de l'affection pour le Pape.
Publié le 16 Septembre 2008

"Deum timeant; abbatem suum sincera et humili caritate diligant."
"Ils aimeront leur abbé d'une charité sincère et humble.." règle de st Benoît.
tels sont les sentiments que saint Benoît demande à ses moines d'avoir pour leur Père abbé, en vue dit dom Delatte de "garantir l'autorité de l'Abbé, comme pour garantir une dernière fois qu'elle découle bien de Dieu, qu'elle est "le sacrement" du Seigneur parmi nous."
Abblatem suum, notre Père Abbé, notre Saint Père, il en est de même pour le Saint Père, père abbé commun de toute la catholicité, loin de nous la "papôlatrie" ou d'être "ultrapapofan" selon l'expression délicieuse de zabou.
Une affection que recommande le bienheureux père, sincère, qui n'aura jamais le caratère de la flatterie ou de la mièvrerie, comme toutes les fofolles qui lui courent après, usant de termes parfois si surprenant,
St Benoît rétablit la juste mesure, l'équilibre.
Elle sera vraie, d'âme et de foi, et saint Benoît la veut "humble"..
Humble celui qui reçoit le Magistère d'en-haut et non de la base du peuple. Il l'accueille comme un don du Seigneur, et ses enseignements, et ses conseils, et sa doctrine, et sa morale et sa discipline. Il n'en fera pas à sa guise.
Nous ne sommes pas fils de la Révolution. Nous recevons tout d'en-haut.
d'âme et de foi selon avec toute l'obéissance qui lui est dûe, qui est due à la foi, à l'intelligence de la foi, parce que nous sommes ses fils, et nous ne pouvons être fils que dans cette condition, imitant en cela le grand Maître "obéissant jusqu'à la mort et à la mort de la croix."
"Ils aimeront leur abbé d'une charité sincère et humble.." règle de st Benoît.
tels sont les sentiments que saint Benoît demande à ses moines d'avoir pour leur Père abbé, en vue dit dom Delatte de "garantir l'autorité de l'Abbé, comme pour garantir une dernière fois qu'elle découle bien de Dieu, qu'elle est "le sacrement" du Seigneur parmi nous."
Abblatem suum, notre Père Abbé, notre Saint Père, il en est de même pour le Saint Père, père abbé commun de toute la catholicité, loin de nous la "papôlatrie" ou d'être "ultrapapofan" selon l'expression délicieuse de zabou.
Une affection que recommande le bienheureux père, sincère, qui n'aura jamais le caratère de la flatterie ou de la mièvrerie, comme toutes les fofolles qui lui courent après, usant de termes parfois si surprenant,
St Benoît rétablit la juste mesure, l'équilibre.
Elle sera vraie, d'âme et de foi, et saint Benoît la veut "humble"..
Humble celui qui reçoit le Magistère d'en-haut et non de la base du peuple. Il l'accueille comme un don du Seigneur, et ses enseignements, et ses conseils, et sa doctrine, et sa morale et sa discipline. Il n'en fera pas à sa guise.
Nous ne sommes pas fils de la Révolution. Nous recevons tout d'en-haut.
d'âme et de foi selon avec toute l'obéissance qui lui est dûe, qui est due à la foi, à l'intelligence de la foi, parce que nous sommes ses fils, et nous ne pouvons être fils que dans cette condition, imitant en cela le grand Maître "obéissant jusqu'à la mort et à la mort de la croix."
Tu es Petrus, et super hanc Petram aedificabo Ecclesiam meam,