Publié le 13 Juillet 2018

 

 

 

para mi pequeño ahijado !

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 12 Juillet 2018

Zlatko Dalic est âgé de 51 ans, marié et père de deux enfants.

 

"Je dois tout ce que j'ai accompli dans ma vie et ma carrière professionnelle à ma foi et je suis reconnaissant à mon cher Dieu."

"Je peux être très heureux de tout ce que je vis", a dit Dalic, en disant : "sans une foi de qualité et une bonne motivation, ce serait très difficile à réaliser.

"Quand un homme perd toute espérance, il doit faire appel à Dieu et à la foi", a-t-il dit.

En ce sens, Dalic commente que "je porte toujours un chapelet avec moi" et "quand je sens que je traverse une période difficile, je mets ma main dans ma poche, je m'y accroche et tout est plus facile".

Il a souligné que "le positif dans la vie apporte toujours la satisfaction, le bonheur, un résultat. L'homme doit toujours être honnête avec lui-même et avec les autres.

La famille, votre autre grand pilier.

L'autre grand pilier de l'entraîneur croate est sa famille. Marié et père de deux enfants, la foi et la famille passent en premier. Tout comme il a été testé dans sa foi, il a été testé dans sa famille après son expérience en tant qu'entraîneur en Arabie Saoudite. Il est allé y vivre seul. Et de cette expérience, il a beaucoup appris.

Dans le monde d'aujourd'hui, dit-il, "il n'y a pas de temps à consacrer à la famille à cause du travail. Quand je suis rentré à la maison, j'ai réalisé qu'il n'y avait pas que des affaires et de l'argent, qu'il y avait d'autres choses et des joies que le football.

Il n'est pas le seul catholique de l'équipe.

Dalic n'est pas le seul membre de l'équipe nationale croate à avoir de profondes convictions religieuses. Le milieu de terrain du Real Madrid Mateo Kovacic est également catholique. Comme son entraîneur, il était enfant de chœur dans sa paroisse, où Kovacic a rencontré sa femme, qui était alors l'une des filles de la chorale.

Le joueur croate dit qu'il va à la messe le dimanche à Medjugorje avec une grande dévotion pour Medjugorje. "Je n'ai aucun problème à dire que croire me donne de la force, m'aide à mieux jouer" ou à reconnaître que "normalement, sous le maillot de l'équipe, je porte un maillot avec une image de Jésus", a-t-il dit dans une interview.

 

 

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 12 Juillet 2018

 

 

à la banquise de Mortimer.

Philippe.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 12 Juillet 2018

 

 

 

 

¡Espero que a mi ahijado le gusten los indios!  rintintin il est pas canonisé, quelle misère ! ¡No va a estar contento Alexandro !

Né le 1er décembre 1863 et mort le 19 août 1950, Black Elk était cousin du Crazy Horse,

 

Black Elk a connu l'époque des conflits entre les "peaux rouges" et l'"homme blanc" que les films occidentaux nous ont fait connaître. Dans l'Ouest, cependant, bien qu'il y ait beaucoup de types moralement louables (de John Wayne à James Stewart, en passant par Gary Cooper, pour ne pas sortir de l'ère classique), peu de saints sont vus. Black Elk (1866-1950) l'était, au moins à un degré suffisant pour que son processus de béatification soit ouvert en octobre.

Après avoir reçu la pétition signée en février, Mgr Gruss a nommé un postulateur, William "Bill" White, diacre Lakota, assisté du Père Joe Daoust et du diacre Ben Black Bear de la Mission de Saint-François dans la réserve indienne de Rosebud (Dakota du Sud), responsable de la traduction des écrits de Black Elk de Lakota à l'anglais. Le 14 novembre, l'Assemblée générale de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, réunie à Baltimore, après avoir entendu un rapport de Mgr Gruss, a approuvé à l'unanimité le début de la cause. Le reste, c'est la prière.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 12 Juillet 2018

 

La soutane était autrefois la forme la plus courante mais depuis la fin des années 1960, elle a été abandonnée par de nombreux prêtres. Aujourd'hui, cependant, plusieurs jeunes prêtres ont commencé à l'utiliser.

Mgr. Charles Pope a publié un article dans le Registre national catholique le 5 juillet 2017, intitulé "Why Traditional Priestly Cassocks are Making a Comeback", dans lequel il explique certaines des raisons pour lesquelles les jeunes prêtres préfèrent la soutane, qu'il décrit comme "distinctive et éminemment sacerdotale".

"Les gens me remercient souvent de porter la soutane, mais personne ne m'a jamais remercié d'avoir porté un costume. Cela me dit que la soutane signifie quelque chose de spécial pour le peuple de Dieu," dit-il.

 Selon mgr. Pope, beaucoup de gens sont surpris lorsqu'il leur assure que sa "soutane est plus cool que le clergiman  typique".

"Sans trop d'informations, il suffit de dire que je n'ai pas à porter un ensemble complet de vêtements sous la soutane. En été, une modeste paire de shorts amples avec une taille élastique confortable, un t-shirt en coton et des chaussettes suffisent ", dit-il.

 Il dit aussi qu'il porte des "soutanes d'été", faites d'un "matériau léger et respirant" et qu'il est "agréablement frais par rapport à un costume".

"Je n'ai jamais été fan des vêtements serrés qui sont à la mode aujourd'hui. La soutane, lorsqu'elle est portée sans le fascia (une large ceinture), pend librement sur le corps ", a dit le prêtre.

En outre, il a dit qu'il peut cacher le surpoids, "contrairement à un pantalon serré ou une ceinture", ce qui est "constamment rappelé".

D'autre part, Mgr Pope a dit que "la plupart des soutanes ont des poches profondes et larges".

"Ils sont presque comme de petites sacoches, et comme la soutane est suspendue librement, les poches encombrantes ne sont pas un problème. Beaucoup de choses peuvent disparaître dans ces poches parce qu'elles sont larges et profondes, juste après les genoux", a-t-il ajouté.

 Le prêtre soutenait que "ça ne prend pas longtemps à mettre sur la soutane", parce qu'il n'a qu'à la mettre sur sa tête, "en passant ses bras à travers les trous dans le bras large, et ensuite la gravité fait le reste".

"Parce qu'il pend librement, il n'y a pas besoin de s'ajuster ou de se plier. Il y a des boutons, mais ils sont faits de tissu et se déboutonnent facilement. Le col en lin s'enclenche simplement en place ; pas besoin de boutons au niveau du cou. C'est simple, léger et rapide. Si je veux l'enlever, les boutons s'ouvrent facilement et je n'ai plus de soutane ", a-t-il ajouté.

Cependant, mgr Pope a dit qu'"il y a des moments où la soutane est gênante", avec "tout travail très physique impliquant le levage ou le transport" qui nécessiterait d'autres vêtements.

"Même lorsque je monte simplement les escaliers en portant des choses dans mes bras, j'ai tendance à marcher sur la soutane et à trébucher. Je dois être prudent, mais c'est peut-être une bonne chose", a-t-il ajouté.

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 12 Juillet 2018

 

A l'image des moines des communautés religieuses, pourquoi ne pas faire des repas quotidiens des moments joyeux et fraternels, pleins de gratitude envers le Seigneur qui nous donne "notre pain quotidien" ?

Il comprend habituellement une prière pour ceux qui en ont le plus besoin. Le mot vient du latin invocation "benedicite", qui signifie "bénir !

Un exemple :

"Bénis-nous, Seigneur, et bénis notre nourriture. Bénissez aussi ceux qui les ont préparés pour nous, et donnez du pain à ceux qui ne l'ont pas.

Les grâces ou la prière d'action de grâce remercient Dieu pour le don de nourriture et la charité fraternelle vécue autour de la nourriture.

"Je te remercie, Seigneur, pour la joie de la table : la nourriture et la compagnie de mon peuple. Bénissez toujours cette famille et ceux qui n'ont ni maison ni pain.

Le livre Recettes simples pour toute la famille, écrit par les mères du Cours Herrade à Landsberg, une école primaire de Strasbourg, vise à transmettre cette habitude de louange à l'heure du déjeuner : en plus des recettes familiales, le livre offre des exemples de bénédictions et de grâces, afin que Dieu, l'âme et le corps soient bien nourris à la table familiale.

Une tradition monastique à perpétuer

dom Jean Pateau, abbé de Notre-Dame de Fontgombault, qui a écrit la préface du livre de recettes, rappelle que dans la tradition monastique, le réfectoire est l'un des lieux communautaires où les moines rendent grâce.

"La nourriture est un don de Dieu et sa préparation un acte de charité fraternelle. Arriver au réfectoire doit être une occasion de fascination et d'action de grâce ", dit-il.

Essayons aussi de vivre sous nos toits avec le même émerveillement et le même esprit de reconnaissance.

Ainsi, nous répondrons aux paroles du prophète Joël : "Tu mangeras en abondance jusqu'à ce que tu sois rassasié, et tu loueras le nom du Seigneur ton Dieu, qui a fait pour toi des prodiges" (Jl 2,26).

L'action de grâces contribue à la joie de la famille.

Partager des repas joyeux et fraternels contribue à la force de la famille, et le Seigneur n'est pas étranger à cette joie !

dom Jean Pateau invite chaque famille "à se réunir tous les jours autour de la table, dans la simplicité et la joie, dans l'attention mutuelle, dans la charité. Ce rendez-vous quotidien est essentiel à la force des familles.

Que les familles, petites Églises domestiques, puissent savourer le Royaume des Cieux qui leur a été promis : "Venez, bénis de mon Père, et recevez en héritage le Royaume qui vous a été préparé dès le début du monde, car j'avais faim, et vous m'avez donné à manger, j'avais soif, et vous m'avez donné à boire"

(Matthieu 25:34-35).

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 12 Juillet 2018

Rédigé par Philippe

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Publié le 11 Juillet 2018

Manuel nous donne un grand message : savoir accueillir notre croix et souffrir comme Jésus. Abandonné comme le petit Manuel dans les bras du Père, qui nous rappelle les paroles de Jésus : "Vos noms sont écrits dans les cieux. Heureux êtes-vous quand vous souffrez, car votre récompense dans les cieux est grande" (Mt 5,11).

 

S'il est vrai que l'amour sauvera le monde (Follereau), et la beauté sauvera le monde (Dostojevski), on peut dire que ces enfants innocents sauveront le monde sans Dieu, ce qui fait répéter au Pape Benoît XVI : "Sans Dieu, l'homme se trouve plus seul et la société plus divisée et confuse"

(Synode d'ouverture des évêques : 5 octobre 2008).


"A l'aube, les visages des anges qui me conduiront à ma patrie céleste seront occupés" (J. H. Newman).

Manuel a reçu sa première communion de l'aumônier de l'hôpital pour enfants de Palerme. Il avait souvent répété :

"Père, je veux Jésus, donne-moi Jésus".


Dans un de mes appels téléphoniques pour l'encourager, j'ai répété plusieurs fois :

"Tu dois être un petit Jésus". Et lui, avec une innocence immédiate, dit à sa mère : "Le Père Fiorenzo m'a dit que je dois être un petit Jésus".
Léon Bloy avait raison de dire :

"La seule tristesse de l'homme c'est de ne pas être un saint". La déclaration de Mère Teresa de Calcutta est très éloquente :

"La plus belle maison, c'est l'amour".

La grande récompense que Jésus désigne comme motif de joie est Dieu lui-même, le Bien Suprême. Beaucoup de gens cherchent le bonheur en dehors de cette récompense qui vient de Dieu et non des idoles.


Manuel montre du doigt le ciel, Dieu, les choses les plus belles et les plus simples.

Un enfant nous remet le message : "La croix acceptée avec amour".


La grande récompense dans le ciel est la puissance écrasante de l'Évangile : "Je vais vous préparer une place : quand je serai parti et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai et vous emmènerai avec moi, afin que vous aussi vous soyez là où je suis" (Jean 14, 3-4).

 

Et le petit et grand Manuel regarda vers le haut, vers la splendeur, vers la beauté incarnée  de Dieu, qui lui fit répéter : "J'aimerais bien voler là-haut. Je veux voir Jésus.


"L'homme, dit Blondel, doit entrer dans l'océan d'un amour qui a sa rive partout et n'a pas de fond nulle part".

Alors la vie devient joie, et une joie intime de souffrance pour Jésus crucifié.


Telle était la vie de notre petit Manuel, qui s'est envolé vers le ciel, transfiguré et flamboyant de lumière comme Jésus ressuscité.


Manuel, à la fin de sa vie terrestre, avait pris le visage transfiguré et souffrant de Jésus crucifié. Oui, Manuel : une fleur parfumée sous la Croix.
Il avait compris la sagesse des saints, au point d'enchanter ceux qui l'ont rencontré.

"Dieu est toute notre joie et en Lui la poussière peut devenir splendeur" (Th Merton).


Même si la Croix a accompagné sa très courte expérience terrestre, Manuel : cet enfant, prodige de courage et d'amour crucifié, en peu de temps, a parcouru un long chemin.


Il a su prier : "Oui, Jésus, pour ta gloire et pour notre bonheur dans le temps et au-delà de l'éternité". Et précisément parce que le "oui dans la douleur" nous fait chanter le oui de l'alléluia et de la gloire de Dieu.


Rappelons-nous, en pensant à Manuel, et dans des tons mystiques, les paroles évocatrices de "Sonnambula" de notre musicien Bellini : "Ah, ne croyez pas mirarti, oui fleur bientôt éteinte".


Oui, une vie très courte mais riche en témoignages qui ouvre l'horizon du ciel et nous rappelle les paroles de la romance du musicien Donizetti, dans son œuvre Lucia di Lammermoor : "Toi qui as déployé des ailes à Dieu, ou belle alma dans l'amour".

Mes souvenirs, pendant son pèlerinage : hôpital - maison, ont été caractérisés par un exemple de vie qui m'a fait percevoir de plus en plus que la force de Jésus et l'amour pour Notre Dame guidaient sa vie et la parfumaient d'une spiritualité intime.


J'ai eu la joie de le rencontrer, de lui rendre visite à la maison. Et je suis heureux de l'avoir rencontré.
Manuel avait pressenti la joie de vivre de Jésus et de souffrir pour lui. Ses témoignages spontanés débordent d'émotions, tant dans ses relations constantes avec sa mère et son père, qu'avec son frère Francesco et sa sœur Stefania et avec tous ceux qui ont répandu leur amour.

J'ai eu la joie de recevoir certaines de ses lettres pleines de sentiments passionnants, et recueillies dans un quinterno transcrit par sa mère, où il a dessiné un grand cœur et à l'intérieur de T.V.B. intitulé :

"Per il mio carissimo P. Fiorenzo", Manuel.

P. Fiorenzo Calaciura cp.

traduction petit placide.

 

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Publié le 11 Juillet 2018

 

 

Au début, Manuel confiait ces dialogues avec Jésus seulement à sa mère, mais après le jour où il m'a demandé de devenir son Père spirituel, Souvent, même Manuel n'a pas compris l'explication de beaucoup de choses que Jésus lui a révélées.

Bien souvent, même Manuel ne pouvait pas comprendre l'explication de beaucoup de choses que Jésus lui a révélées. Par exemple, un jour, il m'a demandé :

"Pourquoi Jésus me dit-il toujours cette phrase : ton cœur n'est pas le tien, mais le mien, et je vis en toi ? Je ne comprends pas ce qu'il veut me dire ;

J'ai été étonné de ce qu'il m'a dit, je lui ai donné une réponse sur la signification de ce message de Jésus et en réfléchissant personnellement, je me suis rendu compte que ces mots reflétaient la phrase de saint Paul quand il dit dans Galates 2:20 "ce n'est plus moi qui vis, mais le Christ vit en moi".

Manuel m'a toujours dit que Jésus lui avait donné de la souffrance et qu'il en avait besoin parce qu'ensemble ils devaient sauver le monde (puisque Jésus lui avait proclamé une GARANTIE DE LUMIÈRE). Manuel a toujours combattu comme un vrai guerrier, à l'imitation du Christ, au point de donner toute sa vie pour le salut et la conversion de tous.
A cet égard, je me suis toujours souvenu des paroles de saint Paul dans Colossiens 1:24 "C'est pourquoi je suis heureux des souffrances que je porte pour vous et je complète dans ma chair ce qui manque dans les afflictions du Christ, en faveur de son corps qui est l'Eglise".

Tout cela et bien d'autres choses que Manuel m'a confiées m'ont permis de convaincre de plus en plus chaque jour qu'il y avait en lui quelque chose de vraiment grand, au-delà des choses normales qu'un enfant peut dire ou penser.

Malgré le petit Manuel à cause des valeurs sanguines toujours basses qu'il avait ne pouvait pas aller à l'école ou au catéchisme ou assister à la messe comme tous les autres enfants, de lui rayonnait une très grande sagesse divine.

Quand il m'a demandé si je voulais devenir son Père spirituel, je me suis senti immédiatement indigne, étant donné sa haute spiritualité.

Je lui ai demandé de laisser Jésus me dire qui il était censé être. Immédiatement après la communion spirituelle qu'il faisait à la maison chaque fois qu'il ne pouvait pas communiquer sacramentellement, il m'appelait par téléphone et me disait que Jésus lui avait dit que je devais être son père spirituel, avec le frère Joseph de l'ordre carmélite qui voyait maintenant très peu quand il déménageait dans une autre ville. Encore une fois, pour avoir la confirmation que je devais vraiment être son guide spirituel, je lui ai demandé de poser à Jésus ces deux questions de ma part : 1) ce qu'il pense de Don Ignazio et 2) ce que Don Ignazio devrait faire ?

Après une communion, il m'a raconté ce que Jésus lui avait dit, en le consignant par écrit sous la forme d'une prière qui m'était adressée. Jésus lui avait dit que j'étais Son Ange Gardien et que je devais continuer à prendre soin des enfants souffrants et à combattre en tant que guerrier de la lumière. A partir de ce moment, je me suis confié à la volonté de Dieu, me laissant guider par l'Esprit Saint.
Je me souviens encore très bien de la grande capacité de Manuel à supporter la souffrance, seulement à cause de Jésus

traduction le petit placide.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 11 Juillet 2018

Rédigé par Philippe

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