Publié le 7 Mars 2009




FRAY LUIS DE LEON
+
1528-1591
Salamanca.





caeli ennarant gloriam Dei.






Qu'est-ce que cette terre, cet atome, ce sol inférieur et grossier, en comparaison de ce temple de grandeur, de lumière et de beauté?

Quand je contemple le ciel orné d'innombrables lumières, et qu'en bas je regarde la terre enveloppée d'ombre, ensevelie dans le sommeil et l'oubli,
L'amour et la peine excitent en mon âme un ardent désir, mes yeux se changent en deux sources de larmes, et enfin d'une voix plaintive, je m'écrie:

" Séjour de grandeur, temple de lumière et de beauté! Quelle infortune retient mon âme faite pour s'élever jusqu'à vous, dans cette prison ténébreuse d'ici-bas?

"Quelle mortelle folie éloigne ainsi de la vérité la raison, oublieuse de vos biens divins, égarée à la poursuite d'un vain fantôme, d'un bien trompeur?

" L'homme demeure livré au sommeil, sans s'inquiéter de son sort, et d'un pas silencieux le ciel tourne toujours et va lui dérobant les heures de sa vie.

"Ah! réveillez-vus, mortels, songez au mal qui vous perd: des âmes immortelles, nées pour un bien si grand, pourraient-elles ne vivre que d'ombres et d'illusions?

" Ah! levez les yeux vers cette éternelle et céleste sphère, et vous tromperez les caprices de cette vie si décevante avec ses craintes et ses espérances.

" Qu'est-ce de plus qu'un atome, ce sol inférieur et grossier comparé à ce vaste ciel où vit d'une existence plus pleine ce qui est, ce qui sera, ce qui a été?

"Qui peut voir ce spectacle, et priser encore la bassesse de ce monde, et ne point gémir, soupirer, pour rompre la chaîne qui retient l'âme loin de ces biens?

" Là règne le contentement, là règne la paix; là assis sur un siège élevé et magnifique se tient l'amour sacré, entouré de gloire et de délices.

"Là l'immense beauté se montre tout entière, la lumière radieuse et pure resplendit sans jamais s'éteindre, le printemps fleurit éternel.

"O champs de vérité! ô prairies vraiment fraîches! Mines fécondes, délicieuses retraites, secrètes vallées remplies de mille biens!

" Puisque la terre me parait si laide quand je vois les cieux et tout ce qu'enferme le voile étoilé, je n'ai plus souci désormais de l'amour de la terre.

" Vers toi, cour divine, vers toi, demeure de Dieu, cité sainte, mon âme exilée, éloignée de toi, soupire en cheminant sa journée.

"Airs apaisés, libres des voix et des bruits, emportez dans vos ondes vers le ciel mes gémissements sortis du coeur.

" Et mon âme affligée, dans sa dure captivité et un mal si violent, tiendra toute sa vie pour un bienheureux sort de vivre en espérance de te voir là-haut."

" Quand l'obscure nuit veut déchirer son voile sombre, triste vêtement qui dépare le ciel et enveloppe ses beautés et ses charmes,
" L'aurore en se levant embellit la rondeur du globe, sa chevelure ondule sur sa tête dorée et de sa lumière elle environne tout l'univers.

" L'air en sa pureté, revêtu de ces splendeurs éclatantes, dévoile sa beauté, et les nuages s'élevant offrent à la vue mille nuances;
" Sous le feuillage épais chantent avec l'art de la nature les oiseaux au doux plumage, à la voix mélodieuse, et ils chassent de l'âme les graves soucis.

" O chant, ô harmonie qui tient attentive la forêt ombreuse, suave mélodie, source des plus doux sentiments, qui emporte avec elle la pensée vers le ciel!
" La touche la plus pénétrante, élevée à la note la plus haute, semble rauque et muette, si on la compare à ces sons, aux purs accords de cette musique.

" Que les neuf Muses, dont les choeurs retentissent sur le Parnasse, ne soient pas orgueilleuses: si elles enchantent les bêtes sauvages, ici d'autres chants élèvent l'amour jusqu'à Dieu.

" Sur son char triomphal, oeuvre de la nature, travaillé d'or fin par une main pleine d'art, plus étincelant que s'il était émaillé de rubis,
" Lâchant les rênes, le soleil se hâte vers notre pôle, guidant ses coursiers au plus haut sommet, d'où il rétrécit l'ombre.

" Aussitôt qu'il parait au faite de la montagne, sur la cime élevée, la lune s'efface, vaincue par cette lumière, avec toute la multitude étoilée.

" Si quelque nue obscure est touchée de ses rayons d'or, elle se montre plus claire et plus pure, embellie, illuminée, nuancée de couleurs diverses.

" La rosée est tombée, aux fraicheurs du matin, de la chevelure de Diane; le soleil la frappe, elle étincelle plus que le cristal.
" La verte prairie, couronnée de plantes odorantes, de fleurs et de roses peintes des couleurs de la nature, reste baignée de cette pluie de perles.
" Mais quand la verdure ne se défend plus contre les feux du soleil, que l'air embrasé perd sa fraicheur, j'aime à me retirer sous les bois épais.

" O divine bonté de Celui qui créa les arbres touffus pour résister à la vive ardeur des rayons brûlants du midi!

" Proche du bois s'élève gracieusement une montagne, d'où une source descend, charmante en son cours et empressée de joindre la forêt.
" Avec un doux murmure, à travers les herves, elle va dirigeant sa course, et avec un bruit paisible retourne les légers cailloux, les soulevant de leur lit sablonneux.
" Parmi le feuillage se montrent les clairs rayons du soleil, et sous leurs faux les petits grains de sable rougissent brillent comme la poussière d'or du Tage.
" Après avoir arrosé les arbres touffus, elle rassemble sa course à pas précipités et va se répandre dans de larges étangs.
" Là, fendant l'onde, les poissons nagent et se jouent, et déploient leurs ailes d'un mouvement si rapide qu'il échappe à la vue la plus perçante.
" Ca et là ils vont, reviennent, sautillent légèrement; ils ornent et embellissent le frais élément qui leur donne l'être et les nourrit....

" O Dieu! quand je vois toutes ces choses faites pour mon bien et mon plaisir, je soupire après ton amour et souhaite qu'il me brûle d'autant de feux que tu veux être aimé....


Les amours terrestres se dénouent, s'altèrent, se brisent: l'amour divin est immuable, car Dieu, et en Dieu le Christ, sont amour et paix.
En eux est l'asile des âmes blessées, l'assuré rempart, la tranquille et fidèle retraite des affligés, des persécutés de ce monde, le roc immobile où nulle crainte ne les atteint. Là est le souverain bien. Tout ce qui n'est pas Dieu n'est rien.

Que sont au chrétien ces misères qu'apportent et emportent les jours?
L'éternel, l'infini, la 'familiarité avec Dieu, et presque l'unification avec lui, voilà où il aspire.
Alors 'revêtue de Dieu, vestida de Dios, s'enflammant comme un composé de lumière et d'amour, l'âme exhale la tendresse et la joie au sein de l'infinie Beauté. 

Luis de Leon. mystique espagnol.




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Publié le 6 Mars 2009





le messager. "Dame du paradis, ils ont pris ton fils, le Christ bienheureux; accours, et vois: je crois qu'ils le tuent, tant ils l'ont flagellé.

la Vierge. "Comment cela peut-il être qu'un homme ait mis la main sur lui? car il ne fit jamais aucun mal, le Christ, mon espérance...

le messager. " O dame! hâte-toi, et viens à son aide. Ils ont craché au visage de ton fils, et la foule l'entraîne d'un lieu à l'autre: chez Pilate ils l'ont mené."

la Vierge. " O Pilate! ne fait point tourmenter mon fils! car je puis te montrer comme on l'accuse à tort.."

la foule. " Crucifiez-le! L'homme qui se fait roi désobéit au sénat."

le messager. " Madame, voici la croix que le peuple amène, et sur laquelle la vraie lumière doit être élevée."

la Vierge." O croix! que vas-tu faire? Tu m'ôteras mon fils! Et que lui reprocheras-tu, puisqu'en lui le péché n'est pas?

le messager. "Madame, voici qu'on lui saisit la main, et que sur la croix ils l'ont étendue; ils la fendent d'un gros clou, tandis qu'ils ont enfoncé le fer. Maintenant, c'est l'autre main qu'ils prennent; ils l'étendent sur la croix, et la douleur s'embrase à mesure qu'elle se multiplie. Madame, le moment est venu de percer les pieds; on les cloue au bois, et, par le poids qu'ils supportent, ils ont rompu tout le corps.

la Vierge. "Et moi, je commencerai le chant funèbre. O fils qui fus ma joie! Qui a tué mon fils? ... ils auraient mieux fait de m'arracher le coeur..."

le Christ. "Femme, pourquoi te plains-tu? Je veux que tu survives, que tu me sois en aide aux compagnons que je me suis donnés sur la terre."

la Vierge. " Mon fils, ne parle point de la sorte. Avec toi je veux mourir; je veux monter sur la croix, et mourir à ton côté. Ainsi le fils et la mère auront la même sépulture, puisque le même malheur jette dans le même abîme la mère et le fils."

le Christ. "Femme, je remets dans tes mains mon coeur affligé. Jean mon bien-aimé, sera ton fils. jean, ma mère est à toi, reçois-la charitablement; prends pitié d'elle, car son coeur est percé."

la Vierge. "Mon fils, l'âme s'est échappée de tes lèvres.. O Mon fils innocent, ô mon fils resplendissant, qui es allé éclairer un autre monde, comme je te vois obscurci! O mon fils blanc et blond, mon fils au doux visage, ah! par quelle raison le monde a-t-il voulu ton opprobre et ta mort? Fils aimable et cher, fils de la femme désolée, ah! que ce peuple t'a traité méchamment! Et toi, Jean, mon nouveau fils, ton frère est mort.
Ah! j'ai senti la pointe du glaive qui me fut prophétisé...."

Frederic Ozanam: Jacopone

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Publié le 6 Mars 2009






Un peu d'histoire

Le Stabat Mater est sans nul doute un des textes sacrés les plus poignants car il reflète la douleur, la compassion d'une mère qui voit mourir son fils dans la plus grandes des souffrances.


Le texte (ou séquence) de 20 strophes de 3 vers est attribué à IACOPONE da TODI (1230-1306), franciscain, originaire de la province d'Ombrie en Italie. Mais de façon très étayée cetains experts en hymnologie proposent Saint-Grégoire le Grand (d. 604), Saint-Bernard de Clairvaux (d. 1153), Innocent (d. 1216), Saint-Bonaventure (d. 1274), Jacopone (d. 1306), Le pape Jean XXII (d. 1334), et Grégoire XI (d. 1378). Ils concluent aux seules paternités possibles d'Innocent III ou de Jacopone.


Le Stabat Mater est à la fois un poème médiéval d'inspiration sacrée et une composition musicale du type oratorio ou motet, basée en tout ou partie sur ce texte. Il appartient à la catégorie des « séquences » ou « proses », textes chantés à la messe entre l'épître et l'évangile. On le chante aussi souvent pendant les chemins de croix.

Il est,  de nos jours, chanté en grégorien selon le thème , Dom Fonteinnes chantre de Solesmes vers 1850.


Interdit par le Concile de Trente (1545-1563) comme de très nombreuses compositions musicales sacrées de l'époque, trop ornées pour mettre en valeur les textes qu'elles devaient illustrer, le Stabat Mater résista cependant à cette injonction de par la force de son texte qui suscita l'engouement des fidèles mais aussi le respect de compositeurs à l'immense talent comme Pergolèse ou Palestrina. 


Il figure aujourd'hui dans le Missel romain (dit Missel 800) à la célébration de la fête de Notre-Dame des Sept Douleurs, le 15 septembre, réintroduite par le pape Benoît XIII en 1727.


La séquence fait également partie de la liturgie du vendredi de la Passion, sous diverses formes, il est vrai.


Le caractère dramatique du texte a donc été une source d'inspiration pour près de 500 compositeurs qui reflètent en adaptant le « livret » la musique de leur époque : renaissance, baroque, romantique, contemporaine - même en jazz ! - mais aussi de leur pays puisque l'on dénombre, entre autres, un ou des compositeurs américains, anglais, autrichien, brésilien, camerounais, canadien danois, espagnol, estonien, finlandais, flamand, français, hongrois, irlandais, italiens, japonais, norvégien, polonais, portugais, russe, slovaques, tchèques ...

On trouve donc une variété considérable d'œuvres de tout style, composition vocale et orchestrale ou durée, d'après tout ou partie des strophes d'origine, en latin ou dans la langue du compositeur et parfois selon une adaptation très libre. On dénombre même une version en breton !




link



" La liturgie catholique, dit excellement M. Ozanam,  n'a rien de plus touchant que le Stabat Mater dolorosa, cette complainte si douce, qu'on y reconnait bien une douleur toute divine et consolée par les Anges; si simple, enfin dans  son latin populaire, que les femmes et les enfants en comprennent la moitié par les mots, l'autre moitié par le chant et par le coeur.
Cette oeuvre incomparable suffirait à la gloire de Jacopone. "





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Rédigé par philippe

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Publié le 6 Mars 2009



Âme du Christ, sanctifie-moi.

Corps du Christ, sauve-moi.

Sang du Christ, enivre-moi.

Eau du côté du Christ, purifie-moi.

Passion du Christ, fortifie-moi.

O bon Jésus, exauce-moi.

Dans tes blessures, cache-moi.

Ne permets pas que je sois séparé de toi.

De l'ennemi perfide, défends-moi.

A ma mort, appelle-moi.

Ordonne-moi de venir à toi,

Pour qu'avec les saints, je te loue

dans les siècles des siècles.


Amen




...
intention de prières: pour un prêtre.



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Rédigé par philippe

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Publié le 5 Mars 2009












allez leur pie jesu tellement beau !




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Publié le 5 Mars 2009








  même youtube
s'habille de  carême ! congratulations !!!
its the lent. ça hume bon tout ça.

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Rédigé par philippe

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Publié le 5 Mars 2009



Et son tombeau sera glorieux" Isaïe ch.XX c'est-à-dire tous les hommes l'honoreront.
st jean ch. XIX :" Mais il convenait que Jésus-Christ fût enseveli;"

Il convenait qu'il fût enseveli, soit pour faire croire à la vérité de sa mort, parce qu'on n'ensevelit que les morts. Aussi est-il écrit dans saint Matthieu, chapitre XXV, que Pilate n'accorda le corps de Jésus à Joseph pour l'ensevelir, que lorsqu'il se fût assuré par le Centurion qu'il était réellement mort. Il le fut peut-être aussi pour donner aux hommes l'espérance de ressusciter, espérance qu'ils tiennent de leur chef.  Il le fut pour figurer notre sépulture spirituelle dont l'Apôtre dit, Rom. chap. VI :" Nous avons été ensevelis en lui par le baptême, pour mourir au péché;" ensevelis en lui par le baptême, à ces mots on doit ajouter: et vous êtes ensevelis à lui; c'est-à-dire qu'à l'exemple de sa sépulture, les hommes sont baptisés, pour ne plus paraître ce qu'ils furent, à savoir de vieux pécheurs, mais bien de nouveaux justes, comme on ne voyait pas Jésus-Christ pendant qu'il était dans le tombeau. Observons aussi que sa sépulture nous représente la contemplation céleste.
"Qu'ils se réjouissent vivement lorsqu'ils auront trouvé le sépulcre;" Job chap. III

Saint Grégoire ajoute: Comme la sépulture dérobe à nos regards le corps privé de vie, de même l'âme morte au monde se cache dans la contemplation divine; elle y trouve le repos contre toutes les agitations du monde, y étant triplement plongée, comme Jésus-Christ resta trois jours dans le tombeau.
"Vous les cacherez dans le secret de votre face, pour qu'ils ne soient point troublés par les hommes;"  s'ils entrent par l'esprit en présence de Dieu, les opprobres et les vexations des hommes ne les troublent plus.

Trois choses sont requises pour cette sépulture spirituelle en Dieu; il faut pour cela que l'âme soit exercée à la pratique des vertus, pour qu'elle devienne toute belle et toute pure, il faut qu'elle soit entièrement morte à ce monde; et la sépulture de Jésus-Christ nous démontre tout cela.

Saint Marc chapitre XIV "Que Marie Madeleine vint à l'avance rendre à Jésus-Christ les devoirs de la sépulture:"  le parfum d'épis de nard, à cause de son prix est en effet l'image de la vertu, vu qu'il n'y a rien de plus précieux dans ce monde, d'après les paroles suivantes de l'Ecclésiastique, chap XXVI  "Rien n'égale la valeur de l'âme  chaste."

L'âme sainte qui veut s'ensevelir dans la contemplation divine, doit donc d'abord s'y préparer par l'exercice des vertus. C'est pour cela qu'il est écrit dans Job, chap. V "Vous entrerez riches dans le sépulcre;" le commentaire ajoute: de la contemplation divine; " comme le monceau de blé qui est serré en son temps; le Commentaire ajoute: parce que le temps de l'action est le gage de la contemplation éternelle; il faut par conséquent que celui qui est parfait exerce d'abord son âme à la pratique des vertus, pour l'ensevelir ensuite dans  un repos honorable.

"Joseph acheta un linceul blanc.." St jean ch. XIX, parce que le linceul est une étoffe de lin, comme le dit saint Rémy, et qu'on ne le blanchit qu'avec beaucoup de peine. Ceci nous apprend que l'on ne parvient qu'avec beaucoup de peine à acquérir d'une manière parfaite la blancheur intérieure de l'âme;

"Que celui qui est juste se justifie encore, que celui qui est saint se sanctifie encore." L'Apôtre dit, Rom, chap. VI:" Que nous marchions aussi dans une nouvelle voie;" le Commentaire ajoute: que nous allions de ce qui est bien à ce qui est mieux par la justice de la foi et l'espérance de la gloire.

Les hommes doivent s'ensevelir dans le sépulcre de la contemplation divine par la blancheur de la pureté intérieure..
"Bienheureux les coeurs purs parce qu'ils verront Dieu."
"Le Seigneur de la pureté ne peut être vu que par un coeur pur." saint Jérôme. 

saint Thomas.


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Rédigé par philippe

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Publié le 5 Mars 2009







" ...les blessures presque partout ouvertes sur ce corps, offrent le pardon aux pécheurs, et la grâce aux justes.


Oui, c'est une demeure sûre, mes Frères, c'est une tour de courage et de force face à l'ennemi, que la méditation aimante, attentive, prolongée, des blessures reçues par le Christ Seigneur :

C'est la conformation à sa Croix dans la foi et la charité, c'est la garde de l'âme contre les révoltes de la chair, contre les remous du temps, contre les attaques de l'esprit du mal..."


Guerric d'Igny




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Rédigé par philippe

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Publié le 5 Mars 2009





Kardynał Stefan Wyszyński




Merci Thierry ! délicate attention de ta part.

très belle vidéo.. quelle mouche t'a piqué? superbe.

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Rédigé par philippe

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Publié le 5 Mars 2009



          Hermas, Petrus angel,  & le petit Placide
la "messe où l'on prend son temps !!!"
concélébrée ça va de soi ..! jeudi des quatre-temps!
la veille du printemps, ça fait du bien de temps en temps.. !




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Rédigé par philippe

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