Publié le 16 Septembre 2009

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Publié le 15 Septembre 2009



Elle "nous aime sans doute par un mouvement très élevé de dilection toute spirituelle. Cependant ce n'est pas un séraphin qui nous aime; mais une femme, avec son coeur de chair. C'est une femme qui s'est gardée dans la virginité et qui, à cause de cela, en est toujours à la tendre intimité et à la très pure liberté des premiers amours. C'est une femme qui cependant s'est singulièrement mûrie dans la maternité et qui par là n'ignore rien des dévouements, ni des responsabilités, ni des soucis, ni des plus angoissants sacrifices.
Marie est un coeur qui est extrémement délicat et qui a énormément souffert...
Elle est animée envers nous de la tendresse la plus pénétrante et de la pitié la plus vraie. Son amour est un merveilleux composé: c'est de la plus exquise sensibilité féminine transformée dans la plus ardente charité divine. Il est une source intarissable de miséricorde...."

P. Bernard O.P. le mystère de Marie





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Publié le 15 Septembre 2009













grotte de la nativité à Chavagnes en Paillers.



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Publié le 15 Septembre 2009

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Publié le 14 Septembre 2009



"Nous le savons et nous le savons par une espérance qui ne trompe pas. Il viendra une heure où notre foi s'affranchira de ses ombres pour s'éveiller enfin à la lumière, une heure où nous n'espérons plus et où la charité du temps échappera à ses intermittences et à ses langueurs.

Toute notre vie est marquée par l'attente, orientée vers Dieu.

Même et dans un sens vrai, nous ne sommes pas nés encore, notre jour natal n'est pas venu, nous sommes portés dans le sein de notre mère, la sainte Eglise.

Il est facile dès lors, de reconnaître le rôle de l'espérance chrétienne: elle ordonne notre vie de foi et de charité vers son achèvement éternel. Elle nous avertit à toute heure que les conditions d'infirmité où nous sommes retenus ne sont pas définitives. Elle rassure notre foi, elle excite notre charité. Elle nous montre la briéveté de la vie présente en relation étroite avec l'éternité;

là du moins nous verrons, nous jouirons, nous aimerons sans fin."


dom Delatte.

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Publié le 13 Septembre 2009



la chapelle N.D. du Chêne et la forêt de Grasla, refuge vendéen . Chavagnes en Paillers.  

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Publié le 13 Septembre 2009




"Dans chaque petite chose, il y a un ange."



     Georges Bernanos

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Publié le 12 Septembre 2009

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Publié le 12 Septembre 2009

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Publié le 12 Septembre 2009




La fête du saint Nom de Marie fut établie par le Pape Innocent XI, l’an 1683, en souvenir d’une mémorable victoire
remportée par les chrétiens sur les Turcs, avec la protection visible de la Reine du Ciel. Cent cinquante mille Turcs s’étaient avancés jusque sous les murs de Vienne et menaçaient l’Europe entière. Sobieski, roi de Pologne, vint au secours de la ville assiégée dans le temps de l’octave de la Nativité de la Sainte Vierge, et se disposa à livrer une bataille générale.

Ce religieux prince commença par faire célébrer la Messe, qu’il voulut servir lui-même, ayant les bras en croix. Après y avoir communié avec ferveur, il se leva à la fin du Sacrifice et s’écria : « Marchons avec confiance sous la protection du Ciel et avec l’assistance de la Très Sainte Vierge. » Son espoir ne fut pas trompé : les Turcs, frappés d’une terreur panique, prirent la fuite en désordre. C’est depuis cette époque mémorable que la fête du saint Nom de Marie se célèbre dans l’octave de Sa Nativité. ’Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l’année.’


Il était bien juste que le nom de Marie trouvât sa place, dans nos fêtes catholiques, à côté du nom de Jésus, le nom de Marie est un nom glorieux, un nom tout aimable, un nom salutaire. Les Saints se sont essayés à l’envi à retracer les merveilles du nom de Marie. La première gloire de ce nom béni, c’est qu’il fut inspiré par Dieu aux parents de la Vierge naissante et que l’archange Gabriel le prononça d’une voix pleine de respect ; et depuis, toutes les générations chrétiennes le redisent à chaque instant du jour ;

le Ciel prononce à la terre ce nom si beau, et la terre en revoie au Ciel l’écho mélodieux : « Au nom de Marie, dit Pierre de Blois, l’Église fléchit le genou, les vœux et les prières des peuples retentissent de toutes parts. »


« Que Votre nom est glorieux, ô sainte Mère de Dieu ! s’écrie saint Bonaventure ; qu’il est glorieux, ce nom qui a été la source de tant de merveilles ! » – « O nom plein de suavité ! s’écrie le bienheureux Henri Suzo. O Marie ! Qui êtes-Vous donc Vous-même, si Votre nom seul est déjà si aimable et si rempli de charmes ? »


– « Votre nom, ô Marie, dit saint Ambroise, est un baume délicieux qui répand l’odeur de la grâce ! » – Mais surtout le nom de Marie est un nom de salut. Saint Éphrem l’appelle la Clef du Ciel. « Le nom seul de Marie, dit saint Bernard, met en fuite tous les démons… » Ce n’est là qu’un faible écho de l’apologie du nom de Marie faite par les Saints.

 

 

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