Publié le 12 Janvier 2010
Publié le 11 Janvier 2010
Publié le 11 Janvier 2010

st Benoît.
quotidie morior....
Publié le 11 Janvier 2010
"Le vrai visage de l’homme apparaît durci par la lumière brutale, tanné par le vent. Il n’y a plus qu’à marcher d’étape en étape, sans regarder en arrière… et en direction de la Terre promise. C’est par amour pour l’homme que Dieu le conduit dans le désert – lieu de l’épreuve – afin de le " décaper " de ses encombrements et de ses mesquineries."
L. de St Joseph – l’Impatience de Dieu
Ce qui sauve, c’est de faire un pas. Encore un pas. C’est toujours le même pas que l’on recommence.
St Exupéry – Terre des Hommes
Publié le 11 Janvier 2010
En 2009, environ 2.244.000 personnes ont pris part aux audiences générales ou particulières, aux angélus et aux messes célébrées par le Saint-Père. Selon la Préfecture de la maison pontificale plus d'un demi million de fidèles a assisté aux audiences du mercredi, avec une affluence majeure en avril, tandis que les angélus dominicaux attiraient 1.120.000 personnes.
Les chiffres sont toutefois approximatifs dans la mesure où les présences sur la Place St.Pierre ne peuvent être comptabilisées précisément au moyen de billets d'accès, à la différence des autres cérémonies. Ces données ne concerne que les visiteurs du Pape venus au Vatican ou à Castelgandolfo. Au cours de ses visites paroissiales romaines, de ses visites pastorales italiennes et de ses voyages apostoliques hors d'Italie, Benoît XVI est entouré de foules conséquentes.
Publié le 10 Janvier 2010

La charité est un être, une nature, un caractère. A ce titre, elle est une disposition universelle: ceux qui sont nés de Dieu ne peuvent qu'aimer, et cette tendresse doit se porter spontanément sur les deux objets de la tendresse divine.
C'est le prochain seulement qui nous donne occasion de manifester que nous aimons Dieu et que nous sommes bien de sa race.
Lorsque notre charité ne s'exerce pas envers le prochain, il est permis de conclure qu'elle n'existe pas.
dom Delatte, commentaire de la ste Règle.
Publié le 10 Janvier 2010
Publié le 10 Janvier 2010

C'est au baptême que nous est donnée la vie surnaturelle.
Aussi ce sacrement ne saurait être réitéré; car de même que nous ne naissons pas deux fois à la vie naturelle, de même nous ne naissons qu'une fois à la grâce. Le caractère d'enfant de Dieu, une fois gravé en nous, est inéffaçable, même lorsque nous perdons la grâce tant il entre dans la substance de notre être.
Avec ce caractère, Dieu nous donne toutes les vertus, toutes les énergies qui sont nécessaires à notre pleine vie surnaturelle. Comme un fils de famille, nous recevons le patrimoine qui nous permettra de tenir notre rang sans déroger.
Se renouveler dans le souvenir de son baptême, de la noblesse qu'il nous a conférée, des forces dont il nous a dotés et enfin des obligations qu'il nous a fait contracter afin de les remplir plus exactement, est déjà un programme de perfection très étendu et très nécessaire. L'Apôtre saint Paul, qui a tout dit en ces matières, ne manquait pas d'exhorter les chrétiens à cette pratique: "Souvenez-vous de ses premiers jours dans lesquels vous avez été illuminés. (Hebr. IV,14)
Mère Cécile Bruyère.
"C'est le propre du Baptême « d'éclairer avec la lumière du Christ, d'ouvrir les yeux à sa splendeur et d'introduire au mystère de Dieu à travers la lumière divine de la foi »."
Benoît XVI
Publié le 10 Janvier 2010

IMAGES SAINTES. MAÎTRE DENIS, ROUBLEV ET LES AUTRES
Fondation Gianadda , à Martigny
Jusqu’au 13 juin 2010
Accrochées le long de piliers, les icônes de saint Jean Chrysostome et de saint Grégoire de Nazianze dominent la salle d’exposition. Représentés en pied sur plus de trois mètres de hauteur, ces Pères de l’Église orthodoxe fascinent par leur attitude tranquille. Ces images ont été peintes en 1408 par le moine Andreï Roublev pour l’iconostase (1) de la cathédrale de la Dormition de Vladimir, à Moscou. Épurées de détails narratifs, elles se distinguent par leur clarté et l’harmonie de leurs motifs et couleurs.
Célèbre pour son icône de la Trinité, Roublev figure, avec Maître Denis et Simon Ouchakov, parmi les grands artistes présentés dans ce nouvel accrochage de la Fondation Gianadda, à Martigny. Après deux premières expositions avec la galerie Trétiakov de Moscou – en 1997, sur l’Ancien et le Nouveau Testament, et en 2000, sur les saints russes –, la Fondation renouvelle son partenariat avec le musée russe. Sous le titre «Images saintes, Maître Denis, Roublev et les autres», elle accueille 64 icônes du XIVe au XVIIIe siècle, issues de différents ateliers : Souzdal, Vladimir, Iaroslav, Novgorod, Pskov et Moscou.
Publié le 10 Janvier 2010