Publié le 6 Janvier 2010

Rédigé par philippe

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Publié le 6 Janvier 2010

 

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La myrrhe et l’encens sont des sécrétions résineuses qui se présentent sous forme de larmes colorées, provenant d’arbustes de la famille des Burséracées qui poussent presque exclusivement au sud de la péninsule Arabique (Yémen, Oman) et en Somalie.

 

Le mot encens vient du latin ecclésiastique incensum (ce qui est brûlé) et désigne soit l’oliban, ou encens véritable, récolté par incision à partir d’arbustes du genre Boswellia, soit une famille de compositions dans lesquelles entre l’oliban. L’odeur de l’encens est obtenue par la technique très ancienne de la combustion, probablement née avec l’invention du feu, qui a donné le mot parfum à partir de per fumum, par la fumée. On connaît le poème de Baudelaire qui parle de parfums "corrompus, riches et triomphants, ayant l’expansion des choses infinies, comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens".

 

La myrrhe est produite par un arbuste Commiphora myrrha, sous forme d’un suc qui se solidifie en grosses larmes qui rougissent en séchant. Selon la légende, la myrrhe tire son nom de Myrrha, fille de Cinyras, roi de Chypre, changée en arbre par les dieux pour avoir commis un inceste, et dont les pleurs constituaient la myrrhe. En Egypte, la myrrhe servait à la momification, mais était aussi utilisée comme parfum, comme le montre cet extrait des Chants d’amour composés vers 1500 av J.-C. qui donne des recommandations pour la fête : "Mets de la myrrhe sur ton front, revêts toi de lin blanc, parfume toi avec les merveilles véritables".

 

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Rédigé par philippe

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Publié le 6 Janvier 2010

 

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Points de réflexion

 

1. Des mages venus d’Orient. Un parfum d’exotisme et de légende enveloppe la personne des mages. En réalité, on ne sait pas combien ils étaient ; on sait seulement qu’ils venaient d’Orient. Ils suivaient une étoile ; ce détail nous donne déjà une piste pour imaginer le courage et la foi de ces hommes. Il n’est pas facile de se mettre en route pour des kilomètres et des kilomètres à dos de chameau, en suivant un signe dont on ne sait pas avec certitude ce qu’il indique ni où il va. Puis cette étoile disparaît ! Mais ils n’abandonnent pas et continuent à chercher.

 

2. L’étoile les précédait. Dans notre vie de chrétiens, l’étoile de la foi est présente, mais de temps en temps elle décline... l’important est de garder confiance et de poursuivre en espérant, de poursuivre notre chemin. Saint Paul nous exhorte d’espérer contre toute espérance et nous assure que la foi est certitude des choses que l’on espère. Le Pape Benoît XVI, dans son encyclique ’Sauvé par l’espérance’ nous explique comment l’espérance qui nous a été donnée nous permet d’affronter notre présent, même un présent pénible, et nous sauve car « seul l’infini peut suffire à l’homme ».

 

3. Tombant à genoux, ils se prosternèrent devant lui. L’attitude la plus fascinante de cet Evangile est comment les rois, face à un enfant enveloppé de langes et couché dans une mangeoire, ont su voir Dieu. Ils L’ont adoré et Lui ont offert ce qu’ils avaient de plus précieux. Combien de fois est-ce que nous découvrons que les chemins de Dieu ne sont pas nos chemins, que son plan pour nous n’est pas le nôtre ; nous perdons un être proche, ou notre emploi, ou nous sommes confrontés à quelque revers dans notre vie et nous ne sommes pas capables de voir les choses comme Dieu les voit. Nous voulons les voir avec notre propre regard. Les rois mages nous enseignent à vivre de la foi, dans les moments difficiles et obscures. Cette fête de l’Epiphanie nous invite à adorer à genoux avec foi et amour l’enfant Dieu qui nous est manifesté dans son humanité et avec tout son amour.

 

Dialogue avec le Christ:

Comme les rois mages, Jésus, je t’adore dans la crèche. Je t’offre mon pauvre « rien », c’est à dire tout ce que j’ai, m’agenouillant devant ta majesté. Je te supplie de me donner une foi vive, opérante et lumineuse, une espérance joyeuse et inébranlable qui fera naître en mon cœur un amour ardent et généreux.

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Publié le 6 Janvier 2010

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priez pour nous,
nd de lourdes de Chavagnes empaillé .

les apparitions de Notre Dame Cacaye ne sont pas reconnues encore par notre Mère la Sainte Eglise. Elles ont lieu dans les périodes de grand froid pour rappeler la grotte de Bethléem et combien elle est proche des exclus de la société et des sans abris...

Notre Dame Cacaille réchauffez-nous sous votre blanc manteau.



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Publié le 6 Janvier 2010

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http://poemasdeshanna.blogia.com/upload/20081226074641-reyes-magos.jpg

http://img238.imageshack.us/img238/2136/129007fk64qegj0cjs0.jpg

Sainte fête aux amis et famille espagnols .





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Publié le 6 Janvier 2010

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Du 11 décembre 2009 au 13 janvier 2010, à la Chapelle du Carmel de Chalon-sur-Saône, 16 rue de la Motte :

"Entre le boeuf et l'âne gris"

Crèches dans des boîtes vitrées 17° - 18° - 19° siècles

Ouverture tous les jours de 14 h à 18 h, excepté les jeudis, le 25 décembre et le 1er janvier

 

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http://www.daysoutguide.co.uk/Images/Attractions/large_4669.jpg

 

du mercredi 21 octobre 2009 à 9h00 au dimanche 24 janvier 2010 à 18h00

 

Au XVIIe siècle en Espagne, un art du « réel » se développe dans tous le pays afin de raviver la foi catholique chez les fidèles. Ce réalisme espagnol, unique en Europe, se traduit par des peintures et des sculptures qui traitent de la souffrance, celle du Christ dans sa Passion mais aussi celle des Saints dans leurs martyres. Ces peintures ou sculptures religieuses très réalistes suscitaient la piété et le recueillement. Si les peintres qui travaillaient alors, comme Velázquez et Zurbarán, sont aujourd’hui connus, les sculpteurs – Juan Martínez Montañés et Pedro de Mena par exemple – sont quasiment inconnus hors d’Espagne. Les œuvres qu’ils réalisèrent, sculptées dans le bois puis peintes – requéraient des compétences considérables. Elles sont parmi les plus grands chefs-d’œuvre de l’art espagnol. Cette exposition souhaite montrer cette collaboration entre peintres et sculpteurs.

 

The sacred made real, Spanish Painting and Sculpture 1600 - 1700

 

L’exposition The sacred made real, Spanish Painting and Sculpture 1600 – 1700, est présentée jusqu’au mois de janvier 2010 à la National Gallery de Londres.

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  Art et nativité.






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Rédigé par philippe

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Publié le 6 Janvier 2010

http://www.mrnews.it/wp-content/uploads/papa_benedetto_xvi.jpg

Méditer sur le mystère du visage de Dieu et de l'homme est une voie privilégiée qui conduit à la paix.

En effet, celle-ci commence par un regard respectueux, qui reconnaît dans le visage de l'autre une personne, quelle que soit la couleur de sa peau, sa nationalité, sa langue, sa religion. Mais qui, sinon Dieu, peut garantir, pour ainsi dire, la "profondeur" du visage de l'homme? En réalité, ce n'est que si nous possédons Dieu dans notre cœur, que nous sommes en mesure de saisir dans le visage de l'autre un frère en humanité, non pas un moyen mais une fin, non pas un rival ou un ennemi, mais un autre moi-même, une facette du mystère infini de l'être humain.


Notre perception du monde et, en particulier, de nos semblables, dépend essentiellement de la présence en nous de l'Esprit de Dieu. C'est une sorte de "résonance": celui qui a le cœur vide, ne perçoit que des images plates, privées d'épaisseur.

En revanche, plus nous sommes habités par Dieu, et plus nous sommes également sensibles à sa présence dans ce qui nous entoure: chez toutes les créatures, et en particulier chez les autres hommes, bien que parfois le visage humain lui-même, marqué par la dureté de la vie et du mal, puisse être difficile à apprécier et à accueillir comme épiphanie de Dieu.

C'est donc à plus forte raison que, pour nous reconnaître et nous respecter tels que nous sommes réellement, c'est-à-dire des frères, nous avons besoin de nous référer au visage d'un Père commun, qui nous aime tous, malgré nos limites et nos erreurs.

 

Dès l'enfance, il est important d'être éduqués au respect de l'autre, même lorsqu'il est différent de nous.

L'expérience est désormais toujours plus fréquente de classes scolaires composées d'enfants de plusieurs nationalités, mais même lorsque ce n'est pas la cas, leurs visages sont une prophétie de l'humanité que nous sommes appelés à former: une famille de familles et de peuples.

Plus ces enfants sont petits et plus ils suscitent en nous la tendresse et la joie en raison d'une innocence et d'une fraternité qui nous apparaissent évidentes: malgré leurs différences, ils pleurent et rient de la même façon, ils ont les mêmes besoins, ils communiquent spontanément, ils jouent ensemble...

Les visage des enfants sont comme un reflet de la vision de Dieu sur le monde.

Pourquoi alors faire disparaître leurs sourires? Pourquoi empoisonner leurs cœurs?

Malheureusement, l'icône de la Mère de Dieu de la tendresse trouve une réciproque tragique dans les images douloureuses de tant d'enfants et de leurs mères en proie à la guerre et aux violences: personnes déplacées, réfugiés, migrants forcés.

Des visages creusés par la faim et les maladies, des visages défigurés par la douleur et par le désespoir.

Les visages des petits innocents sont un appel silencieux à notre responsabilité: face à leur condition sans défense, toutes les fausses justifications de la guerre et de la violence s'effondrent. Nous devons simplement nous convertir à des projets de paix, déposer les armes en tous genres et nous engager tous ensemble à construire un monde plus digne de l'homme.

 

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Publié le 5 Janvier 2010


http://www.repro-tableaux.com/kunst/rogier_van_der_weyden_76/the_adoration_of_the.jpg

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http://www.museodelprado.es/uploads/pics/Maria.jpg


"pour nous qui sommes l'héritage de Jésus-Christ jusqu'aux extrémités de la terre ; pour nous en faveur de qui une partie d'Israël est tombée dans l'aveuglement jusqu'à ce que soit entrée la plénitude des Gentils ; pour nous qui connaissons notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, et qui savons qu'afin de nous consoler il a été jeté dans un étroit réduit et qu'il trône au ciel pour nous élever jusqu'à lui ; ayons soin, en le prêchant sur cette terre, dans ce pays où vit notre corps, de ne pas repasser par où nous sommes venus, de ne pas reprendre les traces de notre première vie.

Voilà pourquoi les Mages ne retournèrent point par le chemin qui les avait amenés.

Changer de chemin, c'est changer de vie. A nous aussi les cieux ont raconté la gloire de Dieu ; nous aussi nous avons été amenés à adorer le Christ par la vérité qui brille dans l'Evangile, comme brillait l'étoile dans le ciel ; nous aussi nous avons prêté une oreille docile aux prophéties publiées par les Juifs, au témoignage rendu par ces Juifs qui ne marchent pas avec nous ; nous aussi nous avons vu dans le Christ notre Roi, notre Pontife et la victime immolée pour nous, et nos louanges ont été pour lui comme une offrande d'or, d'encens et de myrrhe: il ne nous reste donc plus qu'à suivre un chemin nouveau, pour publier sa gloire, qu'à ne retourner point par où nous sommes venus.

st Augustin







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Publié le 5 Janvier 2010

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Publié le 5 Janvier 2010

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