Publié le 9 Juillet 2019

 

Добро пожаловать во Францию!

welcome to France!

Alexandra Dovgan pianiste

Née en 2007, Alexandra Dovgan commence le piano à l’âge de cinq ans et intègre la classe de Mura Marchenko au Conservatoire de Moscou. Elle a également bénéficié de bourses d’études de la Fondation Vladimir Spivakov et de la New Names Foundation. Elle est lauréate de nombreux concours internationaux dont le Villahermosa Internet Context (Mexico en 2014), le 9e Concours international Prokofiev (Ekaterinburg, 2015), le 11e Concours international Safonov (Pyatigorsk, 2015), le 13e Concours international des jeunes musiciens de Moscou (2016) ou encore en 2017 le 4e Concours international de piano de Moscou et le 4e Concours de piano Astana. Elle a également été récompensée par un prix spécial Yamaha.

Âgée de douze ans, Alexandra Dovgan se produit non seulement en Russie, mais aussi en Europe dans de nombreux festivals. Nous la retrouverons aux Champs Elysées à Paris en Novembre 2019

orchestre philarmonique de Russie .

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 9 Juillet 2019

 

Je pense que l’odeur traduit bien ce que nous sommes. Les uns sentent le savon, le shampoing ou le parfum et on dit d’eux qu’ils sentent bon. D’autres sentent la transpiration, le travail, la crasse et on préfère les tenir à distance.

Notre charisme, chez les Serviteurs des Pauvres, est d’accueillir des personnes en grand dénuement. Bien souvent, ceux qui s’approchent pour nous demander de l’aide sont des gens simples de la Haute Cordillère dont les ressources économiques sont très faibles et dont l’éducation est limitée à la survie. Il n’y pas de place au superflu dans leur existence. Ils vivent dans des endroits où n’arrive pas l’eau courante, sans puits ni source et où le froid peut être intense. Dans leur cahutte de torchis au sol de terre, ils cuisinent, se chauffent au bois et logent avec leurs petits animaux, cochons d’Inde ou poules.

On peut donc imaginer l’odeur qui inonde de temps en temps les lieux où ils se rassemblent, les réfectoires, les classes, les chapelles, etc.

Je me souviens que, à peine arrivés chez les Missionnaires Serviteurs des Pauvres, nous participâmes d’une Messe dans la chapelle. Etait assise devant nous une maman, ne parlant que le quechua, avec ses traditionnelles couettes et ses innombrables jupons, portant un pullover d’une couleur indéfinissable. Sa toute première caractéristique était l’odeur qu’elle dégageait. Odeur à fumée, à animal, à sueur, à urine, etc. Que celui qui réussisse à rester à côté d’elle plus de cinq minutes gagne le Guinness World Records !

Avant même que je ne m’en rende compte était sortie de mon cœur cette prière : « Seigneur, fait que j’aime l’odeur des pauvres. » Si je devais rester toute ma vie en leur compagnie, je devais en tout premier lieu les aimer. Les aimer tels qu’ils sont et non comme j’aurais aimé qu’ils soient. C’est ainsi que ce jour me fut donné ce don divin.

Aimer l’odeur de la pauvreté. De cette pauvreté physique, perceptible, touchable mais aussi l’odeur de la pauvreté spirituelle et morale, plus cachée, moins notable.

Simplement aimer, aimer avec douceur et bienveillance. C’est l’amour que Dieu a pour nous. Il s’approche de nos impuretés avec tendresse parce qu’il nous voit et nous sait pauvres. Sa Miséricorde  est tombée amoureuse de nos misères et il veut nous apprendre le chemin qui mène à une purification morale et spirituelle.

Ayons ces yeux de miséricorde au sujet de ceux qui s’approchent de nous car « plus ils sentent mauvais », que ce soit physiquement ou spirituellement, plus ils ont besoin de nous. Apprenons de Lui à être miséricordieux.

msp +

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Rédigé par Philippe

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Publié le 7 Juillet 2019

Rédigé par Philippe

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Publié le 5 Juillet 2019

 

 

 

 

 

para mi amigos !

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 5 Juillet 2019

Une vraie découverte fut le pianiste de la soirée, le seul Simon Bürki, 19 ans. Le jeune pianiste saint-gallois étudie à Moscou, et vous pouvez le constater dans son incroyable technique. Rythmiquement extrêmement propre, avec une virtuosité brillante, des gestes puissants et une présence concentrée, un très jeune homme, déjà avec quelques succès en compétition,

 

Simon Bürki est né à Saint-Gall, en Suisse en 2000 et dès son plus jeune âge, sa grand-mère l’encourage à faire de la musique.

Il a commencé ses cours de piano à l’âge de cinq ans à l’École de musique classique et jazz de Kiev avec Rada Zagorskaya, et parallèlement il fait ses études dans une école publique en Suisse. Après quelques années d’études, ses cours ont été accélérés par des master-classes régulières avec Boris Fedorov, professeur à l’Académie nationale de musique d’Ukraine à Kiev. En 2011, les talents pianistiques de Simon sont reconnus au Concours International Horowitz (catégorie Jeunes Pianistes), où il remporte trois prix lauréats dans les trois catégories d’âge. À l’âge de 12 ans, il est invité à jouer le 20e concerto en ré mineur de Mozart avec l’Orchestre de Chambre de Zurich à la Tonhalle de Zürich en Suisse.

En 2013, sa carrière a pris un véritable essor puisqu’il est lauréat du Concours de musique pour jeunes pianistes de Kiev, placé sous le haut patronage de Denis Matsuev, et invité en France au Festival d’Annecy Classic.

En 2015, Simon entre à la Central Music School de Moscou et étudie dans la classe de Farida Nurizade. À cette même période, Simon participe également aux classes de maître renommés tels que Vanessa Latarche, Piotr Paleczny, Vincenzo Balzani, Leonel Morales, Balázs Szokolay, Valery Shkarupa, Lali Sanikidze, Irina Semenyaka.

En 2017, Simon entre dans une nouvelle étape de sa carrière en remportant la première place de plusieurs concours consécutifs, dont le 5e Concours International Franz Liszt pour jeunes pianistes à Weimar (Allemagne), ainsi que la deuxième place au 1er Concours International de Jeunes Piano de Ricard Viñes à Lleida (Espagne) et la 3e place au 1er Concours International de Piano de Kiev (Ukraine, catégorie d’âge inférieure à 32 ans). Il a également participé en tant que demi-finaliste à plusieurs concours en France et en Espagne. Il a été invité à se produire en Suisse, en Allemagne, en Russie, en Ukraine, en Espagne, en France et en Autriche.

Simon vient de commencer ses études de premier cycle au Conservatoire de Moscou.

 

 

 

ce n'est plus une découverte, depuis le temps que je le connais!  il n' a pas beaucoup changé d'ailleurs. Bravo Simon ! congratulations.

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Rédigé par Philippe

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Publié le 4 Juillet 2019

merci pour cette bouffée d'oxygène; on change d'ambiance, vraiment  !

udp +

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 4 Juillet 2019

 

Maria Rita Lópes Pontes de Souza Brito

1914-1992

 

Née le 26 mai 1914 à Salvador (Bahia, Brésil) de Augusto Lópes Pontes, chirurgien dentiste, et Dulce Maria de Souza Brito, Maria Rita perdit sa maman à six ans. Maman Dulce n’avait que vingt-six ans. Ce furent les tantes qui l’éduquèrent. Elles l’appelaient Mariínha.

En 1917, avec sa tante Madaleninha, elle a l’occasion de visiter une zone très pauvre de Salvador, ce qui la remua profondément.

Cette fille très joyeuse aimait jouer avec sa poupée (Celica), dont elle était inséparable ; elle jouait de la musique, courait après son cerf-volant et, en bonne Brésilienne, soutenait le club de football Sport Club Ipiranga, constitué par des ouvriers.

Sa tante lui explique que cette joie ne pouvait pas durer constamment ; qu’elle devait penser à ceux qui souffraient ; que la vie est faite d’épines et d’épreuves.

A quinze ans, elle demande à entrer au couvent de Desterro, chez les Franciscaines. Mais elle est encore trop jeune.

En 1932, elle termine ses études et entre chez les Sœurs Missionnaires de l’Immaculée Conception de la Mère de Dieu, avec le nom de Dulce, le nom de sa maman.

L’exemple qui la poussa dans sa vocation fut Thérèse de l’Enfant Jésus, qui n’était pas même Bienheureuse à ce moment-là (voir au 30 septembre). Dulce comprit que, à l’exemple de la «Petite» Thérèse, tous nos petits actes d’amour, si petits soient-ils, plaisent énormément à l’Enfant-Jésus.

Au début, comme dans tous les noviciats, on la chargea de la sacristie, de l’accueil, de la buanderie. Puis elle fut infirmière à l’hôpital, dans le service de radiologie.

Puis elle fut envoyée au Collège Sainte Bernadette, à Cidade Baixa, tout près de la favela de Massaranduba. Elle donnait des cours de géographie.

On la chargea ensuite des ouvriers du Nord-est qui partaient pour les villes, chercher du travail. Elle leur enseigna la lecture, l’écriture, le catéchisme ; elle conseillait, elle consolait, elle soignait…

Mais Sœur Dulce fit plus que de «petits» actes d’amour : elle fonda.

D’abord ce fut une grande œuvre sociale : l’Union des Ouvriers de Saint François, comprenant entre autres trois théâtres ou salles de cinéma : Cine Roma, Cine Plata-forma, Cine Saõ Caetano.

Puis ce fut un centre pour les malades, dans des maisons abandonnées sur une île de Salvador de Bahia, mais comme on les mit dehors, elle les transféra dans un vieux marché à poissons, qu’elle dut encore évacuer, et finalement ne trouva rien d’autre… que le poulailler du couvent, où elle pouvait accueillir quelques dizaines de malades ; par la suite, elle fit construire un véritable hôpital, l’Hôpital Saint-Antoine, inauguré en 1959 avec cent-cinquante lits et pouvant accueillir chaque jour jusqu’à sept-cents malades et donner plus de mille consultations. L’œuvre a été reconnue par l’Etat comme Obras Sociais Irmã Dulce, OSID (Œuvres Sociales Sœur Dulce).

Sœur Dulce fonda aussi le Centre d’Instruction Saint-Antoine, à Simões Filho, toujours dans l‘Etat de Bahia, où étaient accueillies plus de trois cents petites filles et adolescentes de trois à dix-sept ans.

En 1979, elle rencontre Mère Teresa, qui vient de recevoir le Prix Nobel de la paix. Elle sera à son tour proposée pour le Nobel en 1988, soutenue par la reine de Suède ; sans avoir été «gagnante», elle acquit cependant une certaine renommée.

En 1980, elle reçoit la visite du pape, en voyage au Brésil.

La santé de Dulce s’affaiblit beaucoup les trente dernières années. Elle n’avait plus que 30% de sa capacité respiratoire et pesait trente-huit kilogrammes.

A partir de 1990, l’état de Sœur Dulce empira. Durant son voyage au Brésil en 1991, le pape Jean-Paul II lui rendit visite à l’hôpital. 

Sœur Dulce, qu’on appelait le Bon Ange du Brésil, s’éteignit à ce monde le 13 mars 1992.

Quand on voulut exhumer son corps pour la reconnaissance officielle, on remarqua qu’il était resté sans corruption.

Maria Rita Lópes Pontes de Souza Brito (Sœur Dulce) fut béatifiée en 2011.

 

 

Le miracle retenu pour la béatification fut l’arrêt immédiat de l’hémorragie incontrôlable dont souffrait une maman après avoir accouché, malgré trois interventions.

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Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

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Publié le 4 Juillet 2019

Rédigé par Philippe

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Publié le 3 Juillet 2019

 

...

 

Et c'est ici que se trouve notre péché. Que nous n'entendons pas ce message urgent.

Que nous vivons  dans nos discussions politiques, occupés dans nos conforts de plus en plus complexes, retranchés dans nos envies sensuelles qui nous détournent de notre chemin de sanctification et nous installent dans le péché sans le quitter.

Je me souviens encore une fois de ce que nous venons d'entendre : "Marchez selon l'Esprit et vous n'accomplirez pas les désirs de la chair".

Nous n'écoutons pas Jésus qui est mort pour nous sur la Croix. Il a été notre fondation et notre pierre angulaire, mais maintenant son peuple est obstiné et il veut choisir ses fondations, et ce sont des matériaux vains et de peu de consistance au point qu'il ne sera jamais capable de construire sans l'aide de son Seigneur. "

Les orphelins et les gens joyeux aiment les fêtes qui provoquent le Seigneur, qui provoquent la colère de Dieu, mais nous continuons avec nos fêtes et nos constructions vides et sans consistance : combien de temps le Seigneur devra-t-il attendre notre retour vers Lui ?

Nous suivons des chemins qui ne mènent nulle part, sauf à l'enfer ; et au fond nous le savons, mais nous n'osons pas être mal à l'aise et impopulaires, parce que nous savons que Jésus a dit très clairement que la branche qui n'est pas unie à Lui et ne porte pas de fruit est coupée par le vigneron et jetée dans le feu éternel

(Jn 15,6).

Celui qui se sépare de la Vie reste dans la mort, une mort dans la vie, parce que nous pensons que nous sommes vivants, mais si l'âme meurt, tout notre être est mort, et pourtant nous chantons, dansons et rions, mais nous sommes morts parce que nous avons enlevé la vie de Dieu en  nous.

"Nous nous promettons que nous serons toujours heureux quand il semblera que tout se passe selon notre goût, et nous devrions pleurer si notre âme n'est pas vraiment unie au Seigneur.

Si nous voyions avec les yeux de Dieu une âme dans le péché mortel, nous sentirions une telle horreur que nous irions rapidement confesser tous nos péchés et ne voudrions jamais pécher, car nous ne pouvons même pas imaginer la putréfaction, l'odeur, la corruption infernale qui demeure dans une âme en péché mortel.

Les corps merveilleux qui abritent des âmes puantes rient et s'amusent maintenant, mais à quoi sert cette beauté éphémère pour eux ? Ayons pitié de ce que cela signifie pour la vue de celui qui a versé son sang pour nous.

Que nous soyons dans le péché mortel ou non, personne ne devrait permettre à tant de nos frères de vivre dans la cécité. Les entrailles du Seigneur sont émues et son Cœur saigne de douleur devant l'avenir de ces âmes : l'enfer.

Non, frères, allons au Cœur de Jésus qui, il y a un siècle, a vu comment un roi, Alphonse XIII, qui n'était pas moralement exemplaire, a réalisé le désir du Seigneur de consacrer le pays au Sacré-Cœur de Jésus malgré les menaces de la franc-maçonnerie, qui se sont réalisées en le forçant à quitter ce pays. Mais Dieu le paierait plus que ce témoignage public d'amour, comme le bon voleur. Buvons de l'eau pure de son Saint-Esprit, lavons nos âmes dans le sang précieux du Seigneur par le sacrement de la pénitence.

 Nous devons préparer notre âme à sa venue d'Amour et de Justice. Nous ne pouvons pas laisser notre conversion jusqu'à demain. Si Jésus nous a parlé de l'urgence de la conversion, ses paroles devant la situation de désolation morale dans laquelle nous nous trouvons doivent être pour nous des cris d'angoisse et, en même temps, pleines d'affection parce qu'il veut notre salut.

Nous devons être heureux dans l'amour de Dieu, oui, c'est absolument vrai, mais si nous ne prévenons pas nos frères, c'est que nous ne connaissons pas le Seigneur ou son Évangile, et alors que nous dira-t-il ? (Mt 25, 12).

 

On le croyait déjà fou, et nous, qui suivons-nous ?

 

Aujourd'hui, plus ou moins, alors que le Cerro de los Ángeles consacre l'Espagne au Sacré-Cœur,

nous avons aussi l'occasion de montrer au Seigneur notre Amour et de Lui promettre que nous ne voulons pas suivre ceux qui nous promettent le bonheur dans ce monde, mais Lui ;

que nous ne voulons pas rester cloués à ce monde, mais que nous voulons nous accrocher à Sa Croix,

que nous voulons aimer notre croix, celle qui nous a touchés dans nos maladies et limitations, dans notre famille, à cette époque que nous connaissons, si  merveilleuse.

Dites-lui que nous ne voulons pas fuir la Croix, que nous ne voulons pas fuir la douleur, que nous croyons que ses blessures nous ont guéris et que nous croyons que NOUS POUVONS AIDER LES AUTRES À ÊTRE EN SANTÉ ET NE PAS LE LAISSER.

  Devant le saint Sacrement exposé pour que nous puissions l'adorer, nous réconcilier avec Lui et nous greffer en Lui , ce qui était peut-être affaibli ou presque perdu. Si nous manifestons notre foi, le Seigneur manifestera sa gloire et sa puissance.

A Él ya lo tuvieron por loco, y nosotros, ¿a quién seguimos? Hoy en estos momentos más o menos, cuando en el Cerro de los Ángeles se está consagrando a España al Sagrado Corazón nosotros también tenemos ocasión de mostrar al Señor nuestro Amor y de prometerle que no queremos seguir a los que nos prometen la felicidad en este mundo, sino a Él; que no queremos seguir clavados en este mundo, sino agarrarnos a su Cruz, que queremos amar nuestra cruz, la que nos ha tocado de nuestras enfermedades y limitaciones, de nuestra familia y la época en que vivimos, que no es maravillosa, pero es la que Dios ha querido fuera la nuestra. Digámosle que no queremos huir de la Cruz, del dolor, que creemos que sus heridas nos han curado y creemos que también LAS NUESTRAS PUEDEN A AYUDAR A OTROS A QUE SE CUREN Y NO SE ALEJEN DE ÉL. De dos a cinco estará en la capilla del Santísimo expuesto el Señor para que le adoremos, nos reconciliemos con Él y nos injerte en la comunión con Él que quizás estaba debilitada o casi perdida. Si nosotros manifestamos nuestra fe, el Señor manifestará su Gloria y su poder.

dom José Ignacio González Villanueva osb +

abadia de la santa Cruz . Madrid .

 

 

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Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

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Publié le 3 Juillet 2019

ya que no conoce a Carmen, pobrecito !

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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