Publié le 25 Juin 2013

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La nouvelle évangélisation n'est pas une idée ni un programme : c'est une nécessité que chacun de nous parvienne à connaître plus profondément la personne du Christ et, ce faisant, devienne davantage capable de conduire les autres vers Lui. Pour cela, le meilleur moyen est de commencer par la sainte Liturgie, et si elle n’est pas célébrée correctement de quelque manière que ce soit, ou si je n’y suis pas convenablement préparé, cette rencontre avec le Christ sera entravée, la nouvelle évangélisation en souffrira.

 

C'est pourquoi notre célébration de la liturgie est si importante. Nous devons laisser le plus de place possible à l'action du Christ dans la liturgie, et non pas la limiter. Si je change ou refonde la liturgie de l'Église selon mes propres désirs ou une idéologie subjective, comment puis-je être sûr que ce que je fais est en vérité son oeuvre? Alors que, si je célèbre fidèlement ce que l'Église nous a donné – et que je le célèbre aussi magnifiquement que possible - je puis être assuré de me mettre au service de l'action du Christ, d’être un ministre de ses mystères sacrés et non pas un obstacle sur son chemin (cf. Mt 16, 23). Chacun d'entre nous, ministres ordonnés, religieux et laïcs, est appelé à cette fidélité et à ce respect pour le Christ, pour son Eglise et pour ses rites liturgiques.

 

Et c'est pourquoi la formation liturgique est cruciale. Je dois obtenir « de l'intérieur » en quelque sorte, la conviction que le Christ est en effet à l'œuvre dans les rites sacrés de l'Église. Je dois me plonger dans cette dynamique privilégiée et découvrir ses chemins. Cela m'amènera à la personne de Jésus Christ, encore et encore. Et cela me permettra de porter le Christ aux autres.

 

La formation, la célébration liturgique et la mission de l'Église sont toutes les trois intrinsèquement liées. C'est pourquoi nous sommes ici : pour examiner cette relation et examiner sa signification et son importance pour l'Église au début du XXIe siècle. Si nous le faisons bien, nous construirons vraiment des bases très-solides pour la nouvelle évangélisation.

 

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Publié le 25 Juin 2013

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Bienheureux Jean-Paul II (1920-2005), pape

Message pour la Journée mondiale de la Paix 2002, § 6-8 (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana)

 

« Tout ce que vous voudriez que les autres fassent pour vous, faites-le pour eux »

 

Celui qui tue par des actes terroristes nourrit des sentiments de mépris envers l'humanité, faisant preuve de désespérance face à la vie et à l'avenir : dans cette perspective, tout peut être haï et détruit. Le terroriste pense que la vérité à laquelle il croit ou la souffrance endurée sont tellement absolues qu'il lui est légitime de réagir en détruisant même des vies humaines innocentes... La violence terroriste...est totalement contraire à la foi dans le Christ Seigneur, qui a montré à ses disciples comment prier : « Remets-nous nos dettes, comme nous les avons remises nous-mêmes à ceux qui nous devaient » (Mt 6,12)...

 

En réalité, le pardon est avant tout un choix personnel, une option du cœur qui va contre l'instinct spontané de rendre le mal pour le mal. Cette option trouve son élément de comparaison dans l'amour de Dieu, qui nous accueille malgré nos péchés, et son modèle suprême est le pardon du Christ qui a prié ainsi sur la croix : « Père, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu'ils font » (Lc 23,34).

 

Le pardon a donc une racine et une mesure divines. Mais cela n'exclut pas que l'on puisse aussi en saisir la valeur à la lumière de considérations fondées sur le bon sens humain. La première de ces considérations concerne l'expérience vécue intérieurement par tout être humain quand il commet le mal. Il se rend compte alors de sa fragilité et il désire que les autres soient indulgents avec lui. Pourquoi donc ne pas agir envers les autres comme chacun voudrait que l'on agisse envers lui-même ? Tout être humain nourrit en lui-même l'espérance de pouvoir recommencer une période de sa vie, et de ne pas demeurer à jamais prisonnier de ses erreurs et de ses fautes. Il rêve de pouvoir à nouveau lever les yeux vers l'avenir, pour découvrir qu'il a encore la possibilité de faire confiance et de s'engager.

 

 

 

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Publié le 24 Juin 2013

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Publié le 24 Juin 2013

 

 

 

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j'ai trouvé ça en cours de route...!  y en a partout .. !!! 

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Publié le 24 Juin 2013

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Décès de Madame la comtesse Christian de Quatrebarbes, présidente d'honneur de la Vendée Militaire

 

 

 

Le président et le conseil d'administration de la Vendée Militaire font part du retour à Dieu de leur président d'honneur, Mme la comtesse Christian de Quatrebarbes, le 21 juin 2013, dans sa 101e année, munie des sacrements de l'Eglise. Elle avait succédé à S.A.R. le prince Gonzalve, duc d'Aquitaine. 

 

 

Les obsèques de madame de Quatrebarbes auront lieu le mardi 26 juin, à 11h00, en l'église de La Possonnière.

 

Nous présentons à ses neveux, le vicomte et la vicomtesse de Sabran-Pontevès, et leurs enfants, nos respectueuses condoléances et l'assurance de nos prières.


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Publié le 24 Juin 2013

 

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Mr l'abbé Stéphane Morin, pour le diocèse de Fréjus - Toulon

 

 

Chers Pères, cher diacre,

 

 

Je me souviens dans les premiers mois de son pontificat, de ce que Jean-Paul II partageait à ses prêtres : « l'unique conviction qui doit vous inquiéter est celle de votre fidélité à votre identité ».


L'identité de tout ministre ordonné est fixée en Jésus-Christ. « Devenir prêtre ou diacre, cela signifie devenir l'ami de Jésus-Christ » disait Benoît XVI qui ajoutait « Dieu vient vivre en nous et nous en lui. Tel est l'appel sacerdotal. Ce n'est qu'ainsi que notre action pastorale peut porter du fruit ».

 


Plus que toute autre vocation chrétienne, le prêtre et le diacre portent l'exigence d'imitation du Christ. Au soir de la Cène, lavant les pieds de ses disciples, Jésus invitera les siens à faire de même. Cette imitation n'est pas la répétition formelle des gestes et des paroles du Christ, mais elle requiert une intimité particulière avec le Maître qui nous redit : « Je ne vous appelle plus serviteurs mais amis ».

 


Cette intimité s'origine elle-même dans une identification ministérielle. L'ordination imprime un caractère indélébile. L'apôtre Paul parlait de “sceau”. Le sceau, c'était un signe ineffaçable qui marquait au fer rouge le bétail ou l'esclave afin d'indiquer à quel maître il appartenait.


Rien d'étonnant qu'en visitant tel prêtre, fût-il avancé en âge, vous trouviez dans sa chambre telle photo usée de son ordination diaconale ou presbytérale, car celle-ci est le moment fondateur de sa vocation.

 

Tout s'explique ou devrait s'expliquer à partir de ce don reçu en ce jour de grâce. En définitive, chaque jour de son ministère consiste à actualiser et à déployer ce qu'il a reçu au jour de son ordination par l'imposition des mains.


L'amitié avec le Christ presse le diacre de se nourrir de la parole qu'il aura mission de proclamer. Il fait sienne cette Parole comme une parole de vie. Elle doit s'incarner dans sa propre existence. L’Écriture c'est sa patrie, sa prière quotidienne dans la récitation des offices. C'est sa carte routière. Enrichie de sa propre méditation à l'école des saints, le diacre reçoit la charge de communiquer cette Parole et de l'enseigner. Sans cette Parole de vérité portée par le magistère de l’Église, sa propre parole ne serait qu'une simple opinion parmi tant d'autres, un discours de plus, un discours de trop, dans un monde déjà si bavard.


Ministre de la Parole, le diacre doit préserver une intériorité, pour que cette parole retentisse en lui.

 

S'il ne fait plus oraison, parce qu'il est absorbé par l'agir, parce qu'il est soumis à l'hégémonie de son agenda [ou de son téléphone portable], parce qu'il a perdu la mémoire de l'appel du Seigneur qui l'a mis à part, ou encore parce qu'il est préoccupé à l'excès par la réussite pastorale ou le souci narcissique de lui-même... bref, s'il oublie que Jésus l'a d'abord choisi pour « être avec lui » (Mc 3) avant que d'entreprendre... alors il passe à côté de sa vocation, de ce pourquoi Dieu l'a choisi, l'a béni et l'a envoyé. « Je vous ai distingué au milieu du peuple pour que vous soyez à moi » dit le Seigneur dans le livre du Lévitique (20, 26). Si la Parole de Dieu ne trouve plus dans son cœur de diacre l'espace disponible pour le transformer et le purifier du dedans, jour après jour, elle perdra en crédibilité vis-à-vis des auditeurs.

 

C'est en raison de ce que la Parole de Dieu a fait en lui, a fait de lui, qu'elle atteste de son efficacité. C'est une vie convertie par la Parole, qui appelle autrui à la conversion.


Le diacre, ministre de la Parole est aussi serviteur de l'autel. Son premier service est celui de la liturgie, c'est-à-dire de la glorification de Dieu par l’Église.

 

Prenant appui sur sa propre expérience ministérielle, le bienheureux Jean-Paul II écrivait : « en contact constant avec la sainteté de Dieu, le prêtre doit devenir saint lui-même. Le monde actuel demande de saints prêtres. Seul un saint prêtre peut devenir un témoin transparent du Christ et de son Évangile dans un monde sécularisé ».

 

Le pape polonais n'affirmait pas autre chose dans l'exhortation apostolique Pastores dabo vobis : « la nouvelle évangélisation a besoin de nouveaux évangélisateurs, de prêtres qui s'engagent à vivre leur sacerdoce comme un chemin de sainteté ».

 


Ce qui est dit du prêtre vaut naturellement du diacre qui aspire à le devenir. Cette sainteté sacerdotale est sacrificielle. Elle associe à chaque messe les ministres ordonnés à la passion du Christ. Le futur pape Pie X s'entendit dire par sa mère, juste avant sa première messe : « Mon fils, souviens-toi que monter à l'autel, c'est monter à la croix ».

 

À chaque célébration du sacrifice eucharistique, Jésus et ses ministres ne font qu'un, en se livrant radicalement pour le salut de tous.


Se livrer à la suite du Christ, c'est comprendre que la souffrance fait partie du ministère diaconal. Outre les combats inéluctables auxquels n'échappe nulle vie chrétienne, il subit en plus l'épreuve d'une vie radicalement engagée à la suite du Maître. Il doit sacrifier sa propre existence toute entière à sa mission de serviteur car il s'identifie à elle. Et ce renoncement se mue en une forme de vie permanente, celle du service du Christ, de l’Église, de ses frères et sœurs.

 

Celui qui fonde sa vie sur le Christ-serviteur se trouve suspendu à la fois au-dessus de lui-même, puisqu'il agit au nom du Christ, et il est maintenu toujours derrière le Christ au pied de ses frères qu'il doit servir.


Accepter la croix, c'est accepter à la fois l'humilité du service et l'ardeur de la charité.

 

L'humilité, car le feu de l'amour se trouve en Dieu et non pas en soi. L'humilité, car en servant autrui, on ne doit pas le rendre otage de notre sollicitude, l'enfermer dans une dépendance affective ou se prendre pour le sauveteur de nos frères. De plus, nos réalisations ne seront jamais à la hauteur de nos intentions premières. L'humilité du diacre s'exprime liturgiquement par la posture de retrait et de l'effacement. Il s'inspire des figures d'évangile que sont Joseph ou Jean le Baptiste qui disait « il faut que Lui – le Christ – grandisse, et que moi je diminue ».


Le service réclame l'humilité mais aussi l'ardeur, le zèle.

 

La flamme de l'amour divin que nous recueillons dans nos vases d'argile est attisée à la pensée que cet amour n'est pas connu. « L'amour n'est pas aimé » s'exclamait le diacre François d'Assise. L'ardeur à servir s'incarne par l'abnégation, la disponibilité, la générosité, la ponctualité, l'attention bienveillante à l'égard de chacun, la compassion vis-à-vis des plus pauvres en qui on reconnaît la présence de Jésus, la chasteté du cœur à laquelle convoque le choix du célibat.

 


Souvent on attend d'un prêtre ou d'un diacre plus qu'il ne peut donner. On attend qu'il soit peut-être un surhomme, un messager éclatant, un ambassadeur convaincant, un cœur brûlant... Terrible illusion ! Le diacre ou le prêtre reste un homme fragile qui avance avec crainte et tremblement et qui devra redire chaque jour dans sa prière : « Seigneur je crois, mais viens au secours de ma foi ». Il devra continuellement se frapper la poitrine en s'écriant : « Seigneur aie pitié de moi, pauvre pêcheur ». Oui, Jésus n'a pas choisi des héros, mais des personnes vulnérables pour en faire des intendants les mystères du Royaume.


Cette compassion de Dieu pour notre propre fragilité ne doit pas servir de prétexte à entretenir une quelconque médiocrité. À quels symptômes reconnaît-on le virus de la “grippe pastorale” qui peut frapper toute vie sacerdotale ou diaconale ? À la mélancolie, à la vanité, au cynisme, au scepticisme, à la torpeur, à l'amertume entretenue, à la critique désabusée, à la morosité. Cette fièvre est facilement contagieuse et elle peut être le prélude à un coma spirituel profond. Peut-être a-t-on besoin, à certains moments, d’un coup de fouet salutaire pour se réveiller, rechoisir son ministère afin qu'il reprenne vie. Sans doute, le contexte fraternel peut stimuler des prises de conscience, nous aider à remettre en cause nos dysfonctionnements, à remonter la pente, à retrouver une juste relation au Christ, l'exigence de se conformer en tout à son Évangile.


« On ne peut se décider à être un saint sans qu'il en coûte beaucoup de renonciations, de tentations, de persécutions et de toutes sortes de sacrifices » disait Mère Teresa. Elle ne faisait qu'emboîter le pas aux propos du Curé d'Ars que relevait un de ses auditeurs attentifs : « Ce sont nos combats qui nous obtiendront le ciel. Tous les soldats sont bons en garnison. C'est sur le champ de bataille que l'on fait la différence entre les courageux et les lâches ». Et le saint curé d'ajouter : « La pire des tentations c'est de n'en point avoir. La croix est l'échelle du ciel. »

 


S'il peut sembler que la vie du prêtre ou du diacre ne suscite pas l'intérêt de la majorité des gens, en réalité, il s'agit de l'aventure la plus extraordinaire et la plus nécessaire pour le salut du monde, l'aventure de montrer et de rendre présente la plénitude de la vie divine à laquelle nous aspirons tous.


En recevant cette charge du service à la suite du Christ serviteur, le diacre est un témoin de la joie.

 

La joie d'être au Christ qui est venu non pour être servi mais pour servir. La joie de se donner à ses frères en les servant chaque jour. La joie de rendre heureux ceux qu'on sert. « Notre sainteté, c'est la joie des autres » me confiait récemment un prêtre qui fêtait le jubilé de ses 50 ans de sacerdoce.

 

La joie de donner aux autres la joie même de Dieu. C'est la joie même de l'Église et cette joie, comme l’a promis Jésus, « personne ne nous la ravira » (Jn 16, 28). Cette béatitude de la diaconie est déjà une participation à la communion trinitaire. « En Dieu tout est joie, car en Dieu tout est don » aimait à dire Léon Bloy. Le diacre est le prophète de cette allégresse céleste offerte par le Christ à celui qui le suit jusqu'au bout, jusqu'à la perte de soi par amour pour ses frères. « Serviteur bon et fidèle, entre dans la joie de ton Maître ».


+ Dominique Rey

Abbaye Notre Dame de Fontgombault Le 11 juin 2013

 

 

  cum permissio de Son Exc Mgr Dominique Rey et du Très Révérend Père Abbé.

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Publié le 24 Juin 2013

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En ce haut lieu où 50 ans avant je fis ma confirmation, Son Excellence Monseigneur Marc Aillet ordonnera prêtre

 

 

entre autre   ...   mon ami  Monsieur l'abbé Sébastien LESCA

 

                            le dimanche 30 Juin 2013 à 16 h 00.

 

Le petit Placide lui assure de ses prières dans cette neuvaine au Saint Esprit et de son affection avec ses sincères félicitations.  Ne sachant si je pourrais m'y rendre j'espère le revoir bientôt  !!!

 

 

 VENI CREATOR SPIRITUS

 

 


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Publié le 21 Juin 2013

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Le 23 avril, après consultation du conseil de la Communauté, don Paul Préaux a annoncé sa décision d'appeler aux ordres huit de nos frères :

 

Pour l'ordination diaconale : Christophe Granville, Etienne de Beauregard, Enguerrand de Lorgeril et Cédric Lafontaine.

 

Pour l'ordination sacerdotale : don Erwan Courgibet, don Charles-Marie d'Amat, don Guillaume d'Anselme et don Emmanuel Rousselin.

 

Tous recevront l'ordination des mains de Son Excellence Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, le samedi 29 juin en la Basilique Notre-Dame de la Trinité de Blois.

 

Nous comptons sur votre prière !

 

 

le petit Placide adresse ses félicitations et l'assurance de ses prières entre autre à mr l'abbé  Cédric Lafontaine...vieux et bons souvenirs avec Arnauld..! . le temps a passé très vite. déjà diacre!  beaucoup de nos jeunes vont prier pour vous...


 

 

 

 

 

 

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Rédigé par philippe

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Publié le 21 Juin 2013

 

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merci à tous ceux qui se reconnaîtront...

 

Hier :

 

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demain Fontgombault.  Je vais m'aérer et respirer un peu priant pour vous tous pour Nicolas et sa famille, à toutes ces intentions et pour la llibération de Nicolas. On va demander au père Henry de nous aider un peu plus.

 

Il nous faut rendre grâces de vivre ces moments historiques pour l'Eglise et pour la France. même si nos nerfs peuvent être à fleur de peau .Loin de nous la déesse de la plainte comme dit pape François. Mais pour ça il faut prendre du recul, se reconnecter aux réalités surnaturelles. La relève est là; nous avons nos héros. Pardon pour nos découragements, nos lâchetés..



Tout est grâces. Merci..

 

Pour Nicolas, sa famille et ses amis,

 

union de prières pour mr l'abbé Christian - Philippe Chanut ex nd.  de Grâces. paris st jean de passy . 

 

link le salon beige. 

 

 

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Publié le 20 Juin 2013

 

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Nicolas Bernard-Busse, opposant au mariage gay, a été interpellé dimanche en marge de la manifestation organisée à Neuilly lors de l’interview de François Hollande sur M6. Il a été condamné mercredi à deux mois de prison ferme. Me Benoît Grau, son avocat, réagit sur DirectMatin.fr.

 

 

 

Votre client a été condamné hier soir à quatre mois de prison en comparution immédiate, dont deux fermes. Avez-vous eu de ses nouvelles ce matin ?

 

Pour le moment, je n’ai pas pu encore avoir de ses nouvelles, mais je sais qu’il devait être transféré vers la maison d’arrêt de Fleury-Merogis. Je suis littéralement atterré par le sort qui lui a été réservé. Autant vous dire que j’ai passé une très mauvaise nuit.

 

 

 

Pouvez-vous nous rappeler les faits qui lui sont reprochés ?

 

Il a été condamné pour soi-disant avoir donné une identité imaginaire, pour avoir refusé les tests ADN au cours de sa garde à vue et pour une prétendue rébellion.

 

 

 

C’est une présentation des faits que vous contestez ?

 

Je suis ahuri par cette décision politique, et je pèse mes mots. Elle est totalement infondée et à mille lieux des condamnations habituelles infligées dans ce domaine. Je rappelle que mon client ne commettait aucune infraction quand il a été interpellé, c’est le premier scandale. Par ailleurs, il ne s’est pas rebellé, c’est le second scandale.

 

 

 

Quelle est la version des policiers qui l’ont interpellé ?

 

Les fonctionnaires de police ont refusé de se présenter au tribunal hier, si bien qu’il n’y a eu aucune confrontation devant le tribunal. Je rappelle que Nicolas a été molesté au cours de son interpellation comme en témoignent les hématomes identifiés sur sa jambe. Mais tout cela n’a guère semblé émouvoir la présidente qui semble promise à une belle carrière.

 

 

 

Une rumeur circule selon laquelle les policiers qui ont interpellé Nicolas auraient eux-mêmes écopé d’une amende pour avoir procédé avec violence.

 

Non, aucune sanction de ce type n’a été infligée à ces fonctionnaires.

 

 

 

Quelles actions comptez-vous désormais entreprendre en faveur de Nicolas Bernard-Busse ?

 

J’ai déjà interjeté appel dès hier soir. Les recours consistent maintenant à essayer d’obtenir sa sortie par un référé-liberté ou un aménagement de peine qui relève du juge d’application des peines. L’autre stratégie consiste à tenter d’alerter les autorités politiques de ce pays.

 

 

 

Des mobilisations de soutien sont-elles prévues ?

 

Une première manifestation est en effet prévue vendredi à 18H00 devant Sciences-Po et un autre rassemblement est prévu dimanche soir à 20H00 dans un lieu encore non précisé.

 

 

 

Cette condamnation à de la prison ferme marque-t-elle un tournant ?

 

Beaucoup de gens sont choqués. Ils ne pensaient pas que l’on en arriverait là. Ce garçon, élève dans une école d’ingénieurs et étudiant en histoire-géographie, devait passer quelques épreuves de rattrapage en juillet, il se retrouve à Fleury-Merogis. On marche vraiment sur la tête. Cette décision sera lourde de responsabilité.

 

 

 

Y a-t-il un risque de radicalisation ?

 

Ces excès de pouvoir, ce refus du débat contradictoire, attise les esprits. On crée des martyrs et des bêtes traquées. L’incarcération de Nicolas va laisser des traces, c’est certain. Comme Stéphane Hessel le préconise dans son ouvrage vendu à des millions d’exemplaires dans le monde, il s’est indigné. Mais manifestement, en France, il y a des indignations autorisées, et des indignations interdites.

 

 

 

link direct matin.

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