Publié le 21 Juillet 2010
Publié le 19 Juillet 2010
O souverain, ô juge, ô père,
toujours voilé, présent toujours,
je t'adorais au temps prospère,
...et te bénis aux sombres jour.
Je vais où ta loi me réclame,
libre de tous regrets humains.
O souverain, ô juge, ô père,
ta seule image est dans mon âme
que je remets entre tes mains.
VIVA ESPANA !
Publié le 18 Juillet 2010
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Publié le 6 Juillet 2010
Publié le 6 Juillet 2010
:P
Qui n’a pas au moins une fois dans sa vie bu une Bénédictine ? Si la consommation s’est aujourd’hui considérablement modifiée (pour des cocktails), la Bénédictine se buvait, il y a encore 20 ans, en guise de digestif. Mais connaissez-vous tous les secrets de cet élixir ?
Histoire
C’est en 1505 qu’un moine vénitien, Bernardo Vincelli, s’installe dans la superbe abbaye de Fécamp en Haute Normandie. Appartenant à l’ordre des Bénédictins, Vincelli se plie à la rigueur de toutes les règles de St Benoît : prière, travail manuel et intellectuel. Intellectuel et herboriste inspiré, Vincelli profite des atouts de la situation géographique de Fécamp, trouve sur les falaises locales un grand nombre de plantes médicinales (angélique, mélisse, ysope) et en même temps peut se fournir en matières premières plus exotiques via le port et ses arrivages de bateaux ramenant des épices de contrées lointaines. Il concocte donc une boisson liquoreuse dont les vertus dépassent largement les frontières régionales puisqu’on dit que François 1er en aurait fait son élixir préféré. Pendant trois siècles les moines de l’abbaye distillent selon la recette établie en 1510. La Révolution aidant, l’intérêt pour la boisson disparaît et il faut attendre 1863 pour que la Bénédictine renaisse. En effet, le marchand de vin, Alexandre Le Grand (rien à voir avec l'empereur), redécouvre chez lui dans sa bibliothèque (toujours rien à voir avec la bibliothèque d'Alexandrie) un grimoire avec le traité d’alchimie de Dom Bernardo Vincelli et la recette de l’élixir. Il n’en faut pas plus à ce marchand de vin pour se passionner pour ce jus : il nomme la boisson Bénédictine et la fait revivre en France puis partout dans le monde. Cinq générations de Le Grand se penchent sur le berceau doré de la liqueur qui affichent aujourd’hui une production de 3 millions de bouteilles par an. En 1988, le dernier Le Grand vend la boisson à Martini et la marque est aujourd’hui détenue par Bacardi, ce groupe familial ayant racheté Martini en 1993.
Publié le 6 Juillet 2010
Publié le 5 Juillet 2010
Publié le 5 Juillet 2010
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la découverte du Seigneur que fait Pietro Angelerio n'est pas le résultat d'un effort, mais elle est rendue possible par la grâce de Dieu lui-même, qui le prévient. Ce qu'il avait, ce qu'il était, ne venait pas de lui : cela lui avait été donné, il s'agissait de la grâce, et il s'agissait donc également d'une responsabilité devant Dieu et devant les autres.
Bien que notre vie moderne soit très différente, ceci vaut également pour nous : tout l'essentiel de notre existence nous a été donné sans notre contribution.
Le fait que je vive ne dépend pas de moi ; le fait que des personnes m'aient introduit dans la vie, m'aient enseigné ce que signifie aimer et être aimé, m'aient transmis la foi et m'aient ouvert les yeux à Dieu : tout cela est une grâce et n'est pas « fait par moi ». Seuls nous n'aurions rien pu faire si cela ne nous avait pas été donné : Dieu nous précède toujours et dans chaque vie il existe du beau et du bon que nous pouvons reconnaître facilement comme sa grâce, comme un rayon de lumière de sa bonté.
C'est pourquoi nous devons être attentifs, garder toujours ouverts les « yeux intérieurs », ceux de notre cœur. Et si nous apprenons à connaître Dieu dans son infinie bonté, nous serons également capables de voir, avec étonnement, dans notre vie - comme les saints - les signes de ce Dieu qui est toujours proche de nous, qui est toujours bon avec nous, qui nous dit : « Aies foi en moi ! ».
zenit.org
Publié le 5 Juillet 2010
Publié le 3 Juillet 2010