Publié le 19 Octobre 2015

Rédigé par Philippe

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Publié le 18 Octobre 2015

 

 

 

ah non bonne nuit géorgienne, de la banquise de l'Arche, oui je sais c'est très compliqué en ce moment .. tout est tellement très compliqué .  !  J'arrive !   

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Rédigé par Philippe

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Publié le 18 Octobre 2015

 

15 novembre 2015 – Messe de Saint-Hubert exceptionnelle en la cathédrale Notre-Dame-de-Paris du Rallye Trompes des Vosges et du Débuché de Paris.

 

à 15h30

Entrée Libre et gratuite

 

Eglise Notre Dame de Paris

 

Présidée par Monseigneur de Moulins Beaufort, cette messe de Saint-Hubert sera magnifiée par l’exceptionnelle participation conjointe du Rallye Trompes des Vosges, du Débuché de Paris, de la Maîtrise Notre-Dame de Paris, Olivier Latry tenant les grandes orgues.

Sonnée dans le cadre grandiose de la cathédrale Notre-Dame de Paris, elle comprendra des grands classiques de la musique religieuse pour trompes mais aussi des pièces contemporaines d’Hubert Heinrich, Lionel Sow, Gaston Chalmel ou Sylvain Oudot.

Le choix du lieu n’est pas anodin, la Fondation pour la FRTM inscrit ainsi dans un programme musical de renommée internationale la prestigieuse tradition française de la trompe de chasse. Elle a reçu le soutien de la Fondation François Sommer-MCN, de la FITF et de la Fondation Lefort Beaumont.

source.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 18 Octobre 2015

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Publié le 17 Octobre 2015

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Publié le 17 Octobre 2015

 

le martyre de sainte Térèse

 

 

  Tout esprit connait la page célèbre où la Sainte a écrit avec une sobriété si émouvante comment, lorsqu'elle s'éloigna de cette maison paternelle qu'elle avait tant aimée, elle sentit ses os se disloquer, "se détacher les uns des autres". Ce fut une véritable agonie, et elle dut se faire au moment de mourir au monde une "incroyable violence".

 

   Par un choix de la date très significatif et encore un peu romanesque ou  chevaleresque, elle avait décidé d'entrer dans le cloître le 2 Novembre, fête des Morts. Les nombreuses cloches de la ville sonnaient le glas des trépassés. Ce jour même, Térèse se faisait conduire par son frère Antoine au couvent des Carmélites et prenait l'habit. Elle était âgée de vingt ans et sept mois.

 

   Comme il arrive d'ordinaire, les premières années de la vie religieuse furent ferventes, sans relâchement, sans aucune sorte de rechute. Les novices et les jeunes professes n'étaient pas exposées aux tentations. La soeur Térèse s'initiait aux coutumes, aux cérémoniaires monastiques, et celles-ci  "la ravissaient". Elle s'étudiait à bien faire l'oraison à la manière des novices, avec un livre. Elle s'en servait dit-elle comme d'u bouclier sur lequel elle recevait les coups des distractions importunes. Quelquefois aussi le livre-bouclier recueillait des larmes furtives, car elle éprouvait d'ordinaire " de tendres sentiments de dévotion, et elle recherchait la solitude pour y pleurer les péchés de l'année précédente. Il lui semblait que, "avec de la solitude et un livre", aucune occasion n'eût été capable de lui ravir le bonheur qu'elle possédait.

....

 

   L'année de noviciat et la première année de profession s'écoulèrent ainsi dans la ferveur et le progrès spirituel. Mais le changement de régime, l'application aux exercices de la vie religieuse, provoquèrent un retour de la maladie. Sa famille obtint de la faire venir,, pour une saison à la campagne, chez sa soeur. On résolut de lui faire suivre le traitement d'une femme de Becedas. Cette empirique, sorte de rebouteuse, la soumit à un régime, à une cure implacable et stupide. Au bout de deux mois, " à force de remèdes" on lui avait presque ôté la vie.

 

   Son père la ramena à Avila. Elle était fréquemment saisie par des crises nerveuses qui lui causaient des souffrances indicibles, confinant " à la rage". Il lui semblait qu'on lui "enfonçait dans le coeur des dents aiguës." La fête de l'Assomption approchant, elle demanda à se confesser. Son père, s'imaginant qu'elle redoutait la mort, le lui refusa. Sur ces entrefaites, une crise d'une extrême violence se déchaina la laissant sans connaissance. On la crut morte. Les Carmélites d'Avila firent creuser sa tombe. Les Carmes d'un couvent voisin chantèrent la messe des morts et donnèrent l'absoute. Le quatrième jour, quand Térèse revint à la vie, elle sentit sur ses paupières une matière compacte. Les personnes qui la veillaient et venaient écouter sa respiration avaient laissé tomber de la cire chaude sur ses yeux fermés. Dès qu'elle put parler, elle demanda le prêtre qu'on lui avait refusé et fit, en pleurant, une confession générale. Son père, qui avait touché le fond de la désolation, lui accordait tout ce qu'elle voulait; il lui permit de se faire transporter en son couvent. On reçut donc vivante celle qu'on avait crue morte, mais en quel état !

 

   Térèse de Ahumada, si gracieuse autrefois et si belle, n'était plus qu'une pauvre paralytique percluse de tous ses membres. Elle pouvait seulement remuer un doigt de la main droite. Son corps était ramassé "en forme de pelote" et on la transportait dans un drap que deux personnes tenaient par les extrémités. Les douleurs intenses durèrent huit mois, la contraction des membres trois années. " Ces années, c'est la Sainte elle-même qui nous le dit, s'écoulèrent dans la résignation et la ferveur.

 

  En réalité, elle avait supporté les souffrances les plus cruelles avec une patience héroïque .

 

Rp Petitot op +

 

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Publié le 17 Octobre 2015

 

la banquise sibérienne ...

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Publié le 17 Octobre 2015

 

orate pro nobis. 

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Publié le 17 Octobre 2015

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Publié le 17 Octobre 2015

 

En plus,  merveilleuse leçon d'humanité que tous ces grands personnages, tout ça m'a convaincu que j' avais changé vraiment de planète. Pas un petit ou grand qui ne m'ait remercié. des gens  sûrement au grand coeur.. ça change de l'indifférence ou du mépris ambiant; des contacts chaleureux, humains..

quelle différence ! on est bien quoi  sur l'Arche, merci beaucoup belle petite famille. Aveuglément que l'on accueille d'emblée "les nouveaux amis " qui gravitent autour, parce que là au moins on sait qu'il n'y a aucun danger, aucun risque. Enfin pour le moment je n'ai jamais été décu. On enrichit au moins sa culture générale comme on peut

Tout ce qu'un monde catho religieux truc ne m'a pas apporté en tous les cas. j'ai su déchanter de ce côté là. on déchante très vite dans tous ces milieux.

 

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