Publié le 7 Novembre 2017

on ne sait plus où donner de la tête . ils envoient tout d'un coup ! .. alalala. c'est ça les vacances.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 7 Novembre 2017

un peu de chaleur, very nice trop beau...... ! bravo !  que du bonheur !

Interview in Deutsch ... (si on pouvait me le traduire ! )

 

Der faszinierende junge Pianist, der bereits in den großen Fernseh-Shows wie „Klein gegen Groß“, „Superkids“ und „Superhirn“ sowohl Juroren als auch Publikum gleichermaßen in Staunen versetzte, ist bereits Jungstudent an der Franz-Liszt-Hochschule Weimar, wo er von Professor Grigory Gruzman  - pianiste russe -

(tritt heute Abend im dritten Teil der Trilogie auf) unterrichtet wird. Vor seiner Reise nach Dieburg stand das Wunderkind, das in Chemnitz lebt und tatsächlich mit bürgerlichem Namen „Ben der Kleine“ heißt, unserem Mitarbeiter Jens Dörr Rede und Antwort zu seiner noch jungen, aber schon jetzt außergewöhnlichen Karriere.

source

 

 

on va chercher du bois, fait froid ! er ist kalt ! ich spreche ein wenig deutsch ...

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Rédigé par Philippe

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Publié le 7 Novembre 2017

ça va être dur le dimanche matin pour Arnaud et l'abbé . !  ... je pense à eux . les pauvres. devraient coucher à l'évêché ! hu hu hu

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Rédigé par Philippe

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Publié le 6 Novembre 2017

 

 

   Jésus nous invite à mourir comme il nous invite à souffrir en union avec lui, pour que nos souffrances et notre mort, - qui eussent été sans lui inefficaces - désormais vivifiées, sanctifiées, divinisées par les siennes, devenues méritoires grâce aux siennes, par la vertu des siennes, soient notre part personnelle à notre salut.

   Il invite ses rachetés les plus purs, les plus saints, les plus exempts de péché par sa grâce, les plus unis à lui par l'amour, les plus libres de toute dette à la justice de son Père, à collaborer avec lui par leurs souffrances et leur mort au salut du monde . Il convient qu'il nous précède au Royaume et qu'une résurrection trop prompte, imitant la sienne de trop près , ne réduise pas à presque rien la leçon de la mort. 

Notre mort à nous est moins lamentable que sa mort à lui pendant trois jours. Notre âme peut goûter sans le corps la plénitude du bonheur en lui. Notre résurrection est donc différée jusqu'au dernier jour. La mort a tout le temps de faire son oeuvre. Pour la Vierge Immaculée, Mère de Jésus, comme pour Jésus lui-même il convenait que la résurrection suivit de tout près la mort.

Pour nous, nous  devons connaître l'anéantissement de notre corps de péché.

Mais si la mort effraie notre nature sensible, et même abstraction faite des lumières de la foi, notre nature raisonnable, elle ne désoriente plus la raison irradiée par la foi; elle n'est plus pour le coeur aimant, objet d'insurmontable horreur; elle devient la messagère de Jésus, l'annonciatrice de la délivrance, l'amie qui délie nos chaînes; elle devient , selon Thérèse d'Avila, la rupture de la chrysalide qui laisse envoler le papillon de l'âme .

Comme la souffrance horrible en elle-même, devient aimable et désirable parce qu'elle fut la compagne inséparable de Jésus, la mort devient objet d'amour et de désir parce que Jésus a voulu mourir.

Les chrétiens savent qu'ils n'échapperont pas plus que les autres à la mort, mais leur foi leur dit pourquoi: loin de la fuir comme le mal suprême, ils doivent lui sourire et l'accueillir quand Dieu l'envoie. Le vrai chrétien voit dans la mort un vouloir adorable de Dieu, son Ami, de Jésus-Christ, son Sauveur. Il fait plus et mieux que s'y résigner, il l'accepte comme un moyen providentiel d'expier ses fautes, d'achever sa ressemblance avec son Rédempteur. Il met son amour et sa joie à s'abandonner à Dieu et à Jésus-Christ. Pour la mort comme pour la vie, il fait d'avance son sacrifice, comme l'ont fait, avant lui, une multitude de frères, rachetés comme lui et sachant ce qu'ils devaient à leur Sauveur, comme l'ont fait, devant les bourreaux et dans toutes les conditions de vie, les martyrs et les saints.

   En pleine force et santé, il se soumet amoureusement à la volonté divine, il s'en remet à Dieu, de l'heure, des circonstances, des modalités de son trépas. La mort devient le grand acte d'amour de la vie, et toute la vie en un sens  est employée à le préparer.

   Certes, à moins que la charité ne le presse de s'exposer pour Dieu ou pour le salut de ses frères, le chrétien le plus fervent doit, habituellement, s'efforcer de se garder en santé et en vie, lutter contre toutes les causes de mort prématurée.

C'est un devoir commun et d'autant plus urgent qu'on est plus utile et plus nécessaire ici-bas à sa famille, à son pays. Un époux, une épouse, une jeune mère, un père de famille, menacés d'être ravis à leur mutuelle tendresse ou à celle de leurs enfants, ne négligeront donc pas les moyens ordinaires, tous les moyens à leur portée, de recouvrer la santé et de prolonger leur existence. Nul chrétien ne s'expose sans raison à une mort prématurée, fût-ce pour aller voir Dieu.

Il sait bien que c'est la volonté de Dieu que nous cherchions tous à vivre en santé et en force, pour le servir et faire notre tâche temporelle, alors même qu'il veut, lui, - d'une volonté à nous encore inconnue, mais acceptée avec amour, quelle qu'elle soit - nous retirer de cette terre et nous rappeler à lui. Mais chez les vrais chrétiens, chez eux seuls, peuvent se rencontrer et s'unir toute la volonté de vivre requise pour lutter avec succès contre le mal physique et se défendre de la mort, et, en même temps, la paix et la douceur d'un abandon total à la volonté de Celui que les vrais chrétiens savent plus père, plus mère et plus époux qu'eux-mêmes.

...

   Les martyrs acceptent avec joie la mort violente que leur infligent les persécuteurs, car l'amour les presse de rendre témoignage et ils ont hâte que la mort leur ouvre le ciel. Saint Ignace d'Antioche a exprimé cette disposition avec une ardeur sublime. Il est comme leur interprète à tous.

   Les saints aspirent à la mort comme à la délivrance et à l'aurore de la vie.

Il leur importe peu que, durant des siècles et jusqu'à la fin du monde, leur âme vive sans leur corps, puisque, capable de Dieu, elle sera avec Dieu, le verra face à face et l'aimera d'un amour sans retour. 

C'est cette vie en Dieu qui compte pour eux et qui est désirable. Et la vie d'ici-bas, dans les obscurités de la foi, leur semble un exil, un lointain pèlerinage où l'âme souffre la nostalgie de la Patrie. Rester en vie, toujours capable de péché et de perdre Dieu, ayant, dans son corps même, le principe des concupiscences et des passions qui conduisent au péché,  voilà ce qui ,pour un saint, est une vraie mort, tandis que la mort à cette vie misérable n'est pour lui que l'entrée dans la vie véritable.

rp Lavaud op +

 

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Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

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Publié le 6 Novembre 2017

 

 

 

 Oups , le top ! super grandiose, à la dernière compétition de Simon international franz liszt competition. ..  Que d'émotions... quelle profondeur.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 5 Novembre 2017

Rédigé par Philippe

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Publié le 5 Novembre 2017

Cloche fondue en 1864 par le fondeur dacquois François-Dominique Delestan (1806-1865) pontificat de Pie IX , Pierre Napoléon III empereur des français..

associé à son fils Louis-Rémy (1843-1896). Celui-ci devait encore fournir la seconde cloche en 1885

La dédicace porte le nom de Bertrand Brostra (Saugnac-et-Cambran 1799 - Dax 1885), qui fut le dernier maire de la commune de Saint-Vincent-de-Xaintes jusqu'à l'absorption de celle-ci par Dax en 1861. Augustin Darricau (1816-1888), maire de Dax de 1859 à 1868, était le cousin et homonyme du général Darricau (1773-1819), dont l'urne de cœur est conservée à la cathédrale de Dax  La marraine de la cloche, Lucie Anne Rose (dite Nathalie) de Bachelier (Estibeaux 1816 - Dax 1871), mariée en février 1840 au médecin dacquois Pierre Charles Lamathe (1813-1871), était la sœur de Laurence d'Armana (1805-1893), marraine en 1858 d'une cloche du même F.-D. Delestan à l'église voisine d'Oeyreluy

Cloche suspendue de volée ; tintement par actionnement électrique ; couronne d'anses : deux anses dans le sens de la volée, une anse perpendiculaire (cloche tournée d'un quart de tour) ; mouton moderne en barre, en fonte, à quatre brides boulonnées ; battant en poire, en fer.

z'étais très ému d'avoir mon nom sur une cloche ! j'espère qu'elle tinte pour ses descendants.. ! c'est pas tous les jours que ça arrive... ils ne disent pas comment elle s'appelle, si c'est Bertrand ou Lucie.. faudra que je me renseigne, sans doute Bertrand .

  je ne mentionne pas le nom du dit chanoine de la cathédrale,  volontairement.  Chanoine Louis, on va le prier tiens.  un arrière grand oncle, quoi . Elle demande un évêque, elle aussi . alalala

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Rédigé par Philippe

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Publié le 5 Novembre 2017

 

 

"Ecce quam bonum, et quam jucundum, habitare fratres in unum ! "

 

Avoir de l'intérêt dans sa multitude  ,

c'est fou quand même; contraire le rejet , le mépris. flandrionymbus ou tant d'autres.

La réciprocité dans l'affection, si elle n'existe plus sur la terre, pourquoi existerait-elle en Dieu? Dieu m'aime , quelle preuve quand ce n'est pas palpable naturellement.  On peut toujours attendre à un 'Philippe vous avez besoin de quelque chose! Comment allez vous " ! surtout ici. c'est pas de pas avoir donné quand on pouvait . Maintenant  retraité , on ne sert plus à rien. sûrement pas grâce à eux qu'on a encore la foi. ça viendra sûrement à mes funérailles , hu hu hu  à mon âge on était en droit de s'attendre à plus d'attention. mais ça n'étonnait en rien  certains prêtres. en sortie de messe, d'une manière très discrète, se tenant à distance, on épiait quand même ce que je pouvais raconter ! c'est fourbe quand même  ...

Si je n'ai pas la charité je ne suis rien..

j'aurais fait un sermon rien que là-dessus. Si l'autre n'existe pas, que formellement, subjectivement, par simplement un "je prie pour toi", très facile d'ailleurs, cela évite beaucoup de choses et de dérangement, ça n'engage pas à  grand chose.

  comment peut-on dire qu'il fait bon d'habiter ensemble.. ?

alors on s'est endormi dans cette quasi certitude. Deus charitas est.  Sacré tournant décisif.. pour moi c'est une réponse évidente. 

c'était comme mon dimanche :" Je vous chéris tous de la tendresse même du Christ. " je vous aime tous.

Dans certains milieux on regarde ça d'un sale oeil, très mal vu,  qu'on puisse avoir de l'affection pour quelqu'un ! les grands spirituels sur leurs échasses,  dans leur pharisaïsme trompeur, la fausse pudeur.

Merci  pour tout. et  bon dimanche. je pensais à tout ça à la messe ce matin... 

alors, oui ,

  "you are my best friend!"  et l'on vous répond tout simplement :"

  Thank you... ! ça remue les tripes quand même,  parce qu'on sait que c'est vrai et sincère ..  allez on y croit encore ! ah vivement qu'on se connaisse en vrai.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 5 Novembre 2017

Rédigé par Philippe

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Publié le 4 Novembre 2017

fin des vacances .. snif !

 

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Rédigé par Philippe

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