Publié le 19 Décembre 2018

 

 

 

 

 

¡Debemos esperar a la Epifanía por los regalos! ¡Qué miseria! trop mignon Rodrigo !

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Rédigé par Philippe

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Publié le 19 Décembre 2018

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Publié le 19 Décembre 2018

ils  ont envahi Moscou . - 12°

 

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Publié le 19 Décembre 2018

 

 

 

 

 

"At this moment, we must thank the Lord for all He has given us!"

"В этот момент мы должны поблагодарить Господа за все, что Он нам дал!"

"En ce moment, nous devons remercier le Seigneur pour tout ce qu'Il nous a donné!"

"En este punto debemos dar gracias al Señor por todo lo que nos ha dado"

matteo Farina

serviteur de Dieu.

 

  ¡Gracias por la privacidad!....es la primera vez que me pasa esto. ¡Realmente tengo una familia! la magie de Noël, se sentir - enfin -  aimé.

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Publié le 19 Décembre 2018

Rédigé par Philippe

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Publié le 19 Décembre 2018

 

Noël 2018 à Valence : La paroisse de Saint Nicolas installe une crèche verticale "unique en Europe".

La paroisse de San Nicolás de València a installé une crèche "très particulière, unique en Europe dans ses dimensions, qui dispose ses figures verticalement, représentant ainsi l'orographie variée de la naissance et du peuple lui-même.

Avec plus d'une centaine de figures humaines,

La crèche de cette année est encore plus grande que celle de l'an dernier pour San Nicolás, comme l'expliquait Pedro Ródenas, " car elle est née du sol, avec une base de quatre mètres, et occupe toute la chapelle du Bienheureux Gaspar Bono, à 5,5 mètres de hauteur.

 

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Publié le 18 Décembre 2018

 

 

Daniel Bogdanov . à Bruxelles ...

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 17 Décembre 2018

 

 

 

 

   Initium. Noël, c'est l'éclosion de la Rédemption. Noël, c'est le minuit du monde, le solstice de nos ténèbres, mais c'est déjà l'instant où la nuit est vaincue, où elle se penche sur l'autre versant, où elle prévoit qu'elle succombera à la pointe du petit jour.

   Dans la nature, la nuit la plus étendue de l'année ne doute pas qu'elle aura une fin, que Dieu lui donnera une fin, qui est le jour, mais il est vrai aussi que ce jour avec le soir ira la rechercher. Tandis que Noël, tout à coup, au milieu des ténèbres de la foi et de l'abandon des hommes, c'est le soleil de minuit, vera lux, la vraie lumière. C'est ce soleil qui ne connaîtra plus de déclin. Malgré la mort du Fils de l'homme , ou l'extinction pour deux jours qui en font trois de ses facultés humaines, malgré l'apparent abandon de Dieu (Eli, Eli ! .. ) malgré les épaisses ténèbres qui couvriront toute la terre au milieu d'une après-midi de printemps, même si le soleil se voile pour les gens de chair, obnubilés par une vision d'horreur, celle de l'Amour assassiné, et le trouble des larmes (et palpebrae meae caligaverunt), le soleil de Noël est acquis pour les siècles des siècles, il est le foyer de toute la lumière de l'Eglise, il est la manifestation très humble de tout le mystère caché en Dieu depuis le commencement, l'apparition de la splendeur de la gloire et la figure de la substance de Dieu.

   Ce soleil de minuit, c'est la Rédemption qui parait . Ce petit enfant, ce petit Jésus, ce petit commencement du siècle qui vient, gratuit à l'humanité, puisque c'est Dieu son père, et gracieux pour toute âme de bonne essence, - gracieux et gratuit comme une "inchoatio" de la gloire, - cet enfant qui vagit dans ses langes, couché au-dessus de la condition des hommes, pour se tenir d'abord plus bas qu'eux, afin de pouvoir s'élancer un jour au-dessus d'eux en les connaissant tous et être vraiment leur juge et leur roi, cet enfant couché dans une mangeoire d'animaux domestiques, cet enfant, il est le commencement de la création, la reprise de tout l'oeuvre de Dieu, la sainte réparation du monde " cassé " par le péché, la refonte de la cloche fêlée qui ne sonnait plus pur, le deuxième et le dernier état de la morale du monde où Dieu , ce coup-ci, entre lui-même en personne, afin d'être si uni à l'armature du chef-d'oeuvre: la croix qu'il semble cloué dessus.

   In principio erat Verbum. Dans le principe, EN ARCHE, dans le commencement et dans le commandement - dans le commandement de l'Etre, - était le Verbe. Tout a été fait par lui, et nous avons été faits par lui et nous ne sommes qu'à cause de lui . Et sans lui nous ne serions pas. Et sans lui, il n'y aurait rien ni personne. Et nous lui devons tout, l'être, la vie , l'intelligence, le sentiment, le goût de l'amour et nos cinq sens, et l'univers où nous nous mouvons; les autres, ce qu'ils nous offrent, ce qu'ils nous communiquent de l'ordre passé dans le présent , ce qu'ils nous lèguent, ce qu'ils échangent avec nous. Nous lui devons nous et les autres, et plus que cela: après avoir perdu dans le péché le bénéfice de l'immortalité, nous lui devons plus que nous-mêmes et que les autres - et jusqu'aux plus aimables, jusqu'à ce que nous aimons le plus pour ce qu'ils lui ressemblent davantage, par un certain côté, par une certaine vertu, par une certaine grâce, tout en nous ressemblant à nous-mêmes, pour ce qu'ils nous révèlent quelque possibilité d'harmonie entre les différentes images du Dieu un , infiniment aimable; - nous lui devons plus que nous et que les autres, nous lui devons Lui . Car il est venu chez nous, comme on vient chez soi.

   Il est venu dans sa propriété. Il est venu dans une demeure qu'il avait bâtie de ses mains, dans un monde qu'il avait fait. Car sans lui rien de ce qui a été fait ne serait fait. Pour le monde, il n'a pas besoin, à proprement parler, d'y venir. Il y était, nous dit saint Jean, in mundo erat. Comme l'artiste dans son oeuvre. Et c'est son oeuvre qui ne l'a pas connu. Son oeuvre, qui s'est détournée de lui, son oeuvre a été par nous, les hommes , détournée de lui, pour être livrée, cette chose commune de Dieu, à notre usage personnel.  Cette propriété est devenue la propriété privée de l'intendant malhonnête qui la gère.. Moi, vous . Chacun de nous .

Car voilà le pire. Cet esprit de salut, on n'en veut pas.

L'Héritier est descendu chez soi. Et son " chez soi " ne l'a pas reçu. On a souvenance de l'histoire du Propriétaire de la vigne, qui avait envoyé ses intendants pour demander des comptes à ses vignerons. On se rappelle comment ceux-ci furent reçus: à coups de feu, traduirait-on en langage d'aujourd'hui. Mettons:  à coups de pierre, puisque à l'époque on lapidait les prophètes. Ou simplement à coups de couteau. Alors, pour finir , le Maître envoie son Fils, pensant, dit la parabole et cette présomption est terrible, qu'ils n'oseront pas traiter l'Héritier comme ils ont fait des serviteurs. Or ils se sont empressés de le mettre à mort.

   Dès l'instant où le Verbe parait, il est déclaré par l'évangéliste Jean que les siens ne le reçoivent pas.

Mais il en est, ajoute-t-il, qui l'on reçu, et ils deviennent enfants de Dieu. On ne nous dit pas où le Maître les prend, mais il est clair qu'il ne les prend pas dans le monde, qu'il ne les prend pas en dehors de Dieu, qu'il ne les prend pas hors de lui-même : ceux qui ne sont nés " des sangs " , ni de la chair, ni d'une volonté d'homme, sed ex Deo, mais qui sont nés de Dieu..

dominicus. op+

  

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Rédigé par Philippe

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Publié le 17 Décembre 2018

 

 

     ... qu'on y prenne garde . Dieu, c'est Dieu, ce n'est que Dieu, ce n'est rien de plus, mais rien de moins. Dieu , c'est la Vérité et toutes les conséquences de la Vérité, la justice dont nous avons peur, car elle pourrait nous déplacer, nous déloger; la lumière, qui nous fait horreur, parce qu'elle met à jour en nous le cloaque. Et ce petit Enfant que Dieu nous donne à Noël, il vient rendre la justice, ou plutôt nous montrer qu'il n'a pas à juger, que le monde est déjà jugé, et cela est toute la justice qu'Il fera , avec la lumière de son regard que rien n'assombrira, et qui éclaire la totalité du royaume des âmes auxquelles il a rendu la vie. Celui qui est leur vie est aussi leur lumière.

   Il semble que Dieu ne réponde pas comme on l'attendrait aux supplications des chrétiens. La coupe de sang, le calice que doit boire l'humanité déborde. Oh ! je ne dis pas que Dieu reste sourd aux gémissements de tant de victimes: avec les victimes Il a des arrangements que nous ne connaissons pas. Mais je crains que nos prières n'arrivent pas à lui aussi directement que nous le supposons. Je ne suis pas sûr de la justesse de notre tir.

Est-ce que nous aimons Dieu, est-ce que nous visons son coeur? Est-ce que notre volonté est bonne, est-elle comme la sienne, est-elle, en un mot la sienne?  Est-ce vraiment le règne de Dieu que nous voulons? Est-ce que nous voulons bien Dieu? Est-ce que nous n'inclinons pas , dans le secret, vers des idoles moins spirituelles et qui, même si elles devaient nous séduire un temps, sont à l'Eternel une abomination ?  Est-ce que nous ne sommes pas tout prêts à nous rabattre sur le premier signe d'autorité venu plutôt que de n'attendre la délivrance morale de Celui qui nous donne sa paix autrement que la donne le monde? On a beaucoup parlé depuis quelques années de la démission des chrétiens. On n'a pas encore dit à quel point elle était un scandale. Toute cette vermine qui ronge depuis si longtemps la chrétienté pour la dissoudre, elle est sortie de la défection des chrétiens. Car c'est un grand mystère que le corps social régénéré par l'eau baptismale et qui a été touché par le sang du Christ et ses sacrements, qui a eu Noël et qui a eu Pâques, ait aussi mal tourné. Il faut qu'il y ait là une rude trahison des volontés chrétiennes, d'un certain ensemble de ces volontés, pour avoir entraîné tout le monde civilisé dans des aventures aussi diamétralement opposées à celle de l'Evangile . Il faut qu'il y ait eu bien peu de bonne volonté, parmi les hommes, pour obtenir au monde chrétien si peu de paix.

   Dieu ne saurait se contenter de la seconde place, et le chrétien moyen se trouve déjà fort libéral quand il la lui a procuré. Pour Dieu, il n'y a jamais de place à l'hôtellerie commune,, on le sait, mais Il aurait tort de se plaindre si on ne lui interdit pas l'étable, inhabitée des hommes . Dans notre vie, c'est déjà beau quand l'Enfant-Dieu a une crèche.

   Dans la cité, pour son ordre, Dieu demande la première place.

  Nous ne serons sauvés de la décomposition que si nous ne la lui refusons pas et nous sommes encore très loin de compte avec cette éventualité. Et cependant, c'est un minimum pour lui. Les âmes données à Dieu, celles qui veulent bien ce que Dieu veut, les âmes contemplatives, les âmes qui connaissent Dieu, savent que pour elles Dieu est plus exigeant: ce n'est pas la première place qu'il réclame en elles, c'est toute la place. 

   Telles sont les rigueurs de l'amour, mais elles ne valent que pour le privé, pour la sanctification de la personne. Car il serait naïf de croire que la cité veut être sainte. Mais au moins désirons qu'elle soit bénie et que pour cela elle accorde à Dieu la première place qui revient à sa Nature royale.

   L'Enfant-Dieu demande à être placé en tête de la vie humaine, comme il est question de lui en tête du Livre, dans le Béréchit, ainsi que le confie saint Paul en se référant au psaume XXXIX. La cité ne sera harmonieuse que si elle met le Premier et le Dernier, l'Alpha et l'Oméga, au commencement et à la fin de son développement. Tant qu'elle voudra se passer du premier et du dernier mot de la vie, son discours restera incohérent.

   Mais je ne pense pas, au degré de barbarie où nous aboutissons, que l'on ait des chances de rendre tout de suite la cité harmonieuse. Il semble bien qu'avant même d'installer Dieu dans la cité à sa place royale il soit demandé aux âmes qui demeurent dans la proximité du Seigneur, d'accepter sa volonté plus à fond; de vouloir mieux connaître la vérité pour laquelle il faut combattre, de se livrer davantage à la vera lux qu'est le soleil de minuit, à la lumière cachée, mais la seule vraie.

   Et, quand il y aura beaucoup de ces âmes plus faites et refaites à la lumière de Noël, plus " recommencées " à l'Enfant-Jésus, plus enfants de Dieu, plus pénétrées des grâces de leur baptême, ces âmes-là n'auront qu'à se tenir dans la cité, vigilantes, charitables, intelligentes, droites, exemplaires.

   La cité aura besoin de se conformer à leurs vertus et alors elle aura peut-être envie de rendre la première place à Dieu, parce qu'elle en aura assez de mourir. Ayant trop abusé de la mauvaise volonté, peut-on savoir si ne lui viendra pas un jour la tentation d'essayer de l'autre, celle qui est dans la ligne de Dieu et doit procurer aux hommes la paix sur la terre? Les âmes de bonne volonté ont  trouvé leur Prince et leur Principe à Noël dans l'Enfant Jésus, qui est appelé Prince de la Paix.

   De quelle paix ? De celle que ne peut pas donner le monde mais qui serait faite pour lui, s'il voulait bien.

dominicus op+

 

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Publié le 17 Décembre 2018

 

Pendant sa messe de consécration , un cousin de Mons. José María Gil Tamayo meurt d'une crise cardiaque ... la fête a été interrompue.

Le parent du nouvel évêque a été soigné dans la cathédrale d'Avila et, après plusieurs tentatives pour le ranimer, il a été transféré dans un centre médical. Selon les médias locaux, plusieurs évêques ont apporté leur aide spirituelle à cet homme de 70 ans.

Nous adressons nos sincères condoléances au diocèse.

 

 

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Rédigé par Philippe

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