Publié le 17 Mai 2018

Rédigé par Philippe

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Publié le 17 Mai 2018

   Jésus-Christ, Fils de Dieu, homme-Dieu, médiateur entre les hommes , est le Sauveur. Il est le Sauveur unique; il n'y a pas de salut qu'en lui seul, non est in alio aliquo salus  (Act, IV,12)

   Nous, nous sommes les sauvés.

   Il s'agit de bien saisir , en toute son étendue, cette vérité essentielle: Il est le Sauveur, nous sommes les sauvés.  Cette vérité est trop souvent diminuée: on veut faire croire à l'homme qu'il se sauve lui-même. Non, il est sauvé purement et simplement.

   Ce qu'il faut dire, c'est que le Sauveur ne nous sauve pas sans nous, si nous sommes en âge de croire, d'espérer , d'aimer. Il sauve les petits enfants sans eux; il sauve les adultes en leur donnant de coopérer à leur salut. Mais enfin c'est lui qui les sauve, aussi gratuitement qu'il sauve les petits enfants. C'est à tous que l'Apôtre parle quand il dit :" Vous avez été sauvés par la grâce moyennant la foi; et cela n'est pas de vous, c'est le don de Dieu: cela ne vient pas de nos oeuvres (antérieures) à la foi), pour que nul ne se glorifie. Nous sommes l'ouvrage de Dieu, étant créés dans le Christ Jésus (pour accomplir) les oeuvres bonnes, que Dieu a préparées pour que nous y passions notre vie" (Eph. II,8,17)

   Ainsi, c'est bien Dieu qui sauve par sa grâce, en excitant la foi dans nos coeurs: le salut ne vient pas de nous, c'est un don de Dieu; nos oeuvres antérieures n'y entrant pour rien, il n'y a pas lieu de se glorifier en quoi que ce soit : quant aux oeuvres postérieures à la réception de la grâce, c'est Dieu dont nous sommes l'ouvrage, la créature en Jésus-Christ, qui les opère en nous; c'est lui qui les a préparées, pour que nous les fassions.

   La grâce prévient la volonté qu'elle excite, sans que celle-ci ait rien pu faire pour la mériter; elle nous a créés en Jésus-Christ, et cette oeuvre de création s'étend aussi aux bonnes oeuvres que nous produisons, en sorte que celles-ci sont les dons de Dieu, tout en étant pour nous, qui les produisons librement de réels mérites. En définitive, nous n'avons  rien en quoi nous puissions nous glorifier. Tout vient de Dieu: en couronnant nos mérites, il couronne, dit saint Augustin, ses propres dons.

   Il y a certainement un grand mystère en cette oeuvre de notre salut. Dieu nous en laisse le mérite, mais il s'en réserve expressément toute la gloire. Il ne récompenses nos bonnes oeuvres qu'autant que nous les rapportons à l'opération de sa grâce en nous. Elles sont nôtres, mais de manière qu'elles sont siennes et tellement siennes que toute la gloire lui en revient.

   La première grâce, celle qui met en branle la volonté inerte vient de Dieu, sans rien de notre part; la dernière grâce, celle de la persévérance finale, vient également de lui , sans que nous puissions la mériter. Dieu tient donc dans sa main toute la série des grâces qui nous sauvent , puisque la première et la dernière ne peuvent être méritées. Il est vrai que nous sommes appelés à coopérer librement sous l'impulsion de la grâce; et remarquons ce point très important: notre fidélité à y coopérer jusqu'au bout, soit qu'elles nous conservent dans la pureté, soit qu'elles aient à nous relever de nos chutes, est un don de Dieu, puisque c'est un effet de la grâce essentiellement gratuite de la persévérance finale.

   Saint Bernard a parfaitement résumé l'oeuvre entière de la grâce en nous, quand il a dit :" Elle excite le libre arbitre , en y semant une bonne pensée; elle le guérit, en transformant ses affections; elle le fortifie, pour l'amener à l'acte; elle le garde en empêchant ses défaillances".

   Tout est là: empêcher les défaillances du libre arbitre, faire que la volonté de l'homme reste inséparablement unie à celle de Dieu.

   Or, c'est la grande grâce que nous demandons à Dieu, quand nous lui disons humblement: Et ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal. Ou encore, avec le prêtre à la sainte messe: Faites que j'obéisse toujours à vos commandements, et ne permettez pas que je sois jamais séparé de vous.

   Prions ainsi et nous serons fidèles jusqu'à la mort, mais par la grâce , non par nous mêmes, en dehors d'elle.

   C'est ainsi que Jésus est pour nous, toujours et en tout, le Sauveur. Notre salut se fait peu à peu, et il faut que sans cesse il mette sa divine main à la parfaire. Il ne nous abandonnera pas; mais demandons-lui de faire que nous ne l'abandonnions pas.

   Oui, Jésus est le Sauveur. Plus une âme marche dans les sentiers de la vie spirituelle, plus elle reconnait avec évidence qu'il est le Sauveur; plus elle s'attache à lui avec l'étreinte de l'homme qui se sent perdu, si Jésus à tout instant ne le sauve pas contre ses propres défaillances; plus elle confesse qu'elle n'attend rien de ses propres mérites, de ses bonnes oeuvres mêlées de tant d'imperfections inquiétantes, mais qu'elle attend tout de la pure miséricorde du Sauveur.

   " Je n'ai fait aucune oeuvre qui ne me donne à craindre, disait en mourant saint Jean de la Croix" : que dirons - nous pauvres pécheurs, quand un géant de sainteté parle ainsi ?

   dom Maréchaux osb +

  

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Publié le 17 Mai 2018

 

 

 

Kakampouras-Alexopoulos, 15 ans

 

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Publié le 17 Mai 2018

 

« La musique? Un des langages de Dieu pour nous parler. »

"Music? One of God's languages to speak to us."

 

 

 

« L’histoire d’une résilience après la perte de l’être aimé. Un livre émouvant sur l’amour, l’espérance et le deuil. Lorsque le mari de Véronique de Fombelle tombe gravement malade, c’est un véritable séisme. Leur couple, passionnément uni depuis 27 ans, se lance dans un combat acharné contre le cancer. Ils luttent non seulement contre la maladie mais aussi, pour que persistent, malgré la souffrance et l’imminence de la mort, leurs guides de toujours : la joie et l’espérance. Mais Laurent succombe. Vient alors pour Véronique le temps de la solitude, du désespoir. Mais elle tient bon. Sans doute grâce à son amour inouï de la vie, cultivé depuis l’enfance. Progressivement, au-delà de la perte de son plus grand bonheur – « Mon bonheur avait un visage », dit- elle –, elle parvient à déceler, dans les méandres de la tristesse, des bonheurs simples, à cueillir chaque jour. Et avance pas à pas vers un avenir qui n’attend qu’elle. »

Selon vous, Dieu aime-t-il la musique ?

Sûrement, puisque c’est un de ses langages pour nous parler !

Au paradis quelles musiques y entend-on ?

« Concerto pour clarinette » de Mozart

journal la croix .

 

 

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Publié le 16 Mai 2018

N'ayant aucun point d'appui assuré en nous, prenons notre point d'appui en Jésus compatissant qui ne rejette pas un coeur contrit et humilié .

   O Jésus, dites à mon âme: Je suis ton salut (ps XXXIV, 3 ) . O Jésus , sauvez-moi pour la gloire de votre nom (ps. LXXVIII,9), pour votre sang répandu . O Jésus, puissé-je dire: Il m'a sauvé, parce qu'il m'a voulu (Ps. XVII, 20)

O Jésus, dites-moi: Je te sauve, parce que je t'aime.

   Je t'ai aimé, je t'aime: le salut d'une pauvre âme est tout entier dans cette parole de Jésus.

dom B . Maréchaux osb+

 

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Publié le 16 Mai 2018

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Publié le 16 Mai 2018

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Publié le 16 Mai 2018

 

 

 

Le groupe est d'abord entré dans l'église rouge et a été témoin de la procédure pour le baptême du bébé. Ensuite, les élèves du corps des cadets. George Joukov Školy et les dirigeants ont traversé la vieille ville. Sur la place rotushes, comme au bon vieux temps, il y avait un tournoi de chevalier !!!! une danse auvergnate russe .... !!!!!!! ils devraient aller au puy du fou, à 3000 kilomètres, pas loin

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Publié le 16 Mai 2018

Le chœur de la Chapelle Sixtine du Vatican, connu sous le nom de " chœur du pape ", se rendra aux États-Unis cet été pour une tournée de concerts dans huit villes.

Il s'agit de la première tournée nationale de la chorale qui comprendra des arrêts à Atlanta, New York, St. Louis, Detroit, Miami, Boston, Chicago et Los Angeles du 3 au 23 juillet.

La tournée nationale suit moins d'un an après la première prestation de la chorale aux États-Unis en trois décennies, qui a eu lieu en septembre dernier, la chorale se produisant à la Basilique du Sanctuaire national de l'Immaculée Conception à Washington D.C., New York et Detroit.

Connu officiellement sous le nom de Cappella Musicale Pontificia Sistina, le chœur est composé de 20 chanteurs professionnels du monde entier, ainsi que d'une section d'aigus composée de 35 garçons âgés de 9 à 13 ans, appelés les Pueri Cantores.

Avec ses 1500 ans d'histoire, le chœur de la Chapelle Sixtine est considéré comme le plus ancien chœur actif au monde.

Mark Spyropoulos, membre de la chorale du Royaume-Uni, a déclaré à EWTN qu'à son avis, le but de la tournée " est d'apporter à l'Amérique l'intensité spirituelle de la Chapelle Sixtine, la beauté transcendante qui est au cœur du Vatican ".

"Nous vous apportons quelques-unes des plus belles musiques du Vatican et des archives qui remontent au XVIe siècle", a-t-il dit. "Nous apportons la musique qui reflète ces fameuses et belles fresques de Michel-Ange."

Le directeur de la chorale, le père Massimo Palombella, a déclaré dans une déclaration que la chorale de la Chapelle Sixtine " est ravie et honorée d'entreprendre notre première tournée nationale historique aux États-Unis ".

"Nous sommes impatients de découvrir les nombreuses grandes villes que nous visiterons et nous nous réjouissons de partager nos recherches de pointe et notre étude de la musique de la Renaissance, directement à partir des archives de la Chapelle Sixtine, conservées à la Bibliothèque du Vatican, avec le public américain.

Après avoir fréquenté le prestigieux conservatoire italien et passé des années comme professeur de théologie et de musique, Palombella est devenu directeur de la chapelle de musique pontificale et a commencé à diriger le chœur en 2010.

le père Palombella a étudié la philosophie et la théologie à l'Université Pontificale Salésienne et a été formé par les organistes Luigi Molfino et Valentino Miserachs Grau. Il a également fréquenté le Conservatoire de Turin.

Ordonné prêtre de l'ordre salésien en 1995, il a commencé à enseigner la théologie dogmatique à l'Université pontificale salésienne et la langue de la musique à l'Université Sapienza de Rome. Il succède alors au Père Giuseppe Liberto comme directeur du Chœur de la Chapelle Sixtine.

 

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Publié le 15 Mai 2018

 

 

 

James Conley, Bishop of Lincoln, Nebraska

né le jour de la st Joseph , en 1955, il a mon âge quoi. !

Quand j'ai obtenu mon diplôme universitaire, j'avais un diplôme en littérature anglaise.  Mais je n'étais pas certain de ce que je voulais faire.  J'ai voyagé en Europe et je me suis retrouvé dans un monastère bénédictin en France, Notre-Dame de Fontgombault.  C'est un monastère cloîtré qui a attiré de nombreux Américains dans les années 1970.  Certains sont entrés et sont devenus moines.

Certains de ces moines sont venus aux États-Unis pour fonder l'abbaye Notre-Dame de Clear Creek en Oklahoma, qui célèbre la messe sous une forme extraordinaire.  Elle a commencé avec 13 moines en 1999, et en compte aujourd'hui près de 50.

Michael Burbidge, évêque d'Arlington, Virginie.

Enfant, j'ai fréquenté la paroisse du Très Saint Sacrement dans le sud-ouest de Philadelphie, qui comptait 3 000 enfants à l'école primaire.  Une grande partie de la population catholique a déménagé depuis dans les banlieues.

Nous étions une communauté très soudée, vivant dans des maisons en rangée et entrant et sortant librement des maisons les uns des autres.  Nous étions une paroisse connectée avec un vrai sens de la communauté.

Même si j'avais une petite famille - j'avais un frère aîné de quatre ans de plus - nous avions une famille élargie à proximité.  Il n'y avait pas un week-end où nous n'étions pas ensemble.

Mes parents m'ont donné un bel exemple et ont été d'un grand soutien à ma vocation.  Nous avons prié avant les repas, nous avons eu des prières nocturnes et nous avons dit le chapelet.

Robert Carlson, archevêque de Saint-Louis (Missouri)

Je dirais que[mon désir de devenir prêtre était] l'effet du prêtre de la paroisse sur ma famille.  En septième année, j'ai été appelée à la maison lorsqu'une de mes sœurs est décédée.  Je me souviens d'avoir vu ma mère pleurer et notre pasteur assis sur le canapé la consoler.  Cela a eu un impact majeur sur moi.  J'avais prévu d'être médecin, mais j'ai fini par aller au séminaire à la place.

SOURCE

 

 

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