa renommée puisqu'elle s'est consacrée à la compilation de travaux encyclopédiques sur les sciences naturelles et les arts de la guérison. Par exemple, « Causes et remèdes » sont d'une grande richesse tant par les nombreux remèdes qu'elle y dévoile que par la sagesse médicale dont ils sont empreints ; un état d'esprit de plus en plus apprécié en cette fin de millénaire...

Mais l'œuvre qui couronne et parachève sa proximité avec le Divin est sans conteste le « Livre des œuvres divines » qu'elle rédige suite à un « ordre divin ». Témoin de son génie visionnaire concernant le cosmos, la nature et l'homme, cet ouvrage nous fait entrevoir le Divin en toutes choses, dans toutes les formes visibles ou invisibles. Mais à la différence des grands textes de la tradition visionnaire, tels que l'Apocalypse, Hildegarde nous présente aussi une interprétation rigoureuse de ses visions allant jusqu'à interpréter chaque forme, chaque couleur... En somme, c'est une facette inhabituelle du Divin qu'elle nous dévoile ainsi : celle de l'Ordre et de la perfection. Ses descriptions aussi subtiles que précises nous font réellement considérer Sainte Hildegarde comme un canal par lequel le Divin distille un peu de sa rigueur et de son infinité. Il fallait bien qu'elle soit intimement unie à Dieu pour savoir nous faire vibrer au gré de ses visions et de sa musique !

Mais s'il est vrai que son inspiration est à l'origine de son incontestable notoriété, l'abbesse bénédictine bouleverse aussi par son rayonnement et son autorité naturelle. Dans ses correspondances avec les plus grands, elle fait preuve d'une hardiesse particulière alors que l'on s'adresse à elle avec déférence. De même, son engagement dans le monde politique comme dans les débats religieux est aussi impressionnant que son dévouement à la vie spirituelle.

« Grande figure de la Chrétienté », « conscience religieuse et spirituelle », les qualificatifs nous manquent lorsqu'il s'agit de dépeindre cette grande âme venue sur terre pour nous ouvrir les yeux sur l'omniprésence Divine.

Pascale



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Publié le 17 Septembre 2009

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