Publié le 5 Février 2018
Publié le 5 Février 2018

" Je vois le visage d'un homme; s'il est jeune ou vieux, je ne puis le dire. Il peut avoir cinquante ans ou seulement trente. Parfois il parait un âge et parfois l'autre. Il y a quelque chose d'inexprimable dans ce visage, que je ne puis m'expliquer nettement. Peut-être, puisqu'il porte tous les fardeaux, porte-t-il aussi celui de la vieillesse? Mais cela est ainsi: son visage est à la fois très vénérable , et cependant faisant penser à celui d'un enfant, très calme , très doux, très modeste, rayonnant de sainteté et d'aimante bonté. Ses yeux m'attachent et émeuvent mon coeur. Son souffle est suave et me transporte hors de moi-même. Oh! je contemplerai à jamais ce visage et je ne cesserai pas d'y attacher mes regards .
" Et je vois soudain quelqu'un venir à Lui, lever la main et frapper brutalement ce céleste visage. C'est une main dure, la main d'un homme grossier, et peut-être était-elle armée de fer. Cela ne put être assez soudain pour prendre par surprise Celui qui connaît toutes choses passées et à venir, et Il ne montre aucun signe de ressentiment, demeurant calme et grave comme auparavant; mais l'expression de son visage est troublée, une grande enflure se produit, et , au bout d'un peu de temps, ce visage plein de grâce m'est caché par les effets de cet outrage comme si un nuage s'étendait sur lui.
" Une main s'est levée contre le visage du Christ. Quelle était cette main? Ma conscience me dit :" Tu es cet homme-là." J'ai la confiance qu'il n'en est pas ainsi maintenant. Mais , ô mon âme , contemple le terrible fait: imagine le Christ devant toi, et imagine-toi , toi-même levant la main et le frappant ! Tu diras :" C'est impossible : je n'ai pu le faire !"
" Oui, tu l'as fait. Quand tu as péché volontairement, c'est alors que tu as commis ce crime. "
Bx Cardinal Newman .
Publié le 5 Février 2018

Le journaliste Nicolas Diat, biographe de Benoît XVI et co-auteur avec le cardinal Robert Sarah de plusieurs livres à succès, a passé plusieurs mois derrière les murs de huit des plus grands monastères de France pour interroger des moines en fin de vie et ceux qui les accompagnent sur cette dernière étape terrestre. Son récit, minutieux et délicat, sorti cette semaine (1), est poignant et, bien au-delà des hauts murs de Citeaux, de La Grande Chartreuse ou de Solesmes, chemin faisant, à petites touches, ce sont les rapports que nos sociétés dites modernes entretiennent non seulement à l'au-delà et à la foi mais aussi, de manière plus générale, au corps, à la douleur, à la vieillesse qui sont interpellés dans cet ouvrage. Sur ces sujets, les moines ont beaucoup de choses à nous transmettre, et leurs témoignages prennent un relief particulier alors que les Ephad se retrouvent sur la sellette de l'actualité. C'est pourquoi nous avons voulu demander à Nicolas Diat de se faire leur interprète.
Le Point : Les traitements déplorables des personnes âgées dans les Ephad provoquent en ce moment une vive émotion dans l'opinion publique. Quels enseignements pouvons-nous tirer de l'expérience des moines que vous avez approchés ?
"J'ai été frappé par la manière dont les moines s'occupaient de leurs malades et de leurs frères âgés, pour lesquels ils font preuve d'une attention permanente. Il y a chez eux une logique de gratuité parfaite. Les religieux âgés bénéficient de soins à faire pâlir d'envie toute personne travaillant en Ephad ou dans une unité de soins gériatriques. Il s'agit avant tout d'un accompagnement humain, d'une présence continue, d'une amitié fraternelle. Dans un monastère, un religieux malade n'est jamais laissé seul. Quand, frappé par une leucémie arrivée à son dernier stade, le père-abbé émérite de l'abbaye de Mondaye part à l'hôpital de Caen, ces frères, les Prémontrés, choisissent de ne jamais l'abandonner. Ils sont trente-cinq. Jour et nuit, toutes les trois heures, ils se relaient à son chevet. Le problème devient simple : accompagner une personne, c'est avant tout un investissement. Le père infirmier de l'abbaye de Solesmes me racontait les heures qu'il a passées avec un moine atteint d'une forme de la maladie d'Alzheimer. Il se retrouvait chaque jour en face d'une personne qui ne parlait plus et qui était complètement dépendante dans ses actes les plus quotidiens. Il me disait que s'il n'y prenait garde, la routine pouvait conduire à bien des négligences. Chaque matin, il devait s'efforcer de reconsidérer le patient comme une personne, en se concentrant pour ne pas agir à la va-vite, en réfrénant son désir de rejoindre une activité plus gratifiante. Les soins sont un combat de chaque heure. Le mot de « frère », dans cette communauté d'hommes, prend tout son sens, dans le visage du moine meurtri par la disparition du camarade, de l'ami, du proche. Elle est un peu à l'image de la communauté humaine. C'est une chaîne à travers les temps ; c'est l'homme continu de Pascal. Dans ces communautés, on perçoit les doutes, la foi, la tristesse, mais jamais l'abandon parmi ces hommes qui se soutiennent.
En clair, les moines font corps avec le malade, et cette proximité vaut acte thérapeutique…
Les enjeux du débat sont évidents : comment rester le plus proche du malade ou de celui qui va mourir ? Comment s'investir par la présence ? Comment rassurer celui qui va partir ? Quand les frères envoient l'un des leurs à l'hôpital, ils ne se déchargent pas pour autant sur l'institution. Ils n'attendent pas des infirmières qu'elles fassent tous les soins pour eux. Ils prennent leur part.
Que nous apprennent ces moines sur notre rapport à la vieillesse et à la mort ?
Le père-abbé de l'abbaye de Fontgombault, dans le Berry, aime à décrire le paradoxe moderne qui nous entraîne à imaginer que nous allons réfléchir à notre mort à la toute fin de notre vie, lorsque nous serons malades, dépendants et, parfois, privés de notre discernement. Or, si l'on ne se prépare pas à la mort de notre vivant, nous aurons bien du mal à le faire à la fin de notre vie. Les moines ont tellement pensé la question de la mort qu'à l'instant de partir, elle n'en est plus une : la chose s'impose comme une évidence simple et belle.
J'ai beaucoup travaillé avec les pères infirmiers, qui parfois sont des médecins de formation. Et j'ai été frappé par la paix qui les habite. Ils ne parlent jamais de tristesse, on les voit peu pleurer. Parce que pour eux, répétons-le, la mort fait partie de la vie. Les monastères ont leurs singularités, liées à leur histoire particulière. S'y côtoie une multiplicité de destins, d'histoires et de parcours personnels singuliers mais ces lieux sont tous habités par une même paix. En les rejoignant, j'avais l'impression de partir aux marges. Mais, en fait, les monastères sont au centre de la vie, en phase avec les problèmes les plus humains. Je partais en dehors du monde, derrière les hauts murs des clôtures et, chemin faisant, je me retrouvais au centre de la vie.
(1) « Un temps pour mourir, derniers jours de la vie des moines », par Nicolas Diat, Fayard, 226 pages, 20,90 euros
Publié le 5 Février 2018


FUCECCHIO. Alessio Buggiani ne savait pas. Il ne savait pas qu'il avait chez lui un petit prodige du piano, qui de l'ancien instrument à la maison est déjà arrivé à des concours régionaux et nationaux, apportant souvent des victoires et des certificats. Pierpaolo Buggiani est un garçon de 11 ans, qui a découvert qu'il a un sentiment très spécial avec ces touches blanches du milieu et les moyens noirs et les pédales. Parce que pour transformer les mouvements des mains et des pieds en mélodie, il nous faut une "coordination" mentale que tout le monde n' a pas.
Mardi, à Santo Stefano, pour le bébé-prodigy du plan sera une occasion d'être un prophète à la maison. Prochain rendez-vous qui le verra protagoniste avec d'autres jeunes étudiants de M. Berni, sera le concert de Noël "Di Suoni in... Canto" organisé par l'association La Calamita Onlus, qui se tiendra à 15h30 au sanctuaire de Santa Maria delle Vedute di Fucecchio et dont les recettes iront au soutien des activités du centre d'agrégation de La Calamita, dans la Piazza D. Mais comment est née l'inspiration du jeune Pierpaolo?
Son père, Alessio Buggiani, nous raconte:"Nous avons le piano à la maison, un souvenir de notre famille. Un vieil instrument s'est arrêté pendant un certain temps, jusqu' à ce que Pierpaolo montre une curiosité et une prédisposition inattendues pour cet objet; enfant, il était déjà capable de faire les premiers "escaliers", alors nous avons décidé de l'amener au maître Berni. C'est lui qui nous a fait comprendre que Pierpaolo possède des qualités exceptionnelles en termes de prédisposition au son du piano. Déjà à l'âge de 6 ans, il a fait les premières compétitions et aurait déjà pu être à la télé ".
Un talent, raconte-t-il à son père, associé à un personnage sensible:"Oui, peut-être que mon fils est une mouche blanche, compte tenu des passions de ses pairs. C'est un garçon timide, qui grandit et change, qui aime écouter de la musique. Mais ce n'est pas de la musique de masse, on pourrait dire. L'amour du piano de Little Buggiani se combine avec une autre passion, qui n' a apparemment rien à voir avec elle: la natation.
Il faut dire qu'en flottant et en se déplaçant dans l'eau, la même chose fait avec ses propres doigts qui se déplacent harmonieusement sur les touches du piano.
Pierpaolo Buggiani a déjà participé à 54 concours nationaux et internationaux de piano en Italie et à l'étranger, remportant 44 premiers prix dont 15 absolus ou obtenant toujours la deuxième ou troisième place. Ce sont les chiffres du très jeune pianiste, qui a toujours été l'élève du maître Fabrizio Berni qui le suit musicalement depuis que Pierpaolo, à l'âge de quatre ans et demi, a commencé son étude systématique du piano. L'oreille absolue, prédisposition innée à la musicalité, des petites mains qui volent sur le clavier avec naturel et agilité, sont des qualités qui, avec la technique, raffinée grâce aux leçons de Berni, ont également donné la possibilité à l'enfant prodige de Fucho de passer avec des notes maximales l'examen final des trois premières années de cours préuniversitaires au Conservatoire "Franci" de Sienne. Pierpaolo s'est produit dans de nombreux événements et concerts à travers l'Italie et devient une jeune promesse de la musique classique non seulement locale.

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Publié le 4 Février 2018

priez pour nous .
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Publié le 4 Février 2018



"Levez-vous ; pourquoi dormez-vous, Seigneur ? Levez-vous, et ne nous repoussez pas à jamais. Pourquoi détournez-vous votre visage et oubliez-vous notre tribulation ? Notre corps est attaché à la terre. Levez-vous, Seigneur, secourez-nous et délivrez-nous."
Le psalmiste fait entendre sa plainte :" Exsurge, quare obdormis, Domine? exsurge et ne repellas in finem ?
Pourquoi dors-tu Seigneur? Réveille toi! ne nous repousse pas à jamais ! Pourquoi détournes-tu ton visage? Pourquoi oublies-tu notre misère et notre oppression ? " L'âme se rappelle surtout les paroles du psaume que Jésus prononça dans son agonie :" Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'avez-vous abandonné? "
Mais elle se souvient aussi que c'est dans l'heure de ténèbres que le Sauveur s'offrit à son Père qui le livrait pour nous. En union avec Lui, répétant souvent les sept paroles, elle fait un grand acte d'amour pour ce seul et très pur motif : Dieu est souverainement aimable en lui-même , infiniment plus que tous les dons qu'il m'a accordés ou que j'attends de Lui. l'âme s'en remet pleinement à la volonté de Dieu.
Ici les actes de foi, d'espérance et de charité se fondent en quelque sorte en un acte d'abandon parfait à la divine volonté. " Pater, in manus tuas commendo spiritum meum", dit Jésus en mourant; ce fut la consécration au sacrifice de la croix.
L'âme s'unit à la consécration eucharistique qui perpétue en substance ce sacrifice sur nos autels; elle croit de la foi la plus vive que Jésus continue de s'offrir à son Père par le ministère de ses prêtres; elle croit qu'il offre avec Lui tous les membres de son corps mystique, surtout ceux qui souffrent naturellement , un peu comme Il a souffert; elle se laisse offrir par Notre-Seigneur, en pensant aux quatre fins du sacrifice: adoration, supplication, réparation, action de grâces.
Il faut à nouveau supplier Dieu de nous donner d'espérer en Lui, de créer en nous la confiance en sa miséricorde : " Sana me, Domine, et sanabor; salvum me fac, et salvus ero: Guéris-moi Seigneur, et je serai guéri; sauve-moi, et je serai sauvé . Converte nos, Domine, ad te, et convertemur: Convertis-nous Seigneur, et nous serons convertis. " Exurge, Domine adjuva nos: et redime nos propter nomen tuum: Lève-toi , Seigneur, viens à notre secours, et pour la gloire de ton nom relève nous. "
Alors , avec cette prière persévérante, l'espérance héroïque s'élève progressivement dans l'âme comme un leitmotiv oublié, très doux et très puissant, qui finit bientôt par s'imposer, par dominer toutes les voix d'enfer, par éclater en quelque sorte en hymne de confiance souveraine et de parfait abandon :" Le Seigneur ne rejette pas à toujours; mais après avoir affligé, il a compassion selon son infinie miséricorde.'
" C'est Lui qui mortifie, et c'est Lui qui vivifie" ; il conduit à toute extrémité et il en ramène :" Ceux qui espèrent en Dieu recevront de nouvelles forces, ils élèveront leur vol comme des aigles. Ils courront et ne se lasseront point .
" In te, Domine speravi nos, non confundar in aeternum : Je serai sauvé, Seigneur, parce que j'ai espéré en toi.
rp Garrigou Lagrange . op +
Mes biens chers Frères,
Les catholiques sont tellement habitués à l’échec, ils ont tellement pris l’habitude de capituler en rase campagne, qu’ils ne sont plus capables de prendre au sérieux la parole de saint Paul. _ Et pourtant l’apôtre, son exemple, sa parole de feu devraient nous aider et nous éclairer alors que nous sommes dans le temps liturgique qui nous prépare plus immédiatement au temps béni et sanctifiant du Carême. Trop souvent en effet, pour excuser nos échecs, pour expliquer le désastre actuel, nous regorgeons de bonnes raisons et d’alibis faciles. Les temps sont trop durs, les gens trop indifférents, L’Église trop faible, les moyens mis à notre disposition trop dérisoires.
Ah, si nous avions des instruments adaptés à la grandeur de notre mission apostolique ; ce n’est pas la bonne volonté qui manque, mais il faut bien reconnaître que les circonstances ne nous sont point favorables…
Voilà pourquoi nous nous décourageons, nous geignons, nous nous plaignons et nous ne faisons plus rien.
Et pourtant il nous suffirait de nous tourner vraiment, sincèrement vers Dieu. Nous ne pouvons arguer de notre faiblesse, de notre médiocrité, de la pauvreté des moyens mis à notre disposition. En effet, nous entendrions immédiatement Notre Seigneur nous dire, comme il le fit pour l’apôtre : Ma grâce te suffit, car ma puissance éclate dans ta faiblesse ! Dieu manifeste sa puissance, son autorité et son amour par la plus grande faiblesse qui soit.
Car ce qui est vrai du disciple, de tout disciple, c’est-à-dire de tout baptisé, est vrai, se réalise d’abord, pleinement et suprêmement dans le Christ lui-même. Quelle est la plus grande faiblesse qui soit, sinon celle de la croix : le Fils de Dieu lui-même, humilié, battu, hagard, qui semble n’avoir plus rien qui fait la dignité de l’homme, abandonné de tous, en but à un véritable déferlement de haine et de misère, c’est dans cette misère que nous contemplons, que nous est communiqué la puissance même de Dieu, la victoire de l’amour incréé, le triomphe de la sagesse divine.
Nous comprenons mieux pourquoi est proposé à notre méditation ce passage de la deuxième épitre aux Corinthiens. La liturgie du Carême, le temps de la passion, nous conduit à contempler la croix, à affronter le mystère même du mal que Dieu vient sauver et guérir. Chaque fois que nous regardons un crucifix, chaque fois que nous participons de tout notre cœur au sacrifice de la messe, chaque fois que nous faisons un acte de foi et d’amour, nous sommes introduits dans ce grand mystère : nous contemplons la puissance de Dieu qui se déploie dans la faiblesse humaine, dans la plus grande faiblesse humaine qui soit, celle de Jésus pendu sur le gibet du calvaire. Dans un apparent désastre, voici que jaillit la lumière de l’espérance, l’assurance de la victoire, la certitude du triomphe divin.
Cette victoire, mes bien chers frères, est la nôtre depuis le jour de notre baptême. Nous avons en nous le principe et la source de la victoire. Si nous sommes ce matin en cette église, c’est parce que nous reconnaissons notre faiblesse, notre péché, notre incapacité, notre paralysie pour accomplir le bien et rejeter le mal. Mais au lieu de nous morfondre dans cette morne contemplation, nous savons que la puissance divine doit rayonner dans et par notre faiblesse.
Encore faut-il que nous accueillions cette présence, cette grâce, ce pardon et que nous ne mettions point d’obstacle à son influence et à son dynamisme. C’est dans l’accueil de notre faiblesse que nous pourrons porter comme saint Paul les marques de la passion bienheureuse de Notre Seigneur.
Lorsque nous prions vraiment, lorsque nous cherchons réellement à aimer le Seigneur et à accomplir sa volonté, lorsque nous nous mettons au service de nos frères pour leur communiquer la vie divine et l’Évangile, alors la puissance du Seigneur se manifeste à travers et malgré nos faiblesses.
En revanche, nous ne devons pas nous appuyer sur nos capacités naturelles ou les capacités du genre humain à se sauver lui-même. Prenons encore une fois exemple sur saint Paul. Il ne s’appuie ni sur sa condition de juif pieux, ni même sur ce qu’il a souffert, ni sur tout ce qu’il a réalisé comme apôtre du Seigneur.
Non, tout cela doit être considéré comme des balayures, dit-il dans une autre de ses lettres, car seul pour lui compte son attachement personnel au Christ et à sa doctrine, ce que nous appelons la foi. Au soir de sa vie, saint Paul considère que sa grande victoire, le meilleur résultat de toute sa vie, le combat ultime pour lui fut d’avoir conservé la foi.
Vous l’aurez donc bien compris, mes frères, rien en nous ne constitue un obstacle au triomphe de la puissance du Seigneur, sinon notre orgueil, notre volonté propre, le refus d’être sauvé, et donc d’être aimé par Dieu.
En revanche, durant tout le temps de la Passion, il nous est demandé de contempler la croix du Seigneur, la réalité de son supplice et la victoire de son amour. C’est ce que les auteurs spirituels appellent entrer dans les plaies de Notre Seigneur. Mais écoutons saint Bernard :
Voilà, mes biens chers frères, ce qui constitue pour nous un excellent programme pour toutes les semaines qui viennent. En accueillant d’un cœur joyeux et disponible la grâce de la rédemption, nous serons cette bonne terre, cette terre féconde qui rend au centuple le bon grain semé en elle.
Que notre désir de conversion et de purification soit agréé par Dieu, pour sa gloire et notre salut.
Ainsi soit-il.
Père Laurent-Marie
Publié le 4 Février 2018


Dmitry a commencé à étudier la musique à cinq ans. Il a participé au VIème Festival des Arts pour Enfants "Janvier Soirées" au Musée Richter (2012), au Festival International des Jeunes Musiciens "Morning Stars" en Suisse et en Autriche (2012). Il participe régulièrement au festival russo-polonais "Académie de Musique des Jeunes". Il a joué au concert de bienfaisance de l'OSCE à Vienne (2014), a participé à la cérémonie d'ouverture des "Crazy Days of Music" à Saint-Pétersbourg avec l'Orchestre du Collège Rimsky-Korsakov (2014). Avec cet orchestre, il a fait des tournées en Lettonie et en Lituanie en 2015 et 2016. Il est boursier du gouvernement de Moscou et de la Fondation caritative Vladimir Spivakov. En janvier 2016, il a donné un récital à Vilnius dans le cadre du Festival de Noël de la Fondation caritative Vladimir Spivakov.
Publié le 3 Février 2018

VI.- Elle y est alors enfermée à la prison de Butyrka, où elle est opérée en 1932. L'opération lui enlève le sein gauche, une partie des muscles du dos et des côtés. Elle ne peut plus utiliser son bras gauche.
Publié le 3 Février 2018


ça grandit tout ce petit monde, depuis le temps ! bravo Ilia . ! he's grown so big!

Publié le 2 Février 2018