tout est là.. et fac bonum,
Publié le 18 Août 2007
"Au fond, notre vie n'a pas pour dessein de fuir le péché et le néant, mais plutôt de s'établir dans l'être, de faire le bien, de joindre Dieu."
dom Delatte.
et fac bonum. Je pensais à cela aujourd'hui. Je pense que nous avons toujours la possibilité quelque soit notre situation de réaliser le "fac bonum". C'est un constat, il y a plus d'activistes que de contemplatifs. C'est une bonne chose? Je n'en sais rien.
La charité à exercer au fond, c'est toujours et elle est à la portée de n'importe qui.
Quelque soit notre rang, notre milieu. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Et ce qui semble merveilleux c'est que chacun a sa place, chacun a ses dons propres.
Il y en a qui vont rendre visite aux malades, aux vieux..Il y en a qui oeuvrent dans le politique, dans le social, sans cette activité ils n'auraient pas de raison d'être. Chacun a son charisme propre qui lui est confié, l'un sera instituteur, l'autre sera simplement un bon père de famille, ou simplement webmestre, un de ces nouveaux apostolats modernes.
C'est à programmer peut-être pour les futurs canonisations....?
Faire son possible pour rester dans l'amitié du Seigneur; n'est-ce pas là déjà le plus bel apostolat pour le monde?
Tout le monde n'est pas fait pour aller rendre visite à des mourants, à des enfants malades. Il faut déjà une certaine force psychologique, une certaine maturité, une certaine force morale.
On ne va pas demander à quelqu'un déjà dépressif d'aller dans des hopitaux..
Mais il y a (autres que nos proches en qui nous devons la charité, (pas le touareg dans son oasis,) une charité que nous avons facile à oublier et à la portée de tout le monde, c'est celle que l'on doit à nos défunts.
Il n'y a pas à chercher loin pour l'exercer la charité.
La charité à exercer au fond, c'est toujours et elle est à la portée de n'importe qui.
Quelque soit notre rang, notre milieu. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Et ce qui semble merveilleux c'est que chacun a sa place, chacun a ses dons propres.
Il y en a qui vont rendre visite aux malades, aux vieux..Il y en a qui oeuvrent dans le politique, dans le social, sans cette activité ils n'auraient pas de raison d'être. Chacun a son charisme propre qui lui est confié, l'un sera instituteur, l'autre sera simplement un bon père de famille, ou simplement webmestre, un de ces nouveaux apostolats modernes.
C'est à programmer peut-être pour les futurs canonisations....?
Faire son possible pour rester dans l'amitié du Seigneur; n'est-ce pas là déjà le plus bel apostolat pour le monde?
Tout le monde n'est pas fait pour aller rendre visite à des mourants, à des enfants malades. Il faut déjà une certaine force psychologique, une certaine maturité, une certaine force morale.
On ne va pas demander à quelqu'un déjà dépressif d'aller dans des hopitaux..
Mais il y a (autres que nos proches en qui nous devons la charité, (pas le touareg dans son oasis,) une charité que nous avons facile à oublier et à la portée de tout le monde, c'est celle que l'on doit à nos défunts.
Il n'y a pas à chercher loin pour l'exercer la charité.
Un acte fait pour quelqu'un qu'on a beaucoup aimé a autant de valeur si isolé soit,-il si discret soit-il que toutes les activités du monde.
Le désir lui du petit Placide, c'est d'oeuvrer encore pour des enfants.. c'est le plus bel apostolat...
partir au Pérou? dans la cité des enfants, avec le père Salerno - il y a pensé - , laisser tout là pour changer de planète et vivre. Ste Thérèse avait des envies comme ça de voyager. .
Au fond, chacun à sa place.. mais "et fac bonum.."
..
Le désir lui du petit Placide, c'est d'oeuvrer encore pour des enfants.. c'est le plus bel apostolat...
partir au Pérou? dans la cité des enfants, avec le père Salerno - il y a pensé - , laisser tout là pour changer de planète et vivre. Ste Thérèse avait des envies comme ça de voyager. .
Au fond, chacun à sa place.. mais "et fac bonum.."
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