Publié le 7 Novembre 2009





a brother ... thank you very much. 

«Si nous marchons dans la lumière, comme il est est la lumière, nous sommes en communion les uns aux autres, et le sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché" (I Jean 1:7)

"If we walk in the light as He is is the light, we have fellowship with one another, and the blood of Jesus Christ cleanses us from all sin" (I John 1:7)

 

Que la lumière du Christ notre vrai Dieu, brille toujours dans vos coeurs et dans vos vies! Dieu vous bénisse tous !


 

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Publié le 7 Novembre 2009

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Publié le 7 Novembre 2009













Brother Jose Lagos from Saint Louis and Brother Gabriel from Brownsville, Texas.




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Publié le 7 Novembre 2009

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Publié le 7 Novembre 2009



L'homme est donc un voyageur en marche, Dieu lui-même est le terme. Il vient au-devant de l'homme, le prend pour ainsi dire parla main, l'instruit, l'éclaire, le dirige dans des voies assurées : Deus instruit per legem (saint Thomas). Telle est la loi divine ; son principe, son origine, sa nécessité tout ensemble et sa grandeur nous apparaissent ici clairement.

 Le monde physique, Messieurs, a ses lois, expression aussi de la sagesse et de la volonté de son auteur: qui songe à nier ces lois? Leur force, leur beauté ne sont-elles pas la beauté et l'harmonie divine de l'univers? De même le monde des intelligences a ses lois, ses lois constitutives. L'âme humaine reçoit de Dieu, avec sa destinée suprême et immortelle, l'ordre invariable des moyens qui constituent la voie où il faut marcher, qui constituent en même temps le bien véritable, celui qui est conforme à la fin divine. L'homme reçoit ainsi de son auteur la loi morale de ses actions, les règles augustes de ses rapports avec la Divinité.

 Il y a donc, Messieurs, une loi divine, comme il y a un Dieu créateur, comme il y a une providence divine et un gouvernement divin conduisant toutes choses à leur fin; c'est la même nécessité et la même vérité.

 La Providence n'est donc pas une idée vague, une simple formule de foi, un pieux pressentiment dela conscience, une sorte de conjecture sur la présence de la Divinité. Non, elle est l'action libératrice et législative de Dieu attestée par la raison, la foi et l'histoire entière, transpirant dans tous les faits intérieurs et extérieurs, et donnant à l'individu ainsi qu'à l'humanité, avec la loi de liberté et de combat, la puissance réelle et vivante du bien.

 « Où est cette sagesse commune, s'écriait Fénelon, cette sagesse une pour tous, cette raison supérieure à tout? Où est-il cet oracle qui ne se tait jamais, cette vive lumière qui illumine tout homme venant en ce monde ' ? » Messieurs, c'est l'esprit de Dieu , sa providence, sa loi qui est universellement imposée à la conscience et au monde moral.

 

Elle est, cette loi, le foyer unique et divin du Soleil de justice et de vérité qui s'épanche en rayons multipliés sur toute créature intelligente, car il n'en est aucune qui ait en son pouvoir de s'y soustraire : Non est qui se abscondat a calore ejus. Ces divines émanations nous environnent, nous pressent, nous pénètrent ; leur douce et bienfaisante puissance nous attache et nous oblige au bien, il est vrai ; mais en même temps elle nous éclaire, elle nous échauffe, nous soutient et nous dirige. Et telle est cette action de Dieu qui tend à la fin avec force et dispose tout avec suavité, comme parlent nos Écritures; telle est la loi divine : heureux qui marche fidèlement sous sa céleste influence!

 

Car l'homme est libre, nous le savons; il peut fléchir et s'égarer dans ses voies; il peut aimer, s'il le veut, les ténèbres plus que la lumière.

 

Père de Ravignan

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Publié le 7 Novembre 2009










radioscopie de Jacques Chancel (extrait)

R.I.P.

Henri Guerin



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Publié le 7 Novembre 2009




merci ..

vitrail de l' abbaye de  Notre Dame de Fontgombault

avec tristesse, je n'apprends que maintenant la mort de ce grand artiste que j'ai eu la chance
de connaître  à l'abbaye. Quelqu'un que j'aimais beaucoup à retrouver dont j'appréciais.
et sa discrétion, et son humilité et sa gentillesse.
Le petit Placide adresse à toute sa famille ses sincères condoléances, aux moines qui ont dû perdre
en lui un être cher, et partage leur peine et leur tristesse en cette douloureuse épreuve.
avec l'assurance de mes prières, très peiné.
requiescant in pace .





MÉDITATION D'UN ARTISTE SUR LA MORT
(Colloque - Abbaye de Sylvanes - 2002)

Extraits lus pendant la célébration

TERRE NOTRE BERCEAU, NOTRE TOMBEAU

" Ma vocation, c’est de contempler le monde créé et de m’émerveiller. Regarder pour apprendre à voir cette beauté, voilée par la délicatesse de Dieu qui ne veut pas par une gloire trop évidente attenter à notre liberté. Mais, tout autant, ce que je regarde peut me remplir d’effroi car la lumière sur le monde n’est pas dépourvue d’ombres. Notre terre berceau de l’aurore devient au soir tombeau, là où s’ensevelit au plus loin des terres l’ultime clarté du jour.
(…)

Le regard que je n’ai jamais cessé de porter sur les perpétuelles naissances et morts, ces événements quotidiens de jubilation et de tragique mêlés, ont quelque rapport avec le pressentiment de précarité de l’existence : naissance, croissance, plénitude, puis perte et retrait, disparition, absence

J’ai contemplé le monde comme un livre ouvert. Sur les pages du ciel et de la terre, j’y ai lu inscrit notre destin. La nuit me tient en proue sur l’univers, le regard se perd dans l’infini déployé, tout constellé de regards. À contempler le ciel nocturne animé de tous ces tournoiements impassibles d’éternelles processions, la mortelle certitude des vivants peut vaciller vers une folle espérance.
(…)
L’homme debout, très tôt, méditera sur l’homme couché dans la mort, quand ses proches sur le monde lui fermeront les yeux. Par ce dur désir de durer par l’Espérance chevillée au corps, il inventera les gestes de respect pour les corps désertés du souffle, il leur donnera les viatiques dans l’ensevelissement pour subsister au-delà du terme, pour la pérennité de vivants à travers la mort.
(…)

Nous tous, vivants, apparaissons un instant dans le faisceau qui nous fait sortir de l’ombre du ventre maternel, un à un, génération après génération. Chaque vie émerge éblouie par la lumière pour retourner à l’ombre dans un lent et pathétique échange

Oui, ce que j’ai appris à voir me laissera toujours aussi démuni devant le bout de bois sec d’un rosier taillé à mort, lorsque la lente procession des sèves suscitera cette infime congestion de vie, promesse d’un bourgeon d’où tant de matières inouïes surgiront.

Terre notre planète, astre unique. Peut-être le seul vaisseau habité de l’univers, minuscule planète perdue au sein des constellations, elle roule dans l’abîme à tombeau ouvert. Astre couvert d’herbes, de feuilles, de plumes, de poils, piétinant sur l’infime pellicule de vie qui le recouvre. Son terreau n’est que le résidu de milliards d’épaves, naufrages accomplis saison après saison : sables, grains et feuilles, pollens, fleurs, fruits, prairies, savanes et forêts dans la chute du bruissement d’ailes d’insectes et d’oiseaux, joint aux cris de mammifères déchirant de leurs traques, fuites et étreintes, cette implacable dévoration de vie. C’est dans ce même terreau d’infime épaisseur, levé par les siècles, couche après couche, que les hommes eux-mêmes s’y couchent, s’abîment, se défont et s’y dissolvent. Tous encore demeurent répandus, enfouis, en cette surface féconde, ils nous accompagnent en notre vaisseau clos, dans sa course éperdue.

Quand tout en vous vénère la vie sous bien des formes, peut-on conjurer la peur de la mort, par cette observation patiente que tout ce qui vit s’épanouit et meurt ? Créer, c’est un peu repousser et faire reculer la mort, sa propre mort. À chaque chantier de vitraux importants qui demandent plusieurs saisons, parfois des années de distance pour achever l’ensemble, un sentiment d’inquiétude me tenaille à chaque fois, avec l’impression ressentie souvent que le dernier en route restera inachevé. Sentiment que le temps m’est compté plus qu’aucune autre fois.

Je ne puis m’empêcher, lors du décès d’un être proche, de veiller en pensant à sa première nuit en terre, celle d’un corps abandonné à cette solitude épaisse et refermée sur elle même, enterrée. Je songe à ce reflux de la matière (…) La merveilleuse mécanique du vivant, le cœur et son réseau, le cerveau et ses fines impulsions nerveuses, tout s’anéantit.

Peut-être est-il besoin que cet anéantissement de la chair se fasse pour rejoindre le pur esprit de Dieu, immatériel, tout Esprit. Mais alors que signifie la Résurrection des corps qui nous est promise ? Car en nous vivants incarnés, rien ne peut se concevoir hors de la chair avec nos sens pour voir, sentir, écouter, toucher, parler. Sans eux, nous ne sommes rien et ce n’est pas pour rien qu’on appelle dépouille ce corps absent de lui-même, quand ce que nous appelons âmes semble avoir déserté toutes les fonctions qui l’habitaient. Question qui s’arrête au seuil de la Foi, d’une confiance de petit enfant et qui, comme Marie à l’ange, demande « Comment cela se fera-t-il ? » Sans nul doute par la Puissance du Très haut car rien n’est impossible à Dieu, puisque de la lumière qu’il créa, il fit de rien toutes choses.

Les couchants plus que les aurores viennent à leur tour rappeler le déclin de toute chose créée, avec l’espérance renouvelée chaque jour d’une aurore sans fin annoncée dans l’Apocalypse. « De nuit il n’y en aura plus, ils se passeront de lampe ou de soleil, car le seigneur répandra sur eux sa lumière. Lui qui n’est que Lumière ».

Alors courage ! (…) Tenons nos lampes allumées, même si ce ne sont plus que des mèches qui fument encore. L’Esprit, qui souffle là où il veut, ranimera nos cœurs (…). Et bien qu’aveugles parmi les aveugles, nous pressentons ce que d’autres attendent dans la nuit close : L’Espérance du lever du jour par les signes que l’Esprit nous confia, en notre vocation de veilleur."


L'hommage de son frère, l'abbé Paul Guérin



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Publié le 7 Novembre 2009




Notre-Dame du Bien-Mourir, Mère de Jésus et notre Mère, c'est avec la simplicité des petits enfants que nous venons à vous pour vous confier nos derniers instants et notre mort. Avec Jésus vous avez assisté Saint Joseph, votre époux lors de son trépas. Au pied de la Croix, vous avez reçu le dernier soupir de notre Sauveur, votre Divin Fils. Désormais, nous en avons l'assurance, vous êtes auprès de chacun de vos enfants, avec la sollicitude de votre cœur maternel, pour lui faire franchir le seuil de la mort et l'introduire dans l'éternité. Mais pour que nous puissions affronter dans la paix cette ultime épreuve, si rude à notre nature, soyez aussi pour nous Notre-Dame du Bien-Vivre. Aidez-nous, nous vous en supplions, à demeurer fidèles, jour après jour, aux engagements de notre baptême, aux enseignements de la Foi, à la pratique de la Charité. Pour y parvenir nous nous appuyons avec la certitude de l'espérance qui ne déçoit pas, sur votre intercession toute puissante. Notre-Dame du Bien-Mourir, recevez déjà notre action de grâces que nous vous rediront éternellement, et daignez continuer à "prier pour nous pauvres pêcheurs maintenant et à l'heure de notre mort".

 Amen.



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Publié le 6 Novembre 2009


ah ah ah ! a change with Petar


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Publié le 6 Novembre 2009

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