Publié le 22 Octobre 2021

 

 

 

 

saint Raphaël

24 Octobre. 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 22 Octobre 2021

Rédigé par Philippe

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Publié le 21 Octobre 2021

 

 

 

 

20 Décembre 1920

22 Juillet 1936

+

 

 

 

 

¡reza por tu pequeno primo ! 

 

 

se llama Garcia tambien !

no es la edad del pavo !  a mi me gusta mucho Garcia ! 

 

Il est né dans une famille aux racines chrétiennes profondes, composée de Ricardo Mariano García Roldán et de Concepción León Cañas, qui l'ont baptisé quelques jours après sa naissance dans la paroisse Notre-Dame de Carmen. En cela, il a été confirmé par Mgr Adolfo Pérez Muñoz et a reçu sa première communion à l'âge de 8 ans en la fête de Notre-Dame de Carmen. C'était une famille bourgeoise aisée, dévouée à la campagne, très religieuse et de bonnes manières. Sa mère aidait à la sacristie de la paroisse et allait quotidiennement à la messe ; Le dimanche, ils allaient tous ensemble, et Don Francisco les accompagnait depuis l'âge de 6 ans, vêtu d'une soutane rouge, de roquettes et d'une cape d'enfant de chœur. Il était le premier des deux enfants qu'ils eurent, avec sa sœur Concepción. Certains membres de sa famille étaient considérés comme de droite dans la ville.

Il a fait ses études primaires à l'École nationale de Montoro, et en 1934 il est allé au Collège des Pères Carmélites, obtenant son Baccalauréat en 1936. Il devait poursuivre ses études au Collège universitaire San Bartolomé de Grenade, mais n'a pas pu les commencer.

Dès son plus jeune âge, Don Francisco montra des signes d'une vie de piété particulière. Ses parents lui enseignent les premières prières, il assiste fréquemment à la messe, communie et se confesse. Il s'est distingué par sa disponibilité à collaborer avec l'Église et à exercer une charité simple avec les personnes âgées et les plus nécessiteuses. Il a maintenu des contacts étroits avec l'Ordre des Carmélites qui est arrivé dans sa ville en 1934 pour se consacrer à l'enseignement des enfants nécessiteux et à la pastorale dans la paroisse de San Bartolomé et plus tard dans la paroisse de Notre-Dame de Carmen.

Don Francisco a été élu Président de la Jeunesse Catholique de Montoro nouvellement fondée, dirigée par le bienheureux martyr P. José María Mateos, OC, Supérieur et Directeur du Collège (béatifié avec ses trois compagnons de l'ordre et du martyre à Tarragone le 13 octobre 2013 ), et qu'il a tenu ses réunions dans la paroisse de Notre-Dame de Carmen, présidée par l'archiprêtre, Don Antonio Jiménez Márquez.

Pendant les moments difficiles de juillet 1936 à Montoro, Don Francisco était l'un des rares jeunes de la ville à assister quotidiennement à la messe et à communier. Il a toujours montré de la joie, de l'éducation et de la correction, même dans ces moments difficiles et suprêmes.

Le 19 juillet 1936, la Garde civile de Montoro, avec quelques soldats et phalangistes de Cordoue, prend les armes et prend le contrôle. Mais ce même jour, vers minuit, un groupe de miliciens de Linares entre dans Montoro et s'empare de la ville. A partir de ce moment, ils ont commencé à détenir des gens et à les mettre en prison.

Le 20 juillet 1936, des miliciens arrivent chez Don Francisco pour arrêter son père. Le même jour, une heure plus tard, ils revinrent arrêter leur oncle et virent Don Francisco, vêtu d'un tee-shirt, exhibant un scapulaire de la Vierge de Carmen dans une poche de pantalon. Un milicien lui a dit de retirer « ça », ce à quoi il a répondu par la négative. Ils lui ont dit que s'il ne l'enlevait pas, ils l'emmèneraient en prison, avec ses proches. Don Francisco répondit résolument qu'il en serait ainsi, qu'il irait en prison, mais qu'il n'enleva pas son scapulaire.

Ils l'ont emmené en état d'arrestation à la caserne, sur la place, où il a été détenu avec soixante autres personnes, dont les quatre bienheureux martyrs carmélites et le prêtre Don Pedro Luque Cano (également martyr). Le 22 juillet, les troupes nationales s'organisent pour conquérir Montoro, et c'est alors que des groupes de mineurs et de gens de Montoro prennent d'assaut la prison et tuent les détenus (cf. M. Nieto Cumplido et LE Sánchez García, oc, 558-559). Don Francisco est mort lorsque les miliciens marxistes de Montoro et d'Adamuz, à 15 h 30 dans l'après-midi du 22 juillet, ont violemment fait irruption dans les locaux, armés de haches, de fusils de chasse et de bâtons de dynamite, assassinant tous les détenus.

Leurs corps ont été emmenés au cimetière de Montoro et enterrés dans une fosse commune. Plus tard, ils ont été enlevés et reconnus, placés dans le Panthéon des morts dudit cimetière.

Don Francisco, avec ses 15 ans et 7 mois révolus, est le plus jeune membre du groupe des 128 martyrs de la persécution religieuse dans le diocèse de Cordoue. Bien qu'il soit suivi de près en âge par le jeune homme assassiné à El Carpio sur le point d'avoir 16 ans.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 21 Octobre 2021

 

 

   Comme les grandes pluies d'orage, les pluies battantes et interminables d'été deviennent la sève du blé, l'humeur des grappes pesantes, la souplesse du bourgeon, la fraicheur du pré, la vie et l'ornement de la terre: ainsi la douleur chrétienne arrose, assouplit, féconde, devient " pain " comme dans la phrase du psaume, devient verger intérieur, source fraîche qui jaillit, prairie où poussent des fleurs immortelles .  

   Nous avons besoin de cette violence pour nous féconder; nous en avons besoin aussi pour nous protéger; nos vrais ennemis sont toujours nos flatteurs, hommes et choses. Qui sait si le salut n'est pas, pour tel être en péril du fait de ses succès et de sa tranquillité tentatrice, dans cet échec ou dans cette épreuve tragique que Dieu lui envoie, dans ce coup de cloche en avant de l'écueil, dans cet arrêt soudain en pleine course vers sa perte ! 

   Là-bas, dans les régions de la mort éternelle, là où la souffrance sans Dieu tord des êtres sans espérances et, hors la communion de l'amour, les crucifie sans un regard au ciel, ne soupire-ton pas désespérément vers les souffrances rédemptrices de la terre? Ah ! si le damné pouvait être en croix ! .... Mais la croix ne peut être plantée que dans ce sol à la fois âpre et divinement fertile. La croix veut le tertre humain , dont elle fait un asile sauveur.

   Mais aussi, la douleur, outre qu'elle est une utilité, est une beauté qu'on gémit, aujourd'hui, de voir avilie chez tant de pauvres êtres. Qui se doute, dans certains groupes , que la souffrance bien accueillie est plus grande que ce qu'on appelle grandeurs, que cette passante ensanglantée tresse une couronne plus belle que le laurier et plus belle que l'or ! Etre, après Jésus-Christ, l'un des points où la souffrance universelle prend conscience de soi et accomplit au bénéfice de chacun et de tous sa tâche rédemptrice, quelle sublimité !

   Mais ceux qui rejettent le Christ ne peuvent pas jalouser ses glorieux opprobres. Ceux qui ont fermé le ciel et pour qui le coureur humain , épuisé de sa dernière étape, va buter contre le tombeau, ne peuvent songer à magnifier ce qui nous réduit à une sorte de mort vivante: l'impuissance , la maladie, la ruine, l'humiliation les séparations de l'amour, la détresse. On ne peut que déshonorer la souffrance, quand on lui retire l'âme de religion qui la fait glorieuse. La Niobé païenne était déjà morne et stupéfaite; la douleur matérialiste et hideuse et hagarde. Ils ont défiguré la martyre chrétienne; on ne la reconnaît plus; ils en ont fait une forcenée et une décharnée dont chacun s'écarte; ils ont vitriolé cette beauté !

   Au vrai, il n'y a qu'une seule douleur qui soit supportable, c'est celle qui se fait sainte femme ou Cyrénéenne et, par amour , en larmes, mais avec un sourire dans le coeur, accompagne au calvaire son ami divin. 

  ....

   Ah ! certes, nous ne vénérons pas la douleur pour elle-même. Nous ne tombons pas dans le mysticisme voisin de la névrose qui retournerait les valeurs de vie. En soi, la joie est normale, la douleur ne l'est pas .

   Si nous portons la croix, c'est pour que la croix nous porte. Souffrir pour croître; souffrir pour mériter; souffrir pour expier; souffrir pour aider; souffrir pour Jésus-Christ et ses frères; souffrir comme on travaille , pour gagner sa vie, cette fois sa vie éternelle , c'est notre programme. 

   " Les saints, disait le bon curé d'Ars, sont moins heureux que nous; ils vivent de leurs rentes, ils ne peuvent plus rien gagner. "

Nous gagnons , nous, quotidiennement par un labeur actif et passif, ce que le Christ a commencé de payer. Au fond de sa bourse opulent nous joignons nos piécettes. Ainsi se forme, ainsi s'accroît, sans que rien ne s'en déprécie ni ne s'en perde, le trésor du temple éternel. 

Sertillanges. OP 

 

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Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

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Publié le 20 Octobre 2021

Rédigé par Philippe

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Publié le 20 Octobre 2021

 

 

 

Le samedi 16 octobre, lors de la procession du Seigneur de la Grande Puissance dans les rues de la ville de Séville (Espagne), sur une photo prise par Ignacio Fernández Barrionuevo-Pereña, il a capturé un nuage dans le ciel dont la forme a été décrite par beaucoup comme "Le visage de Dieu", devenu viral sur les réseaux sociaux.

C'est ce qui s'est passé le samedi 16 octobre dernier lors de la procession du Seigneur de la Grande Puissance, une célébration ecclésiastique qui est célébrée dans les rues de Séville, en Espagne , pour porter la figure de Jésus de la Basilique  à la paroisse de La Blanca Paloma en les Trois Quartiers. 

La célébration a réuni des centaines de paroissiens, qui ont accompagné dans la prière, la joie et la foi l'image du Seigneur de la Grande Puissance. Mais à cette occasion, un événement s'est produit qui a rendu cette rencontre plus spéciale et virale: Ignacio Fernández Barrionuevo-Pereña,  frère de Soledad de San Lorenzo et de la Virgen del Amparo, a pris une photographie horizontale où il a capturé le Seigneur et le paysage du moment . Après l'avoir posté sur Instagram et Facebook, un "phénomène" s'est produit qu'il n'avait pas remarqué.

Les heures passèrent et après plusieurs messages et appels, Ignacio découvrit que sa photographie cachait une image qui était valorisée par des milliers de personnes à travers les réseaux sociaux : en tournant la photographie, une figure de visage, qui était cataloguée par beaucoup comme « le visage de Dieu ."

Selon Sevilla ABC, Ignacio lui-même reconnaît avoir été choqué lorsqu'il a été informé de ce qu'il avait photographié. Il a dû privatiser son profil Instagram et les notifications ont laissé sa batterie sur son mobile tout au long de la journée .

 

por Alexandro ! 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 19 Octobre 2021

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Publié le 19 Octobre 2021

 

 

   

   " Riez, riez, mes enfants, quand les novices rient le diable pleure. "

bienheureux Humbert de Romans.

 

La joie est la vérité de la vie; elle est le droit, elle est la sagesse, étant donné que nous sommes dans notre voie et que nous demeurons unis à Celui qui gouverne nos destinées, qui nous aime, qui a lié notre avenir à de prodigieuses promesses et qui nous dit en toute difficulté, en toute atteinte des réalités immédiates et en toute anxiété touchant ce qui nous menace :" Ne craignez pas, petit troupeau , car il a plu à notre Père de vous donner un royaume."

   Cette joie, qui est de droit, est aussi moralement une nécessité; c'est un devoir strict, parce que, en premier lieu, elle est le témoignage de la confiance filiale que notre Père des cieux est en droit d'attendre de nous; elle est une forme de reconnaissance; elle reflète les sentiments que doivent nous inspirer la grandeur de Dieu , sa perfection, sa béatitude. Ensuite , cette joie est un état d'esprit indispensable à l'accomplissement de nos autres devoirs. 

   La joie est une force, la tristesse brise nos énergies; la joie nous épanouit, déplie notre âme, l'ouvre aux souffles d'en haut, la féconde; la tristesse nous resserre et nous ronge, nous isole et nous stérilise. La joie est donc utile à la vie morale et à la productivité, à la vie familiale et sociale, à tout ce qui dépend de notre santé spirituelle, voire de notre santé physique, et la tristesse leur est nuisible. 

   " Un saint triste, disait saint François de Sales, est un triste saint": on peut en dire autant de chaque homme. Si l'on ne veut pas sombrer jusqu'au dessous de soi-même, se voir débilité et paralysé en face des dangers, en face des devoirs, il faut goûter au tonique de la joie, il faut garder au coeur l'impression d'une douce fête, celle qu'évoque le saint Livre en disant que le coeur du juste est un festin perpétuel. 

... 

  Il n'y a qu'une chose qui puisse nous arracher la joie, c'est cela même que nous poursuivons si souvent comme sa cause: le mal. Le mal qui nous sépare de Dieu, qui s'oppose au règne de Dieu et par suite, puisque notre salut en vient, à notre propre règne sur nous-mêmes, à notre épanouissement supérieur, à notre vraie vie, haute et durable: tel est l'ennemi de la joie. 

" Réjouissez-vous, réjouissez-vous dans le Seigneur sans cesse, je vous le dis encore, réjouissez-vous. "

   Cette joie a des degrés; elle s'approfondit à mesure que nous pénétrons, que nous installons plus en avant dans la vie nouvelle. L'homme ancien ne cède que peu à peu; l'homme nouveau est comme le papillon qui dégage péniblement ses ailes des enveloppes de la nymphe et de la chrysalide.

   ....

   Quand je crois, je ne puis manquer de goûter la sérénité d'une pensée qui se rassure, qui s'équilibre au dedans et qu'aucun mystère du dehors, aucune obscurité de la vie ne pourra plus surprendre. 

   Quand j'espère, j'ai en moi mon objet d'espérance et mon secours, comme on a un héritage, après que par une annonce authentique on a été saisi de l'heureux gain. 

   Mais surtout quand j'ai la charité, quand j'aime Dieu et mes frères en Dieu, j'ai la source de joie toute intime et toute vive. J'aime Dieu, et il est la perfection pleine; j'aime Dieu et Dieu m'aime au point de ne songer qu'à me consoler; j'aime Dieu, et ce qu'il me défend, ce qu'il me déconseille me devient de ce fait odieux et comme impossible, ce qu'il me demande, me suggère ou m'impose, quelque dur qu'il soit, devient une douceur, car " là où l'on aime, dit saint Augustin, il n'y a plus de peine, ou s'il y a de la peine, on aime la peine. "

    L'amour, qui est la clef de tout, est donc spécialement de cette vertu de joie qui est aussi une promesse et une récompense. En m'attachant au Dieu de toute vie, l'amour me le donne comme une possession anticipée, qu'il n'y aura plus qu'à déployer pour que l'allégresse éclate. 

   L'amour trouve tout en tout, parce qu'il trouve en Dieu tout et qu'à rien il ne s'attache sans que Dieu y soit inclus comme motif et comme bien suprême. Il est donc satisfait et joyeux de tout, même de ce qui ferait sa peine. Il ne sent plus de fardeau, ne s'éloigne d'aucune tâche, ne s'excuse sur aucune faiblesse, ne se trouble d'aucun changement, ne redoute aucun insuccès; il se croit tout possible et réussit toujours à la fin, car il ne veut que ce que veut l'amour, son amour divin, cet allié de la toute-puissance. 

   Qu'il me sera donc facile, mon Dieu, d'être en joie! Il suffit de vous aimer ; il suffit de cette chose en elle-même si simple, si obligée de toute façon et si délectable. Vous aimer, et par amour rester dans vos commandements, c'est là tout. A cette seule condition, tout est à mon service, parce que tout est au vôtre et que l'amour communique ses biens. Ma joie ne dépend d'aucun hasard, d'un évènement du dehors ou du dedans, sauf ceci que je vous sois fidèle, car en vous elle se tient, vous seul en êtes la source, et cette source, c'est l'Amour qui la fait couler. 

   Que je vous aime donc, mon Dieu, et que la joie brille en moi, que beaucoup d'autres vous aiment et que la joie embrase tous ces anciens ou nouveaux serviteurs.

   Flamme au milieu de nos cendres, lumière dans notre nuit, sublimité paisible et féconde au cours de nos agitations et de nos tourments, faites de la joie chrétienne la consolation de cette heure grave, de ce lendemain de deuil et de cette aurore d'un avenir que nous ne discernons pas.

Sertillanges. 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 19 Octobre 2021

 

 

 

 

   Quand le Seigneur est loin, ce n'est pas la joie qui peut sagement , en nous, s'établir et se fixer, c'est bien plutôt l'angoisse d'une destinée que toutes les âmes profondes ont jugée âpre et redoutable. Les joies de ce monde ne se soutiennent que par l'illusion. Un esprit clair a tôt fait de voir que la condition humaine sans Dieu est précaire, médiocre, instable , que nous campons sur des ruines, que des maux permanents pèsent sur nous, que nos objets ne sont que vanité, que la mort frappe sans cesse, que la cendre et le goût de cendre empoisonnent nos meilleurs succès, découragent nos projets, amoindrissent ou ensevelissent toutes nos espérances. 

   Quand le Seigneur est loin, c'est la tristesse et le désenchantement qui sont de règle , pour ne pas dire le désespoir.  Au fond, tous les hommes le sentent. Même dans la gaieté, même dans la prospérité et l'orgueil, même, s'il s'agit des sociétés, dans l'ivresse fanfaronne d'une fallacieuse civilisation, la joie vraie cède à des apparences qui ne peuvent tromper longtemps leurs victimes. 

  Toutes les périodes d'irréligion sont tristes; le pessimisme y fleurit comme une plante de terroir; l'inquiétude et le déséquilibre y sévissent; la neurasthénie y développe son cortège de misères morales et physiques; la folie est fréquente; le suicide s'y établit à l'état endémique et épidémique, et bientôt, si le remède ne vient , le monde n'apparait plus à ses citadins que comme une geôle, une chambre de torture ou un cabanon. 

  Cela se comprend, car notre vie sans Dieu est une vie désorientée, qui n'a plus de sens qui ne sait plus ni d'où elle vient, ni où elle va, ni ce qu'elle doit faire d'elle-même; c'est la vie d'un rameau détaché de son arbre, et qui se dessèche, qui jaunit lentement et ne donne une apparence de vie qu'en raison de la sève alanguie qui lui demeure. 

Sertillanges. 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 18 Octobre 2021

Rédigé par Philippe

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