Le tombeau de sainte Thérèse de Jésus a été inauguré ce mercredi pour la première fois depuis 1914, et l'état de conservation de son corps reste « exactement le même » qu'alors, selon des enregistrements photographiques. Cela  a été confirmé par le prieur des Carmes d'Alba de Tormes (Salamanque), Miguel Ángel González , qui a dirigé l'intervention avec le postulateur général de l'ordre, Marco Chiesa .

Trois phases L'ouverture est un acte entouré d'une grande solennité, car elle nécessite dix clés : trois sont détenues par la communauté d'Albe, trois sont détenues par le duc d'Albe , trois par le Père général des Carmes de Rome et une par le roi. de l'Espagne. Trois sont pour la grille extérieure en fer du vestiaire, trois pour le couvercle en bronze encastré dans l'arche de marbre sur la partie avant, et quatre pour l' arche intérieure en argent , l'une de ces dernières étant celle qui appartient au roi, par courtoisie et pas indispensable pour l'ouverture. Le processus d'étude comprendra trois phases, comme le rapporte le diocèse de Salamanque . La première, entre le 28 et le 31 août, se déroulera dans une salle du couvent et sous clé, en présence des trois membres du Tribunal Ecclésiastique qui accompagnent les scientifiques.

Des études de reconnaissance visuelle , des prises de photos et des radiographies seront réalisées par une équipe spécialisée et ultramoderne de Madrid et dirigée par le Dr José Antonio Ruiz de Alegría . Les reliquaires seront correctement nettoyés, fermés et la main reviendra à Ronda. La deuxième phase durera quelques mois et se déroulera dans des laboratoires en Italie , qui analyseront les résultats et prépareront le rapport.

La troisième phase, toujours à Alba de Tormes, proposera quelques interventions pour une meilleure conservation du corps et des reliques , toujours en partant de Ronda. Plus tard, le tombeau et les reliquaires seront scellés avec l'aide des orfèvres salmanquins Ignacio Manzano Martín et Constantino Martín Jaén , qui ont également supervisé l'ouverture. Avant la fermeture définitive, un temps sera réservé à la vénération de ces reliques si appréciées.

Voici les photos de la messe célébrée dans notre chapelle mardi dernier, par le Père Abbé de Triors qui fêtait l'anniversaire des 40 ans de la fondation de l'abbaye, entouré des moines de son abbaye, de ceux de Fontgombault, Randol et Donezan. Ce fut un très beau moment de prière commune.

Aujourd'hui, nous avons accueilli pour l'office de tierce et la messe solennelle présidée par le Père Abbé de Triors, les moines bénédictins de Randol, Donezan, Fongombault et Triors venus faire leur démarche jubilaire auprès du Sacré Coeur de Jésus. Une "marée noire" a supplanté nos habits blancs!

photo petit placide 

" Le Seigneur semble s'occuper de nous comme si nous étions seuls au monde." 

dom Delatte 

pour nos novices ! 

Bonne fête et bonne fin de vacances ! .

 joli prénom  . 

Philippe 

Retraite opus sacerdotale 2024

15 Août procession 

homélie mgr. Dominique Rey 

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"Face aux tristesses, aux aigreurs, aux amertumes qui traversent nos vies, Marie en son Assomption nous plonge dans l’allégresse des anges et des saints qui acclament l’Agneau vainqueur, et proclament éternellement la victoire de son Amour.
Apprenons de la Vierge Marie et apportons à notre monde le témoignage de la vraie jubilation. La joie de croire. La joie d’être sauvé. La joie d’aimer et d’être aimé par Dieu, en Dieu. Action de grâces répétée et actualisée à chaque messe quand nous célébrons la victoire du Christ sur la mort et le péché."

requiescat in pace 

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Prières à la Vierge

On le retrouve égal à lui-même, grand fauve blessé, fidèle aux souvenirs des amis décédés, aux femmes qui ont partagé sa vie – « Je sais qu'elles m'attendent, on se retrouvera là-haut » –, tutoyant régulièrement la mort et l'au-delà – il dit parler souvent à sa mère, celle qui lui a donné ce capital beauté qui fit sa gloire. Il revient aussi sur cette foi catholique, qui ne l'a jamais quitté et qui l'a fortifié pendant ces derniers mois, affirmant croire en « Dieu, le Christ et surtout Marie ». Son domaine de Douchy possède une chapelle privée – où il a fait creuser sa tombe –, un simple chapelet en bois trône sur son bureau et une image de la Vierge ne le quitte jamais. « Souvent je lui dis : Mais parlez-moi, dites quelque chose… Elle ne m'a rien dit, mais je sentais les choses. »

Mais surtout, je hais cette époque, je la vomis",