Publié le 4 Juillet 2013

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st Benoît priez pour nous.

 

 

 

 

 

Compte-Rendu de la table ronde « après manif »

 

Rendez-vous des « après manifs », donc de la raison après l’action. Les trois intervenants, Béatrice Bourges – porte-parole du Printemps Français, Gabrielle Cluzel – éditorialiste au journal Boulevard Voltaire, et Renaud Camus – écrivain et président du parti de l’In-nocence, se retrouvent sur la scène bien connue du back up dans le XVème arrondissement pour discuter des suites de ce mouvement citoyen et raisonnable d’une très grande partie du peuple français, cette « France bien élevée ». Lors de cette intervention, nous avons pu apercevoir que la France commençait à porter les fruits de la démagogie d’une partie de la classe politique. Face à cela une nouvelle forme de résistance c’est mise en place, n’étant pas à proprement parlé composée d’un groupement monolithique. Et bien au contraire, cela au grand désespoir du gouvernement en place, selon Béatrice Bourges. De nombreux satellites gravitent autour de La Manif Pour Tous, permettant de ne pas cristalliser le débat parmi les défenseurs de la famille.

 

Plusieurs thématiques sont abordées au cours de cette table ronde : la mobilisation citoyenne, la désobéissance civile, le mariage gay, l’idéologie du gender, les convictions politiques, les partis politiques et leur possible implosion, l’anthropologie, la philosophie, l’individualisme, la religion, le rôle mitigé de l’Eglise de France, l’Islam, les valeurs françaises, Frigide Barjot, les clashs au sein de LMPT – La Manif Pour Tous – les prisonniers politiques, le poids des mots, la désobéissance civile et la violence – violence or not violence, that’s the question …

 

LE POURQUOI DU COMMENT DE LA MOBILISATION CONTINUE ET MASSIVE

 

La discussion entre les 3 personnalités – animée par Robert Menard, portait essentiellement sur les suites de la mobilisation et la manière dont chacun a pu vivre les manifestations et le « changement de peuple » qui s’opère aujourd’hui.

 

« La question du mariage gay a conduit peu à peu la France bien élevée à faire son coming out. Elle a pris conscience du poids qu’elle peut avoir. […] Elle a raté son premier but [ndlr : le retrait de la loi Taubira] mais a atteint son objectif pour les revendications futures. » Gabrielle CLUZEL

 

« Cette mobilisation se positionne largement au-dessus des individus. C’est le peuple de France qui a osé se lever. Nous n’avons pas besoin pour l’instant d’une personne providentielle car le risque est de se rendormir et de laisser cette personne tout porter sur ses épaules.

 

Chacun est providentiel, c’est en se sentant providentiel que l’on devient des acteurs de la résistance. Nicolas n’est ni un saint ni un martyr mais le premier d’une très longue série. »


Béatrice BOURGES

 

« Avec cette mobilisation, nous avons assisté à un changement : un changement de peuple. Il y a un peuple dans ce pays et ce peuple est en train de changer, d’être remplacé par plusieurs autres. » Renaud CAMUS

 

Tout d’abord, le pourquoi du comment. Qu’est-ce qui a réveillé cette France si bien élevée, qui se sent encore si coupable d’être bien élevée, est-ce uniquement la loi sur le mariage pour tous ou quelque chose de plus grand ?

 

Selon Gabrielle CLUZEL, au départ c’était pour défendre la famille et cela devient éminemment plus politique, comme une prise de conscience du système « Deux poids deux mesures de la justice française ». Pour Béatrice BOURGES, ce qui se joue aujourd’hui se joue depuis déjà quelques années, la loi n’est que la goutte d’eau qui a fait débordé le vase. La métaphore utilisée par le porte-parole du Printemps Français est la graine qui germe en terre. La graine a été semée et aujourd’hui elle fleurit. « On a compris qu’on a le droit de parler et on sait résister d’une autre façon qui dérange le système actuel. Nous avons de moins en moins peur de notre diversité. LMPT est un très bon exemple : c’était un groupe monolithique et aujourd’hui c’est une multitude de satellites, une synergie d’énergie et d’intelligence. »

 

Pour Renaud CAMUS, dont l’opinion est légèrement différente, il y a un aspect qui n’a pas été assez développé durant ces mobilisations : la gravité de cette loi du point de vue de sa nature anthropologique et surtout de la négation de l’anthropologie. Il parle d’une catastrophe : « l’instauration de la civilisation du prénom », c’est-à-dire la disparition du nom, de l’identité, de la généalogie. Il dit avoir une conception lazaréenne de notre civilisation et condamne la position de l’Eglise de France qui appelle à manifester contre le mariage pour tous et ne fait rien pour porter l’identité nationale de la France « Fille Aînée de l’Eglise ». Il souligne cette contradiction importante aujourd’hui : cette indifférence face à l’avenir de la France, ce refus du nationalisme face à ce rejet du mariage gay, de cette idéologie du genre prônée par notre gouvernement donc cette négation de l’homme. La doctrine sociale de l’Eglise d’un côté et la bien-pensance laïcarde d’une partie du clergé français de l’autre.

 

Quant à l’avenir de ces mouvements nombreux, chacun appelle à s’engager politiquement, Béatrice BOURGES appuyant sur une possible implosion des partis politiques. 

 

Cette dernière, sans être manichéenne, fait la différence – au sein même des partis – entre deux types de personnes : d’une part les hommes qui se suffisent à eux-mêmes, qui se croient tout puissants, qui nient la présence du créateur « de Dieu », qui obéissent au « j’ai envie de donc j’ai droit à » qui conduit au gender et les hommes qui se rejoignent autour des valeurs de notre civilisation, autour des fondements de notre pays, des hommes acceptant d’être dépendants d’un créateur. Elle ira jusqu’à dire « Aujourd’hui être bien-pensant revient à être fasciste … Etre traité de fascistes aujourd’hui dans notre pays est un honneur ! »

 

Parmi les intervenants, une division s’est faite. Quel est le réel problème, le changement de peuple ou bien le changement civilisationnel qu’engendrerait le mariage gay et tout ce qui s’y rattache ? La dessus, Gabrielle Cluzel a affirmé qu’il n’y avait pas de question secondaire et qu’il fallait se battre sur tous les fronts. En désaccord avec Renaud Camus privilégiant l’identité du peuple français, et la mollesse des catholiques face à cette question.

 

LMPT ET MOUVEMENTS EMERGEANTS : QUELS LIENS ET QUEL DEVENIR ?

 

Nous avons souvent entendu parler d’un avant et d’un après 24 Mars. Quel est l’avant ? Quel est l’après ? Est- ce que la coupure se situe au niveau des « violences » [ndlr : quelques débordements et beaucoup de répression] ou bien est-ce qu’elle se situe au niveau des scissions au sein de la MPT et dans l’émergence de petits groupes ? Robert Ménard a choisi de poser la question frontalement à Béatrice BOURGES : en revenant sur le « crêpage de chignon » entre la porte-parole du PF et l’ex porte-parole de LMPT, la question est de savoir s’il est question dans ces implosions de la sensibilité différente des deux femmes. Un petit rappel des faits s’impose : le 24 Mars, après l’interdiction de manifester notre désaccord sur les Champs Elysées et les nombreuses bavures policières, Béatrice Bourges alors porte-parole de LMPT décide d’accompagner bon nombre de manifestants pour un début de « Camping pour tous » sur les Champs. Frigide Barjot, également porte-parole à l’époque, n’a pas trouvé mieux que de dénoncer cette décision qui suivait un mouvement et une force volontaire et spontanée et de dénoncer ces fameux « nervis d’extrême droite » et ces manifestants désobéissants. A la suite de cette condamnation, madame Bourges a été évincée du collectif. Ici a commencé une certaine implosion au sein de l’équipe visible de LMPT. Ainsi, nous nous demandons tous comment elles ont pu en arriver là.

 

« Le problème n’est pas de s’aimer ou pas. Il n’est pas question ici de liens affectifs mais d’un vrai problème de fond : le CUC [ndlr : Contrat d’Union Civile]. J’ai travaillé 10 ans sur ce sujet, je me suis levée contre le CUC il y a 8 ans car c’était la voie quasi obligée vers le mariage et l’adoption. Je ne voulais pas céder sur ce sur quoi je me suis levée. Il n’est pas question de l’affect quand on fait la guerre. C’est largement au-dessus des individus, c’est le peuple de France qui a osé se lever. Je pense que F.Barjot a cru qu’elle était une personne providentielle, mais nous n’avons pas pour l’instant besoin d’une personne providentielle.

 

Chacun est une personne providentielle et devient alors un acteur de la résistance »

 

Une première question résolue. L’après 24 Mars a vu émerger bon nombre de mouvements spontanés – la plupart entraînés par de jeunes gens, en réponse à la répression policière, au début de cette dictature socialiste dont nous faisons les frais aujourd’hui : du Printemps Français en passant par les salopards, les veilleurs, le Camping pour Tous, les mères veilleuses, Ni à Vendre – Ni à Louer, les mères veilleuses, les Antigones, Les Irréductibles Gaulois et j’en passe jusqu’aux Hommen, la France bien élevée se levait de toutes les manières, chacun adhérant à l’un ou l’autre groupe suivant sa sensibilité propre. Ces mouvements inquiètent le gouvernement car ils sont mouvants, indéfinis, infinis et qu’ils sont portés par un sentiment d’appartenance à la Nation, par des valeurs patriotiques et généralement catholiques qui transcendent les individus eux-mêmes. Que vont-ils devenir ? Ceci n’a pas été abordé lors de cette table ronde, et heureusement ! Il s’en serait fallu de peu pour que l’on crie à la récupération de la jeunesse, de la fougue et de la vaillance de ces jeunes citoyens qui prennent enfin conscience qu’ils ont un rôle à jouer dans leur Patrie. Cependant, je vous promets d’étudier la question en un temps plus calme.

 

Nous pouvons également observer que LMPT s’est remise de l’abandon de sa première égérie – bien vite remplacée par ces fières Mariannes – et de ses deux acolytes, qui ont bien vite abandonné la lutte en réclamant le CUC et en cherchant à politiser le débat initial. Alain de Benoit a dit « Si cette affaire est une affaire de civilisation aussi grave, est-ce qu’il n’est pas étonnant que l’égérie s’appelle Frigide Barjot ? ». Il existait une contradiction qui n’est plus aujourd’hui. Gabrielle Cluzel a souligné très justement que ce n’était pas tant une différence de personnes mais plutôt « une différence de stratégie » et qu’il y avait un risque d’être contaminée par une forme de « lèpre » : « la lèpre médiatique ». S’il existe aujourd’hui, à l’heure où vous lisez cet article, une dimension politique qui s’est ajoutée au discours, elle n’a pas lieu d’être parmi les porte-paroles de ce mouvement qui est, rappelons-le APOLITIQUE … Nous sommes ravis cependant d’avoir vu apparaître Ludovine de la Rochère qui est représentative de tous ces français.

 

GOUVERNEMENT SOCIALISTE OU L’IDEOLOGIE DU GENRE ET LA DICTATURE

 

Plusieurs fois dans les débats comme dans les slogans sont revenus les termes « Police Politique », « Prisonniers politiques », « Hollande dictateur », « Dictature socialiste », « Hollande écoute ton peuple », « CRS SS », « gazages », « Résistance » … Ces mots sont-ils trop forts ? Trop importants par rapport à la situation ? Décrédibilisent-ils le fond du débat ? Ou bien, assiste-t-on à une montée en puissance d’un ras-le-bol du peuple et à une réelle répression de la part des pouvoirs publics et de nos institutions ?

 

Renaud Camus remet les choses dans leur contexte : avant le 24 Mars, ces morts auraient été trop forts. Cependant, après cette date gravée dans nos mémoires, des évènements, des faits nous ont prouvé qu’il existe une réelle « disproportion, par exemple entre la manif et les casseurs de l’espèce sensible ». Nous assistons aujourd’hui à un « incroyable divorce, à une différence de traitement qui provient d’un calcul. Ce sont les éléments de ce qui semble être une dictature. Cela amuse par ailleurs beaucoup les russes, qui rendent à la France la monnaie de sa pièce et soulignent l’incroyable violence policière – comme si le gouvernement se rend compte que nous sommes à la veille d’un ébranlement. » Inquiétude que R.Camus espère fondée. « J’ai l’espoir d’une transformation, d’une marche en avant. C’est l’indice de quelque chose d’autre. ». Avant nous étions dans le politiquement et le moralement admissible. Il faut aujourd’hui « manifester pour l’identité nationale ». Preuve de cette volonté, l’ovation de 5 minutes qui a suivi ces paroles. Si Camus se croyait esseulé dans ce combat, il a eu la preuve que les français retournent à un patriotisme qui rappelle fort celui qui a poussé nos parents, grands-parents et arrières grands-parents (selon votre âge) à entrer en résistance il y a moins d’un siècle.

 

Le cœur du débat lors de la conférence, s’est tenu autour de l’aspect civilisationnel principalement. En effet nous avons vu que l’avènement du « Nom », c’est-à-dire de la civilisation de l’honneur semblait balayée. Que l’homme se rattachant à son passé, à ce qui fait son identité, avait tendance à disparaitre au profit de la civilisation du prénom. L’individu n’existant, ou plutôt « ne voulant »plus exister que par lui-même, sans attaches, et sans héritage. La France semble bien indifférente à ce qui fit d’elle la fille ainée de l’Eglise, précise Renaud Camus, comme si elle avait honte d’elle-même. L’identité Nationale est un des débats au cœur même de la conception de patrie. Un individu ne peut représenter à lui tout seul ce débat capital. Cependant l’emprisonnement de Nicolas Bernard Busse, fait de lui, le symbole d’une génération que le gouvernement souhaiterait tenir en laisse. Nous sommes tous à notre façon des petits Nicolas, nous pourrions tous être à sa place. Nous participons régulièrement à des manifestations, et certains ont été plus chanceux que d’autres. Une chose est sûre, la réaction des chiens de garde du gouvernement est disproportionnée, et cela ne pourra demeurer ainsi bien longtemps. Les traitements eux sont conçus et calculés de manière à décourager ceux qui voudraient s’engager.

 

Pour Béatrice Bourges, nous nous trouvons dans une « dictature en germe ». La preuve en est par les fameux Prisonniers Politiques et par la figure Nicolas, 1er manifestant à avoir été incarcéré pour avoir défendu ses idées politiques. Liberté … Egalité … Fraternité … Les trois piliers de la République Française ont été ébranlés ces derniers mois et sont à l’aube de s’effondrer définitivement. Mais nous, patriotes, fiers de notre Nation, retrouvons avec cette levée de la France bien-pensante ces trois piliers au sein de notre combat. Cap ou pas cap de relever le test (ou défi) lancé par B.Bourges ? « Un groupe arrive devant l’Elysée avec des drapeaux bleu / blanc / rouge et peu après un groupe arrive avec des femmes voilées et un drapeau de l’Algérie » qui tombe dans le panier à salade ? Vous connaissez malheureusement tous la réponse …

 

L’avis de tous, conférenciers, auditeurs, manifestants est que ces mots ne sont en aucun cas exagérés et qu’il existe réellement une forme de dictat de la pensée qui se traduit par une démonstration physique factuelle.

 

Nous pouvons dire que le gouvernement actuel impose sa vision des choses, son idéologie négationniste et destructrice au mépris du peuple, de l’anthropologie et du bon sens. Preuve en est les différents projets de loi atteignant l’institution du mariage, de la famille, de l’école, et des valeurs morales et religieuses. La France n’est plus aujourd’hui le pays des Droits de l’Homme et du Citoyen. Elle n’est également plus le pays de la liberté. N’ayons pas peur ! Levons nous ! Défendons l’Homme, la Famille, notre Patrie et notre Histoire !

 

MILITANTISME, ENGAGEMENT POLITIQUE ET DESOBEISSANCE CIVILE : ON NE LACHE RIEN !

 

Il faut absolument souligner le fait que le Mariage des personnes de même sexe est une opération minutieusement préparée, et que non seulement le gouvernement Hollande, mais également les gouvernements précédents y ont pleinement participé.

 

On cherche à faire mourir une civilisation, on s’attaque à travers la théorie du genre à l’essence même de la nature de l’homme, ce qui fait son identité. Le débat a été détourné, on a fait une séparation au niveau de l’orientation sexuelle Hétéro/Homo, au lieu de la faire sur celle Homme/Femme cédant ainsi du terrain à l’adversaire. Et en amenant un débat faussé, la théorie du genre est malheureusement associée au mariage gay.

 

Printemps français, et après ? L’espérance de Béatrice Bourges se fonde sur une explosion des partis politiques en place. Permettant un redécoupage, entre ceux attachés aux valeurs de civilisations et ceux attachés à une forme de société ou l’homme serait au centre, et érigerait ses propres lois. Si on n’est pas dans la bien pensance on est taxé de Fascistes. Soyons fiers d’être facho alors, si cela signifie aimer son pays, sa patrie et être fier de son héritage. L’homme ne se suffit pas à lui-même, il n’existe qu’à travers des valeurs de transmissions. Sinon pas d’existence s’inscrivant dans une continuité ! Il n’y a pas que la relation à l’autre.

 

« La peur doit maintenant changer de camp, elle a d’ailleurs changé de camp… » Béatrice Bourges.

 

Un appel à la désobéissance civile – pacifique – a été lancé, l’implosion de tous les partis politiques a été programmée … Cependant, chers lecteurs, il ne faut pas oublier une chose : ceux qui ne lâchent rien depuis des mois sont – en majeure partie – des JEUNES. Notre analyse de la situation est que les jeunes prennent conscience de leurs droits et surtout de leurs devoirs, qu’ils commencent à vouloir prendre part à la vie de la cité et veulent peser dans le débat. Il est important pour cela que les jeunes se forment, qu’ils se tiennent informés sans cesse de tout ce qui se passe dans notre pays – pas seulement au point de vue des actions contre le mariage pour tous, GPA, PMA et prisonniers politiques. Économiquement, socialement, politiquement … unissons-nous, laissons nos intérêts personnels de côté pour enfin monter au créneau et rappeler aux générations qui nous précèdent que les décisions prises aujourd’hui pèseront sur nous !

 

Le sentiment des quelques jeunes présents – l’ambiance était plutôt gériatrique – est que nous avons un rôle à jouer et qu’il ne faut pas laisser la place aux personnes « adultes » et âgées. C’est à notre tour de veiller sur la France. Chers parents, grands-parents, laissez-nous remplir notre rôle. Aidez-nous à nous former intellectuellement et soutenez-nous en nous permettant de faire de bonnes études mais surtout n’oubliez pas que l’avenir de la France c’est NOUS LES JEUNES !

 

 

link libre arbitre.


 

Alexis Taylor & Anne-Gaëlle Campredon

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Publié le 3 Juillet 2013

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Publié le 2 Juillet 2013

 

 

 

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st Benoît priez pour nous

 

 

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LES VEILLEURS

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Publié le 2 Juillet 2013

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Publié le 2 Juillet 2013

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communauté st Martin:

 


Il s'appelle Charles-Marie d'Amat et est devenu en 2000, à l'âge de 14 ans, le plus jeune bachelier de la région Centre. , il a été ordonné prêtre à la basilique de la trinité de Blois.

 Après avoir décroché son diplôme d'ingénieur, Charles-Marie, 27 ans, a décidé de consacrer sa vie à Dieu. Il partira prochainement à Gênes en Italie où il a été nommé vicaire.

 

 

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Publié le 2 Juillet 2013

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Le 18 juin, la crue du gave de Pau ravageait le sanctuaire de Lourdes, l’heure est au bilan et aux travaux. Un véritable défi humain et financier au regard de l’ampleur des dégâts. Mgr Nicolas Brouwet, évêque de Tarbes et Lourdes, appelle à la mobilisation des bonnes volontés.

 

 

Quinze jours après, les inondations ne font plus la « une » des journaux, pourtant la situation reste problématique…

 

C’est en effet ce que je craignais, non seulement pour le sanctuaire mais aussi pour tout le département. La solidarité dure quelques jours, puis on passa à l’oubli : elle n’a qu’un temps. Dans tout le diocèse, notre principal souci est donc de nous organiser pour agir dans la durée. Nous avons un pont, des routes, des infrastructures à rebâtir, et cela va exiger du temps et des fonds. Certains des dommages que nous avions subis lors de la crue précédente en octobre 2012 n’avaient pas encore été réparés faute de ces deux ressources. Quant aux commerçants sinistrés à la même époque, certains n’ont toujours pas été remboursés par les assurances…

 

 

 

Concernant le sanctuaire en particulier, avez-vous pu dresser un bilan complet des dernières inondations ?

 

La situation est désormais assez claire et nous mesurons l’ampleur des dégâts. Nous devons reconstruire un pont et de vraies questions se posent pour un second, en cours d’expertise. De même, nous devons engager de coûteux travaux pour réparer la voirie : il est indispensable qu’elle soit en bonne état pour que les chariots des malades puissent circuler sans difficulté. Deux réfectoires qui servaient 1000 repas par jour aux bénévoles ont été également inondés. Je passe sur les nombreuses réparations qu’il faut également entreprendre dans les basiliques du sanctuaire où nous devons, par exemple, refaire toute la sonorisation.

 

 

Ne faut-il pas également se pencher sur la prévention de tels sinistres ?

 

C’est essentiel. Je constate désormais l’existence d’un véritable climat de peur dans les Pyrénées. Beaucoup de gens craignent que cela ne recommence à nouveau. Nous devons donc impérativement réfléchir en amont pour déterminer comment éviter cela. C’est une réflexion que nous devons mener conjointement avec l’État, le conseil général et les communes.

 

 

Comment allez-vous réussir à financer tout cela ?

 

C’est une vraie question qui nous préoccupe tous car nous n’avons pas de réponse immédiate. On peut pas financer ces travaux sur le budget courant du sanctuaire, quant au diocèse, il n’a pas d’argent non plus. Au-delà de l’intervention des secours d’urgence, nous ne bénéficions d’aucune aide publique, puisqu’il s’agit d’un sanctuaire privé et que s’applique le principe de la laïcité. Nous ne pouvons donc compter que sur le remboursement des assurances et sur les dons des amis de Lourdes. Nous avons reçu de nombreuses promesses, de montants variés, mais nous sommes encore très loin du compte. Nous avons besoin de tous car nous ne sommes pas sortis d’affaire !

 

 

Avez-vous également besoin de l’aide des volontaires ?

 

Ils ont fait un travail formidable juste après les inondations pour déblayer, nettoyer et permettre au sanctuaire de reprendre son activité. Mais nous avons vu des bénévoles venir de toute la région et même de plus loin, en particulier d’Italie. Des gens attachés à la tradition et à l’histoire de Lourdes. Nous avons également pu compter sur l’engagement des pompiers et de la sécurité civile, qui ont donné de leur temps sans compter et avec le sourire et j’en profite pour les saluer. Mais maintenant l’heure est aux gros travaux qui exigent l’intervention de professionnels.

 

 

 

Que diriez-vous à un non-croyant pour l’inciter à participer à la réparation ce haut lieu de la foi catholique ?

 

Au-delà des considérations spirituelles, Lourdes demeure un joyau du patrimoine de la France. De plus, on y trouve une approche unique du handicap, de la maladie et de la vieillesse qui peut toucher tout le monde. Nous pouvons recevoir ici jusqu’à 1 200 malades simultanément qui ont ainsi l’occasion de sortir de l’hôpital ou de la maison de retraite. Il faut savoir qu’à Lourdes, il y a une dimension essentielle et méconnue : c’est leur accompagnement. De nombreux exemples attestent cette spécificité, comme ces groupes d’infirmières venues de Chicago qui viennent à Lourdes pour apprendre à agir auprès des malades. Où se professeur d’histoire des sciences, lui aussi américain et se déclarant incroyant, qui vient à Lourdes pour comprendre le regard qu’on porte sur eux.

 

 

 Malgré l’ampleur du défi, le sanctuaire va pouvoir continuer à accueillir les flots des malades et des pèlerins ?

 

Je ne vous cacherais pas qu’il y a eu un moment de découragement, mais de courte durée. Nous voulons faire en sorte que tout soit accessible et sécurisé au début du mois de juillet pour les malades, les pèlerins et les accompagnateurs. Cela sera possible grâce au formidable élan auquel nous avons assisté juste après les inondations. D’une certaine façon, nous avons vécu un moment de grâce : il est des catastrophes qui révèlent le cœur des hommes !

 

 

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solidarité don en ligne .

 

 

 

 

 

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