priez pour nous.

neuvaine à Mère Teresa

L’Agence Spatiale Européenne (ASA) vient de dévoiler l’identité du Français qui sera leur prochain sujet d’étude. Ce Lyonnais de 29 ans va vivre pendant un an coupé du reste de ses compatriotes avec l’interdiction formelle de se plaindre.

Pierre Dubois n’en croyait pas ses yeux lorsqu’il a reçu la lettre lui signifiant qu’il était le Français choisi parmi les plus de 2 000 personnes à s’être portées volontaires. « Bon, j’aurais préféré une mission dans l’espace, c’est vrai » a-t-il déclaré lors de sa première conférence de presse.

D’après les équipes de l’ASA, des découvertes majeures sur le comportement français sont à prévoir lors de cette expérience, peu d’études s’étant déjà intéressées au sujet par le passé. «  L’enjeu est de vérifier les effets du positivisme sur l’organisme. On sait encore très peu de choses là-dessus » explique Adam Cokley, le chercheur anglais à l’initiative du projet. « Nous voulons découvrir combien de temps ils peuvent survivre sans se plaindre, à quel point leur mauvaise humeur est contagieuse » ajoute-t-il.

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a day in New York

splendide! un petit prince dans les étoiles .. si c'est pas beau.  que du bonheur;

Bonne fête à dom Etienne; je résiste encore mais ne vous en faites pas, quelqu'un m'appelle encore,  sûrement. dans nos résistances, la longue patience du Seigneur! l'étonnement aussi d'être encore en vie.

Peut-être le seul Etienne que je connaisse, je ne sais plus.  Allez si on n'avait pas tant de souffrances à offrir, on serait peut-être, sans doute,  malheureux ! il y a encore des étoiles qui brillent aussi dans mon ciel c'est elles que je regarde. Elles brillent toujours avec autant d'éclat, et pourtant elles sont loin d'être mortes. Elles sont hors du temps. Ce n'est que la distance qui nous sépare d'elles.

Je ne les oublie pas, mais je sais aussi les préserver; même si parfois dans nos nuits les plus profondes, tels des hululements de chouette, nos râles  s'échappent parfois  de désespoir, de désespérance, d'ennui et de dégoût. 

On aura le temps là-haut qui sait de se raconter tout ça. L'anecdote d'un moine chartreux ou autre contemplatif,  qui arrivait à l'abbaye en retraite,  quel bonheur pour lui d'y délier  sa langue! (sic) il n'arrêtait pas! ce sera pareil là-haut. On arrêtera pas de s'en raconter.

On est pas encore tout à fait mécréant, vous savez! A qui la faute, d'ailleurs.

  Aujourd'hui, il faut apprendre à ne compter sur personne pour opérer son salut que sur des petites étoiles infiniment petites mais tellement grandes. Petites, parce qu'elles sont à des milliards d'années lumière, mais tellement grandes dans la communion des saints.

Souvent ce sera le sourire de l'étranger qui vous offre son service, le païen d'à côté qui vous offre son verre de l'amitié qui prend son temps avec vous de discuter, le commerçant avec qui vous savez toujours trouver un mot pour plaisanter,

Il faut les capter ces petites étoiles quotidiennes beaucoup  plus proches, quand tout le reste fait défaut, - ceux auxquels on croyait parce que déguisés de religion, les surprises viennent de là où on s'y attend le moins. - 

question de survie en tous les cas

bonne et sainte fête mon Père.

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