Publié le 30 Janvier 2019

pas étonnant qu'ils aient disparu !!! y a pas idée quand même .. ça doit être l'Adour sans doute .;.

 

Le vendredi 1er février 2019 en version numérique et le vendredi 15 février 2019 en version physique, Deutsche Grammophon sort Mendelssohn avec le pianiste canadien Jan Lisiecki et le célèbre Orpheus Chamber Orchestra. L'album explore deux des premiers chefs-d'œuvre romantiques : Les Concertos pour piano de Mendelssohn en sol mineur et N*E*R*D mineur. Lisiecki complète les deux concertos avec une sélection des pièces les plus brillantes de Mendelssohn pour piano seul : les Variations sérieuses, le Rondo capriccioso et le "Venetian Boat Song" de Songs without Words.

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 30 Janvier 2019

 

bravo ! happy new year 2019 ! on l'encourage sa première vidéo ! it is successful Nikita; it's good!

'I’m happy you enjoy my music 🤗🎻 wishing you a lovely day and all the best!'

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Rédigé par Philippe

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Publié le 29 Janvier 2019

 

 

Reconnu comme un " grand violoniste " et un " joueur hautement musical et réfléchi " par Pierre Amoyal, Tasmin Little et Maxim Vengerov, Cristian Grajner de Sa s'impose rapidement comme un jeune artiste émergent.

Après ses débuts de concerto à l'âge de 14 ans à St James's Piccadilly, à Londres, il s'est produit dans de nombreuses grandes salles européennes, notamment le Wigmore Hall, St Martin in the Fields, Kings Place, Colston Hall, le Mozarteum de Salzbourg, l'Atheneum of Bucharest, Ateneo de Madrid et dans le cadre d'engagements en France, Suisse et Italie. Il a été diffusé en direct sur BBC Radio 3, BBC Television, TVR Télévision Nationale Roumaine et plus tard cette saison, il retourne au Corn Exchange à Bedford pour interpréter le concerto de Glazunov et donnera son premier récital au Concertgebouw, Amsterdam en septembre 2019.

Cristian a reçu le 1er Prix au Concours International de Violon Groba 2015 et a été sélectionné comme finaliste de la Royal Overseas League 2014 et BBC Young Musician 2012. En 2018, il a été choisi comme l'un des 7 violonistes à se produire en demi-finale du Concours international George Enescu.

Né dans le Bedfordshire en décembre 1994 d'origine portugaise et italienne, Cristian a reçu la bourse Leverhulme à l'âge de 13 ans et a commencé ses études avec le professeur Maurice Hasson à la Royal Academy of Music. Après 7 ans dans sa classe, il a passé 2 autres années sous la tutelle de Tasmin Little et Maxim Vengerov. Après avoir obtenu son diplôme en 2017, Cristian s'est vu décerner le prix Regency pour l'excellence de ses études et le prix J & A Beare, le prix le plus prestigieux du département des cordes de l'Académie royale de musique, décerné au meilleur violon diplômé. Ce prix a par la suite été diffusé sur The Violin Channel. Cristian poursuit ses études à l'Université Mozarteum dans la classe du professeur Pierre Amoyal.

Cristian a reçu des cours et des conseils de nombreux grands pédagogues et interprètes d'aujourd'hui, notamment Sylvia Rosenberg, Menahem Pressler, James Ehnes, Vadim Repin, Ralph Kirshbaum, Rodney Friend et Olivier Charlier. En février 2017, il a collaboré avec son grand mentor, Maxim Vengerov, dans une interprétation du Quintette pour clarinette op. 115 de Brahms dans la dernière exécution de Vengerov en tant que professeur de musique Menuhin à l'Académie.

Il est fréquemment invité à de nombreux festivals et académies de musique européens, se produisant récemment à la Sommerakademie Mozarteum, The International Holland Music Sessions et à l'Académie de Musique de Lausanne.

site internet

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 28 Janvier 2019

 

site internet .

 

very nice! très belles vidéos comme celles de Kevin!

bravo  happy new year 2019 ! Thank you for your kindness.

 

Steven Knieriem (2001) est né et a grandi à Goes. Dès l'âge de 9 ans, il prend des cours à la Zeeuwse Muziekschool. Il suit maintenant la formation des talents. Il a des leçons d'orgue avec Jos Vogel et son professeur de piano est Rien Balkenende. Il a également pris des leçons avec Ben van Oosten et Reitze Smits.

Il a gagné des prix dans divers concours d'orgue. En juin 2017, il a remporté le deuxième prix lors de la finale du premier Concours national d'orgue Ambitus dans la Grote de St. Bavokerk à Haarlem (catégorie 13-16 ans). En octobre 2018, il remporte le deuxième prix du concours'Orgues à Douai' à la Collégiale Saint Pierre van Douai (France).

Steven est régulièrement invité à donner des concerts en solo et des concerts en collaboration avec d'autres. Ses performances l'ont amené dans des endroits bien connus avec des orgues célèbres, tant au pays qu'à l'étranger. Il s'est produit entre autres dans la série de concerts de la cathédrale Saint-Jean à Bois-le-Duc, dans la vieille église de Delft et dans le Bovenkerk à Kampen. Son répertoire d'orgue contient toutes les périodes de style. En tant que compositeur débutant, Steven écrit des œuvres pour orgue.

Steven Knieriem est actuellement l'un des organistes de l'orgue Flentrop du Sionkerk in Goes. Il occupe ce poste depuis 2017.

 

"Bonjour Philippe !
Merci beaucoup pour cette page et la belle traduction de ma biographie. J'adore la France, les orgues et la musique française !
Merci beaucoup et bonne année à vous !"

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 27 Janvier 2019

avec la bénédiction de Metropolitan Warsonophia, toutes les églises du diocèse seront utilisées après la Divine Liturgie pour commémorer tous ceux qui sont morts de faim, gelés et tués pendant le blocus. Mémoire éternelle+

 

de notre correspondante Natalia Rodomanova

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Rédigé par Philippe

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Publié le 26 Janvier 2019

 

  

   Et en voici le fruit. Qu'on imagine le renouvellement prêté à tout objet de la pensée, conséquemment à toute activité, par cette miraculeuse transposition, cette métamorphose.

   Dieu ne nous apparaît plus comme un être abstrait, comme une sorte de mystère algébrique, un X, ou bien un vague idéal, mais comme le Dieu vivant, animé par la Trinité, communiqué par l'incarnation, attendri par la rédemption, rendu intime par la grâce, épanoui socialement par l'Eglise, figuré et agissant par les sacrements, mêlé éternellement à ses ouvrages par la gloire céleste .

   Notre âme se révèle à nous en de nouvelles profondeurs, réceptacle de l'univers par sa nature pensante, elle se recrée à ses propres regards en contemplant le Dieu qui la dilate au dedans jusqu'à sa nature à lui, pour y trouver une place à sa taille; elle s'élargit dans l'incréé, prend conscience d'un pouvoir qui dépasse tout l'être pour accéder à la Source d'être; incapable de se satisfaire jamais , la voilà qui s'accroît d'exigences nouvelles, avec l'espérance ferme de tout combler à la fois: son vide congénital et le vide qu'a creusé sa nouvelle naissance.

   Et c'est encore notre humanité fraternelle  - si peu fraternelle, hélas! - qui prend au regard de foi une autre physionomie, actuelle et séculaire, une autre signification de ses gestes et, si je puis dire, un autre bruissement. Elle est pour moi, croyant,, quand je me recueille en Dieu, non plus le troupeau inconscient qui va à l'abattoir la tête basse, ou la bande de fauves déments qui se dévorent, mais une famille heureuse, malgré son épreuve.

   Famille d'Adam régénéré par le nouvel Adam; famille d'élus en expectative; famille de pèlerins à la suite de la croix, marqués de la croix, soutenus et entraînés par la croix; famille innombrable, marchant du même pas, dans le même souffle, avec des inégalités que la charité compense, avec des échanges qui rapprochent les niveaux des coeurs, et qui s'avance paisiblement ou douloureusement, mais avec la certitude de son but, à travers tous les mondes.

   Les mondes ! ce sont eux enfin qui nous sont changés. Hors la foi, qu'en savons-nous et qu'en pourrions-nous augurer qui rassure? Ce qu'en dit le télescope du mont Wilson ne va pas bien loin et nous donne froid, après le premier moment d'éblouissement et d'extase. Sublime amusement de la science, que le miroir braqué sur l'espace, et le jeu du spectromètre avec sa bande révélatrice, et la photographie astrale, et les mesures, les pesées, les analyses,, les hypothèses touchant ce qui se passe là-haut! Effroi nouveau du contemplateur qui sent le mystère s'agrandir avec l'étendue, et qui éprouve jusqu'à l'angoisse la question du poète:

   Que peut être après tout le but de tout ceci ?

   Pour la foi, le mystère physique demeure ce qu'il est; mais combien largement compensé! et qu'on le perce peu à peu, si peu que ce soit à l'égard du Tout, c'est une joie désormais sans pointe inhumaine.

   " Les cieux racontent la gloire de Dieu" et présagent la nôtre; ils sont un pavillon qui se tisse pour l'assemblée des élus, et leurs globes, en des temps mesurés et en des conditions variées à l'infini, sont peut-être des chantiers d'âmes. La nôtre, en tout cas, atteste le plan. La mort y frappe incessamment, et des esprits sont les étincelles. Un univers spirituelle s'offre à nous, non plus fait " de cordages, de roues et de poulies " comme celui de l'athée , mais animé d'une intention et d'une Présence aussi intimes à son fonctionnement que supérieures à sa substance.

   Cet univers travaille en secret; sa loi, brutale en apparence, est au fond morale; il fait oeuvre divine, divin lui-même de ressemblance et d'orientation autant que d'origine. Il s'empresse au service de l'Esprit, lui-même esprit par son sens caché, obéissant à une sorte d'enchantement et de céleste magie qui accorde ses pouvoirs aux destinées de la vie surnaturelle. Il parait le caprice même, et je sais qu'il ne trahira point; son pas est sûr et son oeuvre est probe; sa courte évolution est tracée dans l'éther divin, mieux que les écliptiques; sa fin ne sera ni catastrophe sans remède, ni recommencement sans but; les nouveaux cieux et la nouvelle terre en seront l'heureux et stable aboutissement.

   Qu'on ne parle pas des abaissements de la foi, ou de la sottise de ses abandons, ou de la débilité de son allure. Où prendrait-on de l'abaissement,  là où une humble prosternation reçoit de l'infini reconnu sa noblesse? Où est l'abandon, quand le créé se transfigure sans se perdre et que l'incréé jeté dans la balance excède et supéfie le désir? Et que parlerait-on de faiblesse, là où il s'agit d'un triomphe sur soi et sur tout le visible, dont l'effort conjuré, dont l'obsession traîtresse et insidieuse ne peut briser l'essor du croyant ?

   La foi est d'une incomparable grandeur, ou bien elle est nulle. Dites que nous sommes le jouet d'un mirage! on discutera, et l'on verra si ce ne serait pas vous, esprit obstiné, qui êtes incapable d'apercevoir, au-delà d'épaisses clartés, une lumière plus pure, ou bien ne le voulez pas .

Mais si c'est vrai que Dieu nous appelle à cette intime adhésion, s'il en reçoit l'hommage, et si , une activité généreuse s'ensuivant, lui-même la couronne, il n'y a plus de limite aux proportions d'un tel dessein céleste et terrestre et à sa sublimité.

rp Sertillanges op

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 25 Janvier 2019

 

   Frémiet a écrit ce mot Credo sur une banderole de bronze que déploie largement devant lui un chevalier en armure.  Voulait-il indiquer par là que la foi est une vaillance? On la présente parfois comme une faiblesse. Si elle était le contraire, et si le mot héroïsme n'était au fond pas de trop pour souligner tout ensemble une souveraine difficulté et une grandeur, l'artiste aurait raison; le vrai croyant devrait monter, s'il n'y est pas déjà très haut, dans l'estime des hommes.

   Je crois; j'offre au ciel mon esprit en hommage et comme en holocauste; je franchis d'un seul bond la limite des pensées humaines; j'adhère au mystère plein; j'adore et n'exige pas de comprendre; je dis oui à la proposition et n'attends pas la preuve; je fais confiance, sans plus à la Vérité première; j'incline mes évidences devant ce qu'on ne voit pas; j'affirme l'astre au fond du ciel noir, acceptant d'attendre au-delà du temps pour que sa clarté apparaisse; quand le monde me souffle en ricanant d'absurdes "axiomes", je me détourne et poursuis mon dialogue secret. Prenez, mon Dieu, votre droit sur moi, et commencez par ces fruits de l'esprit qui dans ma vie sont la semence de tout le reste.

    Car lorsque je dis : je crois, je n'engage pas uniquement ma pensée abstraite. Ma pensée ! ce serait , pour mon honneur , l'essentiel; mais je sens bien qu'avec elle j'engage, outre l'honneur, l'existence dont elle est le guide. Pourrai-je nier en actes ce qu'en paroles j'alléguerai? J'aurai le droit d'être pécheur, si je puis dire; mais pécheur, j'éprouverai l'obligation du repentir, du relèvement, du progrès, de quotidiens sacrifices, de perpétuels combats.

   On me prend par un fil ténu: ce mince raccordement à l'invisible qui s'appelle l'acte de foi, et puis, en conséquence, sans qu'une logique implacable abandonne à un seul moment ni sur aucun terrain la saisie terrible, on me demande tout: mon âme , mon corps, mon activité, mes amours, ma vie, ma mort, ma prospérité, tout, tout, sans réserve ni reprise.

   Que si je prétends un jour discuter le don, déjà je suis infidèle :" Impie, me dit-on, tu mets en cause Dieu!"

Et si je réponds: je me mets en cause moi-même, on réplique: c'est pareil; car tu appartiens à Dieu. " Je crois", ce mot tombe dans l'éternel et ne peut plus revenir à tes lèvres. En le prononçant, ce mot qui ne se dit qu' "en l'Esprit" ,  tu as fait acte d'être divin et exercé en quelque sorte une conscience céleste. Tu as franchi avec ton Dieu intérieur, comme Dante avec Virgile et beaucoup mieux que lui - toi même, tout à l'heure, ne le disais-tu pas? - la limite des humains parages. Avec Paul, ta fréquentation est aux cieux. Tu penses donc dans ce monde de l'affirmation indéfectible, où le oui et le non ne se succèdent point: ta vie est vouée aux fins suprêmes, dont nulle autre fin ne détourne; ton amour étreint l'Absolu, qu'on ne peut ne pas aimer, ou aimer moins, ou sacrifier à un amour subalterne. Bienheureux est ton sort, si tu le comprends; mais si tu venais à le méconnaître, héros au bord de la victoire et qui voudrais fuir, toute retraite coupée derrière toi, tu ne connaîtrais qu'une chute éternelle.

   Cela est grave! C'est tellement grave que beaucoup hésitent avant de faire le pas. Convaincus qu'il faut, et n'ayant rien à opposer aux raisons de croire, ils ne peuvent se décider à l'acte et demeurent là, hésitants, voulant et ne voulant pas, partagés entre la crainte d'une terrible dépossession et l'espoir d'une conquête, situation qui se prolonge parfois jusqu'au bord de la tombe.

    On dit : illogisme. Eh! eh! il était illogique aussi, ce condamné du baron des Adrets qui hésitait à se jeter du haut d'une tour, sachant fort bien qu'il fallait et qu'il y passerait quand même. On a peur du grand vide, même en songent au plein qui ne se révèle pas encore. Le regard tremble, à observer fixement ce que nous veut le ciel. On goûte les idéales promesses et l'on est séduit; mais se rappelle-t-on le prix, on recule, contracté comme si la mort avait frappé à la porte. " Donne tout pour avoir tout," dit l'Imitation: on voudrait avoir  tout, on redoute de donner tout, et l'on tergiverse.

    Que je m'arrache à moi-même, mon Dieu? Cela ne se peut pas. Il faudra que vous-même interveniez, comme de force. Je devrai consentir à l'heureuse violence, et elle ne sera donc plus violence, mais elle le sera en ceci que l'initiative de l'arrachement ne m'appartiendra pas. La grâce, il me la faut pour me quitter et quitter tout d'une certaine façon en faveur de l'invisible, en faveur de l'insaisissable et du transcendant, en faveur de l'avenir que le temps ne perçoit pas et qui pour la durée des humains n'est que chimère.

   " Faire un avenir à sa tombe " , c'est le but de notre foi, et dans cette tombe on doit comme s'enfermer vivant, laissant la vie derrière soi. Saint Paul ne dit-il pas :" Nous avons été ensevelis avec Lui par le baptême et ressuscité des morts par la gloire du Père, nous aussi nous marchions dans une vie nouvelle." (Rom. VI,4)

   Tout est splendeur dans la fin de ce texte; mais il y a le début; pour commencer, on nous ensevelit; on nous baptise, c'est-à-dire qu'on nous noie; on étouffe en nous cet appétit irrité de la vie purement terrestre, de la sensualité, de l'orgueil, de la curiosité exaspérée, de la volonté de richesse et de pouvoir. Ceux qui prennent au sérieux un tel renoncement en frémissant dans les moelles, tant que les divines compensations de la grâce ne les ont pas consolés.

   Ah! les consolations sont sublimes, et beaucoup plus que le mal n'est redoutable. A qui fait l'avance de son coeur, une fortune inconcevable échoit , et il le sait. A qui adhère, vrai croyant, à son Père céleste, obéissant à l'instinct de race surnaturelle insufflé en lui par l'Esprit, ce Père généreux communique sa vie même, l'établit mystérieusement, le nourrit, l'épanouit, et un jour, le poids de la matière écarté, elle se révèle dans une explosion de joie. N'importe, l'engagement de ce cycle a quelque chose de si inquiétant pour la sensibilité et pour la raison même abandonnée à ses propres forces , qu'une aide surnaturelle y est requise.

   Dieu nous allèche; ensuite il nous "tire"; à sa traction miséricordieuse nous consentons, et le bonheur nous vient; telle est la politique céleste. On la bénit; mais on n'en peut nier la tendre rigueur, et c'est pour cela que j'appelle la foi un héroïsme.

   Ainsi envisagée comme départ de la vie chrétienne, dont elle présente le germe secret, la foi prend un aspect dramatique; elle ouvre une aventure dont les odyssées de la mer ou de l'air, les traversées de l'éther par des essaims d'astres n'offrent que de risibles images. On a la sensation d'un risque infini; le pari de Pascal vous presse; " on n'en n'est pas revenu", dit le peuple, et ce peuple charnel parle au fond de nous tous.

   En tous les cas, personne n'a le droit de prétendre que cela soit petit; l'enjeu s'y oppose, et l'ampleur même des conquérants, d'êtres " de race royale ", comme dit l'Ecriture: telle est la foi bien consciente d'elle-même, en ceux qui ont compris le "don de Dieu" .

rp Sertillanges.

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Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

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Publié le 25 Janvier 2019

New look 2019 ! il a rajeuni dis-donc !!!! la classe ! pas de concerts prévus en France, avant...  préfère l'Italie, y a pas de gilets jaunes là-bas !

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 24 Janvier 2019

 

 

Ô mon Père,
Toi qui nous as donné le témoignage ardent
du jeune Vénérable Carlo Acutis,
qui de l'Eucharistie fit le centre de sa vie
et la force de son engagement quotidien
parce que les autres aussi T'aimaient plus que tout,
fais qu'il puisse être bientôt
élevé parmi les Bienheureux et les Saints de Ton Église.

Confirme ma foi,
alimente mon espoir,
vivifie ma charité,
à l'image du jeune Carlo,
qui, en grandissant imprégné de ces vertus,
vit désormais auprès de Toi.
Accorde-moi la grâce dont j'ai tant besoin...

Je m'en remets à Toi, mon Père,
à Ton doux Fils Jésus,
à la Vierge Marie, notre si douce Mère,
et à l'intercession de Ton Vénérable Carlo Acutis.

Pater, Ave, Gloria

Imprimatur Curie archiépiscopale Mediolanensi
6 octobre 2014 Angelo Mascheroni

 

 

"Anunciamos com imensa alegria que hoje aconteceu a “ ELEVATIO” de Carlo Acutis. Seu corpo foi retirado do túmulo e encontra-se INTACTO!!"

Nous annonçons avec grande joie que l'ELEVATIO de Carlo Acutis a eu lieu aujourd'hui. Son corps a été retiré du tombeau et est INTACT !

Le corps du Vénérable Carlo se trouve au couvent des Capucins, à assise, où il sera dûment préparé pour transport, qui se fera en temps opportun pour l'église de Santa Maria plus grande, à Assise.

Un phénomène rare s'est produit dans le corps d'un jeune homme qui est en cours de canonisation. Carlo Acutis, dit "Ange de la jeunesse", est décédé à l'âge de 15 ans d'une leucémie. Célèbre pour sa sainteté, le jeune homme a offert la souffrance pour l'Église et surtout pour le Pape Benoît XVI de l'époque. Marcelo Tenorio, de l'Archidiocèse de Campo Grande.

"Chers bien-aimés, aujourd'hui j'ai reçu de la mère de Carlo Acutis l'heureuse nouvelle que le Corps du Vénérable jeune homme, mort en donnant sa vie pour Benoît XVI, est INTACT. Pour nous qui l'aimons et qui répandons sa vie, c'est un moment d'émotion et de joie immense ", dit le prêtre.

Toujours selon le prêtre, il a vu les photos mais il ne peut pas les divulguer. "Son corps sera transporté au monastère des Capucins d'Assise et de là, en temps voulu, transféré dans l'ancienne église Sainte-Marie-Majeure, à Assise même.

En 2006, le jeune Carlo Acutis, victime d'une leucémie grave, est décédé. Sur son lit de mort, il désirait ardemment que ses souffrances soient offertes à Dieu par la Sainte Eglise et par le Pape Benoît XVI. Le témoignage du garçon, âgé de 15 ans seulement, a ému toute l'Italie, faisant de lui un modèle de sainteté.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 23 Janvier 2019

 

 

¡Va a la misa  Alexandro!

 

 

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Rédigé par Philippe

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