Publié le 5 Mars 2009




Let my prayer rise up', P. Tchesnokov(1877 - 1944)

'Let my prayer rise up to thee as the incense, and let the lifting up of my hands be an evening sacrifice.'
Psalm 140, 1-4

This chant is performed on Wednesdays and Fridays during Lent in the liturgy on the consecrated gifts. It expresses the striving of the soul to raise its voice to God.

The Orthodox Church observes four major Lenten periods each year. Of these, the most important and significant is Great Lent preceding Easter and lasting for seven weeks. A Lenten period comes before any of the major feasts of the Church as an opportunity to come into the fullness of the feast and to appreciate the significance of the feast.

Dir.: Victor Popow

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Publié le 5 Mars 2009






J'ai trop de choses à faire ...
L' homme moderne à trop à faire et il voudrait tout faire. Comme il n'y arrive pas, il court, il s'énerve, tombe dans la surexcitation ou le découragement. Finalement, il devient intolérable, abrège sa vie, ne fait pas ce qu'il voudrait faire et fait à moitié tout ce qu'il fait. C'est un échec. Il faut réagir à tout prix contre ce nervosisme.
LE GRAND SECRET
* Ne dis jamais: "je suis débordé". Tu le croirais et ce serait désastreux.
* Tu as plus de temps que tu l'imagines à ta disposition, mais (ne te rebelle pas trop vite contre ce que je vais te dire) peut-être que tu passes ton temps à perdre ton temps.
* Les grands hommes font dix fois plus de travail que nous, en dix fois moins de temps. Pourquoi ? ils savent s'organiser, ils protègent leur calme, ou ils sont capables de le reconquérir. Ils se mettent tout entier dans chaque tâche. C'est le grand secret.
* N'écris jamais : 'Je n'ai pas une minute à moi, je ne t'envoie qu'un mot... j'aurais désiré..,"etc. Ecris immédiatement ce mot, tout simplement. Tu gagneras du temps et protégeras ton calme.
* Ne dis pas au visiteur: "je ne peux te recevoir qu'un instant, je ne te fais pas asseoir etc. Et ne le garde pas un quart d'heure en faisant autre chose. Fais-le asseoir et garde-le dix minutes calmement
* On te demande un rendez-vous. Ne commence pas par protester: "c'est impossible, je suis pris...", etc., puisque tu finiras par donner une date. Dis en souriant: "Mais oui Volontiers !" Et offre la première date libre, même si elle est lointaine.
* Tu ne gagneras jamais du temps à faire plusieurs choses à la fois. A table, lorsque tu verses à boire, tu remplis chaque verre l'un après l'autre. Dans la vie, il faut emplir à son tour chaque minute ; sinon, certains instants déborderont tandis que d'autres resteront vides.
* Répète-toi sans cesse: pour l'instant, je n'ai qu'une personne à recevoir: celle que je reçois ; je n'ai qu'une lettre à écrire: celle que j'écris ; je n'ai qu'une chose à faire : celle que je fais.
SI TU VEUX ETRE FRATERNEL, GARDE TON CALME.
* On ne se confie pas à l'homme débordé, on devine qu'il n'y a pas de place chez lui pour les soucis des autres ; il déborde !
* Si plusieurs fois, on te dit: "je n'ai pas osé vous déranger tel jour... car vous aviez l'air très pressé", c'est grave, car bien d'autres sont venus et repartis et ne l'ont jamais dit... Or, ce jour-là, ils avaient peut-être besoin de toi.
DORS !
* Dormir et se détendre, ce n'est pas perdre du temps, c'est en gagner. Le besoin de sommeil et de détente varie selon les tempéraments et l'âge. Essaye de te connaître sur ce point, accorde-toi exactement ce qu'il te faut pour préserver ton équilibre et ne va surtout pas gâcher ce que tu as décidé par des scrupules ou des regrets.
DIEU N'EST PAS UN MAUVAIS PERE.
* Le temps est un cadeau que Dieu nous fait. Il nous en demandera un compte exact. mais rassure-toi, Dieu n'est pas un mauvais père. On a toujours le temps de faire ce que Dieu nous donne à faire.
* Quand tu manques de temps pour tout faire, arrête-toi quelques instants et prie. Puis fais ton emploi du temps sous le regard de Dieu. Ce que loyalement tu ne peux pas faire, laisse-le; Dieu ne te le donne pas à faire.
* Quand tu as découvert ce que Dieu désire te voir faire, alors laisse tout et mets-toi tout entier dans cette tâche. Dieu t'attend là, à ce moment, à cet endroit et nulle part ailleurs.

http://petrus.angel.over-blog.com/
 
 
 

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Publié le 5 Mars 2009


Il fut avantageux que Jésus-Christ mourût à cause du mystère de notre salut, pour que, à l'exemple de sa mort, nous mourussions à ce monde. On lit, Coloss, chap.III: " Car vous êtes mort, et votre vie etc..." Le Commentaire ajoute: Vous êtes mort aux choses vaines et périssables.

On lit dans Job, chapitre VII:" Je choisirais plutôt de mourir d'une mort violente, et il vaudrait mieux que mes os fussent réduits en cendre." L'âme, dit Saint Grégoire est l'intention de l'esprit, les os sont la force de la chair; ce qui est suspendu est élevé de bas en haut. L'âme est donc suspendu aux biens éternels, pour que ses os meurent, parce que, par l'amour de la vie éternelle, elle se prive de toute la force de la vie extérieure; ce qui prouve l'existence de cette mort, c'est le mépris que le monde a pour quelqu'un; ce qui fait dire à Saint Grégoire, que c'est pour cela que la mer conserve dans son sein les corps vivants, et que bientôt elle en repousse ceux qui sont morts.

La mort de Jésus-Christ nous fut avantageuse, à cause de l'exemple parfait de vertu qu'il nous donna. Ce qui fait dire à saint Pierre I, chap.II:" Le Christ a souffert pour nous, vous laissant l'exemple." Le Commentaire ajoute: Les tribulations des outrages de la flagellation, de la croix et de la mort; " pour que nous marchions sur ses traces." On lit, II Tim, chap.II Si nous supportons," le Commentaire ajoute: Avec lui dans la béatitude céleste.

Qu'il est petit, Seigneur, dit saint Bernard, le nombre de ceux qui veulent marcher sur vos traces; il n'est personne pourtant qui ne veuille aller à vous, car ils savent tous que des joies éternelles se trouvent à votre droite; c'est ce qui fait que tous veulent jouir de vous, mais ils ne veulent pas tous marcher ainsi sur vos traces; ils désirent régner avec vous, mais ils ne veulent pas souffrir avec vous;  ils cherchent avec soin celui qu'ils désirent trouver, ils sont désireux de le posséder, mais ils ne veulent pas le suivre.
Cet exemple ne nous apprend pas seulement à souffrir pour Jésus-Christ, mais il nous apprend encore à donner notre vie pour le prochain. L'Apôtre saint jean dit en effet,I, chap. III:" Comme Jésus-Christ a donné sa vie pour nous, de même nous devons donner notre vie pour nos frères
."

saint Thomas.



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Publié le 4 Mars 2009

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Publié le 4 Mars 2009






"Il vous est avantageux qu'un seul homme meurt pour le peuple."
Nous devons par conséquent remarquer, que la mort de Jésus-Christ fut avantageuse. Elle le fut premièrement, pour mettre le couronnement à notre rédemption, parce que, bien des souffrances de Jésus-Christ eût une valeur infinie à cause de son union avec la divinité, chacune de ses souffrances néanmoins n'aurait pas accompli d'une manière parfaite la rédemption du genre humain; sa mort seule pouvait le faire.

Aussi le Saint-Esprit dit-il, d'une manière d'être remarquée, par la bouche de Caïphe:" Il vous est avantageux qu'un seul homme meure...etc;..." On lit au Psaume XXX :" Je remets, Seigneur, mon esprit entre vos mains." Et le Commentaire ajoute: Le peuple fidèle racheté par la passion de Jésus-Christ, dit en rendant grâces à Dieu:" Vous Seigneur, Dieu de vérité, vous m'avez racheté par Jésus-Christ, mon chef, prononçant ces paroles:" Seigneur, je remets mon esprit entre vos mains, etc.." Ce qui fait dire à Saint Augustin:" Soyons dans l'admiration, dans la joie, dans le bonheur, aimons, louons, adorons, parce que nous avons été appelés par la mort de notre rédempteur, des ténèbres à la lumière, de la mort à la vie, de l'exil dans la patrie, de la tristesse à la joie.
....

La mort de Jésus-Christ nous fut avantageuse en second lieu, pour augmenter en nous la foi, l'espérance et la charité. Il est diit de l'augmentation de la foi, Ps CXL:" Pour moi, je suis seul jusqu'à ce que je passe;" le Commentaire ajoute: De la terre à mon Père; "mais lorsque je serai retourné vers mon Père, alors je ne serai pas seul."  On lit dans saint Jean, chap. XII:" A moins que le grain de blé, etc..." Et saint Augustin ajoute: Il disait qu'il était le grain de blé qui devait être mortifié par l'infidélité des Juifs, et qui devait être multiplié par la foi de tous les peuples.  Quant à ce qui est de l'augmentation de l'espérance, l'Apôtre dit, Rom., chap. VIII:" Lui qui n'a pas épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous aurait-il pas tout donné avec Lui?" Le Commentaire ajoute: La justice de Dieu pour la vie présente, et la vie  éternelle pour la vie future; ce qui est moins grand, parce qu'on ne peut pas nier que c'est une chose moins importante de nous donner tout cela que de le livrer à la mort à cause de nous...
On lit dans st Bernard....
"Quel est celui qui n'aurait pas une pleine espérance d'obtenir la confiance, s'il considère la position du corps de Jésus-Christ crucifié; sa tête est inclinée pour nous embrasser, ses bras sont étendus pour nous presser contre son coeur, ses mains sont percées pour nous faire des largesses, son côté est ouvert pour nous aimer, ses pieds sont attachés afin qu'il demeure avec nous."
 On lit au livre des Cantiques, chap.II :" Je viens, ma colombe, dans les trous de la pierre;" c'est-à-dire ajoute le Commentaire, l'Eglise a son siège et comme son nid dans les blessures de Jésus-Christ, puisqu'elle met l'espoir de son salut dans la passion du Seigneur, et par ce moyen elle a la confiance de se mettre à l'abri contre les embûches du vautour, c'est-à-dire du démon.

... Il est écrit de l'accroissement de la charité, au livre de l'Ecclésiastique, chap. XXIII:" Il vous brûle à son midi". , c'est-à-dire, il enflamme d'amour, par la ferveur de sa passion, les hommes terrestres.

 O mon bon Jésus, s'écrie saint Bernard, ce qui vous rend aimable pour moi par-dessus toutes choses, c'est le calice que vous avez bu pour nous racheter! Ceci fait que nous vous accordons facilement tout notre amour; c'est aussi par ce moyen que nous lui accordons avec plus de plaisir toute notre dévotion. Il nous fait grandir en justice, il nous embrasse plus étroitement, il nous émeut avec plus de véhémence.

Saint Thomas.


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Publié le 4 Mars 2009




"De même que Jonas resta trois jours et trois nuits dans le ventre du monstre marin, ainsi en sera-t-i du fils de l'homme au sein de la terre."


on ne dit pas ce qu'elle est devenue...! la pauvre.
zabou ze terriboal... qu'elle s'appelle la baleine!



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Publié le 3 Mars 2009



"Jésus entra dans le Temple de Dieu et en chassa tous les vendeurs et acheteurs: il renversa les tables des changeurs ainsi que les sièges des marchands de colombes. "


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Publié le 3 Mars 2009

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Publié le 3 Mars 2009



"Frères, Soyez sobres et veillez, car votre adversaire le diable rôde autour de vous, comme un lion rugissant, cherchant qui il pourra dévorer: résistez-lui avec la force que donne la foi."


.. un champ de mines; il y a les mines tratras, les mines propros. Détecteur de mines: les vertus morales et surnaturelles, l'Eglise le pape. Si l'une d'elle manque, ça fait boum! Ou on enlève le pape ou un cardinal ou un évêque, ça fait boum! ou les vertus morales, justice, prudence, toute la vie humaine quoi, le prochain, quoi.. .  ça fait boum..
L'autre jour j'ai demandé les cendres: réponse ce n'est  qu'un symbole, traduction des cimagrées..bon si tout n'est que cimagrées on sait ce qu'il nous reste à faire.
pfft ! le pauvre il oubliait que c'était surtout  aussi un sacramentel. Ca a fait boum!
Nous ne sommes pas sortis de l'auberge. Tout le temps regarder où l'on marche.
Tu vois David en choisissant d'être chrétien, on ne choisit pas la voie la plus facile, mais on vise à la fin, qu'on le veuille ou non il y en a une.. un jour ou l'autre il y a le "in finem "qui clôture tout, plus rien à voir,. "à dégager!".. quoi déjà? .. - ben oui, il est temps. hs terminé..
 et puis parce qu'il faut bien aller quelque part. Enfin,  heureusement on arrive au bout. Pour le moment on n'a pas sauté avec.

boum boum! ça saute souvent il ne faut pas se leurrer. Tous les jours même.
La force que donne la foi. On n'a pas besoin d'autres lumière.. mais elle est don. Alors il faut la demander, l'entretenir. Avec ça on fait son bonhomme de chemin, pas besoin d'autre chose. Vivre de l'intelligence et de la foi, il avait bien trouvé la solution mon père maître, tiens, avec du recul je m'en rends bien compte et plus ça va aller, plus on aura besoin d'en vivre. Tout le reste nous échappe de trop. Le moine ne vit que de cela. sinon ça fait boum ! ça disjoncte, ça fait sauter les plombs. Un moine ne peut pas ne s'attacher qu'aux accidents..
La sobriété dans les choses de Dieu, n'aller qu'à l'essentiel. le reste bof. La pauvreté monastique, le noir bénédictin. le noir de la foi. Et puis si on essaye de comprendre, la mine elle a le temps de sauter, de nous sauter en plein la gueule, on y aura vu que du feu ! boum, comme on a essayé de comprendre Jean-Paul 2, de le décortiquer, de l'analyser sans même comprendre son message, sa doctrine, son enseignement... il est passé, on y a vu que du feu, ça a fait boum!

Tant que l'on sait comment cela fonctionne, il s'agit d'être prudent, poser tous les jours son pied devant l'autre, et le reste à la grâce de Dieu. C'est simple: un véritable parcours du combattant non pas sans risques; . mais bon quand on sait ce qui nous attend ça vaut le coup quand même d'essayer. Pas facile, pas évident. rien n'est facile, rien n'est évident. Il y a un monde obscurantiste qui ne débouche sur rien que sur lui-même, qui ne sort pas  des limites de ces petites chapelles fermées et étroites où l'on étouffe, mais il y a la foi obscure qui elle,  aboutit et nous achemine vers la vraie lumière; elle n'est pas faite certes pour tant d'éminents théologiens ou ceux qui se proclament  docteurs de l'Eglise, les auto-gestionnaires dissidents de l'Eglise, les surdoués, les doctes, les érudits", non pour les gens simples et pas trop compliqués: simplicité monastique. Il y a le tombeau du Vendredi Saint, il y a le tombeau du jour de Pâques.

Un moment, on se retourne, on voit la route de parcourue, ce qu'il nous reste à faire et puis on se dit, allez ça n'a pas été si dur que cela. Pas mal de rides quand même,  je n'ai encore rien vu, mais bon, rien n'est sans risques de toute façon...tant que ça ne fait pas boum! c'est bon, on continue après tout. amdg !







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Publié le 3 Mars 2009


Landévennec vient du breton "lann" (monastère) et de Tévennec ou Towinnoc, nom familier de saint Winwaloé ou Guénolé qui naquit l'an 460-461 au manoir de Lesguen (en Plouguin).

Landévennec est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive d'Argol. La paroisse de Landévennec dépendait autrefois de l'ancien évêché de Cornouaille.

Landévennec doit son origine au monastère que fonde saint Guénolé à la fin du Vème siècle ou au début du VIème siècle sur un ancien domaine gallo-romain. Saint Guénolé est le fils d'un émigré insulaire appelé Fracan ou Fragan (prince de la Bretagne insulaire, émigré en Armorique) et de son épouse Gwenn. Deux monastères se succèdent du VIème au VIIIème siècle. En effet, l'existence d'un premier établissement monastique sur l'île de Tibidy (l'insula Thopopegya), avant l'implantation définitive à Landévennec aux environs de l'année 500 est fort probable. Un ermite, nommé Walloë (puis Win-Walloë) aurait créé un ermitage en ce lieu, d'où le nom de "Landowinoch" donné primitivement à ce lieu. Il se peut que le nom primitif de Guénolé ait été Win-Walloë ou Walloë tout court (voir "Vita Sancti Winwalaoei" de Gurdisten au IXème siècle). Tibiry demeura prieuré de l'abbaye de Landévennec jusqu'à la Révolution. Avec la renaissance carolingienne et l'uniformisation religieuse de l'Empire voulue par Louis le Pieux et Benoît d'Aniane, ce monastère devient au IXème siècle une abbaye bénédictine, d'architecture sobre, fermée autour d'un cloître comprenant des galeries sur deux côtés. En 818, un "diplôme" de l'empereur Louis le Pieux, acte de portée émanant de la chancellerie impériale et adressé à l'abbé du dit monastère, appelé Matmonoc (ou Wormonoc), lui intime l'ordre de s'aligner pour l'observance monastique sur la Règle du "saint Père Benoît". Dans la "Vita" de saint Guénolé, écrite vers 870 par Gurdisten (abbé de Landévennec), est mentionné la translation des reliques du saint, translation effectuée depuis une petite église toute proche jusque dans la grande église. Cette abbaye est détruit par les normands en 913 et ne sera reconstruite que trente ans plus tard, de la seconde moitié du Xème siècle, au milieu du XIème siècle. Entre temps les moines sont allés jusqu'à Montreuil-sur-Mer (nord de la France) et ne sont revenus à Landévennec qu'au milieu du Xème siècle, après les victoires d'Alain Barbe-Torte. L'abbaye est entièrement reconstruite entre la fin du XIème siècle et le milieu du XIIIème siècle. Les bâtiments abbatiaux sont entièrement reconstruits au début du XVème siècle, à la suite des guerres de Succession de Bretagne.

On rencontre les appellations suivantes : monasterium Landeuuinnoch (vers 880), Lanteuuennuc (au XIème siècle), Landeguennec (vers 1330).

Note 1 : Saint Guénolé naquit en Bretagne vers 460, de parents venus du Pays de Galles. Encore enfant, il est offert par ses parents à Budoc, supérieur du monastère de Lavré (ou Lavret), non loin de Bréhat. En 482, saint Guénolé fonde le monastère de Landévennec, après s'être installé sur l'île de Tibidy. Il meurt dans cette abbaye le 3 mars 529 ou 532. Après la destruction de l'abbaye par les Normands en 913, les reliques du saint sont transférées d'abord à l'abbaye de Montreuil à Saint Blandin de Grand en 928. C'est à Landévennec que Wormonoc, moine de l'abbaye achève, en 884, la Vie de Saint Paul Aurélien. En 1383, les Anglais, forcés de lever le siège de Brest, ravagent l'abbaye. Pendant les guerres de la Ligue, l'abbaye souffre tour à tour des Royaux et des Ligueurs.

 

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