Publié le 14 Septembre 2017

Rédigé par Philippe

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Publié le 14 Septembre 2017

48 hommes appelés à la prêtrise ont fait leur rentrée, lundi 11 septembre 2017, au séminaire Saint-Yves, à Rennes. Depuis la fermeture à l’été 2015 du séminaire Saint-Jean-Eudes à Caen, le séminaire de Rennes forme à la fois les futurs prêtres des diocèses bretons et des trois diocèses bas-normands. Après leur année de propédeutique (préparation spirituelle et de discernement), huit Bretons et un Normand entrent en 1ère année.

"En sixième année, l’année diaconales, ils sont dix séminaristes, dont deux Normands", précise le père Drouaud. Des ordinations diaconales sont prévues durant les prochains mois, notamment à Coutances (Manche) et à Rennes, respectivement samedi 23 et dimanche 24 septembre 2017.

ouest france

 

à l'intention de notre normand local de service, ça doit être de l'arnaque .. !

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 14 Septembre 2017

Rédigé par Philippe

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Publié le 13 Septembre 2017

 

"A l’origine de toute vie chrétienne, il y a la rencontre d’une personne, celle du Christ.

Celui-ci s’est manifesté de manière éclatante dans le mystère de l’Incarnation. Son témoignage nous a été transmis par l’Ecriture Sainte qui est pour nous la Parole vivante de Dieu. Dans sa fréquentation, nous nous abreuvons à une source intarissable. Ainsi, Celui qui s’est rendu visible à nos yeux, devient le compagnon qui s’adresse à nous d’une manière personnelle, toujours renouvelée. Au fil du temps, se tisse une relation intime qui donne sens à nos vies.

En suivant Celui qui a donné sa vie, par amour pour nous, par amour pour moi, sur la croix, nous nous engageons sur un chemin qui témoigne qu’il n’est pas de plus grande preuve d’amour que de donner sa vie pour ceux que l’on aime.

A ce prix seul, le témoignage chrétien devient crédible. Tous ceux qui avancent sur cette route, avancent avec confiance vers l’éternelle vie : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son fils unique afin que quiconque qui croit en Lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle » Jn 3/16.

mgr . Alain Castet +

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Rédigé par Philippe

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Publié le 13 Septembre 2017

 very nice ! quelle belle voix, reste très simple, bravo ! rien de tel pour le moral.. ah on va se faire plaisir pour son anniversaire ! sur amazon 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 13 Septembre 2017

Vladimir Teodorovitch Spivakov, né le 12 septembre 1944 à Oufa, alors en Union soviétique, est un violoniste et un très grand  chef d'orchestre russe. Ici avec Roman  Borisov.

Roman Borisov. Vladimir Spivakov. The National Philharmonic Orchestra of Russia

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 13 Septembre 2017

 very nice, grandiose, beautiful.  Bravo !

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Publié le 13 Septembre 2017

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Publié le 12 Septembre 2017

Les trois petits bergers attendaient avec impatience le 13 septembre, afin de contempler, une fois de plus, Notre-Dame. Sa visite leur était d'autant plus précieuse que des souffrances et des luttes pénibles mettaient de plus en plus à l'épreuve leur patience, déjà héroïque.
En effet, le mépris qu'ils rencontraient de la part des gens du hameau — certains ne se gênaient pas pour battre Lucie — les humiliait profondément. L'attitude, sinon hostile, du moins indifférente, du curé de la paroisse et des autres prêtres des environs, était une torture pour leurs âmes délicates.
Le nombre de gens qui croyaient aux apparitions augmentait cependant d'une manière extraordinaire. Après les prodiges constatés à la Cova da Iria, le 13 août, par une grande foule venue de partout, après le courage surhumain montré par les enfants devant le terrible Administrateur, les personnes de bonne foi pouvaient difficilement douter de la sincérité des voyants, et, par conséquent, de la réalité des apparitions.

Ce 13 septembre sont rassemblés à la Cova da Iria, entre 25 000 et 30 000 personnes, afin de voir la sainte Apparition. Dès l'aube, tous les chemins des environs de Fatima étaient remplis de monde. La plupart des pèlerins récitaient pieusement leur chapelet. Un témoin oculaire a écrit : « C'était un pèlerinage vraiment digne de ce nom, dont la vue seule faisait pleurer d'émotion. Jamais il ne m'avait été donné de voir, durant toute ma vie, une telle manifestation de foi... Sur le lieu des Apparitions, les hommes se découvraient. Presque tout le monde se mettait à genoux, et priait avec ferveur... » Au milieu de la foule des pèlerins, il y avait, cette fois, quelques prêtres, et un certain nombre de séminaristes.
A midi, heure solaire, certaines personnes virent quelque chose dans ce ciel bleu sans nuage : un globe lumineux, se déplaçant du Levant vers le couchant, et glissant lentement dans l'espace ; puis il disparut quelques secondes. De nouveau, il réapparut et cette fois il se dirigea vers le chêne-vert. La lumière du jour diminua à cet instant.

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Publié le 12 Septembre 2017

 

mr l'abbé Amaury du Fayet de la Tour

 

modèle ? J'étais un élève assez médiocre, rêveur et lent. Je ne travaillais pas assez, et j'étais peu suivi à la maison dans mes devoirs. Alors, je n'ai pas été surpris quand, à la fin de la troisième, on m'a demandé de redoubler. Ce que j'ai fait. Malheureusement pour moi, cela ne s'est pas arrangé en seconde : j'étais de nouveau juste dans toutes les matières, et le lycée Carnot a refusé de me garder à la fin de l'année. Par chance, une amie de la famille était proviseure au lycée Pasteur de Neuilly [92]. Cette femme m'a accueilli et permis de poursuivre ma scolarité. J'ai gagné en confiance par la confiance qui m'a été donnée, car j'ai ressenti comme un déclic : j'ai fait une excellente première et une non moins excellente terminale, en section ES.
« À 18 ans, je ne m'imaginais pas du tout prêtre »

Prêtre diocésain à Versailles, Amaury du Fayet de La Tour, 37 ans, a d'abord mené une vie « ordinaire », avec un parcours étudiant « classique », puis occupé un emploi éloigné de la vocation religieuse. Jusqu'au fameux déclic, qui le conduira sur le chemin du séminaire…

« À 18 ans, je ne m'imaginais pas du tout prêtre »

Prêtre diocésain à Versailles, Amaury du Fayet de La Tour, 37 ans, a d'abord mené une vie « ordinaire », avec un parcours étudiant « classique », puis occupé un emploi éloigné de la vocation religieuse. Jusqu'au fameux déclic, qui le conduira sur le chemin du séminaire…

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Rédigé par Philippe

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