Publié le 12 Mars 2022

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Publié le 12 Mars 2022

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Publié le 11 Mars 2022

 

 

 

 

 

 

« Ô saint Patriarche, nous vous invoquons. Levez vos bras paternels largement ouverts vers la Très Sainte Trinité et priez pour le monde, pour l’Eglise, et particulièrement pour l’Europe, pour votre Europe dont vous êtes le patron céleste : pour que celle-ci n’oublie pas, ne refuse pas, ne rejette pas l’extraordinaire trésor de la foi chrétienne qui, pendant des siècles a animé et fécondé l’histoire et le progrès moral, civil, culturel, artistique de ses différentes nations ; Que, par la vertu de sa matrice chrétienne, elle soit porteuse et génératrice d’unité et de paix parmi les peuples du continent et ceux du monde entier ; Qu’elle garantisse à tous ses citoyens la sérénité, la paix, le travail, la sécurité, les droits fondamentaux, comme ceux qui concernent la religion, la vie de famille et le mariage.

Amen.»

Saint Jean-Paul II (1920-2005)

« A ce moment de notre histoire, le vrai problème c’est que Dieu semble disparaître de l’horizon des hommes, et tandis que s’éteint la lumière provenant de Dieu, l’humanité manque d’orientation et les effets destructeurs se manifestent toujours plus en son sein ».

Benoît XVI 

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Publié le 11 Mars 2022

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Publié le 11 Mars 2022

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Publié le 10 Mars 2022

 

 

 

 

 

"Nous vous adorons, ô Jésus et nous vous bénissons,

Vous qui par votre sainte Croix avez vaincu le monde."

+

 

1ère Station. 

Jésus est condamné à mort . 

 

C'est fini. Nous avons jugé Dieu et nous l'avons condamné à mort.

Nous ne voulons plus de Jésus-Christ avec nous, car il nous gêne.

Nous n'avons plus d'autre roi que César! d'autre loi que le sang et l'or!

Crucifiez-le, si vous le voulez, mais débarrassez-nous de lui! Qu'on l'emmène!

Tolle! Tolle! Tant pis! Puisqu'il le faut, qu'on l'immole et qu'on nous donne Barabbas! Pilate siège au lieu qui est appelé Gabbatha.

"N'as-tu rien à dire? " dit Pilate. Et Jésus ne répond pas.

"Je ne trouve aucun mal en cet homme", dit Pilate, "mais bah! Qu'il meure, puisque vous y tenez! Je vous le donne. Ecce homo. "

 

 

me station

Jésus est chargé de sa croix. 

 

 

 

On lui rend ses vêtements et la croix lui est apportée.

" Salut ", dit Jésus, " ô Croix que j'ai longtemps désirée!"

Et toi, regarde, chrétien, et frémis! Ah, quel instant solennel

Que celui où le Christ pour la première fois accepte la Croix éternelle!

O consommation en ce jour de l'arbre dans le Paradis!

Regarde, pêcheur, et vois à quoi ton péché a servi.

Plus de crime sans un Dieu dessus et plus de croix sans Jésus-Christ!

Certes le malheur de l'homme est grand, mais nous n'avons rien à dire,

Car Dieu est maintenant dessus, qui est venu non pas expliquer, mais remplir.

Jésus reçoit la Croix, comme nous recevons la Sainte Eucharistie:

"Nous lui donnons du bois pour son pain", comme il est dit par le prophète Jérémie. Ah! Que la croix est longue, et qu'elle est énorme et difficile!

Qu'elle est dure! qu'elle est rigide! que c'est lourd, le poids du pêcheur inutile!

Que c'est long à porter pas à pas jusqu'à ce qu'on meure dessus!

Est-ce vous qui allez porter cela tout seul Seigneur Jésus?

Rendez-moi patient à mon tour du bois que vous voulez que je supporte. Car il vous faut porter la croix avant que la croix nous porte.

 

 

3ème station

Jésus tombe pour la première fois. 

 

 

 

En marche! victime et bourreaux à la fois, tout s'ébranle vers le Calvaire. Dieu qu'on tire par le cou tout à coup chancelle et tombe à terre.

Que dites-vous, Seigneur, de cette première chute?
Et puisque tout vous savez, que pensez-vous? cette minute Où l'on tombe et où le faix mal chargé vous précipite! Comment la trouvez-vous, cette terre que vous fîtes?

Ah! ce n'est pas la route du bien seulement qui est raboteuse. Celle du mal, elle aussi, est perfide et vertigineuse!
Il n'est pas que d'y aller tout droit, il faut s'instruire pierre à pierre, Et le pied y manque souvent, alors que le coeur persévère.

Ah, Seigneur, par ces genoux sacrés, ces deux genoux qui vous ont fait faute à la fois, Par le haut-le-coeur soudain et la chute à l'entrée de l'horrible Voie,
Par l'embûche qui a réussi, par la terre que vous avez apprise,
Sauvez-nous du premier péché que l'on commet par surprise.....

 

 

4ème station 

Jésus rencontre sa sainte Mère

 

O mères qui avez vu mourir le premier et l'unique enfant, Rappelez-vous cette nuit, la dernière, auprès du petit être gémissant, L'eau qu'on essaye de faire boire, la glace, le thermomètre,
Et la mort qui vient peu à peu et qu'on ne peut plus méconnaître. Mettez-lui ses pauvres souliers, changer-le de linge et de brassière. Quelqu'un vient qui va me le prendre et le mettre dans la terre. Adieu, mon petit enfant! adieu, ô chair de ma chair!

La quatrième Station est Marie qui a tout accepté.
Voici au coin de la rue qui attend le Trésor de toute Pauvreté. Ses yeux n’ont point de pleurs, sa bouche n'a point de salive. Elle ne dit pas un mot et regarde Jésus qui arrive.
Elle accepte. Elle accepte encore une fois. Le cri
Est sévèrement réprimé dans le coeur fort et strict.
Elle ne dit pas un mot et regarde Jésus-Christ.

La Mère regarde son Fils, l'Église son Rédempteur,
Son âme violemment va vers lui comme le cri du soldat qui meurt! Elle se tient debout devant Dieu et lui offre son âme à lire.
Il n'y a rien dans son coeur qui refuse ou qui retire,
Pas une fibre de son coeur transpercé qui n'accepte et ne consente. Et comme Dieu lui-même qui est là, elle est présente.
Elle accepte et regarde ce Fils qu'elle a conçu dans son sein.
Elle ne dit pas un mot et regarde le Saint des Saints.

 

​​​​​​

5ème station

Simon le Cyrénéen aide Jésus 

 

L'instant vient où ça ne va plus et l'on ne peut plus avancer. C'est là que nous trouvons jointure et où vous permettez qu'on nous emploie aussi, même de force, à votre Croix. Tel Simon le Cyrénéen qu'on attelle à ce morceau de bois. Il l'empoigne solidement et marche derrière Jésus,

Afin que rien de la Croix ne traîne et ne soit perdu.

 

 

 

6ème station

Véronique essuie la face de Jésus 

 

Tous les disciples ont fui, Pierre lui-même renie avec transport! Une femme au plus épais de l'insulte et au centre de la mort Se jette et trouve Jésus et lui prend le visage entre les mains. Enseignez-nous, Véronique, à braver le respect humain.

Car celui à qui Jésus-Christ n'est pas seulement une image, mais vrai, Aux autres hommes aussitôt devient désagréable et suspect.
Son plan de vie est à l'envers, ses motifs ne sont plus les leurs.
Il y a quelque chose en lui toujours qui échappe et qui est ailleurs.

Un homme fait qui dit son chapelet et qui va impudemment à confesse, Qui fait maigre le vendredi et qu'on voit parmi les femmes à la messe, Cela fait rire et ça choque,, c'est drôle et c'est irritant aussi.
Qu'il prenne garde à ce qu'il fait, car on a les yeux sur lui.

Qu'il prenne garde à chacun de ses pas, car il est un signe.
Car tout Chrétien de son Christ est l'image vraie quoiqu’indigne. Et le visage qu'il montre est le reflet trivial
De cette Face de Dieu en son coeur, abominable et triomphale!

Laissez-nous la regarder encore un fois, Véronique,
Sur le linge où vous l'avez recueillie, la face du Saint Viatique. Ce voile de lin pieux où Véronique a caché
La face du Vendangeur au jour de son ébriété,
Afin qu'éternellement son image s'y attachât,
Qui est faite de son sang, de ses larmes et de nos crachats!

 

 

 

VII ème station 

Jésus tombe une seconde fois 

 

Ce n'est pas la pierre sous le pied, ni le licou
Tiré trop fort, c'est l'âme qui fait défaut tout à coup.

Ô milieu de notre vie! ô chute que l'on fait spontanément! Quand l'aimant n’a plus de pôle et la foi plus de firmament, Parce que la route est longue et parce que le terme est loin, Parce que l'on est tout seul et que la consolation n'est point!

Longueur du temps! dégout en secret qui s'accroît
De l'injonction inflexible et de ce compagnon de bois!
C'est pourquoi on étend les deux bras à la fois comme quelqu’un qui nage! Ce n'est plus sur les genoux qu'on tombe, c'est sur le visage.

Le corps tombe, il est vrai, et l'âme en même temps a consenti. Sauvez-nous de la Seconde chute que l'on fait volontairement par ennui.

 

 

 

VIII ème station

Jésus console les filles de Jérusalem 

 

Avant qu'il ne monte une dernière fois sur la montagne,
Jésus lève le doigt et se tourne vers le peuple qui l'accompagne, Quelques pauvres femmes en pleurs avec leurs enfants dans les bras. Et nous, ne regardons pas seulement, écoutons Jésus car il est là.

Ce n'est pas un homme qui lève le doigt au milieu de cette pauvre enluminure, C'est Dieu qui pour notre salut n'a pas souffert seulement en peinture.
Ainsi cet homme était le Dieu Tout-Puissant, en effet!
Il est un jour où Dieu a souffert cela pour nous, il est donc vrai!

Quel est-il donc, le danger dont nous avons été rachetés à un tel prix? Le salut de l'homme est-il si simple affaire que le Fils

 

 

 

IX ème station

Jésus tombe pour la troisième fois

 

Je suis tombé encore, et cette fois, c'est la fin.
Je voudrais me relever qu'il n'y a pas moyen.
Car on m'a pressé comme un fruit et l'homme que j'ai sur le dos est si lourd. J'ai sur moi pris le mal : cet homme mort sans moi est trop lourd!
Mourons donc, car il est plus doux d'être à plat ventre que debout,
Moins dur de vivre que de mourir, et sur la croix que dessous.

Sauvez-nous du Troisième péché qui est le désespoir!
Rien n'est encore perdu tant qu'il reste la mort à boire!
Et j'en ai fini de ce bois, mais il me reste le fer!
Jésus tombe une troisième fois, mais c'est au sommet du Calvaire.

 

 

X ème station

Jésus est dépouillé de ses vêtements 

 

Voici l'aire où le grain de froment céleste est égrugé.
Le Père est nu, le voile du Tabernacle est arraché.
La main est portée sur Dieu, la Chair de la Chair tressaille,
L'univers, en sa source atteint, frémit jusqu'au fond de ses entrailles! Nous, puisqu'ils ont pris la tunique et la robe sans couture,
Levons les yeux et osons regarder Jésus tout pur.
Ils ne vous ont rien laissé, Seigneur, ils ont tout pris,
La vêture qui tient à la chair, comme aujourd'hui
On arrache sa coule au moine et son voile à la vierge consacrée.
On a tout pris, il ne lui reste plus rien pour se cacher.
Il n'a plus aucune défense, il est nu comme un ver,
Il est livré à tous les hommes à découvert.
Quoi, c'est là votre Jésus! Il fait rire. Il est plein de coups et d'immondices. Il relève des aliénistes et de la police.
Il n'est pas le Christ. Il n'est pas le Fils de l'Homme. Il n'est pas Dieu.
Son évangile est menteur et son Père n'est pas aux cieux...
Ils ont tout pris. Mais il reste le sang écarlate.
Ils ont tout pris. Mais il reste la plaie qui éclate!
Dieu est caché. Mais il reste l'homme de douleurs.

Dieu est caché. Il reste mon frère qui pleure!
Par votre humiliation, Seigneur, par votre honte.
Ayez pitié des vaincus, du faible que le fort surmonte!
Par l'horreur de ce dernier vêtement qu'on vous retire, Ayez pitié de tous ceux qu'on déchire!
De l'enfant opéré trois fois que les médecins encouragent, Et du pauvre blessé dont on renouvelle les bandages,
De l'époux humilié, du fils près de sa mère qui meurt,
Et de ce terrible amour qu'il faut nous arracher du coeur!

 

 

XI ème station

Jésus est cloué sur la croix 

 

Voici que Dieu n'est plus avec nous. Il est par terre.
La meute en tas l'a pris à la gorge comme un cerf.
Vous êtes donc venu! Vous êtes vraiment avec nous, Seigneur!
On s'est assis sur vous, on vous tient le genou sur le coeur.
Cette main que le bourreau tord, c'est la droite du Tout-Puissant.
On a lié l'Agneau par les pieds, on attache l'Omniprésent.
On marque à la craie sur la croix sa hauteur et son envergure.
Et quand il va goûter de nos clous, nous allons voir sa figure.
Fils Éternel, dont la borne est votre seule Infinité,
La voici donc avec nous, cette place étroite que vous avez convoitée! Voici Elie sur la mort qui se couche de son long,
Voici le trône de David et la gloire de Salomon,
Voici le lit de notre amour avec Vous, puissant et pur!
Il est difficile à un Dieu de se faire à notre mesure.
On tire et le corps à demi disloqué craque et crie,
Il est bandé comme un pressoir, il est affreusement équarri.

Afin que le Prophète soit justifié qui l'a prédit en ces mots:
" Ils ont percé mes mains et mes pieds. Ils ont compté tous mes os. "

Vous êtes pris, Seigneur, et ne pouvez plus échapper. Vous êtes cloué sur la croix par les mains et les pieds. Je n'ai plus rien à chercher avec l'hérétique et le fou. Ce Dieu est assez pour moi qui tient entre quatre clous.

 

 

XII ème station 

Jésus meurt sur la Croix ​​​​​

 

Il souffrait tout à l'heure, c'est vrai, mais maintenant il va mourir.
La Grande Croix dans la nuit faiblement remue avec le Dieu qui respire. Tout y est. Il n'y a plus qu'à laisser faire l'Instrument.
Qui du joint de la double nature inépuisablement
De la source du corps et de l'âme et de l'hypostase, exprime et tire Toute la possibilité qui est en lui de souffrir.

Il est tout seul comme Adam quand il était seul dans le Jardin, Il est pour trois heures seul et il verse le Vin,
Sur l'ignorance invincible de l'homme qui a renié son Dieu! Notre hôte est appesanti et son front fléchit peu à peu.

Il ne voit plus sa Mère et son Père l'abandonne.
Il boit le calice et la mort lentement qui l'empoisonne.

N'en avez-vous donc pas assez de ce vin aigre et mêlé d'eau,

 

pour que Vous Vous redressiez tout-à-coup et criiez: Sitio? Vous avez soif, Seigneur? Est-ce à moi que Vous parlez? Est-ce moi dont Vous avez besoin encore et de mes péchés? Est-ce moi qui manque avant que tout soit consommé?

 

 

 

 

XIII ème station

Jésus est descendu de la Croix

 

Ici la Passion prend fin et la Compassion continue.
Le Christ n'est plus sur la Croix, il est avec Marie qui l'a reçu:
Comme elle l'accepta, promis, elle le reçoit, consommé.
Le Christ qui a souffert aux yeux de tous, de nouveau au sein de sa Mère est caché. L'Église entre ses bras à jamais, prend charge de son bien-aimé.

Ce qui est de Dieu, et ce qui est de la Mère, et ce que l'homme a fait, Tout cela sous son manteau est avec elle à jamais.
Elle l'a pris, elle voit, elle touche, elle prie, elle pleure, elle admire; Elle est le suaire et l'onguent, elle est la sépulture et la myrrhe,

Elle est le prêtre et l'autel et le vase et le Cénacle.

Ici finit la Croix et commence le Tabernacle.

 

 

 

XIV ème station 

Jésus est mis au tombeau 

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Le tombeau où le Christ qui est mort ayant souffert est mis,
Le trou à la hâte descellé pour qu'il dorme sa nuit,
Avant que le transpercé ressucite et monte au Père,
Ce n'est pas seulement ce sépulcre neuf, c'est ma chair,
C'est l'homme, votre créature, qui est plus profond que la terre!

Maintenant que son coeur est ouvert et maintenant que ses mains sont percées, Il n'est plus de croix pour nous où son corps ne soit adapté,
Il n’est plus de péché en nous où la plaie ne corresponde!
Seigneur, votre créature est ouverte, d’une blessure profonde!

 

De l'autel où vous êtes caché, venez vers nous, venez Sauveur du monde!

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Publié le 10 Mars 2022

 

 

 

miserere nobis 

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"Desserre l'angoisse de mon coeur, Seigneur,

hors de mes tourments tire-moi;

vois mon malheur et ma peine,

efface tous mes égarements . "

Ps. 24 

 

 

aux enfants martyrs 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 10 Mars 2022

 

 

Il s'agit de vingt-cinq frères dominicains martyrisés à Almagro (Ciudad Real) et à Almería, en plus d' un laïc dominicain , d'un journaliste de renom, qui a subi le martyre à Almería, et d'une dominicaine de Huéscar, qui devient la deuxième dominicaine espagnole de être béatifié tout au long de l'histoire de l'Ordre.

 

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Publié le 8 Mars 2022

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Publié le 8 Mars 2022

 

 

 

 

"Cherchez le Seigneur, pendant qu’on peut le trouver ; Invoquez-le, tandis qu’il est près."

 

 Is. 55, 6-11.

+

 

" Haut est le ciel au-dessus de la terre,

aussi hautes sont mes voies au-dessus de vos voies

et mes pensées au-dessus de vos pensées ." 

 

Donnez-moi la force et la grâce de me sanctifier dans les circonstances où votre Providence me place, sans vouloir désirer autre chose.

que toujours votre volonté s'accomplisse en moi. 

 

 

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