Publié le 9 Octobre 2009



Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux, et il n'y aura plus ni mort, ni pleurs, ni cris, ni douleur, car ce qui était auparavant a disparu. Et Celui qui était assis sur le trône dit:" Voici que je fais toutes choses nouvelles.

C'est ici la maison du Seigneur, elle est solidement bâtie

Bien fondée sur la pierre ferme.




Voir les commentaires

Rédigé par philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0

Publié le 9 Octobre 2009







 la véritable et seule liberté se construit, se conquiert, et s'obtient seulement au prix de multiples sacrifices... C'est dans l'amour qu'elle naît et qu'elle vit.
L'homme chez qui la charité diminue, se refroidit ou dis...paraît devient esclave de lui-même, de son image, du "je" qui devient "moi", de ses pulsions, de ses passions... alors que l'homme vraiment "aimant" est un homme libre et seul l'homme libre sait aimer.
mgr Lantheaume.

dimanche, un pas  de plus pour le ciel!
misericordias Domini in aeternum cantabo.




Merci à mes amis, facebook, youtube, chorale libera,
on n' a pas toujours été au top mais bon....
vive st Benoît!



Laetatus sum in his, quae dicta sunt mihi:
In domum Domini ibimus...
 

 



Voir les commentaires

Rédigé par philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0

Publié le 9 Octobre 2009

Rédigé par philippe

Publié dans #videos

Repost0

Publié le 8 Octobre 2009

Rédigé par philippe

Publié dans #videos

Repost0

Publié le 8 Octobre 2009

Rédigé par philippe

Publié dans #videos

Repost0

Publié le 8 Octobre 2009



"ne rien préférer à l'amour du Christ."

règle de st Benoît.


La spiritualité chrétienne a pour caractéristique fondamentale l'engagement du disciple à “se conformer” toujours plus pleinement à son Maître (cf. Rm 8, 29; Ph 3, 10.21). Par l'effusion de l'Esprit reçu au Baptême, le croyant est greffé, comme un sarment, sur la vigne qu'est le Christ (cf. Jn 15, 5), il est constitué membre de son Corps mystique (cf. 1Co 12, 12; Rm 12, 5). Mais à cette unité initiale doit correspondre un cheminement de ressemblance croissante avec lui qui oriente toujours plus le comportement du disciple dans le sens de la “logique” du Christ: « Ayez entre vous les dispositions que l'on doit avoir dans le Christ Jésus » (Ph 2, 5). Selon les paroles de l'Apôtre, il faut « se revêtir du Seigneur Jésus Christ » (cf. Rm 13, 14; Ga 3, 27).

Dans le parcours spirituel du Rosaire, fondé sur la contemplation incessante – en compagnie de Marie – du visage du Christ, on est appelé à poursuivre un tel idéal exigeant de se conformer à Lui grâce à une fréquentation que nous pourrions dire “amicale”. Elle nous fait entrer de manière naturelle dans la vie du Christ et pour ainsi dire “respirer” ses sentiments. Le bienheureux Bartolo Longo dit à ce propos: « De même que deux amis qui se retrouvent souvent ensemble finissent par se ressembler même dans la manière de vivre, de même, nous aussi, en parlant familièrement avec Jésus et avec la Vierge, par la méditation des Mystères du Rosaire, et en formant ensemble une même vie par la Communion, nous pouvons devenir, autant que notre bassesse le permet, semblables à eux et apprendre par leurs exemples sublimes à vivre de manière humble, pauvre, cachée, patiente et parfaite ».

 

Grâce à ce processus de configuration au Christ, par le Rosaire, nous nous confions tout particulièrement à l'action maternelle de la Vierge Sainte. Tout en faisant partie de l'Église comme membre qui « tient la place la plus élevée et en même temps la plus proche de nous » , elle, qui est la mère du Christ, est en même temps la “Mère de l'Église”. Et comme telle, elle “engendre” continuellement des fils pour le Corps mystique de son Fils. Elle le fait par son intercession, en implorant pour eux l'effusion inépuisable de l'Esprit. Elle est l'icône parfaite de la maternité de l'Église.


Mystiquement, le Rosaire nous transporte auprès de Marie, dans la maison de Nazareth, où elle est occupée à accompagner la croissance humaine du Christ. Par ce biais, elle peut nous éduquer et nous modeler avec la même sollicitude, jusqu'à ce que le Christ soit « formé » pleinement en nous (cf. Ga 4,19). Cette action de Marie, totalement enracinée dans celle du Christ et dans une radicale subordination à elle, « n'empêche en aucune manière l'union immédiate des croyants avec le Christ, au contraire elle la favorise ». Tel est le lumineux principe exprimé parle Concile VaticanII, dont j'ai si fortement fait l'expérience dans ma vie, au point d'en faire le noyau de ma devise épiscopale “Totus tuus”.


Comme on le sait, il s'agit d'une devise inspirée par la doctrine de saint Louis Marie Grignion de Montfort, qui expliquait ainsi le rôle de Marie pour chacun de nous dans le processus de configuration au Christ: « Toute notre perfection consistant à être conformes, unis et consacrés à Jésus Christ, la plus parfaite de toutes les dévotions est sans difficulté celle qui nous conforme, unit et consacre le plus parfaitement à Jésus Christ. Or, Marie étant de toutes les créatures la plus conforme à Jésus Christ, il s'ensuit que, de toutes les dévotions, celle qui consacre et conforme le plus une âme à Notre-Seigneur est la dévotion à la Très Sainte Vierge, sa sainte Mère, et que plus une âme sera consacrée à Marie, plus elle le sera à Jésus Christ ».


Jamais comme dans le Rosaire, le chemin du Christ et celui de Marie n'apparaissent aussi étroitement unis. Marie ne vit que dans le Christ et en fonction du Christ!

 

 

ROSARIUM VIRGINIS MARIAE
DU PAPE
JEAN-PAUL II

Voir les commentaires

Rédigé par philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0

Publié le 8 Octobre 2009

Rédigé par philippe

Publié dans #videos

Repost0

Publié le 7 Octobre 2009

Rédigé par philippe

Publié dans #videos

Repost0

Publié le 6 Octobre 2009

Rédigé par philippe

Publié dans #videos

Repost0

Publié le 6 Octobre 2009





N.D du Très saint Rosaire, priez pour nous.



"Un grand signe apparut dans le ciel."


... un autre signe parut dans le ciel: c'était un Dragon couleur de feu, avec sept têtes et dix cornes: sur ses têtes sept diadèmes, et sa queue balaie le tiers des étoiles du ciel. Et elle les jeta à terre. Puis le Dragon se posta en face de la Femme qui allait enfanter, pour dévorer son enfant sitôt mis au monde. Et elle enfenta un fils, un fils mâle, qui doit régir toutes les nations avec une verge de fer. Et son enfant fut emporté auprès de Dieu et de son trône, et la Femme s'enfuit au désert, où Dieu lui a ménagé une retraite pour qu'on l'y nourrisse durant cent soixante jours..."  (Apoc. 12.2.6)

Spectacle grandiose, spectacle mystérieux! Quel en est le sens général, et de quelle Femme s'agit-il?

La Femme c'est l'Eglise, l'Eglise en un sens large, celle de l'Ancien Testament et celle du Nouveau, celle de la terre et celle du Ciel, la Cité de Dieu qui, sous des modalités diverses, existe depuis les origines et qui n'aura pas plus de fin que le règne du Christ.

L'Eglise est revêtue de gloire, et par sa grâce, elle est invincible. Et pourtant ce n'est pas sans souffrances qu'elle enfante les saints, et elle est en butte aux persécutions du Dragon, chef des esprits mauvais qui a fait crucifier le Christ personnel Jésus, et qui pousse à l'apostasie le Christ mystique, c'est-à-dire les fidèles.

L'Eglise est à la fois en péril et en sécurité, et ce mélange de sécurité et de péril durera pour elle jusqu'à ce que le Christ, élevé au jour de l'Ascension jusqu'au trône de Dieu, revienne pour juger les vivants et les morts. D'ici là, l'Eglise est nourrie, dans son séjour terrestrer, de la Parole de Dieu et de l'Eucharistie.

Spectacle terrible en même temps que glorieux que celui du développement historique de l'Eglise, vision de paix cependant que celle de cette Epouse invincible du Christ vainqueur, dont elle partage la béatitude et la splendeur. Le démon hurle et frappe horriblement à moins que, pour mieux travailler, il ne se transforme en ange de lumière ou tout simplement se fasse oublier.

Il fait parmi les hommes des ravages, mais sa haine et sa rage laissent intacte la Sainte Eglise notre Mère dans sa beauté, dans sa sainteté, dans sa fécondité, et nul ne peut ravir à cette Mère les élus que Dieu a constitués ses enfants.

.. En face du démon se dresse Marie dans toute la glorieuse puissance de son Assomption, Marie, Mère de l'Eglise, Marie victorieuse des hérésies et gardienne de la foi, Marie rempart de la chrétienté, la Vierge de Lépante, la Vierge du Rosaire, Marie pleine de tendresse pour ses fils,


TRP dom Roy
Notre Dame de Fontgombault.



Voir les commentaires

Rédigé par philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0