Publié le 20 Août 2009

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Publié le 19 Août 2009



"Notre-Dame fut élevée au Ciel en corps et en âme. Elle y est, et nous pouvons bien lui dire en ce jour de son Assomption: Bienheureuse, vous qui avez cru: voici qu'elles sont accomplies toutes les choses que le Seigneur vous avait promises. Votre Assomption répond à votre Immaculée Conception, ô Reine de la foi.

Reine de la foi, Marie est maitresse et guide de notre foi. Le Christ est "l'auteur et le consommateur de notre foi." mais sur sa Mère aussi, "comme sur le plus noble fondement après Jésus-Christ, repose la foi de tous les siècles."

Mère de l'Eglise, Marie veille sur l'intégrité de la foi de l'Eglise. Elle a détruit toutes les hérésies. Elle triomphera de toutes les erreurs.

Marie éduque dans l'exercice de leur foi les âmes contemplatives, tous ceux qui se donnent à Dieu, dans la vie monastique ou ailleurs, pour le connaître et l'aimer un peu mieux chaque jour.

En cette fête de l'Assomption, qui élève vers le ciel nos esprits et nos coeurs, "priez pour nous tous, ô très douce Mère, afin que par une foi féconde en bonnes oeuvres, nous méritions tous de contempler Dieu avec vous dans la céleste patrie et de le louer dans tous les siècles.



TRP dom Jean Roy
Fontgombault.



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Publié le 19 Août 2009







on ne l'oubliera pas celle-là,
merci à ceux qui ont fait libera ...!



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Publié le 19 Août 2009

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Publié le 19 Août 2009





"Terribilis ut castrorum acies ordinata."


"Cette Femme enveloppée du soleil, c'est l'Eglise. Entre Marie et l'Eglise, il y a une ressemblance profonde et une mutuelle inclusion. Marie est membre de l'Eglise, membre privilégié de l'Eglise; et pour une part importante, l'Eglise s'identifie à Marie, en laquelle elle peut se contempler comme en un modèle et comme en son principe après le Christ."


 .T. R.P. dom Roy.
Fontgombault. 


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Publié le 18 Août 2009







ah ces hôtes, enfin un peu de calme !!





n'arrêtent pas de parler quoi ! lol...



zut j'ai loupé un vol de héron !



une chapelle dans un chêne! .. 'au pied de mon arbre, je vivais heureux !..."
dédiée à la sainte famille. ! notre-dame de Brassens, euh.. du chêne . 




non, bien sympas tous ces hôtes, pas des gens coincés au moins.. !




souvenirs de Vendée à Michaël, Antoine & Jean-Pierre....



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Publié le 18 Août 2009

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Publié le 18 Août 2009

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Publié le 17 Août 2009

ROME, Lundi 17 Août 2009 (ZENIT.org) -

 

* * *

Vénérés frères dans l'épiscopat et dans le sacerdoce,

chers frères et sœurs,


La solennité d'aujourd'hui couronne le cycle des grandes célébrations liturgiques au cours desquelles nous sommes appelés à contempler la rôle de la bienheureuse Vierge Marie dans l'Histoire du salut. En effet, l'Immaculée Conception, l'Annonciation, la Maternité divine et l'Assomption sont des étapes fondamentales, intimement liées entre elles, à travers lesquelles l'Eglise exalte et chante le destin glorieux de la Mère de Dieu, mais dans lesquelles nous pouvons également lire notre histoire. Le mystère de la conception de Marie rappelle la première page de l'histoire humaine, en nous indiquant que, dans le dessein divin de la création, l'homme aurait dû posséder la pureté et la beauté de l'Immaculée. Ce dessein, compromis mais non détruit par le péché, à travers l'incarnation du Fils de Dieu, annoncée et réalisée en Marie, a été recomposé et restitué à la libre acceptation de l'homme dans la foi. Enfin, dans l'Assomption de Marie nous contemplons ce que nous sommes appelés à atteindre à la suite du Christ Seigneur et dans l'obéissance à sa Parole, au terme de notre chemin sur la terre.


La dernière étape du pèlerinage terrestre de la Mère de Dieu nous invite à considérer la façon dont Elle a parcouru son chemin vers l'objectif de l'éternité glorieuse.


Dans le passage de l'Evangile qui vient d'être proclamé, saint Luc raconte que Marie, après l'annonce de l'Ange, « se mit en route rapidement vers une ville de la montagne de Judée » pour rendre visite à Elisabeth (Lc 1, 39). En disant cela, l'évangéliste veut souligner que pour Marie, suivre sa vocation, de manière docile à l'Esprit de Dieu, qui a opéré en Elle l'incarnation du Verbe, signifie parcourir une nouvelle route et entreprendre rapidement un chemin en dehors de sa propre maison, en se laissant conduire uniquement par Dieu. Saint Ambroise, en commentant la « hâte » de Marie, affirme : « la grâce de l'Esprit Saint ne comporte pas de lenteurs » (Expos. Evang. sec ; Lucam, ii, 19 : pl 15, 1560).


La vie de la Vierge est conduite par un Autre - « Voici la servante du Seigneur ; que tout se passe pour moi selon ta parole » (Lc 1, 38) -, elle est modelée par l'Esprit Saint, elle est marquée par des événements et des rencontres, comme celle avec Elisabeth, mais surtout par la relation très particulière avec son Fils Jésus. C'est un chemin sur lequel Marie, conservant et méditant dans son cœur les événements de son existence, aperçoit en eux de manière toujours plus profonde le dessein mystérieux de Dieu le Père, pour le salut du monde.

En suivant ensuite Jésus, de Bethléem à l'exil en Egypte, lors de sa vie cachée et de sa vie publique, jusqu'au pied de la Croix, Marie vit son ascension constante vers Dieu dans l'esprit du Magnificat, en adhérant pleinement, même dans les moments d'obscurité et de souffrance, au projet d'amour de Dieu et en nourrissant dans son cœur l'abandon total entre les mains du Seigneur, si bien qu'elle est un paradigme pour la foi de l'Eglise (cf. Lumen gentium, n. 64-65).


Toute la vie est une ascension, toute la vie est méditation, obéissance, confiance et espérance, même dans les ténèbres ; et toute la vie est cette « sainte hâte », qui sait que Dieu est toujours la priorité et que rien d'autre ne doit créer de hâte dans notre existence.


Enfin, l'Assomption nous rappelle que la vie de Marie, comme celle de chaque chrétien, est un chemin d'imitation, à la suite de Jésus, un chemin qui a un objectif bien précis, un avenir déjà tracé : la victoire définitive sur le péché et sur la mort et la pleine communion avec Dieu, car - comme le dit Paul dans la Lettre aux Ephésiens - le Père « nous a ressuscités ; avec lui, il nous a fait régner aux cieux, dans le Christ Jésus » (Ep 2, 6).


Cela veut dire qu'avec le Baptême nous sommes fondamentalement déjà ressuscités et que nous siégeons dans les cieux en Jésus Christ, mais que nous devons corporellement rejoindre ce qu'il a commencé et réalisé dans le Baptême. En nous, l'union avec le Christ, la résurrection, est inachevée, mais pour la Vierge Marie elle est accomplie, malgré le chemin que la Vierge a dû elle aussi accomplir. Elle est entrée dans la plénitude de l'union avec Dieu, avec son Fils, et elle nous attire et nous accompagne sur notre chemin.


Alors, en Marie élevée au ciel, nous contemplons celle qui, par un singulier privilège, participe corps et âme à la victoire définitive du Christ sur la mort.

« Ayant accompli le cours de sa vie terrestre, elle fut élevée corps et âme à la gloire du ciel, et exaltée par le Seigneur comme la Reine de l'univers, pour être ainsi plus entièrement conforme à son Fils, Seigneur des seigneurs (cf. Ap 19, 16), victorieux du péché et de la mort » (Lumen gentium, n. 59). Dans la Vierge élevée au ciel nous contemplons le couronnement de sa foi, de ce chemin de foi qu'Elle indique à l'Eglise et à chacun de nous : Celle qui a recueilli la Parole de Dieu à chaque instant est élevée au ciel, c'est-à-dire qu'Elle est elle-même accueillie par le Fils, dans cette « demeure » qu'il nous a préparée avec sa mort et sa résurrection (cf. Jn 14, 2-3).


La vie de l'homme sur la terre - comme nous l'a rappelé la première lecture - est un chemin qui se déroule, constamment, dans la tension de la lutte entre le dragon et la femme, entre le bien et le mal. Telle est la situation de l'histoire humaine : elle est comme un voyage sur une mer souvent tempétueuse ; Marie est l'étoile, qui nous guide vers son Fils Jésus, soleil qui est né au dessus des ténèbres de l'histoire (cf. Spe salvi, 49) et elle nous donne l'espérance dont nous avons besoin : l'espérance que nous pouvons vaincre, que Dieu a vaincu et que, avec le Baptême, nous sommes entrés dans cette victoire. Nous ne succombons pas définitivement : Dieu nous aide, nous guide. Telle est l'espérance : cette présence du Seigneur en nous, qui devient visible en Marie élevée au ciel. « En Elle (...) - lirons-nous dans quelques instants dans la Préface de cette solennité - tu as fait resplendir pour ton peuple en pèlerinage sur la terre, un signe de réconfort et d'espérance certaine ».


Avec saint Bernard, poète mystique de la Sainte Vierge, nous l'invoquons ainsi : « Nous te prions, ô bénie, par la grâce que tu as trouvée, par ces prérogatives que tu as méritées, par la Miséricorde que tu as fait naître, fais que celui qui pour toi a daigné participer à notre misère et à notre infirmité, grâce à ta prière, nous fasse participer à ses grâces, à sa béatitude et à sa gloire éternelle, Jésus Christ, ton Fils, notre Seigneur, qui est au-dessus de toutes choses, Dieu béni pour les siècles des siècles. Amen »


(Sermo 2 de Adventu, 5 : PL 183, 43).

 

Benoit XVI

 


 

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Publié le 17 Août 2009

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