le sourire
Publié le 18 Février 2008

Le sourire franc et sincère exprime le fond de notre être de croyant. Celui qui ne croit pas, et n’espère pas en Dieu Amour, reste sombre et lugubre. Au contraire celui qui aime, et prend conscience qu’il est aimé de Dieu, vit dans la joie de Dieu. Et tout est joie en lui. Cette joie augmente son dynamisme et devient contagieuse. Celui-là vit déjà sur terre le bonheur du ciel avec les saints et les anges.
Celui qui ne sourit pas se déprime facilement ; il entretient des mauvaises idées, cultive des pensées méchantes, et enfante des décisions injustes et mortelles. Il persécute même ceux qui le bénissent. Son cœur fait la guerre à tous. Or celui qui sourit, même au cœur de ses épreuves, sait qu’après la pluie, il y a le beau temps. Encore que, dans les régions où il ne pleut pas suffisamment, la pluie est plutôt considérée comme une bénédiction. ‘‘Tout est grâce’’ pour l’homme qui sourit, même les obstacles lui servent d’échelle pour monter en sainteté. Et donc, pluie ou soleil, le sourire authentique est toujours au rendez-vous. ‘‘Le sourire, disait l’Abbé Pierre, coûte moins cher que l’électricité mais donne autant de lumière’’. C’est vrai, une personne qui sourit, son visage s’illumine ; elle devient plus belle et plus sympathique.
Ses amis se multiplient et ses interlocuteurs deviennent positifs autour de lui. Puisque l’heure est aux coupures intempestives d’électricité (délestage), au lieu de murmurer contre la SBEE, pourquoi ne pas produire plus de sourires radieux et étincelants ? Ils réchaufferont les cœurs froids et aigris, et éclaireront les méchants de la lumière sans déclin de Dieu. En plus c’est sans facture et surtout écologique pour l’âme.
Voilà où je voulais en venir, au sourire écologique pour nos cœurs en ce temps favorable.
commentaires: des petits plus de la vie quotidienne, si simples et qui font plaisir.
Il y en a qui vont chez leurs commerçants; ils rentrent achètent leurs victuailles et sortent, sans un mot, sans un bonjour, sans un au revoir ou merci. On ne parle souvent que pour gémir, sur le temps qu'il fait, le fait de l'actualité. La commerçante devient la réserve de tous nos soupirs quotidiens, sur tout... on s'imagine tout seul à l'aborder, alors que d'autres sont venues avant ou viendront après. On ne fait guère attention. Le commerçant se retrouve avec tous les problèmes du voisinage, sans qu'il ne puisse rien faire et que ce n'est pas son rôle d'écouter nos lamentations, nos jérémiades de tout genre. Il devient la cible de nos insatisfactions.
Peut--être le temps du carême devient alors une remise en cause aussi de nos attitudes devenues sans doute mécaniques, habituelles, routinières.
Un sourire, une formule de politesse, laisser transparaître sa joie plutôt que des visages fermés sur eux-mêmes, cela peut-être des petits plus pour montrer aussi le vrai visage du Christ. Ce n'est rien, ça ne coûte pas d'énormes sacrifices que de désirer d'être social, des vertus morales naturelles... la grâce ne détruit pas la nature, elle la perfectionne.
voilà c'est sur petrus angel.
Celui qui ne sourit pas se déprime facilement ; il entretient des mauvaises idées, cultive des pensées méchantes, et enfante des décisions injustes et mortelles. Il persécute même ceux qui le bénissent. Son cœur fait la guerre à tous. Or celui qui sourit, même au cœur de ses épreuves, sait qu’après la pluie, il y a le beau temps. Encore que, dans les régions où il ne pleut pas suffisamment, la pluie est plutôt considérée comme une bénédiction. ‘‘Tout est grâce’’ pour l’homme qui sourit, même les obstacles lui servent d’échelle pour monter en sainteté. Et donc, pluie ou soleil, le sourire authentique est toujours au rendez-vous. ‘‘Le sourire, disait l’Abbé Pierre, coûte moins cher que l’électricité mais donne autant de lumière’’. C’est vrai, une personne qui sourit, son visage s’illumine ; elle devient plus belle et plus sympathique.
Ses amis se multiplient et ses interlocuteurs deviennent positifs autour de lui. Puisque l’heure est aux coupures intempestives d’électricité (délestage), au lieu de murmurer contre la SBEE, pourquoi ne pas produire plus de sourires radieux et étincelants ? Ils réchaufferont les cœurs froids et aigris, et éclaireront les méchants de la lumière sans déclin de Dieu. En plus c’est sans facture et surtout écologique pour l’âme.
Voilà où je voulais en venir, au sourire écologique pour nos cœurs en ce temps favorable.
commentaires: des petits plus de la vie quotidienne, si simples et qui font plaisir.
Il y en a qui vont chez leurs commerçants; ils rentrent achètent leurs victuailles et sortent, sans un mot, sans un bonjour, sans un au revoir ou merci. On ne parle souvent que pour gémir, sur le temps qu'il fait, le fait de l'actualité. La commerçante devient la réserve de tous nos soupirs quotidiens, sur tout... on s'imagine tout seul à l'aborder, alors que d'autres sont venues avant ou viendront après. On ne fait guère attention. Le commerçant se retrouve avec tous les problèmes du voisinage, sans qu'il ne puisse rien faire et que ce n'est pas son rôle d'écouter nos lamentations, nos jérémiades de tout genre. Il devient la cible de nos insatisfactions.
Peut--être le temps du carême devient alors une remise en cause aussi de nos attitudes devenues sans doute mécaniques, habituelles, routinières.
Un sourire, une formule de politesse, laisser transparaître sa joie plutôt que des visages fermés sur eux-mêmes, cela peut-être des petits plus pour montrer aussi le vrai visage du Christ. Ce n'est rien, ça ne coûte pas d'énormes sacrifices que de désirer d'être social, des vertus morales naturelles... la grâce ne détruit pas la nature, elle la perfectionne.
voilà c'est sur petrus angel.