Audi, benígne Cónditor, nostras preces cum flétibus, sacráta in abstinéntia fusas quadragenária.
Créateur plein de bonté, Ecoutez nos prières et regardez nos larmes Que nous répandons en ces jours Du jeûne sacré de la Sainte Quarantaine.
Scrutátor alme córdium, infírma tu scis vírium; ad te revérsis éxhibe remissiónis grátiam.
Vous qui scrutez le fond de nos cœurs Vous connaissez notre faiblesse Pardonnez à vos enfants qui reviennent vers Vous, Donnez Votre pardon gratuitement.
Multum quidem peccávimus, sed parce confiténtibus, tuíque laude nóminis confer medélam lánguidis.
Vraiment, nous avons beaucoup péché Mais pardonnez-nous en considération de l'humble aveu Pour la gloire de Votre Nom, Guérissez nos âmes malades.
Sic corpus extra cónteri dona per abstinéntiam, ieiúnet ut mens sóbria a labe prorsus críminum.
Donnez-nous de mortifier nos corps par l'abstinence, Afin que le jeûne gagne aussi nos âmes Ils cesseront ainsi de retomber Dans les crimes du péché.
Præsta, beáta Trínitas, concéde, simplex Unitas, ut fructuósa sint tuis hæc parcitátis múnera. Amen.
Concédez, O Bienheureuse Trinité, Qui êtes un seul Dieu, que votre grâce Soit profitable à vos enfants par l'offrande Qu'ils vous font de leurs jeûnes. Amen.
Ce matin 11 décembre , à l'Auditorium de Lyon, je ne m'attendais pas à entendre un pianiste aussi exceptionnel Jan Lisiecki. il est né en 1995, il n' a même pas 23 ans ! et pourtant quel passé : il a remplacé au pied levé Marta Arguerich, Nelson Freire... il a joué sous la direction de Claudio Abbado...IL a signé son premier contrat avec la Deutsche Grammophon à l'âge de 15 ans !!!!. Ce matin il jouait avec des musiciens de l'ONL le Quintette avec piano en Mib majeur op 44 de Schumann. J'ai été bouleversé par ce jeune homme que j'ai eu la chance rencontrer après le concert.... énergie, poésie, gentillesse. Tout d'un grand...!
Le Deuxième concerto de Chopin, dans sa tonalité de fa mineur, débute par un climat teinté de mélancolie. L’entrée du piano apporte une gravité et une profondeur de discours, constantes dans le premier mouvement, et ne s’attarde pas sur les plages empreintes de tristesse. Avec son sens très fluide du phrasé, le toucher délié de Lisiecki trouve une expression immédiate dans chaque développement lyrique. On ressent dans son jeu appliqué, mais jamais scolaire, cette volonté de faire parler son instrument comme s’il s’agissait de sa propre voix.
Son piano chante et nous touche. L’orchestre semble, quant à lui, un peu en retrait f
Mais commençons, évidemment, par Chopin, que vous jouez admirablement. Votre sang polonais?
(Il rit.) Je suis né au Canada, de culture polonaise, oui. Mais je ne le joue pas très polonais, et certainement pas de la manière dont on l’enseigne en Pologne. J’évite les excès d’émotion et de rubato. Il est facile pour un pianiste de se perdre dans la musique de Chopin, en s’éloignant de la vérité de la partition. Certains la jouent trop romantique. Or cette musique très sentimentale parle d’elle-même. Il n’est pas nécessaire d’en rajouter, d’autant que tout le monde l’aime. Les excès dans l’interprétation ne respectent pas la personnalité de Chopin.
Vous avez encore beaucoup à apprendre?
Oh oui… Lorsque je joue avec de grands chefs, je vois qu’ils cherchent aussi, encore et toujours, et se demandent même parfois pourquoi cela a fonctionné! La musique est vivante. Son interprétation varie sans cesse, en quête d’une perfection, d’un idéal… que l’on n’atteindra pas.
Le piano est votre prolongement. Et aussi un ami?
Oui! Mais comme chez les amis, il y a des choses que l’on aime, et d’autres moins. Il ne faut regarder que ce qui nous plaît. Chez les amis comme chez les pianos!
Cinéma. “Le film sera le plus grand film de l’histoire”, prédit l’acteur et fervent catholique.
Jim Caviezel a confirmé son retour dans le rôle de Jésus dans la suite du film « La Passion du Christ », réalisé par Mel Gibson. « Il y a des choses dont je ne peux pas parler qui vont choquer le public », a confié l’acteur de 49 ans au journal américain USA Today.
Consacré à la Résurrection du Christ, « le film qu’il va tourner sera le plus grand film de l’histoire », a promis Jim Caviezel, avec enthousiasme, mais sans donner plus de détails. En 2004, le précédent film de Mel Gibson avait récolté plus de 611 millions de dollars de recettes dans le monde entier.
Jim Caviezel n’a pas précisé la date de début du tournage. En attendant, le comédien et fervent catholique interprètera l’évangéliste Luc dans le film « Paul, apôtre du Christ » avec l’acteur de « Game of Thrones » James Faulkner, sur les écrans, le 28 mars prochain.
un sourire de banquise, par moins 20 ! champion olympique non mais.
comment qu'il commence sa semaine! alalalala c'est ça faire jeune ! faut bien ça au moral ,
quand j'écoute son Mozart ... oui Dieu existe ! quand j'entends son Chopin je pleure...
I think he knows le petit placide ..! ici le Canada à vous les studios. l'air y est plus sain qu'à Lyon franchement ! (il a repris des couleurs , ! ça se voit !)
Mercredi dernier, avec le rite pénitentiel des Cendres, nous avons entamé le Carême, temps de renouvellement spirituel qui prépare à la célébration annuelle de Pâques. Mais que signifie entrer dans l'itinéraire du Carême ? L'Evangile de ce premier dimanche, avec le récit des tentations de Jésus dans le désert, en est une illustration. L'Evangéliste saint Luc raconte que Jésus, après avoir reçu le baptême de Jean, « rempli de l'Esprit Saint, quitta les bords du Jourdain ; il fut conduit par l'Esprit à travers le désert où, pendant quarante jours, il fut mis à l'épreuve par le démon » (Lc 4, 1-2).
Il y a une insistance évidente sur le fait que les tentations ne furent pas un incident de parcours mais la conséquence du choix de Jésus de suivre la mission que lui avait confiée le Père, de vivre jusqu'au bout sa réalité de Fils bien-aimé, qui Lui fait totalement confiance. Le Christ est venu dans le monde pour nous libérer du péché et de la fascination ambiguë de projeter notre vie en faisant abstraction de Dieu. Il l'a fait, non pas avec des proclamations retentissantes, mais en luttant personnellement contre le Tentateur, jusqu'à la Croix. Cet exemple vaut pour tous : c'est en commençant par nous-mêmes que nous améliorons le monde, en changeant ce qui ne va pas dans notre vie, avec la grâce de Dieu.
La première des trois tentations auxquelles Satan soumet Jésus a son origine dans la faim, c'est-à-dire le besoin matériel : « Si tu es le Fils de Dieu, ordonne à cette pierre de devenir du pain ». Mais Jésus répond avec les saintes Ecritures : « Ce n'est pas seulement de pain que l'homme doit vivre » (Lc 4, 3-4 ; cf. Dt 8, 3).
Puis le diable montre à Jésus tous les royaumes de la terre et dit : tout t'appartiendra si tu m'adores, en te prosternant. C'est la tromperie du pouvoir, et Jésus démasque cette tentative et la repousse : « Tu te prosterneras devant le Seigneur ton Dieu, et c'est lui seul que tu adoreras » (cf. Lc 4, 5-8; Dt 6, 13).
Non pas l'adoration du pouvoir mais uniquement de Dieu, de la vérité et de l'amour. Enfin, le Tentateur propose à Jésus d'accomplir un miracle spectaculaire : se jeter des hauts murs du Temple et se laisser sauver par les anges, afin que tous croient en Lui. Mais Jésus répond qu'on ne met jamais Dieu à l'épreuve (cf. Dt 6, 16).
Nous ne pouvons pas « faire une expérience » dans laquelle Dieu doit répondre et prouver qu'il est Dieu : nous devons croire en Lui ! Nous ne devons pas faire de Dieu le « matériel » de « notre expérience » ! En faisant toujours référence aux saintes Ecritures, Jésus oppose aux critères humains le seul critère authentique : l'obéissance, la conformité à la volonté de Dieu, qui est le fondement de notre être. Ceci est également un enseignement fondamental pour nous : si nous conservons la Parole de Dieu dans notre intelligence et dans notre coeur, si elle entre dans notre vie, si nous avons confiance en Dieu, nous pouvons repousser toute sorte de tromperie du Tentateur. Par ailleurs, dans tout le récit apparaît clairement l'image du Christ nouvel Adam, Fils de Dieu, humble et obéissant au Père, contrairement à Adam et Eve qui, dans le jardin de l'Eden avaient succombé aux séductions de l'esprit du mal d'être immortels, sans Dieu.
Le Carême est comme une longue « retraite » pour rentrer en soi et écouter la voix de Dieu, pour vaincre les tentations du Malin et trouver la vérité de notre être. Un temps - pourrait-on dire - de « compétition » spirituelle à vivre avec Jésus, non pas avec orgueil et présomption, mais en utilisant les armes de la foi, c'est-à-dire la prière, l'écoute de la Parole de Dieu et la pénitence. Nous pourrons ainsi célébrer Pâques en vérité, prêts à renouveler les promesses de notre Baptême. Que la Vierge Marie nous aide, afin que guidés par l'Esprit Saint nous vivions dans la joie et de manière fructueuse ce temps de grâce. Qu'elle intercède en particulier pour moi et mes collaborateurs de la Curie romaine qui commencerons ce soir les Exercices spirituels.
avant l'hiver j'étais à Kiev ce matin. pour les laudes.. dom Patov a dit la ste Messe pour Ilia .. ! Alors on priera pour lui au memento des vivants parce qu'au memento des morts je ne vois pas l''intérêt puisqu'il est bien vivant! et à la ste Communion !
bien content d'avoir pu échanger hier, loin de penser que je pouvais parler aussi bien anglais pour que l'on me comprenne...! I really like them my little ones.
cover up the little ones, it's gonna be cold. !!!
alors il me répondit :"Thank you for your interest!!)) ...