Publié le 31 Mars 2018

avec nos pères abbés et  tous nos moines...

 

Que déjà les chœurs des Anges tressaillent d’allégresse dans les cieux, que les divins mystères soient célébrés avec joie et que la trompette sacrée résonne pour saluer la victoire du Grand Roi. Que la terre baignée des lueurs d’un tel triomphe se réjouisse, et qu’illuminée de la splendeur du Roi éternel elle comprenne que le monde entier est dégagé des ténèbres. Que l’Église, notre Mère, entourée des rayons d’une si grande lumière se réjouisse et que ce temple retentisse de la grande voix des peuples. C’est pourquoi, très chers frères, qui êtes ici présents pour partager la splendeur si admirable de cette sainte lumière, je vous supplie de vous unir à moi pour invoquer la miséricorde du Dieu tout-puissant, afin qu’après m’avoir agréé au nombre de ses Lévites sans aucun mérite de ma part, il m’envoie un rayon de sa lumière et m’accorde la grâce de chanter dignement la louange de ce Cierge. Par Notre-Seigneur Jésus-Christ. son Fils qui, étant Dieu, vit et règne avec lui dans l’unité du Saint-Esprit dans tous les siècles des siècles.

Il est véritablement juste et équitable de chanter de tout notre cœur et de toute notre âme le Dieu invisible, Père tout-puissant et son Fils unique notre Seigneur Jésus-Christ. C’est lui qui, pour nous, a payé au Père éternel la dette d’Adam, et a effacé par ses souffrances la rançon de l’antique péché. Voici en effet ces fêtes pascales pendant lesquelles a été immolé l’Agneau, véritable dont le sang consacre les portes des fidèles. C’est cette nuit dans laquelle vous avez fait traverser à pied sec la Mer Rouge à nos pères, les enfants d’Israël, sortant de l’Égypte. C’est donc cette nuit qui a extirpé les ténèbres des péchés par l’illumination de la colonne de feu. C’est cette nuit qui, dans tout le monde arrachant aux vices du siècle et aux ténèbres du péché, ceux qui croient au Christ, les a aujourd’hui rendus à la grâce et réunis aux saints. C’est cette nuit, dans laquelle le Christ est remonté victorieux des enfers après avoir rompu les liens de la mort ; car rien en effet ne nous eût servi de naître si nous n’avions été rachetés. Ô combien admirable votre bonté envers nous ! Ô incompréhensible dilection de votre charité par laquelle vous avez livré votre Fils pour racheter l’esclave ! Ô nécessité du péché d’Adam qui a été effacé par la mort du Christ ! Ô heureuse faute qui nous a valu un tel et si grand Rédempteur. Ô nuit vraiment bienheureuse qui seule a connu le temps et l’heure en lesquels le Christ est ressuscité des enfers. C’est cette nuit de laquelle il est écrit : La nuit sera illuminée comme le jour, la nuit sera illuminée pour éclairer mes délices. C’est pourquoi la sainteté de cette nuit efface les crimes, lave les fautes, et rend l’innocence aux coupables, la joie aux affligés. Elle dissipe les haines, rétablit la concorde et assujettit les empires.

C’est pourquoi, en cette nuit de grâce, recevez, Père saint, l’encens de ce sacrifice du soir, que la sainte Église vous offre par les mains de ses ministres dans l’oblation solennelle de ce Cierge, œuvre des abeilles. Mais déjà nous connaissons la gloire de cette colonne de cire qu’une flamme éclatante va faire brûler en l’honneur de Dieu.

Cependant cette lumière, bien qu’elle soit divisée en parties, n’est aucunement diminuée en se communiquant ; en : effet elle est alimentée par la cire que la mère abeille a produite pour former la substance précieuse de cette lampe. Ô nuit vraiment bienheureuse, qui a spolié les Égyptiens et enrichi les Hébreux ! Nuit dans laquelle le ciel est lié à la lierre, les choses divines sont unies aux choses humaines !

C’est pourquoi, nous vous prions, Seigneur, afin que ce Cierge consacré en l’honneur de votre nom brûle sans cesse pour dissiper les ténèbres de cette nuit. Que sa lumière, reçue comme un suave parfum, se mêle aux lumières célestes. Que l’Étoile du matin trouve encore sa lumière ; cette Étoile, dis-je, qui ne connaît pas de soir, celle qui sortie des ténèbres, éclaire de sa lumière sereine le genre, humain. Maintenant donc, nous vous supplions, Seigneur, de vouloir nous assister, par votre continuelle protection, nous gouverner et nous conduire, nous vos serviteurs, tout le clergé et tout le peuple chrétien avec notre très saint Père le Pape N. et notre Évêque N. et de nous accorder la paix dans ces joies pascales. Daignez aussi regarder favorablement ceux qui ont autorité pour nous gouverner, et par le don ineffable de votre miséricorde et de votre bonté, orientez leur pensée vers la justice et vers la paix, pour que des labeurs de cette terre ils parviennent avec tout votre peuple à la patrie du ciel. Par le même Notre-Seigneur Jésus-Christ, votre Fils, qui, avec vous, vit et règne en l’unité du Saint-Esprit dans tous les siècles des siècles.

 

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0

Publié le 31 Mars 2018

    Cette magnifique victoire frappe de stupéfaction les ennemis du Maître . Lucifer lui-même est contraint d'admettre la divinité de son adversaire.

   Ce triomphe rejaillit d'abord sur le corps du Christ. Ce pauvre corps a été la matière du sacrifice. . Grâce à lui, le Sauveur a pu être victime, il a pu souffrir et mourir. Durant la Passion, il a joué un rôle de premier plan. Il a été broyé par la douleur. Les bourreaux l'ont taillé en pièces, ils l'ont maltraité et outragé de toutes façons. Le sang a été complètement séparé des chairs. Ce misérable corps si beau, formé en le sein virginal de Marie, par l'opération du Saint-Esprit, n'a plus de figure humaine. Il est sans forme, sans beauté. Il est juste qu'il soit maintenant couvert de gloire. Il y a droit, car il est divin. Il doit avoir sa part de la victoire.

La Résurrection est d'abord le triomphe du corps adorable du Sauveur.

   Dans l'âme de Jésus, du moins en ses moments supérieurs, il n'y a aucun changement. Aux heures les plus affreuses de la crucifixion et au jour glorieux de Pâques, les cimes les plus hautes de l'esprit de Jésus baignent dans la même lumière. La flamme de l'amour n'a pas varié. Immuable, elle monte toujours vers le Père. La transfiguration admirable de la résurrection se réalise dans le corps du Christ. La divinité, qui paraissait être cachée en son Coeur, rejaillit maintenant sur tout son être. Ses mains, ses pieds, toute son humanité deviennent des sources jaillissantes de vie. La lumière rayonne de tout son corps. La grâce n'a rien gagné en profonde et en chaleur, mais elle a augmenté en extension et en gloire.

   La fête de Pâques est en premier lieu la fête du Corps immortel de Jésus. Par là, elle est le gage précieux de la résurrection de la chair. L'humanité de Jésus est le modèle de la nôtre. Sa résurrection est la cause exemplaire et la cause efficiente de la nôtre.

   Du corps du Sauveur, son triomphe se propage sur tout son entourage; Marie-Madeleine, la pécheresse touchée par la miséricorde du Maître, la contemplative attentive à ses paroles et à son silence, les onze, les disciples, en ont tous leur part.

   Marie , sa Mère, parait seule oubliée . Oh! certes il n'en est rien. La tradition a bien interprété le silence des évangélistes. La Sainte Vierge a dû avoir les prémices de cette allégresse débordante. Mais son entrevue avec Jésus, n'a--t-elle pas été trop émouvante, trop intime pour être relatée? D'ailleurs, il n'était pas besoin qu'elle soit publique. Marie était la seule qui avait la pleine conscience du caractère triomphal de la Croix, étant devenue au Calvaire l'Epouse de Jésus, ayant mystérieusement reçu son Coeur; en même temps qu'elle nous accueillait comme enfants, elle avait dès cet instant la source même de la résurrection. Toute la substance de cette victoire lui avait été à l'avance octroyée.

   La gloire débordante de Jésus ressuscité, en se cachant dans le Coeur de Marie, se transforme en chaleur. La lumière rayonnante de Pâques s'enfermant dans ce sanctuaire encore tout enveloppé des voiles de la foi, se change en feu, elle y allume un immense incendie qui grandira jusqu'au jour de l'Assomption, complément pour Marie de la fête de Pâques.

   La Pentecôte qui est au centre de ces mystères glorieux, nous avertit que cette dernière étape de la vie de Notre-Dame est sous le signe du feu .

    Demandons à Marie en ce temps pascal de réconforter un peu ses enfants par la grande joie de Pâques, mais surtout de déposer en leurs pauvres coeurs si froids une étincelle de la fournaise ardente du sien.

rp Thomas Philippe op +

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0

Publié le 31 Mars 2018

Rédigé par Philippe

Publié dans #videos

Repost0

Publié le 30 Mars 2018

Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0

Publié le 30 Mars 2018

Rédigé par Philippe

Repost0

Publié le 30 Mars 2018

 

 

 

 

Jérémie a commencé son ministère la treizième année de Josias (627/26) et il est vraisemblable de le supposer âgé à ce moment d'environ trente ans - c'est l'âge où un homme est capable de faire figure dans la vie publique -  , il a dû naître vers 657, donc en plein règne de Manassé, c'est-à-dire au moment où l'invasion des cultes assyriens, cultes de Tammouz et de la Reine des Cieux, pratiqués officiellement par les rois de Juda en même temps que celui de Jahvé, donna naissance à un syncrétisme religieux menaçant pour la pureté du monothéisme israélite. 

   L'adolescent d'Anathot grandissait dans l'obscurité de son village. Déjà ses hérédités et sa culture le prédestinaient à se ranger du côté des zélateurs de Jahvé. Mais plus encore, dans ses analyses morales et ses confidences, sa nature se révèle extrêmement fine et délicate. Toutes les pages de son livre témoignent du supplice intolérable que fut pour cet émotif exaspéré le spectacle de l'apostasie et de la corruption  générales. Et pourtant, malgré l'intensité du sentiment religieux qui vibre en son coeur, il semble bien que sans l'appel impérieux et irrésistible qui l'arracha soudain à sa solitude rustique, Jérémie ne fût jamais intervenu dans la vie publique parmi les champions de la foi en péril.

Il en a éprouvé une tristesse profonde et communicative dont l'expression donne à son message sa tonalité si mélancolique.

   Ah ! s'écrie - t-il un jour , dans un accès de désespoir.

qui me donnera au désert un refuge,

que j'abandonne mon peuple

et que je me retire d'avec eux;

car ils sont tous des adultères,

c'est une assemblée d'infidèles.

Qui fera de ma tête une source de pleurs

de mes yeux une fontaine de larmes?

Je pleurerai et le jour et la nuit

sur les blessures de mon peuple !

   Voilà bien le cri spontané de son coeur d'homme incapable de prendre, en face du déluge de corruption, une autre attitude que celle du spectateur attristé et impuissant, que meurtrit le contact avec la perversité des siens, qui ne rêve que d'en pleurer tout seul dans la solitude et d'en mourir de chagrin, comme une bête blessée à mort. Il est bien trop sensible à la moquerie et aux persécutions pour aller spontanément au-devant d'elles. Vraiment non! il ne semble pas fait pour la gloire héroïque des prophètes. Ce à quoi il aspire, ce sont les humbles joies de la vie domestique où le bruit monotone de la meule bercerait sa rêverie mélancolique, c'est la vie des paysans et des pasteurs se déroulant au grand soleil dans les champs et les vignes, et les fêtes de village avec leurs dans au son des tambourins, et la joie des fiançailles et du mariage et des soirées de famille se déroulant à la lueur de la petite lampe qu'il aime à contempler de loin, le soir, au sommet de la colline, et dont la flamme symbolise pour lui cette vie paisible et douce que vont éteindre bientôt les catastrophes imminentes... !

   Or, c'est sur un tel homme , errant un jour dans les ouadis de sa campagne, que tombe, foudroyant, l'appel divin à l'action et à la lutte.

   Avant de te former dans le sein de ta mère,

je t'ai connu!

et avant que tu sortisses de ses flancs

je t'ai consacré

et je t'ai établi prophète pour les nations ! ...

Ah! Seigneur Jahvé,

s'écrie - t- il affolé.

je ne sais point parler, je ne suis qu'un enfant !

   Oh ! comme il dit vrai! Oui, toute sa vie, jusqu'à son extrême vieillesse, il ne sera qu'un pauvre enfant malheureux, abandonné, persécuté ! A quoi pensait-il donc au moment où la main de Jahvé le saisit? .. . Mais peut-être à ce retard inexplicable du jugement de Dieu sans cesse annoncé par les prophètes et qui n'arrivait toujours pas! et aux railleries blasphématoires que ces délais provoquaient chez les sceptiques et les impies. Et peut-être lui-même, gagné par la contagion générale commençait-il à douter!

   Alors le Seigneur , " qui sonde les coeurs et les reins  " et devant qui tout est à découvert, allant au-devant de son angoisse intime, lui parle encore :

- Que vois-tu , Jérémie?

- Je vois une branche d'amandier.

répond-il . L'amandier , en hébreu, c'est " le vigilant ", c'est-à-dire l'arbre dont la floraison précoce annonce au printemps le réveil de la nature.

- Tu as bien vu.

dit Jahvé, utilisant le symbolisme contenu dans le mot hébreu.

car je veille sur ma parole pour l'accomplir.

De quelle parole s'agit-il? ... Voici! Une seconde fois Dieu demande au jeune homme :

- Que vois-tu ?

Et Jérémie de répondre :

- Je vois une chaudière bouillante; elle parait venir du côté du Nord.

- du Nord.

explique Jahvé,

le malheur s'épand à flots bouillants

sur tous les habitants du pays.

   Une fois encore , c'est l'annonce du jugement. Et Jérémie songe aux grands mouvements de peuples précurseurs de la ruine assyrienne, et toute sa vie désormais son imagination sera hantée par  ces mystérieux " ennemis du Nord " , exécuteurs des jugements divins sur Israël et sur les nations.

...

   " Ils ne connaissent pas Jahvé! ", dit-il avec tristesse de ses compatriotes. Cela semble un paradoxe. Comment ce peuple qui multiplie les offrandes et les sacrifices ne connaît pas Jahvé qu'il ne cesse d'invoquer comme son Dieu national, celui à qui il doit son existence et qu'il adore sur toute colline et sous tout arbre vert? Eh bien ! non ! il ne le connaît pas ! parce que par sa foi et par son culte frelatés il l'a ravalé au niveau d'un baal quelconque parmi les baals, parce qu'il n'a pas compris que Jahvé, non seulement est un, mais qu'il est unique, étant seul infinie justice et absolue sainteté morale, se reflétant dans l'âme humaine par la voix de la conscience, et que le seul hommage digne de lui est l'obéissance inconditionnée à sa volonté , et la prière !

   Mais si le contact avec la nature docile aux lois du Créateur le comble de joie et d'admiration, il en est bien autrement, hélas ! de son expérience de la vie humaine. Dans cette atmosphère asphyxiée par le relent des fêtes orgiastiques, une âme aussi profondément religieuse ne pouvait qu'étouffer. Les dieux de Juda " sont aussi nombreux que ses villes et aussi nombreux les autels de Baal, que les rues de Jérusalem" . Au lieu de mettre sa confiance en Jahvé, Israël recherche les décevantes et dangereuses alliances étrangères. Il se met sur la route d'Egypte pour boire l'eau du Nil et sur la route d'Assour pour boire l'eau du fleuve.

                                            Ils m'ont abandonné,

dit le Seigneur.

moi, la source d'eau vive,

pour creuser des citernes fissurées

qui ne gardent pas l'eau . !

   Cette ingratitude criminelle le plonge dans la stupeur. N'est-ce donc pas Jahvé qui les a fait monter de la terre d'Egypte et dirigés dans le désert, pour les mener en un paradis et en manger les fruits exquis?

            Spectacle inouï dans l'histoire d'une telle apostasie !

 Est-ce qu'un peuple a changé ses dieux?

pourtant ce ne sont pas des dieux!

Et mon peuple a changé sa gloire,

Contre le néant !

Dans son aveuglement  incurable, ce peuple ne voit pas que ce sont ses crimes qui lui attirent sans cesse de nouveaux châtiments.

Ce sont tes crimes qui te punissent

tes infidélités qui te châtient

Apprends et vois combien il est amer

d'abandonner Jahvé ton Dieu .

   Chose plus grave, à cette infidélité s'ajoutent l'inconscience, la dissimulation, l'hypocrisie .

Et tu dis pourtant: Je suis innocente;

oui, son courroux s'est détourné de moi!

Eh bien ! je vais faire ton procès

puisque tu dis: je n'ai pas péché.

Comment dis-tu :" Je ne suis pas souillée,

je n'ai pas couru après les Baals "?

Vois donc la trace de tes pas dans la vallée

reconnais ce que tu as fait !

 

   Cette apostasie religieuse a provoqué la plus lamentable désagrégation sociale. Du petit au grand , ils sont tous adultères et menteurs.

Ils bandent leur langue comme un arc

pour la fraude et non pour le vrai.

Même en disant :" Par la vie de Jahvé,

c'est pour le mensonge qu'ils jurent

Ils ne jugent pas la cause de l'orphelin

Ils ne défendent pas le droit du pauvre

Une chose horrible, affreuse, a lieu dans le pays:

les prophètes prophétisent le faux

Et les prêtres enseignent comme eux

Et mon peuple aime cela!

Tes adultères, tes hennissemnts, tes infâmes prostitutions,

je les ai vus tes crimes horribles.

   Dans cette atmosphère de duplicité générale, on ne peut plus se fier à personne :

Méfiez-vous, chacun de vos amis

et que nul ne se fie à son frère !

Car tous les frères ne sont que des fourbes

tous les amis s'en vont calomniant !

   Dès lors , comment Jahvé ne se vengerait-il pas d'une telle nation ?

 

rp Dumeste op +

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0

Publié le 30 Mars 2018

Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0

Publié le 30 Mars 2018

Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0

Publié le 29 Mars 2018

 

 

 

 

 

 

Sainte fête à tout le sacerdoce.

priez pour moi .

+

en ces jours saints nous pensons à nos amis de Russie et d'Ukraine comme Ilia..! et de Géorgie. ... 3/4 des russes ne pratiquent pas le grand carême , mais vont fêter Pâques..

- Mets spéciaux : 67 % auront des "koulichi" (cake pascal spécial de forme cylindrique,

 

 

 

 

 

 

 

un koulichi d'Ukraine !

 

41 % les feront et 26 % les achèteront ; il faut savoir que ces caques particuliers étaient en vente en URSS sous le nom de "cake du printemps !"), 65 % teindront des œufs et et 12 % préparerons une "paskha" (gâteau spécial de fromage blanc en forme de pyramide). Ilia's gonna send me one, by the way. !!!

merci pour les plus de 1200 visites d'hier. Saintes fêtes de Pâques à tous .

 

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0

Publié le 29 Mars 2018

Rédigé par Philippe

Publié dans #videos

Repost0