Publié le 13 Novembre 2017


" , on te demande pardon pour le mal qu'on t'a fait... on ne savait pas ! ça existe encore ds gens qui vous demande pardon, faut pas croire.
« L'homme doit être tout à fait sûr qu'à chaque instant Dieu le regarde du haut des cieux » Saint Benoît
Publié le 13 Novembre 2017
" , on te demande pardon pour le mal qu'on t'a fait... on ne savait pas ! ça existe encore ds gens qui vous demande pardon, faut pas croire.
Publié le 11 Novembre 2017
un premier concours international de très haut niveau .
(le progrès Lyon )
il n'y en restait plus qu'un ! ...comme c'est le seul que je connaissais ..
Thanks!!
Publié le 11 Novembre 2017
tous trop sympas.. congratulations.
Publié le 11 Novembre 2017
Chavagnes international College sauve les murs !!! 'Vendée . 85
ils maitrisent bien l'anglais, eux ! enfin je crois. m'en souviens plus!
moi je parle bien avec Reverso et mes petits russes me comprennent .;
Et le pire est que, dans le même temps, on n’observe pas davantage de progrès – c’est le moins qu’on puisse dire – pour la maîtrise de… la langue française ! En réalité, tout se passe comme si les compétences dans les différentes langues s’effaçaient peu à peu, ou étaient reléguées au second plan. Et si le mal était plus profond qu’un simple déficit de compétences en anglais ?
(comme pour la musique d'ailleurs... dans tous les pays de l'est d'ailleurs, comme en Russie, la musique fait partie intégrante de leur culture, c'est leur première langue.. ce que me disait un organiste récemment , c'est pas une option alors ils en font des virtuoses ! quand on comprendra ça on aura aussi des grands virtuoses. Ceux de Chavagnes beaucoup arrivent aussi avec des compétences musicales énormes.. y a qu'en France qu'on est des nuls. Alors l'organiste se tournant vers moi me dit :" je suis sûr que vous ne savez même pas ce que c'est une noire !!!! hu hu hu. là se trompait quand même non mais sans blagues.
)
Publié le 11 Novembre 2017
Né le 9 janvier 1900 au Faouët (Morbihan), fils de journaliers agricoles modestes, Carré a suivi une scolarité primaire à l’école communale du Faouët avant de devenir commis de perception à 14 ans.
Mais avec la déclaration de guerre il a ensuite profité de la confusion des premiers mois pour s'engager dans l’Armée en avril 1915 sous un pseudonyme et en se faisant passer pour un réfugié des territoires occupés des Ardennes. Il a été versé au 41e RI puis au 410e RI qui venait d’être formé au camp de Coëtquidan (Morbihan). Il n'a alors que 15 ans !
Combattant valeureux, il est devenu caporal le 25 janvier 1916, sergent le 19 juin (à la suite d'une blessure le 11 juin) puis adjudant le 1er janvier 1917. Il a été également cité deux fois : à l'ordre de l'Armée le 17 novembre 1915 et à l'ordre de la division le 22 juin 1917 (le régiment venait de quitter le secteur des Cavaliers-de-Courcy où il s‘était particulièrement distingué).
Le 29 décembre 1916, approchant de ses 17 ans, l'âge légal pour l’engagement dans l’infanterie, Carré s’est fait reconnaître sous son véritable nom ce qui lui avait valu les honneurs de la presse nationale qui le qualifia alors de "plus jeune poilu de France", et d’obtenir son passage dans l'aviation.
Il est devenu élève-pilote à Etampes le 22 juin 1917, puis il est passé ensuite par l'école de spécialité d'Avord (bombardement-reconnaissance) et a obtenu le brevet de pilote militaire n°8449 le 9 septembre 1917. Il a quitté Avord le 16 octobre 1917, mais il était encore au GDE (Groupement des Divisions d'Entraînement) le 27 novembre 1917, avant d’être affecté à l'escadrille SO-229 à Lemmes (Meuse), le 19 décembre 1917. L’escadrille SO-229 était alors en cours de rééquipement sur Sopwith biplace, en phase de prise en main par les équipages.
Carré était en permission chez ses parents en février 1918. Et seulement quelques jours après son arrivée en premières lignes, il a été abattu en combat le 18 mars 1918, en compagnie de son mitrailleur, le soldat Joseph Perrin. Il est mort à l’hôpital de Souilly le 22 mars. Le texte de sa citation dit « attaqué par trois avions ennemis le 18 mars 1918, s’est défendu énergiquement jusqu’à ce que l’appareil soit abattu, l’entraînant dans une mort glorieuse », mais selon les travaux les plus récents et les plus sérieux, il a plus probablement été touché par la DCA allemande de la batterie 128 Vfw Seitz.
Publié le 11 Novembre 2017
En montant à la station de ski de Gourette,( là où j'allais faire du ski..avec François Famose, le frère d'Annie évidement ! )
ces jours-ci, on est surpris de voir des chevaux divaguer en bordure de route entre le Ley et Gourette. Présence confirmée par une vidéo postée sur le compte Twitter de la station de ski de Gourette.
Les bêtes trouvent un abri de fortune sous les noisetiers ou sous les hêtres; parmi elles, des juments et leurs petits cherchent de l’herbe à manger alors que le tapis de neige avoisine les 30/40cm.
A Gourette-même, vers 1500m, sous les flancs de la Latte de Bazen, une dizaine de chevaux stationne au pied des falaises pour se protéger des vents froids et des flocons de neige. D’ordinaire, en été, ce troupeau occupe l’espace pastoral de Gourette, principalement celui du lac d’Anglas.
Des gens du pays s’émeuvent de cette situation: "Il neige quasiment tous les jours depuis vendredi; c’est inhumain de laisser ces bêtes ainsi. En novembre, à cette altitude, on devrait interdire l’activité pastorale car on sait depuis la nuit des temps que le mois de novembre en montagne est sujet aux premiers grands froids et aux premières neiges !"
Publié le 11 Novembre 2017
Ce fut un petit temps de paradis sur terre, court mais intense comme il le faut pour les enfants. Notre petit Roi de grâces et sa douce Maman avaient réuni pour nous les ingrédients nécessaires à la réussite de ce temps de retraite
Merci au Père Jaroslav de nous avoir offert chaque jour une messe toujours enrichie d’une belle homélie adaptés aux petits comme aux grands. Nous garderons en mémoire l’homélie de la Toussaint avec l’image des pierres précieuses que nous devons être aux yeux de Dieu laissant passé la lumière du Christ au dedans d’elles. Les enfants ont été exemplaires par leur participation active à chacune des messe (lectures, chants, service).
Merci aussi pour sa grande disponibilité au sacrement du pardon dont les enfants ont su profité presque quotidiennement au grand étonnement des adultes qui entraînés par leur zèle ont pris le même chemin.
Dès le début, l’Esprit-Saint avait donné le ton : L’importance de nous mettre à l’école des petits encore tout purs et tout avides du Christ. C’était merveilleux de découvrir de manière aussi concrète combien les enfants peuvent vraiment nous aider à re-choisir le Christ sans aucun détour. C’est un des fruits de la dévotion à l’Enfant-Jésus : celle de retrouver un cœur d’enfant indispensable à la clémence de Dieu pour nous. Les petits ont été grands et les grands ont fait comme les petits. C’est pour nous l’une des grâces les plus flagrantes de cette pose spirituelle.
2 grands jeux et un petit temps de bricolage ont été les principaux éléments de nos détentes :
Inventé par le père Chevalier, un grand jeu en 10 épreuves coaché par les adultes a permis aux petits de fixer dans leur mémoire quelques essentiels du catéchisme (les 10 commandements, les mystères du rosaire, les 7 sacrements….)
Imaginé par le père Jaroslav, un jeu avec 2 équipes opposants la police communiste et les prêtres polonais a bien illustré un passage de la jeunesse de JPII. Merci au père d’avoir offert aux enfants une pièce à l’effigie du pape JPII.
La confection de luminions aux décorations mariales (médaille miraculeuse) a permis de décorer l’autel de petites lumières chaleureuses lors de la soirée d’adoration
Les moines ont beaucoup enrichi les temps d’enseignements en particulier le père Chevalier et le père de St Chamas. Le Père Chevalier nous a entraîné sur les traces de sainte Catherine Labouré et de saint Théophane Venard pour que leur charité nous soit contagieuse. Le père de saint Chamas nous a parlé de la vie monastique avec beaucoup de naturel et d’humour. Le reste des enseignements furent « les débuts de la dévotion à l’enfant-Jésus » par le père Jaroslav, la présentation de la vie de saint Jean Paul II dont les appels aux jeunes et aux familles sont les fondements de la petite sentinelle. Un dernier petit topo questions- réponses sur la sainteté a précédé les chaleureux « au-revoirs » au père Jaroslav.
Publié le 11 Novembre 2017
les lamas surpris par la neige . ça doit être ceux de la Mongie.
Publié le 10 Novembre 2017
Publié le 10 Novembre 2017
""Thank you for your nice words "
trop beau !