Publié le 30 Novembre 2018

 

 

 

Señor Dios,
bendice con tu poder nuestra Corona de Adviento para que, al encenderla,
despierte en nosotros el deseo de esperar la venida de Cristo
practicando las buenas obras, y para que así,
cuando Él llegue, seamos admitidos al Reino de los Cielos.

Te lo pedimos por Cristo nuestro Señor.

Todos: Amén.

 Seigneur Dieu,
bénis notre couronne de l'Avent de ton pouvoir pour qu'en l'allumant,
soit éveillé en nous le désir d'attendre la venue du Christ , de
pratiquer de bonnes œuvres, etc,

afin que
quand Il viendra, nous  soyons admis au Royaume des Cieux.

Nous le demandons par le Christ, notre Seigneur.

 

Tous : Amen.

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Repost0

Publié le 30 Novembre 2018

 

 

 

ici Alicante à vous les studios !

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Publié dans #videos

Repost0

Publié le 30 Novembre 2018

 c'est dur de vieillir pensa-t-il ! il en avait marre le pauvre .. quelle misère!

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0

Publié le 29 Novembre 2018

 

Mgr Barrio rappelle que l'identité de l'Europe est fondée sur la "tradition chrétienne".

Devant le Conseil de l'Europe, le Prélat a expliqué que le Chemin de Saint-Jacques et le continent européen "forment un tout indissociable au bas de notre histoire millénaire. Il n'est pas possible de penser l'Europe sans tenir compte des échanges profonds générés par le pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle et son chemin" puisque dès le XIe siècle, le Chemin de Saint-Jacques apparaît comme l'un des trois principaux chemins du pèlerinage chrétien.

 "Il est incontestable que l'Europe est née et fait ses premiers pas sur la voie qui a conduit à Compostelle. Pour cette raison, personne ne peut être surpris de l'intérêt que suscitent l'histoire et le contenu du Chemin. C'est pourquoi il a été déclaré le premier itinéraire culturel en Europe, donnant lieu à des initiatives culturelles, scientifiques et politiques", a déclaré Monseigneur Barrio.

C'est pourquoi il a rappelé la visite de Jean-Paul II à Saint-Jacques-de-Compostelle en novembre 1982, lorsque le Pape a demandé à la "vieille Europe" de se retrouver, de découvrir ses origines. "Donnez vie à vos racines. Revivez ces valeurs authentiques qui ont rendu votre histoire glorieuse et votre présence sur les autres continents bénéfique. Reconstruisez votre unité spirituelle, dans un climat de respect total pour les autres religions et les libertés authentiques ", a dit saint Jean Paul II à l'époque.

Ainsi, l'évêque de Saint-Jacques de Compostelle a dit que nous pouvions dire que si nous voulons que "le chrétien européen contemporain" s'approche de "l'éternel aujourd'hui de Dieu, il nous faut une passion et un courage qui secoue fortement notre apathie.

"Découvrir Santiago et son chemin, c'est connaître les origines de l'Europe. Le Sépulcre apostolique de l'Apôtre Jacques signifiait la rencontre avec la Tradition, la rencontre avec les origines de l'évangélisation, explique le Prélat, puisque du XIe siècle au XVe siècle, Compostelle est devenue le but de la société médiévale.

"Personne ne comprendrait Santiago et son histoire sans le Camino, reflet de l'esprit européen. Le Chemin est une expression thématique de l'être humain en tant que pèlerin vers Quelqu'un, vers Quelque chose, au-delà d'une simple analyse culturelle anthropologique et culturelle", a souligné Monseigneur Barrio.

Il a également souligné que le Chemin est " un espace où le pèlerin cherche une réponse à ses questions, dans la recherche de sa propre voie, percevant que l'homme trouve son sens dans l'histoire et non dans les idéologies. Compostelle est un signe de transcendance, une ouverture au Mystère, à l'Absolu".


C'est pourquoi le Prélat a expliqué que "l'Europe, poursuivant son histoire, doit revenir à ses racines chrétiennes et accepter les valeurs permanentes de l'homme pour entreprendre de nouvelles actions. C'est aujourd'hui une invitation à retrouver l'essentiel du contenu de l'anthropologie catholique.

De plus, comme il l'explique, le pèlerinage du Chemin de Saint-Jacques " passe d'une valeur exclusivement culturelle et historique à une valeur constitutive et constitutive de la civilisation européenne commune ". Le pèlerin jacobin contribue efficacement à la construction de l'unique Europe possible : celle qui a une référence spirituelle avec ses principes moraux et sociaux, sa culture, son art et sa sensibilité, c'est-à-dire qu'elle a ses racines dans la tradition chrétienne, qui reste présente dans chacune de ses fibres.

Mgr Barrio a également rappelé que "la vraie valeur du Chemin de Saint-Jacques, avec celles de Jérusalem et de Rome, consiste à être une voie de l'esprit de l'être humain, qui se rebelle pour disparaître sous l'asphyxie du matérialisme.

Il a également décrit la cathédrale de Compostelle comme " un témoignage centenaire du magnétisme exercé par l'Apôtre Jacques chez tant de personnes qui désirent s'engager sur un nouveau chemin de leur esprit, s'abandonnant à la Providence de Dieu, au murmure de la création et à l'hospitalité du peuple ".

 En résumé, le Prélat a expliqué que "l'identité de l'Europe dépend dans une large mesure de sa tradition chrétienne", ce qui, selon lui, "n'est pas une question de créer une Europe parallèle à l'Europe existante, mais de montrer à cette Europe que son âme et son identité sont profondément ancrées dans le christianisme, afin de lui donner la clé pour interpréter sa propre vocation dans le monde".

"L'unité européenne doit être fondée sur un système de valeurs, à la fois personnelles et collectives, où l'existence est comprise comme un don et une tâche pour l'homme, où le prochain est celui au service duquel tous les autres sont mis "

, a déclaré l'évêque de Saint-Jacques de Compostelle.

 

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Repost0

Publié le 29 Novembre 2018

 

 

 

Leon Immanuel Sowa est né le 15.10.1997 à Herford. Après l'école primaire à Mennighüffen-Ost, il a fréquenté le Städtische Gymnasium à Löhne, où il a obtenu son diplôme de lycée au printemps 2016.

Joli prénom ! bien sympathique, normal du 15 Octobre !

splendide !

site internet

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Repost0

Publié le 29 Novembre 2018

 

 

 

Have a good end of the year!

un bon contact aussi mais on ne les embête pas toujours pour dire qu'on fait de la pub pour eux..même s'ils ont toujours au moins eux la délicatesse de vous répondre ! .justement parce que ce sont des grands ! les petits souvent ne vous répondent pas, ceux là même qui vous méprisent,  parce qu'ils sont petits .. c'est la vie .

normal .

 

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Repost0

Publié le 28 Novembre 2018

   

   Il faut chercher en Gaule et non pas à Rome, du moins pour l'Occident , les premiers témoignages relatifs à l'existence d'une période préparatoire à la fête de Noël.

   C'est, à la fin du Vème siècle, l'évêque de Tours, Perpétuus, qui prescrit un jeûne de six semaines , depuis la saint Martin jusqu'au 25 décembre. C'est un peu plus tard, en 58, le concile de Mâcon qui spécifie que, durant cette même période, le service divin serait célébré avec les rites propres au Carême " quadragesimali ordine".  Dès l'origine, on le voit l'Avent revêtit , dans nos Eglises de Gaule, une couleur pénitentielle très marquée.  Il devait en être autrement à Rome, où l'Avent s'introduisit au cours du VIème siècle.  Tout de suite il s'y distingua très nettement du Carême, non seulement par sa durée qui n'excéda jamais quatre ou cinq semaines, mais surtout par son caractère liturgique. Car l'omission du Te Deum à l'office et du Gloria à la messe, la disposition de la tunique et de la dalmatique, l'emploi de la couleur violette, toutes ces particularités d'origine plus ou moins tardive qui confèrent à l'Avent une vague ressemblance avec le Carême ne doivent pas nous donner le change sur l'esprit véritable de la période qui nous occupe. Sans doute l'Eglise romaine admit elle aussi , et d'assez bonne heure , l'usage de sanctifier par le jeûne et l'abstinence les semaines qui précèdent Noël.  Mais ce jeûne de l'Avent n'eut jamais à Rome ni la rigueur, ni surtout le caractère en quelque sorte sacré du jeûne quadragésimal.

   ... une seule et même idée qui est comme la clef de voûte de la liturgie de l'Avent à savoir l'Adventus Domini, l'Avènement du règne de Dieu.  On l'a dit avec raison, le développement liturgique de l'Avent n'est que le commentaire de la demande de l'oraison dominicale : Adveniat regnum tuum . Or, l'avènement du règne de Dieu suit les phases de l'oeuvre rédemptrice. Il commence proprement avec la naissance du Rédempteur, se réalise par la Croix, s'épanouit dans le mystère de l'Eglise et s'achève par le jugement universeL

   Aussi est-ce à juste titre que la collecte de la vigile de Noël définit l'Avent :" L'attente annuelle de notre Rédemption. Redemptionis nostrae annua expectatio" .

   Ceci nous explique la très large part qui est faite à Saint Jean-Baptiste dans la liturgie de ce temps où il apparaît comme le Précurseur indispensable du Christ, le témoin authentique et nécessaire de l'Agneau de Dieu. Mais de cet avènement du Seigneur, il est tout naturel que l'Eglise fasse ressortir les deux extrêmes, le commencement et la fin, c'est-à-dire la naissance selon la chair et l'avènement glorieux.

   La naissance selon la chair, l'Avent nous y prépare non pas simplement comme à la célébration d'un souvenir historique, mais bien comme au renouvellement d'un mystère qu'il importe de revivre. De là ce double sentiment d'espérance et de joie qui anime la liturgie de l'Avent. 

   La joie de l'Avent a une douceur toute particulière  . Ce n'est pas la joie céleste et radieuse que nous goûterons au jour de Pâques. Ce n'est pas encore la joie plus humaine, peut-être, mais si vive et si frémissante que nous réserve le mystère de Noël . C'est une joie plus contenue, plus nuancée, c'est la joie que nous cause l'attente de notre rédemption, comme le dit très heureusement la collecte déjà citée :" Qui nos redemptionis nostrae anua expectation laetificas. "

   Cette allégresse se manifeste dans les antiennes et les répons de l'Avent par la répétition fréquente de l'Alleluia. L'Eglise elle-même nous fait un devoir de participer à sa propre joie : ' Réjouissez-vous, réjouissez-vous, nous dit-elle le dimanche de Gaudete, car le Seigneur est proche. "

   Puisque la joie de l'Avent est la joie de l'espérance, il s'y mêle naturellement un vif désir de voir et de posséder l'objet de notre attente, le Christ Jésus. Et comme ce désir ne fait que croître de jour en jour, la liturgie l''exprime de plus en plus vivement au fur et à mesure qu'elle se rapproche de Noël.

   Au début de l'Avent , l'Eglise éprouve déjà un grand désir de la venue du Seigneur, mais elle ne l'entrevoit que de loin, aspiciens a longe, elle se résigne à l'attendre dans la confiance et dans la paix. Cependant l'Epoux se rapproche, plus l'Epouse devient impatiente de contempler la beauté de son visage, plus elle le presse de hâter sa visite. Sans cesse elle lui redit :" Veni, Domine, et noli tardare: Venez, Seigneur, ne tardez pas."

   Lorsqu'on parvient à la dernière semaine avant Noël, l'Eglise se met à compter les jours, comme pour calmer son impatience :" Ne craignez pas, dit-elle, c'est le cinquième jour que viendra le Seigneur". On dirait qu'elle concentre toute la véhémence de son désir dans ces grandes antiennes qui renferment , selon le mot très juste de dom Guéranger, " la moelle liturgique de l'Avent . "

   Enfin, l'avant-veille de Noël, une fois la préparation terminée, l'Eglise se recueille et , avec une joyeuse assurance, proclame accompli tout ce qui a été dit par l'ange au sujet de la Vierge Marie : Ecce completa sunt omnia quae dicta sunt per angelum de Virgine Maria.

   La Vierge Marie, c'est en elle, dans le très pur enclos de son sein virginal, honestissima clausula, que se réalise le mystère du Christ venant en ce monde. Plus on se rapproche de la fête de Noël, plus on la voit répandre cette lumière douce et aimable qui donne un si grand charme à la liturgie de l'Avent . Noël est la fête par excellence de la maternité divine. Pour nous y préparer, l'Eglise fait mémoire dans la semaine des Quatre-Temps de deux grands mystères :

la conception virginale et la Visitation . Dans le premier de ces mystères, qui se célèbre le mercredi, en la férie jadis si fameuse du Missus est, la Vierge Marie nous apparaît par son attitude attentive et recueillie comme la personnification de l'Avent.  En elle se trouvent réunies au plus haut degré les dispositions de sainteté et de pureté susceptibles d'attirer le Rédempteur du ciel sur la terre. Lorsque la Vierge s'est inclinée sous la parole de l'ange et qu'elle a conçu le Verbe de Dieu, le mystère de l'attente revêt un aspect nouveau .

   L'Annonciation c'était l'attente silencieuse, l'attente enveloppée de réserve et de prudence; la Visitation, dont l'Eglise fait mémoire le Vendredi des Quatre-Temps, c'est l'attente de la Vierge, qui, brûlant du désir de mettre au jour le fruit de ses entrailles, se presse d'en faire rayonner la vertu sur le monde, et d'exhaler dans les strophes du Magnificat la reconnaissance et la joie qui remplissent son coeur.

 

dom Flicoteaux osb+

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Repost0

Publié le 28 Novembre 2018

    Tout en nous disposant à revivre la naissance du Rédempteur, la liturgie de l'Avent nous prépare à l'avènement final.  Malgré la distance qui les sépare dans leur réalisation historique, les deux mystères se rejoignent et se compénètrent.

   Dès le premier dimanche, l'Eglise nous met sous les yeux la scène  terrible du jugement . L'Evangile de jour nous représente le Fils de l'homme apparaissant sur les nuées du ciel environné de tout l'appareil de sa puissance et de sa majesté, cum potestate magna et majestate. Pourtant, quelle que soit la gravité de cette heure suprême, l'Eglise veut que les âmes s'y préparent dans la confiance et la paix plutôt que dans le trouble et l'épouvante. N'est-ce pas pour ce motif que, dans la même messe du premier dimanche, la lecture de l'Evangile se trouve encadrée de textes liturgiques qui respirent une absolue confiance en la miséricorde divine?

   Combien belle cette prière qui précède et qui suit le récit du terrible avènement :' J'ai élevé mon âme jusques à vous, ô mon Dieu, j'ai confiance en vous (in te confido), car aucun de ceux qui vous attendent ne sera jamais confondu" . (ps XXIV, 1-3 ) !

   Quel contraste entre ces paroles et le passage de l'Evangile qui nous montre les hommes séchant de frayeur, arescentibus prae timore, à la venue du Fils de l'homme ! Il n'appartient qu'aux âmes vraiment chrétiennes d'attendre le souverain juge avec une entière sécurité. L'Eglise désire qu'il en soit ainsi. Elle le demande dans la collecte de la vigile de Noël ;"  ut venientem Judicem securi videamus ."

   Mais cette sécurité serait trompeuse si elle ne s'appuyait sur une autre disposition, que la liturgie de l'Avent recommande d'une manière pressante: la vigilance.

   Saint Paul nous le dit avec sa vigueur coutumière dans la brève épître du premier dimanche :" L'heure est venue de sortir  du sommeil, déposons les oeuvres de ténèbres et revêtons-nous des armes de la lumière . " 

   Quelques jours avant Noël , l'Eglise elle-même nous invite à veiller, à cause la proximité du jour du Seigneur :" Vigilate animo, in proximo est Dominus Deus noster ."  Cette vigilance suppose l'affranchissement des désirs du siècle : adnegantes saeccularia desideria ; elle exige un certain travail de purification et de redressement : recas facite semitas ejus; elle implique même, et c'est par là surtout que l'Avent se rapproche du Carême, un élément de mortification et de pénitence;

   En un mot, comme le rappelle ce texte liturgique qui définit à merveille l'attitude du chrétien pendant l'Avent , il s'agit de " mener une vie sobre, juste et pieuse dans le siècle présent, en attendant la bienheureuse espérance, et l'avènement de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur , Jésus-Christ" .

dom Flicoteaux osb+

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Repost0

Publié le 28 Novembre 2018

La reine Isabel la Católica mourut à Medina del Campo, Valladolid (Espagne) le 26 novembre 1504,

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Repost0

Publié le 28 Novembre 2018

 

 

"Constant incarne une certaine beauté divine d'innocence et de simplicité retentissante»,

 

c'est tellement rare des beaux montages de vidéo ! vive la France !

" merci pour la publication sur Constant.!"

 

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Repost0