Publié le 25 Juin 2019

 

 

Alexandro no estará tan bueno en Almoradi! que miseria ! même à Ouagoudada... en Afrique !!!! à Moscou, il pleut.  ! alalala..

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 25 Juin 2019

 

 j' y étais bien comme en famille ! on a failli y retourner mais vu les fortes chaleurs annoncées  j'y ai renoncé... quelle misère, bonjour à toute la famille ! j'y étais vraiment heureux. je ne sais pas si le projet pour la bâtisse d'en haut s'est fait . bonne continuation.

hôtel ERREGUINA

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Rédigé par Philippe

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Publié le 25 Juin 2019

 

 

 

"Il est triste de voir avec quelle facilité aujourd’hui, «on maudit, on méprise, on insulte».

pape François fête Dieu.

 

à la suite de mgr Castet, mgr Jacolin, - sans miséricorde cet évêque!  -  (ah c'est vrai, c'est un dû !! )

a reconduit la messe forme extraordinaire aux trois points stratégiques du diocèse..

à noter le seul changement à 1830 à la cathédrale de Luçon pour cet été 2019.

1. LA ROCHE SUR YON - 85000 - Eglise Notre-Dame : rue Lazare Carnot
8
Messes : dimanche et fêtes 10h00 
Célébrant : Prêtre du diocèse
Renseignements : 02 51 37 02 10 (Presbytère)

 

2. LES SABLES D'OLONNE - 85100 - Chapelle du Sacré-Coeur : place Jules Ferry

Messes : dimanche et fêtes 10h00
Célébrant : Prêtre  fssp 

LUCON - 85400 - Cathédrale Notre-Dame de l'Assomption : 30 place du Général Leclerc
Messes : dimanche 9h15 (Juillet et Août 18h30)
Célébrant : Prêtres de la Fraternité Saint-Pierre

Chavagnes en Paillers.

Monastère de la Fouchardière

Religieuses des Victimes du Sacré-Coeur

messe le dimanche à 9h 30

Abbé Pierre Afonso aumônier , ou remplaçant pendant l'été.

addendum

SAINTE-CECILE - 85110 - Institution L'Espérance - Bourdevaire
Messes : dimanche et fêtes 11h00
Célébrant : Prêtre de la Fraternité Saint-Pierre

 


 

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 25 Juin 2019

elle nous aura bien fait rire Jeanne ! quel monde  , quand même ..

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 25 Juin 2019

 

Vitali Petrov pianist

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 24 Juin 2019

 

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SAINT JEAN-BAPTISTE

Homélie du Très Révérend Père Dom Jean PATEAU

Abbé de Notre-Dame de Fontgombault

(Fontgombault, le 24 juin 2019)

 

Chers Frères et Sœurs, Mes très chers Fils,

 

 Au jour de notre naissance, sans le choisir, nous avons reçu, de par notre appartenance à une famille, un nom. Nos parents, comme un don qui leur revient, nous ont égale- ment donné un prénom. Pour certains, la vocation religieuse s’accompagne aussi de la réception d’un nouveau prénom.

Le prénom n’est pas d’abord le mot qui vient remplir une case blanche de l’état civil. Il a été porté déjà par une personne, et cette personne est désignée par l’Église comme sainte, c’est-à-dire comme demeurant aujourd’hui auprès de Dieu, et susceptible d’entraîner vers lui les autres par l’exemple de sa vie.

En canonisant certains fidèles, c’est-à-dire en proclamant solennellement que ces fidèles ont pratiqué héroïquement les vertus et vécu dans la fidélité à la grâce de Dieu, enseigne le Catéchisme de l’Église catholique, l’Église reconnaît la puissance de l’Esprit de sainteté qui est en elle et elle soutient l’espérance des fidèles en les leur donnant comme modèles et intercesseurs (cf. Lumen Gentium 40 48-51). "Les saints et les saintes ont toujours été source et origine de renouvellement dans les moments les plus difficiles de l’histoire de l’Église" (Christifideles Laici 16,3). (n° 828)

 

Quis... puer iste erit ?

Que sera cet enfant ? (Lc 1,66)

Si tout enfant reçoit comme fidèle et infatigable compagnon de toute sa vie, dans les jours de lumière comme dans ceux de ténèbres, un ange gardien ; si les premiers jours de sa vie sont normalement marqués, dans une famille chrétienne, par la rencontre avec Dieu Trinité dans le sacrement du baptême, et avec Marie dans la consécration, la proximité particulière de cet enfant avec celui dont il porte le prénom ne fait pas de doute. Il revient à chacun, tout au long de sa vie, de cueillir les fruits proposés par le Ciel à travers ces relations conclues au seuil de son existence, en les entretenant. Peut-être devrions-nous nous poser de temps en temps la question : où en suis-je de ma relation avec mon saint patron, mon ange gardien, avec Marie, avec Dieu ?

Contempler les saints du ciel pourrait conduire à les comparer. Certains textes de l’Écriture semblent y incliner, comme cette affirmation du Seigneur : « Parmi ceux qui sont nés d’une femme, personne ne s’est levé de plus grand que Jean le Baptiste » (Mt 11 ,11) Soyons certains cependant que les saints du ciel ne font pas la compétition. Ils sont dans la lumière de Dieu et chantent ses louanges.

S’il y a compétition, c’est bien sur la terre, et cela ne concerne pas les saints du Ciel, mais nous-mêmes, car nous avons un chemin à parcourir, le chemin vers Dieu et vers l’éternité, comme l’enseigne le Catéchisme de l’Église catholique.

Se mettre à l’école de son saint patron, c’est user du don que Dieu a fait à l’Église de cette vie comme un modèle pour tous. C’est aussi rendre gloire à Dieu dans ses œuvres.

Aujourd’hui, nous voulons tous nous mettre à l’école du Baptiste et lui demander : Quelle est ta vocation ? Quel est ton secret ?

Nous ne sommes pas les premiers à nous interroger sur cette vie mystérieuse. Déjà, les amis de sa famille, frappés par le brusque mutisme de Zacharie après l’accomplissement de son service au temple de Jérusalem, puis tout aussi étonnés de la parole recouvrée, alors que le père venait de confirmer le nom de son enfant en le gravant sur une tablette, se demandaient auprès du berceau : « Que sera donc cet enfant ? »

La vocation et le secret de Jean ont été dévoilés pour deux femmes, Marie et Élisabeth, lors de la Visitation.

Alors que Marie salue sa cousine, Jean tressaille dans le sein maternel. Remplie de l’Esprit-Saint, Élisabeth s’écrie : « Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni. D’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ? » (Lc 1,42-43)

L’annonce est double. Élisabeth affirme que ce n’est pas seulement Marie qui s’approche d’elle, mais son Seigneur. Jean a commencé sa mission en conduisant sa mère à Jésus. Il a préparé la voie au Seigneur.

Mais si l’enfant a tressailli dans le sein d’Élisabeth, c’est que, d’une manière que Dieu connaît, il a expérimenté la présence de son cousin, Jésus, dans le sein de Marie. Il n’est pas difficile pour Dieu d’ébranler une pierre ou encore de remuer une branche. Mais il ne s’agit pas de cela : Élisabeth dit précisé- ment que « l’enfant a tressailli d’allégresse en mon sein. » (Lc 1,44) Il ne s’agit pas d’un de ces sursauts de l’enfant auxquels les mères sont accoutumées. Non, il y a quelque chose d’unique en l’enfant que sa mère perçoit : une allégresse qui révèle une relation déjà établie et profonde entre le Baptiste et son Seigneur. La voix du Seigneur, Jean l’a entendue et y a répondu : « J’étais encore dans le sein maternel quand le Seigneur m’a appelé ; j’étais encore dans les entrailles de ma mère quand il a prononcé mon nom. » (Is 49, 1).

Cette communion est le secret de Jean. Une communion avec Dieu au fond de son âme qui rend secondaire le contact purement humain. À lire les évangiles, leurs routes ne se croiseront plus guère qu’au moment du baptême de Jésus par Jean dans le Jourdain.

Cette communion unique avec le mystère de Dieu conduit Jean au désert, lieu de solitude et de silence, lieu de rencontre et d’approfondissement de la relation à Dieu. À la suite du Précurseur, les hommes prennent aussi le chemin du désert pour rencontrer, écouter Jean et se faire baptiser par lui. Par son exemple, Jean prépare la voie au Seigneur en conduisant les hommes de son temps sur le chemin du désert, sur le chemin de Dieu.

Jean-Baptiste a reçu le nom de « moine du Nouveau Testament ».

Les moines d’aujourd’hui veulent toujours s’inscrire dans son sillage. Par le témoignage de leur vie au désert, par la fidélité quotidienne au chemin dur et âpre qu’ils ont choisi librement pour répondre à l’appel de Dieu, ils veulent inviter les hommes de leur temps à emprunter le chemin du désert, à s’engager sur le chemin de Dieu.

Alors que deux millénaires nous séparent de Jean, c’est le même témoignage qu’il nous faut livrer, en demandant nous pauvres hommes pécheurs de suivre l’exemple de la fidélité du saint Précurseur : en face d’un monde menteur, ignorant de Dieu et de ses lois, rappeler l’absolu de Dieu, de sa vérité, marcher « en présence du Seigneur... pour faire revenir les cœurs des pères vers leurs enfants, ramener les rebelles à la sagesse des justes, et préparer au Seigneur un peuple bien disposé. » (Lc 1,17)

Amen.

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Rédigé par Philippe

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Publié le 24 Juin 2019

 

Accompagnés à l’orgue par Jacques Kauffman, une quinzaine de moines de l’abbaye de Solesmes ont enregistré en juin 2019 un nouveau CD sur le thème de Noël. Il sortira en décembre 2019.

Le projet est né d’une idée lancée par l’organiste parisien Jacques Kauffmann, qui raconte : « En janvier 2019, j’ai fait un séjour à l’abbaye de Solesmes que je connais très bien pour y être déjà venu. J’ai proposé cette idée aux moines. Il fallait bien sûr l’accord du Père Abbé, il a accepté ». Il vient régulièrement jouer de l’orgue en l’église abbatiale de Solesmes.

Comme cela se pratiquait au XVIIe siècle

« J’aime beaucoup cet orgue. Il est récent, il date de 1967. Les moines avaient souhaité un instrument adapté pour jouer des pièces baroques », explique-t-il. D’où les caractéristiques sonores particulières de cet orgue, permettant d’aborder le baroque français ou allemand.

« L’idée était de faire un enregistrement de chants grégoriens et de pièces jouées à l’orgue », détaille Jacques Kauffmann. Quelque chose qui n’avait jamais été fait : « La nouveauté, c’est que les versets et les pièces jouées à l’orgue s’alternent, comme cela se pratiquait à la fin du XVIIe siècle ». Quant aux compositeurs choisis, il s’agit de Haendel, Bach, Nicolas de Grigny…

Des œuvres tirées du répertoire de Noël

L’évocation de Noël constitue le fil conducteur du CD qui devrait sortir pour décembre 2019. Les pièces enregistrées sont tirées du répertoire de Noël. « Bien sûr, beaucoup penseront que tout a déjà été fait sur Noël », reconnaît Jacques Kauffmann, rappelant que le prieur de l’abbaye, le père Kemlin, a coutume de répondre : « Nous avons encore des choses à dire ».

Pour Jacques Kauffmann, l’intérêt de cet enregistrement réside dans cette nouvelle présentation des hymnes religieux sous forme d’alternance avec l’orgue mais aussi dans la présence de chants folkloriques et populaires de Noël.

Des chants d’un style plus récréatif

« Ce sont des chants écrits sur des musiques dont on ne connaît pas les auteurs, des Noëls de Provence, du Poitou par exemple qui évoquent des aspects folkloriques, des personnages comme les bergers… Ce sont des chants que les moines chantent lors de réunions communautaires dans un style plutôt récréatif », fait remarquer l’organiste.

Quinze moines ont enregistré

Quinze moines, faisant partie de la Schola (ce groupe chante notamment les pièces les plus ardues), se sont retrouvés en l’église abbatiale deux jours durant pour l’enregistrement des chants. À la suite, étaient enregistrées les pièces d’orgue. Le temps de ces enregistrements, l’église abbatiale était fermée.

 

Philippe Malidin, le preneur de son, avait placé six micros dans l’église abbatiale connue pour son acoustique très sèche. Ils devaient capter à la fois la précision du chant et l’ambiance, « il voulait avoir le rendu de l’orgue comme lorsqu’on se tient dans le chœur de l’abbatiale », explique l’organiste.

Sortie du CD prévue en décembre 2019

Après l’enregistrement, la prochaine étape portera sur le mastering. Le public pourra trouver le CD aussi bien à la Fnac qu’à la boutique de l’abbaye. « mais si les CD se vendaient très bien il y a trente ans, il n’en est plus de même aujourd’hui », souligne Jacques Kauffmann, espérant toutefois que ce CD suscitera la curiosité du public.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 23 Juin 2019

 

 

 A Fontgombault, il opte pour le sacerdoce.

 

à l'intention du père Abbé ... Courage, il n'y a pas que des abrutis haineux et aigris  !  quelle belle photo. trop sympa; ça remonte le moral.  (addendum:  les moines et les amis du petit placide sont dans sa prière, via le diocèse d'Arrington.  .. ! )

 

La station-service Quarles à Front Royal était l'un des nombreux endroits où Peter M. McShurley s'est rendu pour accéder au sacerdoce. Seulement 16 ans, c'était son premier emploi, et son patron l'a mis dans une position délicate lorsqu'il lui a demandé de travailler un dimanche.

"Je lui ai dit que je ne pouvais pas à cause de la messe, et même si mes collègues ont eu du mal avec ça, ils ont fini par me respecter pour ça. Je me suis rendu compte que ma foi catholique m'appelait à vivre différemment de la plupart des autres ", dit-il.

C'est également à cette époque que lui et ses grands-parents visitèrent le Sanctuaire du Saint-Sacrement à Hanceville, en Alabama, et où il sentit l'émoi d'un appel au sacerdoce. Une autre incitation lui est venue lorsqu'il a reçu une lettre de sa tante, une religieuse cloîtrée de Buffalo, dans l'État de New York, lui disant qu'elle priait pour lui.

"J'ai en quelque sorte mis cet appel en veilleuse jusqu'à ma première année d'université, quand je me suis inscrit pour l'adoration matinale. Dans le calme, j'ai recommencé à penser à mes premières pensées sur le sacerdoce ", dit Mc Shurley.

Après sa première année à l'Université de Dallas à Irving, au Texas, il a été transféré au Christendom College à Front Royal. Situé près de sa ville natale de Linden, il était plus facile de réduire les dépenses. Pendant sa première année, il travaillait quatre ou cinq jours par semaine, mais il avait du mal à payer les frais de scolarité qui augmentaient.

Alors qu'il " sautait d'une ville à l'autre " en France et en Espagne avant le début d'un semestre de première année à l'étranger à Rome, il est devenu évident qu'il devait entrer au séminaire.

"Je priais dans un monastère bénédictin, l'abbaye de Fontgombault, à trois ou quatre heures de Paris, et j'ai ressenti cette excitation de devenir prêtre, un sentiment de liberté aussi,"

 

Il a obtenu son diplôme en philosophie au Christendom College en 2014. Il a fait ses études à la maison tout au long de sa 12e année avec ses quatre frères et ses cinq sœurs, cela signifiait beaucoup pour lui qu'il avait l'appui de ses frères et sœurs.

Quand je leur ai dit : " Hé, je pense vraiment postuler au séminaire ", ils ont tous été encouragés et heureux que j'y réfléchisse, a-t-il dit.

Le père Jérôme W. Fasano, prêtre de l'église Saint-Jean-Baptiste de Front Royal, a également marqué sa vocation en lui offrant un témoignage positif de la vie sacerdotale.

Il m'a toujours encouragé à vivre une vie sainte, et il s'est rendu disponible pour la confession et la direction spirituelle. Il était clair qu'il aimait sa vie de prêtre et c'était beau à voir ", dit McShurley.

En août 2014, il a commencé ses études à St. Charles Borromeo à Wynnewood, Pa. En 2016, il s'est rendu au Collège pontifical nord-américain de Rome, une expérience qui lui a donné l'occasion de servir une fois comme porteur de crosse pour le pape François.

Réfléchissant sur son désir d'être prêtre, il a dit qu'il s'agit finalement de partager Jésus-Christ avec les autres.

"J'ai été attiré par le sacerdoce à travers mes rencontres avec des gens qui ne vivaient pas la foi. En voyant la douleur dans leur vie et leur recherche de quelque chose de plus, j'ai le désir de partager Jésus Christ dans l'Eucharistie. Je suis également enthousiaste à l'idée de prêcher ",

source

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 23 Juin 2019

Les élèves du baccalauréat qui ont suivi la matière de "bases d' administration et de gestion" ont collaboré avec une cause solidaire en apportant 951 € à l'hôpital des paraplégiques de Toledo collectés à la foire des entrepreneurs avec les projets qu'ils ont présentés développés pendant le cours. Félicitations !

que guapa!

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 23 Juin 2019

 

Béatification de 14 martyrs Conceptionnistes :

"Elles sont mortes parce qu'elles étaient disciples du Christ".

Elles sont allées au martyre glorifiant Dieu et pardonnant ses bourreaux" et "à l'exemple du Christ qui a dit sur la croix : "Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font,"

Les 14 moniales béatifiées venaient de 3 monastères différents : Le monastère de San José à Madrid, la communauté d'Escalona à Tolède et le couvent du Pardo à Madrid.

 

 

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Rédigé par Philippe

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