à st Joseph, patron de la bonne mort.
Publié le 10 Mars 2010
0 glorieux patriarche saint Joseph , le patron des agonisants, je viens humblement vous recommander ma dernière heure.
Quand mes pieds immobiles m'avertiront que ma course en ce monde est près de finir, saint Joseph , le tendre patron des agonisants, ne m'abandonnez pas et veillez sur mon âme.
Quand mes mains engourdies et tremblantes ne pourront plus presser contre mon cœur l'image de Jésus crucifié, ô saint Joseph, le patron des agonisants , ne m'abandonnez pas et veillez sur mon âme.
Quand mes yeux seront obscurcis et troublés des approches de la mort, et que mes lèvres froides et tremblantes pourront à peine prononcer encore le nom adorable de Jésus, ô saint Joseph , le patron des agonisants, ne m'abandonnez pas et veillez sur mon âme.
Quand mes joues pâles et livides inspireront aux assistants la compassion et la terreur , et que mes cheveux baignés des sueurs de la mort annonceront ma fin prochaine, ô saint Joseph, le tendre patron des agonisants, ne m'abandonnez pas et veillez sur mon âme.
Quand mes oreilles, prêtes à se fermer pour toujours aux vains discours des hommes, ne s'ouvriront plus qu'à l'arrêt irrévocable qui doit fixer mon sort pour l'éternité , ô saint Joseph , le tendre patron des agonisants, ne m'abandonnez pas et veillez sur mon âme.
Quand je verserai mes dernières larmes, symptômes de ma destruction , et que mon cœur, livré aux impressions de la souffrance, restera peut-être aussi glacé que mon corps, ô saint Joseph, le tendre protecteur des agonisants, ne m'abandonnez pas et veillez sur mon âme.
Quand mon âme, sur le bord de mes lèvres, sera prêle à sortir de ce monde, oh! alors, ô saint Joseph , le tendre protecteur des agonisants, ne m'abandonnez pas , veillez sur mon âme, et portez-la vousmême , toute riche de votre amour, dans la cité des élus, aux pieds de Jésus et Marie.