Bonjour Philippe,
Belle et sainte année 2019!
En union de prière,
Fr. Geoffroy osb +
abbaye de Solesmes.
feliz y santo año 2019!
para mi amigos de Alicante !
happy and holy year 2019!
счастливый и святой 2019 год!
Друзья! Дорогие!
С наступающим новолетием! Спасибо за счастливый и трудный год! За все свершения и дружбу, за искреннюю помощь и теплоту ваших сердец! Пусть будет много добрых и счастливых мгновений жизни и неустанная благодарность Богу за всё!
Берегите друг друга!
"! Que haya muchos momentos buenos y felices en la vida y una gratitud incansable a Dios por todo!
¡Cuídense unos a otros!"
La tradition a ajouté à ce court récit des détails dont l'office de l'Epiphanie s'est embelli. Mais surtout la légende a brodé sur ce thème magnifique. Notons bien d'ailleurs que tous ces développements ne font qu'exprimer d'une façon grandiose la vérité de l'appel divin adressé par Dieu à toutes les nations du monde qui commencent dès ce jour à s'ébranler pour y répondre.
Cet astre qui ne fut probablement qu'une comète, on a coutume d'y voir un météore créé tout exprès et qui rentra dans la matière universelle après avoir rempli sa mission. D'aucuns même ont pensé que c'était un ange: le même qui apparut aux bergers de Bethléem sous forme humaine se serait montré aux mages sous l'aspect d'une étoile. Certains ont été jusqu'à y reconnaître une manifestation visible de cet Esprit-Saint qui éclaire les âmes et les conduit. De même que par une secrète inspiration il fera monter au temple, pour y trouver l'Enfant-Dieu, les justes Siméon et Anne, habitués à vivre dans sa lumière intérieure, il prend aujourd'hui cette apparence sensible pour se mettre à la portée des âmes des Gentils encore ensevelies dans les choses matérielles. Saint Thomas d'Aquin énumère ces trois opinions et préfère la première.
Quoi qu'il en soit de cette divergence dans l'interprétation, la plupart s'accordaient à penser que cette étoile merveilleuse brillait pour les mages le jour aussi bien que la nuit, sauf à disparaître parfois comme elle le fit tant qu'ils s'arrêtèrent près d'Hérode.
On se la représentait remplissant l'office de la colonne de nuée au désert, s'avançant au-devant eux pour les conduire en assurance et s'arrêtant quand l'heure de la halte était venue. Enfin on croyait qu'elle était descendue des hauteurs célestes pour se fixer sur le séjour de la sainte famille .
Ainsi comprenait-on, en forçant les termes plutôt que de les atténuer, le récit de saint Matthieu qui nous montre les mages cheminant entre Jérusalem et Bethléem . " L'étoile qu'ils avaient vue en Orient les précédait jusqu'à ce qu'elle vint s'arrêter sur la demeure où était l'Enfant."
La tradition veut encore que ces hommes fussent non seulement des savants et des prêtres, comme l'indique leur titre de mages, mais aussi des rois. Tertullien déjà le pensait. Le psalmiste n'avait-il pas prédit l'évènement raconté par saint Matthieu en disant que les rois d'Arabie et de Saba apporteraient des présents au Messie. Dans ces conditions les mages étaient des conducteurs de peuple à tout point de vue. Les rois gouvernent les corps , les savant dirigent les esprits, les prêtres commandent aux âmes.
Et ce sont tous les peuples du monde qu'ils entraînent à leur suite. On ne tarda pas à fixer à trois leur nombre que saint Matthieu ne détermine pas . Trois autant que de races humaines, autant que de parties connues du monde ancien. Aussi bien dans les images traditionnelles, l'un des rois mages est-il un sémite, tandis qu'un autre appartient à notre race blanche et que le troisième à la physionomie d'un noir. Cela est invariable depuis le XIVème siècle, depuis le XVème siècle surtout. Mais dès le VIII ème siècle le vénérable Bède émettait l'idée que les trois premiers adorateurs de Jésus représentaient l'Asie, l'Europe et l'Afrique. Réunis miraculeusement pour s'avancer ensemble à la suite d'une même étoile. Balthasar, Melchior, Gaspar, sont les premiers des Gentils qui s'en vont, chefs de file, emmenant tout le genre humain vers Jésus. Splendide réalisation de la prophétie d'Isaïe que l'Eglise nous fait lire à l'épître :
Lève-toi, Jérusalem, et resplendis! Car ta lumière paraît. Et la gloire du Seigneur s'est levée sur toi.
Car les ténèbres couvraient la terre,
Et une sombre obscurité, les peuples;
Mais sur toi le Seigneur se lèvera.
Et sa gloire resplendira sur toi.
Les nations marcheront vers ta lumière,
Et les rois vers la clarté de ton lever.
Porte tes regards alentour, et vois:
Ils se rassemblent tous, ils viennent à toi
Tes fils viennent de loin,
Et tes filles sont portées sur les bras.
Tu le verras alors et tu seras radieuse;
Ton coeur tressaillira et se dilatera;
Car les richesses de la mer se dirigeront vers toi.
Pour se guider la nuit à travers les terres inconnues ou sur l'immensité uniforme des mers, les hommes lèvent les yeux au ciel et se règlent sur une étoile. Si même le ciel est voilé, ils peuvent encore reconnaître leur route grâce à la boussole dont l'aiguille tremblante s'oriente d'elle-même vers la polaire. Les hommes seront-ils moins favorisés quand il s'agit de leur conduite spirituelle? Non. A la naissance de Jésus une autre étoile s'est levée et surtout un instinct surnaturel s'est manifesté au fond des âmes de bonne volonté pour les orienter à travers les ténèbres de l'existence terrestre vers le divin Sauveur. Voyage émouvant, grandiose pèlerinage.
Le fait historique est raconté par l'évangéliste saint Matthieu. "Jésus étant né à Bethléem de Judée aux jours du roi Hérode, voilà que des mages arrivèrent d'Orient à Jérusalem, disant :" Où est le roi des Juifs qui vient de naître? Nous avons vu son étoile à l'orient et nous sommes venus l'adorer."
Reprenons ce texte mot à mot. " Jésus étant né à Bethléem de Judée. " Ce grand fait qui domine toute l'histoire du monde, qui met fin aux temps anciens et marque le début de l'ère nouvelle en laquelle nous vivons, l'évangéliste doit le dater par le règne du sanguinaire Iduméen qui s'est emparé du sceptre sacré de David et gouverne les Juifs. " C'était au temps du roi Hérode."
Dans Jérusalem à qui le tyran a du moins donné une grande splendeur en rebâtissant le Temple avec munificence, voici qu'une extraordinaire caravane a pénétré. Ce sont des hommes à la noble allure, mais aux costumes étranges et aux manières mystérieuses. " Des mages venus d'Orient", écrit saint Matthieu.
Les chefs religieux des Perses portaient le nom de mages, et les plus vieilles peintures que nous ayons de cette scène donnent aux adorateurs de Jésus le bonnet phrygien et le costume des prêtres persans. Si cette opinion fut suivie par la plupart des Pères anciens, il faut avouer pourtant qu'elle s'accorde moins bien avec les autres termes de saint Matthieu qui fait venir les mages d'Orient. L'Arabie au contraire correspond exactement à cette direction, et les présents qu'apportaient les nobles étrangers sont des produits de ce pays. Les prêtres persans n'étaient pas seuls d'ailleurs à porter le nom de mages. Ce titre désignait aussi des sages spécialement adonnés à l'astronomie.
L'Esprit-Saint qui inspirait l'auteur sacré semble avoir voulu que la qualité de ces hommes et leur origine et leur nombre demeurassent imprécis, afin de laisser la place libre pour les beaux développements que l'on trouvera plus tard concernant ces prémices des nations en marche vers le Christ.
Ils sont venus poussés par la grâce de Dieu qui remplit l'univers et tournent les âmes de bonne volonté vers celui en qui seul réside le salut. Providentiellement dispersés à travers le monde , les Juifs y avaient partout répandu leurs idées messianiques. Un espoir était né que de la Judée viendrait un roi qui étendrait son empire sur tout l'univers. Les historiens romains Suétone et Tacite mentionnent cet espoir . Mais les Orientaux surtout vivaient dans cette attente.
On aimait d'ailleurs à chercher dans les astres des présages de ce qui arriverait sur la terre. Ne parle-t-on pas encore, en vertu d'une vieille habitude, de naître sous une bonne étoile? On croyait surtout que des phénomènes célestes annonçaient la naissance des grands hommes et spécialement des princes qui auraient un règne glorieux ... Dieu prend les âmes comme elles sont et leur parle le langage qu'elles peuvent comprendre. Celui qui se gagnera les pécheurs du lac par le moyen d'une pèche miraculeuse, qui essayera aussi de convertir les Docteurs de la Loi en leur expliquant les Ecritures, éclaire intérieurement les mages astronomes à propos d'un astre nouveau.
On se les représente en leur lointain pays, ces vieux sages orientaux. Un soir, de la terrasse de leurs demeures, ils observent comme de coutume le ciel où apparaissent les premières étoiles et se dessinent les belles constellations qui leur sont familières.... Mais quel est cet astre imprévu qui brille du côté du Levant? On peut penser , à la suite d'Origène, que c'était une comète. Le Père Lagrange raconte à ce propos qu'il fut très frappé de voir en 1910 , à Jérusalem, la comète de Halley, très brillante à l'Orient d'abord, disparaître ensuite et se montrer plus tard du côté de l'Occident. Une comète a d'ailleurs l'air de surplomber le point de la terre vers lequel se tourne sa traînée lumineuse. Ainsi seraient expliqués plusieurs détails de l'histoire qui va suivre.
On est ainsi porté à croire que ce fut une comète qui mit les mages en éveil.
Une idée leur vint aussitôt qui s'imposa surnaturellement à leur esprit comme une certitude: Le grand roi promis doit être né. Ils y songeaient dans leurs méditations solitaires. Ils en parlèrent, les nuits suivantes, en regardant le bel astre nouveau. Enfin leur décision fut prise de se mettre en chemin, coûte que coûte, vers cet enfant pour lui présenter leurs hommages. Un jour, ayant tout préparé et fait provision des choses les plus précieuses que produisait leur pays et que les étrangers y venaient chercher de loin, ils partirent. Le but, c'était cette Judée depuis longtemps désignée pour la naissance du Roi universel. Ils arrivèrent enfin à Jérusalem, la capitale du royaume. Sûrs d'avoir atteint le terme de leur voyage, ils interrogèrent le premier venu :" Où est le roi nouveau-né? " Car l'idée ne se présentait pas à leur esprit que quelqu'un pût ignorer le grand évènement.
Ce fut au contraire une surprise générale. Nul ne savait rien. " Nous avons pourtant vu son astre " , disaient les étrangers autour desquels on faisait cercle . Ils s'expliquaient, et de proche en proche un grand émoi se répandait bientôt dans toute la ville. L'arrivée de ces hommes singuliers, l'extraordinaire question qu'ils posaient et ce phénomène céleste que l'on avait vu pareillement mais qui prenait soudain sa grande signification, tout y contribuait. " Une étoile sortira de Jacob, un sceptre s'élèvera d'Israël;" On savait cette prophétie. Le peuple songe aussitôt au Messie tant espéré. Si c'était lui enfin!
Hérode fût bientôt prévenu par sa police et l'évangéliste nous dit que lui aussi fut ému, mais d'une toute autre façon. L'usurpateur avait pris toutes les précautions pour que nul ne pût le détrôner. Jamais pourtant il n'avait sérieusement envisagé l'hypothèse de ce compétiteur messianique. Et voilà que son image surgissait soudain inquiétante. Hérode troublé fait rassembler en toute hâte les princes des prêtres et les docteurs du peuple. " Où doit naître le Christ? - A Bethléem de Judée, lui répondit-on. C'est écrit dans la prophétie de Michée :" Et toi Bethléem, terre de Juda, tu n'es pas la plus petite parmi les princes de Juda, car de toi sortira le Chef qui doit régir mon peuple Israël."
Hérode se tranquillise. Bethléem est toute voisine. Et il sait que dans cette petite bourgade nul parmi les hommes en âge de porter les armes n'est capable de l'inquiéter. S'il y a vraiment un enfant indésirable, il sera toujours temps de le faire disparaître; Mais tout cela lui parait bien chimérique. Il ne tient pas à se ridiculiser personnellement dans l'aventure de ces étrangers en envoyant ses soldats à leur suite. Les mages eux-mêmes le serviront, s'il y a lieu d'intervenir. Le vieux politique les fait donc appeler . Il affecte d'entrer dans leur préoccupation pour gagner leur confiance. " C'est à Bethléem, leur annonce-t-il, que doit naître le roi que les Juifs attendent. Voici la route, . Allez, enquérez-vous exactement de l'enfant, et lorsque vous l'aurez trouvé, annoncez-le moi afin que moi aussi j'aille me prosterner devant lui."
Les mages partirent tout de suite pour Bethléem. Durant qu'ils cheminaient, le soir tombe. C'était l'heure où avant les premières étoiles brillaient déjà les planètes. Leurs yeux de temps en temps se levaient là-haut et contemplaient les astres qui s'allumaient dans l'immensité. Soudain la comète qu'ils avaient vue vers l'Est apparut de nouveau, mais du côté du Sud cette fois. Ils poussèrent un cri d'allégresse. Elle était là en face, suspendue au-dessus de Bethléem vers laquelle se projetait sa traînée de lumière. Ils pressèrent le pas et se trouvèrent enfin devant un humble logis que semblait désigner la clarté céleste. C'est ici. Leur vieille expérience et les réflexions de leur sagesse ont depuis longtemps appris qu'il ne faut pas se fier aux apparences. La grâce de Dieu leur vient en aide au surplus, et ils ne semble pas s'étonner que la demeure du roi qu'une étoile annonce là-haut soit si misérable ici-bas.
Ils descendent de leurs montures et franchissent le seuil. Une jeune femme se lève à leur entrée. C'est Marie avec son enfant dans ses bras. Ils se taisent, tout émus, admirant sa grâce incomparable qui rayonne au centre de cette pauvre maison . Eux qui ont longuement vécu et tant voyagé par le monde n'ont jamais rien vu de si beau. En vérité, c'est une reine, et cet enfant qu'elle tourne vers eux, c'est bien celui-là même qu'ils cherchent. Religieusement ils se prosternent et ils adorent le petit roi mystérieux. Puis ils ouvrent leurs cassettes et présentent pour lui à sa mère de l'or pur, de la myrrhe odoriférante et de l'encens arabique.
Les bons mages avaient bien l'intention de retourner à Jérusalem le lendemain pour voir Hérode et lui faire part de leur découverte. Mais durant leur sommeil l'ange de Dieu les avertit en songe de n'en rien faire. Bien avant l'aurore ils se levèrent et par une autre route retournèrent dans leur pays.
Telle est l'histoire des premiers adorateurs de Jésus venus de la Gentilité.
La plus sombre de mon histoire! ..seuls les intimes savent de quoi il s'agit
. Illuminée par la nuit de Noël, une messe du jour ordinaire à la cathédrale..où on a recherché l'essentiel. Ca a réussi on dirait.
- à part un abruti de service tradi évidement, qui vient piquer mes fichiers.. (mais bon quand on voit le niveau intellectuel de ses interventions sur un forum on comprend tout). -
Illuminée par la nuit de Noël, sans doute, et ma famille d'Alicante qui m'a vraiment adopté. On pleure quand on y pense, tant de gentillesse gratuite. Plus qu'à envisager un voyage dans les beaux jours, mais pour ça faut se remettre en forme. je sais y avoir une chambre de réservée pour bibi.. mais il faut aussi les préserver, ne pas les encombrer. respecter la distance délicatesse.
J'ai été très peiné d'apprendre que ces fêtes ont été catastrophiques pour eux, espérant qu'ils passeront celles de fin d'année en meilleur santé. Et puis en Espagne c'est surtout la fête des Rois, rien n'est donc perdu.
Nous avons retrouvé la paix aussi avec un internaute, dont le combat est à peu près le même, pas mal je suis content. les conflits de génération, on ne voit plus les choses pareilles, on n'a plus les mêmes préoccupations. Certains voient plus l'actualité du présent, pour leur devenir, nous c'est plus la question du demain qui est préoccupante, comment va-t-on vieillir !
Et puis il y a ceux avec qui cela est impossible! intégristes de tous poils ou ceux dont vous ne recevrez jamais une seule fois un comment allez-vous malgré votre âge avancé la solitude qui vous pèse. Et vous toujours à la quête de la santé des autres sans jamais aucune réciprocité, bizarre.. Ca n'a jamais été le cas pour moi!
Merci aussi à notre capitaine de Brigade de gendarmerie, auprès duquel j'ai su trouver un appui, un peu de chaleur humaine - enfin - et surtout un réconfort moral quand pour d'autres cathos évidement, on peut crever à leurs côtés! et nos moines évidement que j'ai essayé de préserver. Ils ont des milliers de souffrance à porter! alors on a évité d'abuser de l' adresse perso du père abbé . j'ai réussi je crois, sauf cas de nécessité absolue.
Pardon à ceux que j'ai pu blesser.. pas évident d'être seul. On a des réactions à chaud pas toujours maitrisables, maladroites . L"exaspération , les sempiternelles histoires d'intégristes toujours les mêmes depuis des siècles; on ne prend pas assez de recul.
Merci monsieur l'abbé de vos prières.. on vieillit n'est-ce pas? C'est en voyant grandir les petits que je m'en rends compte que les années passent. Depuis le temps qu'on les suit... ! ils étaient petits à l'époque .
Rattraper le temps perdu , on peut toujours ... grâces de la nativité descendez dans nos âmes! ... les autres avancent et moi je piétine , je fais du surplace, quelle misère. Mon moi si envahissant et si encombrant qui retarde mes pas vers le Royaume. Vous savez je ne suis tradi que pour la liturgie, et c'est toute la mentalité de conquistador, qui ne doivent rien à personne et à qui tout est dû, et qui est derrière que j'ai toujours rejeté qu'il n'y a pas heureusement dans nos abbayes.
Jadis à l'abbaye combien de fois le père hôtelier n'a - t-il pas râlé parce que les maisons étaient laissées dans un état de propreté pas possible , je ne sais si ça a évolué! tout un état d'esprit qu'on retrouve sur le net. la notion de justice ! alors qu'on ne se retrouve pas dans ces milieux pas étonnant!
Allez ce ne sera pas déductible des impôts mais je vous envoie des messes en action de grâces, malgré tout! pour Pedro, Alexandro, Rodrigo ..
A Avila aussi j'ai vu une vidéo où ils ont fêté Noël, vous savez ces grandes familles espagnoles comme dans le temps, le papi, la mamie, la yaya , toute la famille réunie! ça existe encore. On aurait aimé vivre ça. On y a jamais eu droit ! faudra que je demande au Bon Dieu pourquoi tiens. super Ivan !
le drame d'être seul, on ne sait plus où aller même en vacances se reposer! toujours se dire, qu'est-ce qu'on va bouffer auj..? heureux ceux qui se mettent les pieds sous la table sans se poser de questions.
allez !
Nous portons toutes ces intentions au pied de la crèche. allez peut-être la dernière, qui sait! Vivement le ciel!
Une nouvelle année va commencer que sera-t-elle? De quel poids pèsera-t-elle dans la balance de notre éternité? Nous sera-t-il donné de la couler paisible et heureuse, ou bien ne sera-t-elle point semée de deuils et, commencée ici-bas, ne l'achèverons-nous pas dans l'éternité?
Nous avons besoin d'armes et de vivres: d'armes pour nous défendre contre nos ennemis; de vivres pour entretenir les forces de notre âme dans la marche et lui fournir l'énergie nécessaire dans les luttes .. !
C'est un anniversaire discret mais festif que célèbre la petite ville d'Oberndorf, en Autriche. Le chant de Noël "Douce nuit" a 200 ans. C'est à l'organiste Franz Xaver Gruber que l'on doit la mélodie.
"Je crains que les gens en Amérique, en France ou dans d'autres pays ne sachent pas vraiment où ce chant a été interprété pour la première fois. Ils connaissent le chant mais ils ne savent pas d'où ça vient" déplore une dame.
C'est dans cette chapelle d'Hochburg que ce chant de Noël a été interprété pour la première fois le 24 décembre 1818. Il est aujourd'hui traduit dans plus de 300 langues et dialectes.