Publié le 16 Juillet 2014
" Timorem autem eorum ne tinuéritis: et non conturbémini. Dominum autem Christum sanctificate in cordibus vestris."
sic : "Il y a des gens et des gens d'Eglise, surtout, qui ne se rendent pas compte des dégâts qu'ils peuvent causer par une attitude, un regard, une parole. Ils ne se remettent jamais en question. Ils ont leur conscience tranquille puisqu'ils n'ont pas mesuré le mal qu'ils ont fait. Ils ne voient pas pourquoi ils s'excuseraient, puisque parfaitement ignorant de leur culpabilité. C'est sûrement la même chose pour les gens qui t'ont fait tant de mal pendant toutes ces années. Ils n'ont pas mesuré l'impact sur quelqu'un qui vit seul et qui avait encore plus besoin de considération pour simplement "être."
Il faudra du temps pour cicatriser..et pour pardonner. "
merci, on perce là un abcès déjà; le reste on va s'en remettre tout doucement. pas évident tout seul, et comme personne n'a rien compris à part vous. quand on reçoit des réflexions gratuites de bas étage comme je vous disais encore la semaine dernière, venant de sacerdoce, bon on jette l'éponge, et si à cause de tous ces gens là on ne perd pas la foi, c'est bien de l'ordre du miracle et de vos prières...dans une période trop fragile, trop difficile, on aimerait entendre d'autres propos que des réflexions débiles ..mais ça ça ne viendra jamais; pas moi qui l'invente, même les païens sont scandalisés..!
quand on sert pendant plus de deux ans des jeunes. des curés , pas un seul pour vous dire merci; ah oui j'étais payé, mais la reconnaissance devrait exister quand même..un merci, un souhait, prendre de vos nouvelles, ça fait pas de mal, non jamais rien et après vous tombez dans l'ignorance et le cachot de l'oubli,les oubliettes de l'inexistance..où il faut apprendre à survivre à l'indifférence et .. à quel prix !, aucune délicatesse, aucune attention..
toujours tout accepter et ne rien dire, tout est normal pour tout ce monde... et ça parle de charité, ça vous fait la morale, on verra si physiquement on tient le coup.. parfois,, on en peut plus quand même.