la ville Vendéenne arbore les couleurs tricolores. presqu'à chaque coin de rue le drapeau français qui flotte.
Même un 14 Juillet on ne voit pas ça. C'est joli au moins on se sent français. J'aime bien les gens avec des passions. Y en a d'autres c'est les curés, chacun son truc. et tant d'autres choses. Ils n'arrivent pas à sortir de leur univers morbide. Ca a permis à des milliers de gens de s'évader des problèmes de la crise, à des milliers d'enfants de rêver.
L'idéologie n'en retiendra que le côté toujours noir: les casseurs, s'il n'y avait pas ça ça n'alimenterait pas leur canard; comme amputés de leur raison d'être quel malheur s'il n'y avait pas tout ça. Dimanche soir ils pourront se défouler.
parce que pour elle, il n'en ressortira toujours qu'un côté négatif pour dénoncer montrer le mal.
Pauvres gens comme je les plains, à chacun son regard.
Quand on arrive à se dépayser et qu'on trouve des gens normaux comme au pays basque pas omnibulés ou conditionnés par la pensée unique, quelle bouffée d'oxygène. Ils n'ont pas le temps de dépenser leur énergies à des trucs de malade; ils bossent, leur entreprise, leur "etche " ... leurs enfants. on arriverait à se laisser entrainer dans leur jeu, même à se faire inviter à un bal. je suis parti le vendredi, à cause de la fête du village; j'ai eu peur du bruit de la foule, mais j'ai commis une erreur d'intégration totale, ça m'aurait permis d'assister à une messe en basque, de faire la fête. La grâce ne détruit pas la nature, même si on y aurait pu être un peu bourré . Après tout s'éclater une fois dans sa vie ! cela n'est pas interdit sauf chez les extrémistes musulmans comme il serait interdit à des petits de rêver.
Au fond si je voulais retrouver la foi, je commencerai par là être quelqu'un de normal.
Alors peut-être le Bon Dieu n'est pas loin. Il y a de nouveau une communication humaine qui s'établit. On respire, on retrouve l'humanité, la fraternité. Un petit qui attend désespérément son idole, il s'identifie à quelqu'un qu'il voudrait être, que de rêves et que d'espoirs dans ces regards d'enfants suspendus, émerveillés , loin des pisse vinaigre !
au fond, j'arriverai à dire: Vive les bleus quand même.