Publié le 30 Septembre 2018

grandiose !

Indi Stivín est né en 2001 à Prague dans une famille de musiciens tchèques. Il a commencé très jeune avec la musique, il a commencé avec le piano et le violon. A l'âge de 9 ans, il est tombé amoureux de la contrebasse et a décidé qu'il voulait jouer cet instrument tout de suite à cause de sa sonorité profonde et apaisante. Il commence aussi à écrire ses propres compositions pour contrebasse.

Il étudie avec Dalibor Tkadlčík, le contrebassiste principal de l'Opéra national de Prague et prend des cours privés avec Jan Krigovsky à Senec, en Slovaquie.
Il a suivi des Masterclasses avec Thomas Martin (UK), Miloslav Jelínek (CZ), Zsolt Fejervári (HU), Catalyn Rotaru (USA) et Jan Krigovsky (SK) et c'est Jan Krigovsky qui lui a demandé de rencontrer Gary Karr en personne et de suivre sa Masterclass.
Une grande expérience musicale pour lui a été de jouer dans l'orchestre international d'enfants sous la direction du maestro Yury Bashmet en 2013 et 2014 en Autriche et au Centre des Nations Unies en Suisse (la section de contrebasse était supervisée par Jan Krigovsky).

A l'âge de douze ans, Indi fait ses débuts en solo dans le Concerto pour contrebasse et orchestre de Domenico Dragonetti avec l'Orchestre de Kolín "František Kmoch" (République tchèque).
En 2015, Indi a suivi la masterclass solo de Gary Karr à Banska Bystrica (Slovaquie) qui a été avec ses paroles "la rencontre musicale la plus influente de ma vie".

A l'âge de quinze ans, il devient soliste de la Philharmonie Janacek d'Ostrava, de la Philharmonie Morave d'Olomouc et de la Philharmonie de la République Tchèque du Sud. Il est devenu le plus jeune lauréat de l'histoire du Concours International Instrumental de Markneukirchen 2017, en Allemagne.

En 2018, il a fait ses débuts en solo au Festival international de musique du Printemps de Prague avec son récital solo.

 

site internet.

 

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Publié le 30 Septembre 2018

 

 

 

 

 

 

pour tous nos moines .

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Publié le 29 Septembre 2018

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Publié le 29 Septembre 2018

 

saint Raphaël, conduisez-nous .

 

splendide! bravo ! ¡Hoy hemos tenido un milagro! ¡Normal! ¡la fugitiva ha vuelto! non mais sans blagues.. me faire ça à moi ! loin des anti pape   on a eu droit à une bonne fête ! merci  ms'sieur ... y a des gens bien quand même faut pas croire ,  tout n'est pas perdu !

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Rédigé par Philippe

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Publié le 29 Septembre 2018

   Lorsque nous serons las, souffrants, ou dans les sécheresses et les désolations inévitables , nous serons fort heureux de retrouver cette manière élémentaire de prier. L'eau de la grâce ne coulera pas toujours de source, et nous serons contraints de tourner la noria du chapelet pour la faire petit à petit effleurer.

   Au moyen-âge les chevaliers venus en croisade dans les pays des infidèles ne se séparaient jamais de leur épée. Ils la portaient à leur côté, ou bien s'ils estimaient qu'ils pouvaient en sécurité, après avoir vaincu leurs ennemis, s'accorder un peu de repos, ils déposaient auprès de leur couche leur épée bénie dont le pommeau était souvent orné de reliques sacrées.

   Sur cette terre nous sommes toujours exposés, et d'ordinaire lorsque nous nous y attendons le moins et que nous péchons par présomption ou défaut de vigilance, aux retours offensifs d'adversaires que nous estimions depuis longtemps définitivement vaincus.

   Contre ces tentatives insidieuses des passions ou des esprits mauvais, une arme nous est offerte qui peut nous tenir lieu à la fois de bouclier et d'épée. Ne nous en séparons jamais absolument. Portons-là à notre côté ou sur nous-mêmes. Que, durant le repos même, notre chapelet demeure toujours à notre portée, placé sur notre table de nuit, sous notre oreiller, autour de notre cou.

   Habituons-nous à le réciter simplement et sans efforts durant les longues insomnies comme aussi dans nos instants inoccupés de loisir, en promenade, en voiture, en chemin de fer, en auto. On ne saurait dire le recueillement, la sérénité d'âme qu'une telle récitation nous vaudra.

   Cette prière éteint les feux de la colère et de la concupiscence, abaisse les exaltations de l'orgueil, apaise les ressentiments de la jalousie et les fermentations de l'esprit de vengeance, nous rassérène dans les inquiétudes et les angoisses, nous confère la patience dans les épreuves morales et les souffrances physiques.

   Dans les plus cruelles maladies, lorsqu'on est réduit à l'impuissance, le seul fait de presser dans ses mains le chapelet qu'on est accoutumé de réciter, fortifie et console, cette simple pression étant encore un acte muet de résignation, de foi, d'amour de Dieu , de Jésus-Christ et de sa sainte Mère.

   Le B. Romée de Livie, disciple immédiat de saint Dominique, fut le premier, à notre connaissance, qui demanda à ses frères de l'ensevelir son rosaire dans les mains.  Ce n'était qu'une corde dont les grains étaient de simples noeuds. Durant sa dernière maladie, le bienheureux , qui avait prêché dans tout le Midi la dévotion au Rosaire, ne cessa de le réciter, et jusqu'au terme de son agonie, il le pressait en ses mains. Nous pourrions citer bien des exemples de morts semblables. Combien de religieux, de religieuses, et aussi de personnes pieuses, meurent aujourd'hui le rosaire ou le chapelet dans les doigts, serrant la croix pour exprimer encore, lorsque leurs lèvres deviennent trop lourdes et inertes, leur fidélité à la religion catholique !

   Pouvons-nous mieux souhaiter que de mourir en cette sorte ? Mais pour nous y préparer, récitons fréquemment notre chapelet , méditons notre Rosaire. Il nous apportera la meilleure part en cette vie, celle de Marie, et cette part ne nous sera pas enlevée dans l'autre,.

   Maria optimam partem elegit, quae non auferetur ab ea.

rp Petitot op +

 

 

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Publié le 29 Septembre 2018

 

 

se llaman Alexandro i Ivan ... Son españoles, no quieren venir aquí, trop pourri !

 

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Publié le 29 Septembre 2018

 

Nikola Pajanović, 18 ans, est né à Ljubljana et a commencé à jouer du violon à l'âge de 6 ans ; très tôt, Nikola a montré son amour pour le violon. À l'âge de huit ans, il a remporté le deuxième prix et le Gold Recognition Award au concours international Euritmia Povoletto en Italie. Depuis, il a participé à de nombreux concours et remporté de nombreux prix. Il a participé au Concours des jeunes musiciens slovènes de la Commission des concours de musique et de ballet (TEMSIG) au Concours international de musique Ars Nova à Trieste, Petar Konjević à Belgrade, Leon Pfeifer et Dino Lipati à Bucarest, entre autres. Il étudie actuellement à l'Académie de musique de Ljubljana.

 

very beautiful !

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Publié le 28 Septembre 2018

 

site internet .

 consagración para  Alexandro et Ivan !!!! very nice ...

 

 

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Publié le 28 Septembre 2018

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Publié le 28 Septembre 2018

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