Publié le 21 Juin 2009







Frère Vincent Ferras reçoit la médaille d'Or de la Jeunesse et Sports.






Moine, rugbyman, chanteur, écrivain, dresser le portrait de frère Vincent Ferras bigourdan est un exercice difficile. Installé depuis 60 ans à l'abbaye d'En Calcat dans le Tarn, chez les Bénédictins, il vient de se voir épingler sur le revers de la tunique la médaille d'or de la jeunesse et des sports. En effet, c'est au titre d'ancien rugbyman qu'il vient de passer deux jours à Lourdes, dans le cadre du Rassemblement International des Sportifs (RIS) où, au cœur de la fête, à l'intérieur du stade Antoine-Béguère, il a reçu la haute distinction des mains de Michel Crauste, membre du conseil municipal, figure rugbystique et Mgr Michel Pouysse, évêque de Périgueux et Sarlat, lui-même rugbyman et supérieur hiérarchique de frère Vincent. « Je suis très flatté » confie frère Vincent. « D'abord de recevoir cette médaille ici à Lourdes et en présence de mon supérieur. Lorsqu'on m'a informé de cela, quelle surprise » dit-il l'œil pétillant de malice et de plaisir.

Rugbyman

Ce moine atypique a surtout été décoré pour son implication dans ce sport : « j'ai d'abord joué talonneur en cadet junior à Lannemezan », ville où en 1950, il exerçait le métier de carrossier. Et puis il a « lâché les filles et les copains », comme il aime à dire, pour rentrer dans les ordres. Mais ce ballon ovale le tenait bon, et de grands concours de circonstances l'ont maintenu dans ses activités. Il a passé 35 ans à diriger des clubs et à en créer. « On avait la même passion avec mon supérieur de l'abbaye » se souvient-il. « En 1970, il m'a demandé de créer un club à Dourgne, puis j'ai rejoint Revel en qualité de vice-président ». Et en 1976, à la demande des filles, il a fondé une équipe féminine dans le Lauragais, puis une autre dans la Montagne Noire. C'est à cette époque qu'il a écrit une chanson - pour « encourager mes jeunes » se souvient-il - tandis qu'il sort de son cartable son dernier ouvrage « les cloîtres de Lavaur » en Albigeois, résultats de travaux et recherches des bénédictins d'En Calcat.

le petit Placide lui adresse ses sincères félicitations...


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Publié le 21 Juin 2009








on passe le  Bach !

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Publié le 21 Juin 2009

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Publié le 21 Juin 2009





Effectivement et nous le savons tous, les choristes de Libera comme pour les autres chorales d'ailleurs, ne sont que de passage. Libera est éternelle grâce à des voix qui elles ne sont qu'éphémères, un paradoxe n'est-ce pas, mais c'est cela qui fait la force de Libera et des autres, le chef de choeur doit s'adapter à ces changements de choristes. Cela impose au chef de choeur de revoir ces arrangements musicaux pour s'adapter aux nouveaux venus, Libera évolue "grâce" au départ de certains. Nous avons tous nos coups de cœur pour tel ou tel choriste, cela est évident, un tel pour sa bouille, un autre pour sa voix, ... Mais il ne faut jamais oublier qu'une chorale est avant tout un ensemble, un groupe, une unité, on ne peut dissocier tel ou tel choriste du groupe car cela ne ressemblerait plus à rien. J'aime Libera pour cet ensemble, j'écoute cet ensemble, je ressens les émotions qui passent au travers les chants de cet ensemble. Cette polémique autour du départ de Tom me semble déplacer car elle fait oublier les autres cela m'exaspère. Tous les choristes comme tous les fans de Libera savent qu'un jour ou l'autre l'heure du départ sonnera, évidemment nous ressentons un petit pincement au cœur surtout lorsqu'il s'agit d'un des choristes les plus anciens et cela se comprend, mais il ne faut pas s'arrêter là car ce serait l'arrêt de Libera.
Il faut continuer à aimer Libera, dans le respect des enfants, dans le respect du travail réalisé, dans le respect de ce qu'ils nous apportent. Il faut savoir se tenir face à cette magnifique envie de chanter, de partager, .. et non s'emballer comme un dérater face à ces gamins qui ne font que partager leur passion. Et il ne faut pas oublier les parents qui ont eux aussi une importance non négligeable dans la vie et l'avenir de ce chœur.
N'oublions pas que le respect des autres passe avant tout par le respect de sois même, alors que les gens mal intentionnés passent leur chemin ou utilisent les CD.
Eric

réponse:

De mon côté pas de polémique. J'informe mes lecteurs. Dans l'ensemble je te rejoints évidement. Je leur rends hommage car après tout,  les anciens je ne les ai pas connus autant puisque je n'ai découvert libera, il n'y a que trois ans maintenant. Comme tu dis comme pour les choristes avec Jean-Baptiste, on a  un pincement au coeur quand ils quittent la scène. Pour les autres il en sera de même puisque deux ou trois ont la même ancienneté comme Joshua Madine ou Edward...si je suis toujours sur la scène!

C'est aussi un tournant de mon existence; il m'ont réconforté dans mon drame. Normal que le petit Placide leur rende cet hommage profitant de Tom. Dans le groupe je n'ai de préférence pour personne. Chacun a son charme, le charme de la jeunesse. Comme pour les Wiener, s'il fallait faire un choix, on est pas sorti de l'auberge. D'ailleurs a-t-on un choix à faire?

 Je n'ai trouvé qu'eux comme réconfort et les quelques rares individus virtuels avec qui j'ai pu partager cette passion non pas seulement de Libera mais de toutes les autres chorales.

Sans cela évidement le petit Placide n'aurait pas eu sa raison d'être. C'était sa note personnelle. Elargir son apostolat au travers des amis de youtube, faire connaître mes moines, le Pérou, . Apporter un peu de réconfort, même si c'était plutôt moi qui en avait besoin. L'accueil n'a pas été unanime partout; normal, la mission n'est jamais une aventure de gagnée. Elle est à hauts risques. On perd, on gagne. Savoir accepter aussi de perdre. J'ai souvent perdu, je me suis planté en bien des domaines. Mais j'ai été surpris de l'impact sur youtube par des gens de sensibilité différente si réceptifs, plus que dans les milieux habituels tradis où là on a rien à recevoir puisqu'on a tout.


Comme me disait un moine quand on a plus d'espoir humain, il faut garder l'Espérance surnaturelle, pas évident.
Comme dans une chambre d'hôpital, on a le goutte à goutte, et si on coupe il n'y a plus rien qu'un cadavre.

C'est l'effet boomerang aussi, on envoie mais on reçoit en pleine figure d'abord pour soi.
C'est déjà soi que l'on cherche à convaincre. Un travail de longue haleine. Surtout dans ce domaine.
On essaye de se convaincre dans la nuit la plus profonde de tout ce que l'on met ou l'on écoute pour garder l'Espérance qui nous habite. On est tellement rempli de doutes. On doute tellement sur soi, sur tout. L'Espérance qu'il faut entretenir, bichonner, cajoler, protéger.

Le reste n'appartient qu'à Dieu de savoir à qui le distribuer, si cela a profité ou non, on a contribué pour moi cela suffit c'est son oeuvre à lui ...

Comme Tom le petit Placide aussi arrive dans sa période de mue. Il n'est pas assuré de demain. Il aura trouvé à travers libera un semblant d'humanité qu'ailleurs il n'a jamais pu trouver... ces petits riens (avec toi c'était pas un petit rien) que vous avez su partager  gratuitement, sans calcul, et c'est pour cela qu'il vous en est particulièrement reconnaissant au travers de Libera.  Ce qui m'a le plus évidement marqué cet échange bref avec Lihuarn. Oui ça m'a fait tout drôle. Tant de gentillesse en si peu d'instant. Des petits échantillons d'humanisme, ce n'est pas de trop. En général, c'est la pénurie, crise oblige.  Il vaut mieux faire avec du doctrinal c'est moins engageant.

Pour le reste, ceux qui en auront abusé, tant pis. Ceux qui m'ont menti, tant pis. Et on m'a menti, et j'ai été abusé. Trop menti. Mais je crois aussi en la Justice et qu'elle se fera toute seule. Je n'ai pas besoin de la faire. J'ai eu trop confiance.  tant pis pour moi dans un sens.  Le péché des solitaires. Maintenant immunisé, je ne fais plus d'illusions, sur rien, sur personne.  Cela s'apprend.

J'ai appris aussi à relativiser rencontrant vos propres parcours, votre propre expérience.
Je me disais que malgré tout j'avais un peu de chance même si c'est une chance de survie. La chance d'avoir la Foi.
A croire que la souffrance nous identifie aussi à quelque chose, à quelqu'un. La tienne, celle de Lhiuarn... tout le reste est tellement subjectif.

... demain? que sera demain?

à tous quand même merci. Sorry hier soir absent. le coeur fatigue, je me couche comme les moines ! voilà c'est la fête des pères, ça me fait drôle aussi. Bonne fête aux pères Abbés tiens ! même si c'est une fête un peu païenne...

Finalement nous sommes tous des petits Tom Cully, .. on ne fait que passer in hac lacrimarum vallee; Dieu assure aussi la relève comme Mr Prizeman. La grande Chorale continue malgré tout. Le Bon Dieu s'adapte à ces changements de choristes, il revoit ses arrangements musicaux pour s'adapter aux nouveaux venus...

Un jour ou l'autre l'heure du départ aussi sonne.

"Dieu essuyera toutes les larmes de nos yeux."
Il en aura du boulot!

Philippe.








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Publié le 20 Juin 2009







Benoît XVI est attendu ce dimanche au sanctuaire de San Giovanni Rotondo, dans la région italienne des Pouilles. Le Pape y vénèrera la dépouille mortelle du plus populaire des saints de la péninsule, le Padre Pio da Pietralcina, le capucin aux stigmates, mort en 1968 et canonisé en 2002. Sur place, les préparatifs vont bon train. Plus de 30.000 pèlerins sont attendus. 300 journalistes ont été accrédités.
Benoît XVI arrivera à 9h15. Accompagné d'un groupe de frères capucins, il effectuera une visite privée sur les lieux où le Père Pio a vécu avant de descendre dans la crypte du sanctuaire Sainte Marie des Grâces où se trouve sa dépouille. A 10h30, le Pape présidera une concélébration eucharistique en plein air, sur le parvis de la nouvelle basilique réalisée par le célèbre architecte italien Renzo Piano. La messe sera suivie de la prière de l'Angélus. Dans l'après-midi, il rencontrera les malades, le personnel soignant et les dirigeants de l'hôpital fondé sous l'impulsion du Padre Pio. Sa visite s'achèvera par une rencontre avec les prêtres, les religieux, les religieuses et les jeunes. Son retour au Vatican est prévu à 19h30
Jean-Paul II, on le sait, avait une grande dévotion pour le padre Pio. Mais quel sens faut-il donner à la visite de son successeur Benoît XVI.


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La spiritualité eucharistique de padre Pio et la souffrance (I)

Entretien avec Mgr Follo sur le sens chrétien de la souffrance


 

ROME, Lundi 15 juin 2009 (ZENIT.org) -

 

  Mgr Follo rappelle que saint Pio a fondé à San Giovanni Rotondo l'hôpital ultra moderne, que visitera Benoît XVI, et auquel le saint a donné le nom de « Maison du soulagement de la souffrance ». 

A l'occasion de la visite de Benoît XVI à San Giovanni Rotondo, dimanche prochain, 21 juin, sur les pas de Padre Pio, nous re-proposons des extraits d'un entretien accordé par Mgr Francesco Follo, observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris, et qui se rend chaque année au sanctuaire du saint capucin italien stigmatisé, à Thomas Gueydier, directeur du Centre d'études théologiques de Caen. Un entretien réalisé à l'occasion d'un colloque organisé par Mgr Follo à l'UNESCO sur la signification de la douleur et publié sur le site des Jeunes de la conférence des évêques de France.


Thomas Gueydier : Vous avez connu personnellement le Padre Pio ?


Mgr Follo : Non, malheureusement pas. Ce qui m'a frappé quand j'ai lu la vie de ce saint, c'est qu'il a eu les stigmates pendant cinquante ans sans jamais se plaindre. De plus, il a toujours cherché à soulager la douleur des autres. L'hôpital qu'il a fondé s'appelle la « Maison  du soulagement de la souffrance » (« Casa Sollievo della Sofferenza »). 

Thomas Gueydier : Qu'avez-vous retenu de padre Pio ? 

Mgr Follo : Il est l'image du Christ. Il est le premier prêtre stigmatisé, il a participé à l'expiation du Christ, ancre d'espérance. Le P. Pio a aimé le Christ au point de ne pas s'éloigner un seul instant de Sa volonté. Et Jésus, pour lui montrer Son amour, lui a donné les sceaux de Sa Passion, afin que le monde entier voie en lui l'image du Christ et se convertisse.


Thomas Gueydier : La douleur - ou la souffrance - est-elle une énigme ou un mystère ?


Mgr Follo : La douleur est une expiation pour soi-même et pour les autres. En outre, il faut noter que la souffrance n'est pas un « problème », car qui dit problème dit solution, or il n'y a pas de solution à la souffrance. Ce n'est pas non plus une énigme, car on peut toujours percer une énigme, comme Œdipe aux portes de Thèbes a percé l'énigme du Sphinx. En revanche, on peut dire que c'est un mystère. Mais attention ! Le mystère, ce n'est pas pour les chrétiens une privation, mais un excès de sens, un surplus de lumière devant laquelle on ferme les yeux pour ne pas être ébloui. Le mystère de la souffrance, dans l'expérience chrétienne, ne se définit pas négativement comme quelque chose d'incompréhensible. Ce n'est pas un mur, mais une porte ouverte sur l'Infini, une porte dont la Croix est la clef. Autrement dit, la souffrance n'est pas la porte fermée du tombeau, mais une ouverture. La mort et la souffrance prennent souvent des aspects tragiques, mais elles ont une issue. Telle est du moins l'Espérance, qui nous est donnée. « Pour espérer, il faut avoir reçu une grande grâce », disait Péguy. Grâce à l'espérance, la souffrance nous apparaît comme le manque d'un bien que l'on possédait mais qui est absent. Un écrivain italien, qui s'est suicidé, disait : « Si rien ne nous a été promis, pourquoi attendons-nous ? ». Au final, la souffrance devient une occasion de croissance.


Thomas Gueydier : Est-ce que l'Eglise n'a à proposer qu'un discours sur la souffrance ?


Mgr Follo : Non. Dans l'histoire de l'Eglise, il y a toujours eu les théologiens en chambre mais, parallèlement, il y a toujours eu une vraie réflexion fondée sur l'expérience. Le pape Jean-Paul II lui-même, qui a beaucoup apporté à la théologie, est un homme qui a beaucoup souffert et ce, tout au long de son pontificat. Il avait déjà été victime de l'attentat quand il a écrit sa lettre apostolique sur la souffrance, en 1984. De plus, il ne faut pas oublier que le premier hôpital fut fondé en 1480 par sainte Catherine de Gênes. Les recherches archéologiques nous montrent d'ailleurs que les hôpitaux n'existaient pas dans le monde non-chrétien. Le travail accompli actuellement par la communauté de l'Arche ou par les médecins chrétiens, comme le professeur Mirabel, sont significatifs aussi.


Thomas Gueydier : L'attitude qui s'impose face à ceux qui souffrent est évidemment la compassion. Mais ne pensez-vous pas que ce qui manque à notre société, c'est un discours sur le sens de la souffrance ?


Mgr Follo : Le Christ n'est pas venu dans le monde pour expliquer la Croix mais pour la remplir de sa présence, comme le disait si génialement Claudel. Ceci dit, on a besoin de sens. Permettez-moi de citer un auteur italien à ce sujet, Dante: « Vous n'êtes pas né pour être comme des animaux mais pour suivre vertu et connaissance ». Mais le problème avec la douleur ne réside pas d'abord dans la question du sens mais dans la manière dont on peut la vaincre. Voilà la priorité absolue : vaincre la douleur. D'ailleurs le Christ n'est pas tant venu pour donner sens à la souffrance que pour la transformer en son contraire, à savoir une chose positive qui mène au Salut. Je le répète : on ne répond à la douleur qu'en la vainquant.

 

 

Fin de la première partie

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Publié le 20 Juin 2009



"Tu es Pierre et sur cette pierre, je bâtirai mon Eglise"















Veni Creator spiritus pour les futurs ordonnés
de ce mois de Juin 2009.









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Rédigé par philippe

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Publié le 20 Juin 2009

Rédigé par philippe

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Publié le 19 Juin 2009


with  my prayers for you
thank's











Un soliste hors pair.....








j'aime beaucoup ce commentaire plein de respect pour eux traduit de google... de l'anglais .
sur dear madine. fan de libera. Entièrement d'accord. Quelqu'un de réaliste. Pour parler de la sorte, quelqu'un qui doit être de ma génération sans aucun doute. ...sympa.
 Oui cette envie de la vie, cette joie de vivre, qui nous motive. Cette joie, cette douceur communicative qui est pleinement la leur du plus petit au plus grand et qui fait partie de l'enchantement de ce choeur d'enfants. Chorégraphie, tout y est lié.
Cela va du far away au panis angelicus, I am the day, 'je suis l'Alpha et l'Omega" .. au chant de tristesse du pie Jesu Domine, au chant de louange et d'action de grâces du For the beauty, à l'adoramus... oui et tout cela peut interpeler et interpelle beaucoup dans ce monde où le règne l'empire du mal et de la haine...faire prendre conscience que simplement Dieu existe !
Simplement cela.
Tout ce que nous ne trouvons pas dans le monde adulte. Si le Christ nous a laissé les enfants comme modèles ce n'est pas pour rien. Ces sourires qui égayent notre triste existence, cette pureté de l'enfance qui nous rapproche du ciel, surtout lorsqu'ils nous chantent des chants religieux. Sans cela évidement libera ne serait rien du tout, leurs chants sont des prières .... En cela oui leur importance est d'une grande valeur pour le monde qui nous entoure... ils nous touchent au plus profond de nous-mêmes ! ... je suis assez pour. On ne peut les isoler du monde religieux qui les entoure, le faire serait une grossière erreur et une aventure dangereuse. Ils apportent au monde avant tout un message chrétien, allant chaque dimanche suivre dans leur paroisse respective l'office religieux... Cela on ne l'oublie  que trop facilement.
Dans cette période noire de mon existence, il n'est pas difficile de dire qu'ils m'ont été d'un grand soutien et d'un grand réconfort moral.

Pour les Wiener c'est autre chose. C'est la joie qui domine. On écoute des wiener la morosité s'évapore au loin. Les démons n'aiment pas la joie. Evidement tout cela est contraire à l'atmosphère quotidienne environnante;  Le chant pur écarte les démons.

Commentaire, qui sous entend un incident fâcheux passé lors d'un de leurs derniers concerts, et qui sous entend que les responsables vont de plus en plus les préserver. Mais cela..l'avenir nous le dira.




Nous avons tout simplement d'accepter que Voyces ... mais sont en train de changer: si nous nous sentons tous un grand engagement pour les garçons (et de la douleur quand on est en cours), que le meilleur de nous-mêmes est réveillé par le biais de leur musique, leur présence, leur jeunesse, par le biais de ce qu'ils font, leur présentation et leur présence, qu'ils sont si attrayants pour nous, - un aîné qui parle comme ça -
car ils nous touchent au plus profond de nous-mêmes.

Parce qu'ils sont jeunes,
nous devons avoir le plus grand respect pour eux

(dans leur situation de chanteurs / aigus, ils courent un certain risque pour, par exemple, être approched par des pédophiles ou d'autres choses). Comme la satisfaction de ce qu'ils font dans leur visage est visible chaque fois que nous mai être sûr que le groupe de responsables savent ce qu'ils font. (au courant sûrement de certains mots d'ordres !)

Nous leur donnons le plus grand respect par les aimer en toute discrétion dans notre propre cœur, et, en estimant que leur expérience sûrement Libera-est / a été un bon départ dans la vie. Nous avons donc les suivre de loin mai par fan-sites et dans le même temps, dire tout notre respect et notre amour. Leur importance pour le monde est d'une grande valeur. Nous prions pour eux et pour l'église anglicane qui honore aussi bien le culte.

Avec un grand merci à leurs parents pour tous les efforts.
Il ne faut pas être stupide ni aveugle, ni savoir l'anglais pour en saisir tout le sens...
à suivre !


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Rédigé par philippe

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Publié le 19 Juin 2009
















Chers frères et sœurs,

Dans l'antienne du Magnificat, nous chanterons d'ici peu : «Le Seigneur nous a accueillis dans son cœur - Susceptit nos Dominus in sinum et cor suum». Dans l'Ancien Testament, il est question 26 fois du cœur de Dieu , considéré comme l'organe de sa volonté : c'est par rapport au cœur de Dieu que l'homme est jugé.

A cause de la douleur que son cœur éprouve pour les péchés de l'homme, Dieu décide le déluge, mais s'émeut ensuite face à la faiblesse humaine et pardonne. Il y a ensuite un passage vétérotestamentaire dans lequel le thème du cœur de Dieu est exprimé de façon absolument claire : c'est dans le chapitre 11 du livre du prophète Osée, où les premiers versets décrivent la dimension de l'amour avec lequel le Seigneur s'est adressé à Israël à l'aube de son histoire : «Quand Israël était jeune, je l'aimais, et d'Egypte j'appelai mon fils» (v. 1). En vérité, à l'inlassable prédilection divine, Israël répond avec indifférence et même ingratitude. «Mais plus je les appelais - est obligé de constater le Seigneur - plus ils s'écartaient de moi» (v. 2). Toutefois, Il n'abandonne jamais Israël aux mains des ennemis, lit-on au verset 8 car «mon cœur - observe le Créateur de l'univers - en moi est bouleversé, toutes mes entrailles frémissent».


Le cœur de Dieu frémit de compassion ! Aujourd'hui, en la solennité du Sacré Cœur de Jésus, l'Eglise offre à notre contemplation ce mystère, le mystère du cœur d'un Dieu qui s'émeut et reverse tout son amour sur l'humanité. Un amour mystérieux, qui dans les textes du Nouveau Testament, nous est révélé comme une passion incommensurable de Dieu pour l'homme. Il ne se rend pas face à l'ingratitude et pas même devant le refus du peuple qu'il a choisi ; au contraire, avec une infinie miséricorde, il envoie dans le monde son Fils unique afin qu'il prenne sur lui le destin de l'amour détruit ; afin que, vainquant le pouvoir du mal et de la mort, il puisse rendre la dignité de fils aux êtres humains devenus esclaves par le péché. Tout cela a un prix élevé : le Fils unique du Père s'immole sur la croix : «Ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, il les aima jusqu'à la fin» (cf. Jn 13, 1). Le symbole de cet amour qui va au-delà de la mort est son côté transpercé par une lance. A cet égard, le témoin oculaire, l'apôtre Jean, affirme : «L'un des soldats, de sa lance, lui perça le côté et il sortit aussitôt du sang et de l'eau» (cf. Jn 19, 34).

Chers frères et sœurs, merci car, répondant à mon invitation, vous êtes venus nombreux à cette célébration par laquelle nous entrons dans l'Année sacerdotale. Je salue Messieurs les cardinaux et les évêques, en particulier le cardinal-préfet et le secrétaire de la Congrégation pour le clergé avec ses collaborateurs, et l'évêque d'Ars. Je salue les prêtres et les séminaristes des divers séminaires et collèges de Rome ; les religieux et les religieuses, ainsi que tous les fidèles. J'adresse un salut spécial à Sa Béatitude Ignace Youssef Younan, patriarche d'Antioche des Syriens, venu à Rome pour me rencontrer et signifier publiquement l'«ecclesiastica communio» que je lui ai accordée.

Chers frères et sœurs, arrêtons-nous ensemble pour contempler le Cœur transpercé du Crucifié. Nous avons écouté &a grave; nouveau tout à l'heure, dans la brève lecture tirée de la Lettre de saint Paul aux Ephésiens, que «Dieu, riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, alors que nous étions morts par suite de nos fautes, nous a fait revivre avec le Christ [...] avec lui Il nous a ressuscités et fait asseoir aux cieux, dans le Christ Jésus» (Ep 2, 4-6). Etre en Jésus Christ c'est déjà être assis dans les Cieux. Dans le cœur de Jésus est exprimé le noyau essentiel du christianisme ; dans le Christ nous a été révélée et donnée toute la nouveauté révolutionnaire de l'Evangile : l'Amour qui nous sauve et nous fait vivre déjà dans l'éternité de Dieu. L'évangéliste Jean écrit : «Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle» (3, 16). Son cœur divin appelle alors notre cœur ; il nous invite à sortir de nous-mêmes, à abandonner nos certitudes humaines pour placer notre confiance en Lui, et, suivant son exemple, à faire de nous-mêmes un don d'amour sans réserve.

S'il est vrai que l'invitation de Jésus à «demeurer dans son amour» (cf. 15, 9) s'adresse à chaque baptisé, dans la fête du Sacré-Cœur de Jésus, Journée de sanctification sacerdotale, cette invitation retentit avec une plus grande force pour nous, prêtres, en particulier ce soir, début solennel de l'Année sacerdotale, que j'ai voulu proclamer à l'occasion du 150e anniversaire de la mort du saint curé d'Ars.

Il me vient immédiatement à l'esprit une belle et émouvante affirmation, reportée dans le Catéchisme de l'Eglise catholique, où il dit : «Le sacerdoce est l'amour du Cœur de Jésus» (n. 1589). Comment ne pas rappeler avec émotion que c'est directement de ce Cœur qu'a jailli le don de notre ministère sacerdotal ? Comment oublier que nous, prêtres, sommes consacrés pour servir, humblement et avec autorité, le sacerdoce commun des fidèles ? Notre mission est une mission indispensable pour l'Eglise et pour le monde et elle demande une pleine fidélité au Christ et une union incessante avec Lui ; c'est-à-dire qu'il exige que nous tendions constamment à la sainteté, comme l'a fait saint Jean Marie Vianney. Dans la Lettre qui vous a été adressée à l'occasion de cette année jubilaire particulière, chers frères prêtres, j'ai voulu mett re en lumière certains aspects caractéristiques de notre ministère, en faisant référence à l'exemple et à l'enseignement du saint curé d'Ars, modèle et protecteur de tous les prêtres, et en particulier des curés. Que ma lettre soit pour vous une aide et un encouragement à faire de cette année une occasion propice pour croître dans l'intimité avec Jésus, qui compte sur nous, ses ministres, pour diffuser et consolider son Royaume, pour diffuser son amour, sa vérité. C'est pourquoi, «à l'exemple du saint curé d'Ars, - ainsi ai-je conclu ma Lettre - laissez-vous conquérir par Lui et vous serez vous aussi, dans le monde d'aujourd'hui, des messagers d'espérance, de réconciliation et de paix !».

Se laisser conquérir pleinement par le Christ ! Tel a été le but de toute la vie de saint Paul, vers qui nous avons tourné notre attention au cours de l'Année paulinienne qui touche désormais à son terme ; cela a été l'objectif de tout le ministère du saint curé d'Ars, que nous invoquerons particulièrement durant l'Année sacerdotale ; que cela soit aussi l'objectif principal de chacun de vous. Pour être des ministres au service de l'Evangile, l'étude et une formation pastorale soignée et permanente est certainement utile et nécessaire, mais cette «science de l'amour» que l'on n'apprend que dans le «cœur à cœur» avec le Christ est encore plus nécessaire. En effet, c'est Lui qui nous appelle pour rompre le pain de son amour, pour remettre les péchés et pour guider le troupeau en son nom. C'est précisément pour cela que nous ne devons jamais nous éloigner de la source de l'Amour qui est s on Cœur transpercé sur la croix.

Ce n'est qu'ainsi que nous serons en mesure de coopérer avec efficacité au mystérieux «dessein du Père» qui consiste à «faire du Christ le cœur du monde» ! Un dessein qui se réalise dans l'histoire, à mesure que Jésus devient le Cœur des cœurs humains, en commençant par ceux qui sont appelés à être les plus proches de lui, précisément les prêtres. Les «promesses sacerdotales», que nous avons prononcées le jour de notre ordination et que nous renouvelons chaque année, le Jeudi saint, lors de la Messe chrismale, nous rappellent à cet engagement constant. Même nos carences, nos limites et nos faiblesses doivent nous reconduire au Cœur de Jésus. En effet, s'il est vrai que les pécheurs, en le contemplant, doivent app rendre de Lui la nécessaire «douleur des péchés» qui les reconduit au Père, cela vaut encore davantage pour les saints ministres. Comment oublier, à ce propos, que rien ne fait davantage souffrir l'Eglise, Corps du Christ, que les péchés de ses pasteurs, en particulier ceux qui se transforment en «voleurs de brebis» (Jn 10, 1sq), ou parce qu'ils les égarent avec leurs doctrines privées, ou encore parce qu'ils les enserrent dans le filet du péché et de la mort ? Pour nous aussi, chers prêtres, le rappel à la conversion et le recours à la Divine Miséricorde est valable, et nous devons également adresser avec humilité au Cœur de Jésus la demande pressante et incessante pour qu'il nous préserve du risque terrible de faire du mal à ceux que nous sommes tenus de sauver.

Il y a quelques instants, j'ai pu vénérer, dans la Chapelle du Chœur, la relique du saint Curé d'Ars : son cœur. Un cœur enflammé par l'amour divin, qui s'émouvait à la pensée de la dignité du prêtre et qui parlait aux fidèles avec des accents touchants et sublimes, affirmant que «après Dieu, le prêtre est tout ! ... Lui-même ne se comprendra bien qu'au ciel» (cf. Lettre pour l'Année sacerdotale, p. 2). Chers frères, cultivons cette même émotion, que ce soit pour exercer notre ministère avec générosité et dévouement, ou pour conserver dans notre âme une véritable «crainte de Dieu» : la crainte de pouvoir priver de tant de bien, par notre négligence ou notre faute, les âmes qui nous sont confiées, ou de pouvoir - que Dieu nous en garde ! - leur faire du mal. L'Eglise a besoin de prêtres saints ; de ministres qui aident les fidèles à faire l'expérience de l'amour miséricordieux du Seigneur et qui en soient des témoins convaincus. Dans l'adoration eucharistique, qui suivra la célébration des vêpres, nous demanderons au Seigneur qu'il enflamme le cœur de chaque prêtre de cette «charité pastorale» capable d'assimiler son «moi» personnel à celui de Jésus Prêtre, de manière à pouvoir l'imiter dans l'auto-donation la plus complète.

Que la Vierge Mère nous obtienne cette grâce ; Elle dont nous contemplerons demain avec une foi vive le Cœur Immaculé. Le saint curé d'Ars nourrissait à son égard une dévotion filiale, si bien qu'en 1836, en avance sur la proclamation du dogme de l'Immaculée Conception, il avait déjà consacré sa paroisse &a grave; Marie «conçue sans péché». Et il garda l'habitude de renouveler souvent cette offrande de la paroisse à la Sainte Vierge, en enseignant aux fidèles qu'«il suffit de s'adresser à elle pour être exaucés», pour la simple raison qu'elle «désire surtout nous voir heureux». Que la Vierge Sainte, notre Mère, nous accompagne en l'Année sacerdotale que nous commençons aujourd'hui, afin que nous puissions être des guides solides et éclairés pour les fidèles que le Seigneur confie à nos soins pastoraux. Amen !


© Copyright du texte original : Librairie Editrice du Vatican
Traduction : Zenit










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Publié le 19 Juin 2009

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