Publié le 21 Mars 2016

 

 

 

 

Une cérémonie épique a accueilli dimanche l'anneau racheté par le parc d'attractions. Philippe de Villiers a annoncé que le gouvernement britannique ambitionnait de récupérer la relique.

LE FIGARO ;

 

 

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Publié le 20 Mars 2016

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

à complies

 

 

 

homélie Révérendissime Père Abbé de Solesmes.

on ne va pas me le "voler" , ce n'est pas dom Pateau. pas intéressant  ! très belle homélie.

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Publié le 20 Mars 2016

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Publié le 20 Mars 2016

 

 

il est inquiet Philopin; tant d'enthousiasmes, il ne trouve pas ça très normal. demain il sait que tout ça ne voudra plus rien dire !  il sait à quoi peuvent  conduire les extrêmes, c'est pas un idéologue Philopin ..

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 20 Mars 2016

 

 

Chers Frères et Sœurs, mes très chers Fils,

 
La longue cérémonie de ce jour ouvre la porte de la Sainte Semaine et invite à entrer résolument dans la commémoration du Mystère pascal : Passion, Mort et Résurrection de Jésus.

Comment ne pas relever le contraste saisissant entre la joyeuse procession des Rameaux qui accompagne le Christ triomphant aux portes de Jérusalem, et la solitude du Seigneur mourant sur la Croix au Golgotha, rejeté de la Cité tant aimée ?

 

Ne sommes-nous pas de ces chrétiens de la fête, seulement de la fête, prompts à goûter les plaisirs souvent vains et stériles du monde, mais timides quand la voix du Christ se fait entendre qui dit : « Viens » ? Certes, nous avons été créés pour la béatitude. La vie au paradis terrestre, dans une certaine proximité de Dieu, était déjà un avant-goût de l’éternité promise à ceux qui, durant leur vie, auront fait le choix de Dieu. Mais n'avons-nous pas fait, souvent, un autre choix ?

 

Être chrétien de la fête, c’est s’étourdir pour évacuer le drame de la Croix, pour évacuer le drame du péché, le drame de mon péché.

 
C’est refuser d’entendre la voix de Jésus qui nous invite à le suivre sur le chemin du Calvaire. Évacuer le drame de la Croix, c’est imaginer n’avoir pas besoin de Sauveur en croyant pouvoir se sauver soi-même.

 

Plus que quiconque, Jésus a mesuré le poids du péché de l'humanité. Il ne nous demande pas de porter ce fardeau. Il ne nous demande même pas de porter tout le poids de notre péché, mais simplement de nous reconnaître pécheur.

 

Aurons-nous, sans attendre le jour de la rencontre avec Dieu, un regard de vérité sur notre propre vie ?

 
Est-ce que dans mes paroles, dans mes actes, je choisis d’expérimenter l’éloignement de Dieu, de mes frères ? Est-ce que je choisis de me faire étranger à l’amour ? Cet examen de conscience, qui ne doit pas s’achever dans une lamentation stérile, révélera le chantier où Dieu déjà nous attend, où il nous dit : « Viens » : le chemin de notre croix, le chemin de notre conversion.

 


La procession de ce matin nous a fait goûter la joie de la proximité avec Jésus. Poursuivons donc la route avec lui vers la Croix rédemptrice.

 
Offrons au Seigneur notre misère dans la réception personnelle du sacrement de réconciliation. Entrer au confessionnal, c’est remettre à la miséricorde de Dieu la misère de notre pauvre vie, c’est rendre fécond pour nous l’amour de Dieu pour l’homme manifesté sur la Croix.

 

Seul Dieu pouvait faire naître de mon péché, de ma misère, un acte d’amour. Par le mystère de la Croix, Dieu a opéré cet « admirable commerce ». Le Dieu de colère qui tonne dans les cieux, s’est fait Dieu de miséricorde.

 
Puissions-nous, hommes de colère, à l’ombre de sa Croix avec Marie, puiser dans cette miséricorde la force de nous convertir et d’aimer.

 

Amen.

 

dom jean Pateau

père abbé de Fontgombault.

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Publié le 20 Mars 2016

 

Comment se prépare une élection ?  Il n’y a évidemment ni période de campagne électorale, ni organe officiel de préparation.  Les abbés ont toujours eu la possibilité de parler entre eux pour essayer de voir quels sont les candidats les plus aptes à remplir cette tâche. 

Dans les mois qui précèdent un Chapitre Général, il y a évidemment des noms de candidats possibles qui circulent. 

 

C’est une façon de chercher la volonté de Dieu en se renseignant et en s’éclairant mutuellement. 

Qui peut être élu?  La situation a évolué au cours de l’histoire de l’Ordre.  Traditionnellement, n’importe quel moine pouvait être élu, même s’il n’était pas supérieur. un prieur titulaire (ou même un supérieur ad nutum) pouvait être élu.

 

Sont éligibles tous les profès ayant au moins 7 ans de vœux solennels dans l'Ordre (c. 623 ; C. 39.3) et au moins 35 ans d'âge (ST 39.3.A) [9] .  N'importe quel profès de l'Ordre remplissant ces conditions peut être élu, de même que l'abbé d'une maison-fille, mais non l'abbé d'un autre monastère

Une fois la confirmation reçue, le nouvel élu est installé dans sa charge. Il a, à partir de ce moment, la pleine responsabilité de sa communauté et tous les pouvoirs de l'abbé. On prend alors contact avec l'évêque pour déterminer la date de la bénédiction abbatiale.

 

 

source scourmont

 

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Publié le 20 Mars 2016

Rédigé par Philippe

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Publié le 19 Mars 2016

 

Le petit Placide vous souhaite

une sainte semaine  dans l'espérance

de la Résurrection, en union de  prières

avec tout le sacerdoce et nos

communautés monastiques

pour notre futur père abbé.

 

priez pour moi.

+

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 19 Mars 2016

 

 

 

 

 

 

Moi, le petit âne, il m’est arrivé une aventure extraordinaire que je vais vous raconter.
J’étais alors un petit âne. Personne n’était encore monté sur mon dos.

Un jour que j’étais attaché dans la rue du village, devant la porte de la maison de mon maître, deux hommes sont venus. Ils m’ont détaché et m’ont amené vers l’un de leurs amis qu’ils ont appelé Jésus. Puis, on a mis des vêtements sur mon dos et Jésus s’est assis dessus. Je me suis laissé faire bien docilement. Jésus avait un regard si doux, il semblait si gentil. J’ai vite compris que c’était quelqu’un de très important.

Partout où l’on passait, Jésus était accueilli comme un roi. Des gens jetaient des vêtements sur notre passage. D’autres coupaient des feuillages dans la campagne et les agitaient en criant : « Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! » Nous sommes ainsi montés à la grande ville de Jérusalem et Jésus est entré dans le Temple. Nous avons parcouru les rues immenses.

Jésus ne disait plus rien. A quoi pouvait-il penser ? Plus personne ne chantait ? Quand nous passions avec Jésus au milieu de la foule des gens, ils nous regardaient en silence. Certains disaient tout bas :

Mais que vient donc faire Jésus à Jérusalem ?Le soir, quand nous sommes revenus à la maison, j’étais très fatigué !
Et mon maître m’a dit :
- Je crois qu’aujourd’hui, tu as porté le roi du monde !

Depuis, lorsque je réfléchis, je me dis que je n’ai pas vraiment compris ce qui s’était passé mais je sais que ce jour reste gravé en moi comme le plus jour de ma vie ! Peut-être ai-je porté quelqu’un de vraiment très  Merveilleux.

Philopin.

 


 

source .

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 19 Mars 2016

 

 

Le petit placide adresse à ses amis russes et Ukrainiens ses

sincères condoléances .

de tout coeur avec vous.

 

 

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Rédigé par Philippe

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