Publié le 28 Avril 2017

 

 

[:malavita:1]Nous sommes allés auj interroger la méduse pour tous , apparemment, elle s'en tape l'oeil. encore faut-il trouver l'oeil.! sa soeur venait de faire une indigestion de carottes  !

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Publié dans #divers

Repost0

Publié le 28 Avril 2017

Rédigé par Philippe

Publié dans #videos

Repost0

Publié le 28 Avril 2017

http://www.rmuseum.ru/data/catalogue/canvas/rossiya/9798_main_foto_1_03.jpg

 

[:malavita:1] "Quand on avance dans la vie, il faut en rabattre. On s'aperçoit bientôt que nous n'avons pas assez de vigueur, assez de force pour tout embrasser; on se dit :" A quoi bon tout cela? Il faut se réduire. Parmi toutes les choses que l'on peut savoir, il faut s'attacher à celles qui sont les plus intéressantes . Ce qu'il y aurait de mieux, ne serait-ce pas - dans un esprit de sagesse et de foi - ne serait-ce pas de paraître devant Dieu avec une âme attentive à lui seul, toute pénétrée de lui?

Il n'y a qu'une chose qui soit vraiment intéressante, c'est le Seigneur.  "

Alors un certain dimanche, il resta chez lui bien au chaud... A quoi bon !

dom Delatte.

 

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0

Publié le 27 Avril 2017

 

 

 

L’image contient peut-être : une personne ou plus, plante, plein air et nature

[:malavita:1] ça perturbe tout ces élections, même le ciel qui s'y met ! pas content le ciel. pourvu qu'il me laisse aller à la messe dimanche c'est tout ce que je demande, sinon j'irai à l'eucharistie  ici, bien fait pour lui non mais !  il a du succès  petit Simon, normal  très sympa ..battu le record des j'aime dis-donc. 

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Publié dans #divers

Repost0

Publié le 27 Avril 2017

Image associée

si le pen passe , je me fais moine !!!! je sais pas si c'est du lard ou du cochon; je prends note ! m'étonnerai que ce soit un motif de vocation, mais bon !

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Repost0

Publié le 26 Avril 2017

 

   La Bienheureuse Vierge est une étoile, ainsi qu'on lit à son sujet dans les Nombres, XXIV, 17, 19 :" Une étoile sortira de Jacob, un sceptre s'élèvera d'Israël. Il frappera les chefs de Moab, et il exterminera tous les fils de Seth. Edom sera sa possession, la postérité de Seir tombera au pouvoir de ses ennemis, et Israël déploiera sa vaillance. De Jacob sortira un dominateur, et il fera périr ce qui sera resté dans la ville."

   On la nomme étoile pour trois raisons, dont la première est que l'étoile est la partie la plus noble du ciel. La seconde est que l'étoile est donné à la nuit pour l'éclairer. La troisième est qu'elle engendre sa lumière sans diminuer ni se corrompre. Toutes ces qualités peuvent à bon droit être attribuées à la Bienheureuse Vierge. En effet, elle occupe la partie la plus noble de tout le ciel et elle est le plus noble des êtres célestes; bien plus, elle a été élevée au-dessus des cieux par la magnificence de Dieu. Et ainsi, de même que l'étoile du matin brille au milieu des nuages, comme la lune dans sa plénitude et comme un soleil resplendissant, cette Vierge a brillé dans le temple de Dieu qu'est le ciel, c'est-à-dire l'Eglise.

   La Bienheureuse Vierge est nommée étoile du matin parce que le matin de la grâce s'est levé en elle, et qu'elle se trouve au milieu du brouillard qui a coutume de monter le matin. C'est un triple brouillard que dissipe la Bienheureuse Vierge: celui du péché, celui de la tristesse et celui de l'erreur.

   Elle dissipe le premier en intercédant pour les pécheurs, le second en dispensant aux malheureux la consolation, le troisième en révélant la vérité. Elle brille comme la lune, dont la lumière ne décroît pas mais augmente, puis demeure stable, répandant sans cesse la lumière de la grâce sur tous ceux qui sont dans les ténèbres et dans l'ombre de la mort. Elle est comme un soleil resplendissant qui prodigue la chaleur de la piété et se répand en bonté pour réformer toutes les créatures raisonnables.

   Mais c'est peu dire à sa louange, bien plutôt, ainsi qu'il est écrit au livre de la Sagesse, VII , 29 30  :" Elle est plus belle que le soleil et que l'arrangement des étoiles; comparée à la lumière, elle l'emporte sur elle, car la lumière fait place à la nuit, mais le mal ne prévaut pas contre la sagesse."

   " La lumière fait place à la nuit"  , mais le mal ne prévaut pas contre Marie, étoile de la mer. Elle a été donnée à la nuit pour l'éclairer. Les ténèbres de la nuit sont l'image de la vie pendant notre séjour ici-bas, cette nuit dans laquelle le soleil lumineux de la vérité dévoilée nous est caché (...)

   Dans cette nuit Marie brille parce qu'elle nous a montré la vérité elle-même vêtue de chair, afin que , par les choses visibles, nous apprenions à voir surgir les réalités invisibles.  C'est pourquoi l'Ecriture dit dans la Génèse que '' Dieu fit les étoiles et les plaça dans le firmament du ciel afin qu'elles éclairent la terre " , et surtout l'étoile qui diffère des autres par sa clarté, qui est toujours au-dessus de la terre, répandant abondamment sur tous le bienfait de sa clarté.

  St Albert le Grand.

 

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

Repost0

Publié le 26 Avril 2017

Rédigé par Philippe

Publié dans #videos

Repost0

Publié le 25 Avril 2017

Résultat de recherche d'images pour "marcheur de  montagne"

 

   Un but de vie nous a été fixé par Celui-là même qui nous donne la vie. Notre existence, qui s'accomplit dans le temps, a son point d'arrivée comme son point de départ en Dieu. Venus de Dieu, nous allons à Dieu.

   Aller à Dieu, c'est d'une part aboutir à Dieu; c'est d'autre part, lui ressembler ou, plus exactement , tendre incessamment à développer en nous la ressemblance divine qu'ébaucha dans notre âme la main créatrice.

   Or Dieu est saint: il est trois fois saint, c'est-à-dire qu'Il possède la plénitude de la sainteté. Et il a dit :" Soyez saints parce que je suis saint."

   Aller à Dieu, ressembler à Dieu , c'est donc devenir saint.

   Il arrive souvent de comparer la sainteté à une montagne. Alors, la montagne possède une altitude particulière, suivant les âmes et les sentiers qui donnent accès au sommet  sont divers. Cependant, il est pour s'élever un procédé qui nous convient à tous : la sanctification de chaque journée.

   Revenons à la montagne. L'acte par lequel on se dirige vers son sommet s'appelle ascension. Comment se fait une ascension? Est-ce par bonds et par sauts? Non. La manière est moins rapide: on s'élève par une marche lentement progressive, on s'avance pas à pas, " mettant un pied devant l'autre', comme s'exprime saint François de Sales. Ainsi en est-il de la sainteté. On l'atteint ordinairement non par des actes rares et extraordinaires, mais par l'exact accomplissement des devoirs de chaque jour.

   La Providence a été très bonne en donnant à notre vie la division naturelle des jours. Notre existence n'est pas faite d'un seul morceau, mais d'une foule de pièces: le chemin que nous avons à suivre ne s'étend pas indéfiniment devant nous, avec la monotonie d'une ligne droite; il y a souvent des coudes. Combien serait fatigante une marche où il n'y aurait pas d'arrêt!

   De même on n'aime pas à considérer une immense série de devoirs, entraînant des efforts sans cesse renouvelés, des sacrifices pénibles toujours à recommencer. On dit: il me sera impossible de continuer à lutter. Et parce que le courage manquerait pour continuer, il manque déjà pour commencer. Mais, dans le chemin de notre vie, nous avons un arrêt chaque soir ; et, chaque matin nous trouvons un coude, un détour.

   Or quel effort ne peut durer un jour? Quelle bonne volonté ne peut s'étendre du lever du soleil à son coucher? D'autant plus qu'il y a des relais et du repos.

   Tenant compte de la providentielle division des jours, l'Esprit-Saint nous dit :" A chaque jour suffit sa peine" .

Et Jésus fait cette recommandation à ses Apôtres :" Ne soyez pas inquiets du lendemain. " Il prescrit encore d'implorer ' le pain quotidien"

Il isole en quelque sorte les jours les uns des autres; il met pour ainsi dire des oeillères sur notre âme. Cela, ainsi que la préoccupation de l'avenir ne trouble pas l'occupation du présent, afin que l'homme soit tout entier à ce qu'il fait. Une vie peut se clore au soir de toute journée, trouver là son achèvement relatif. Au demeurant , l'accomplissement du devoir d'aujourd'hui n'est-il pas la meilleure préparation au devoir du lendemain? Dans  tout moment bien employé , il y a une force qui réside et se prolonge dans l'avenir, qui influe sur l'avenir. C'est pourquoi s'il y a un " au jour le jour" imprévoyant et fautif, il en est un qui est sage et recommandable.

   Les Anciens eux aussi , ont considéré la succession des jours . Ils disaient : la fuite des jours. Et devant cette fuite rapide, leur mélancolie était grande. Lorsque Horace écrivait à Mécène, à Fescennius , à Posthume... , aux autres, il faisait de fréquentes allusions à cet écoulement goutte à goutte de la vie: Dies die traditur... Ehen ! fugaces, Posthume, fugaces labuntur anni... Comme conclusion il ajoutait ce conseil :" Carpe diem. Cueille les jours, prends les un à un comme des objets précieux. "

   L'expression est charmante. Elle donne l'image d'une cueillette de fleurs choisies pour composer un bouquet. Carpe diem. Il y a un Carpe diem chrétien. Cueillez chaque jour, traitez-le délicatement, consacrez-le au devoir, offrez-le à Dieu .

   Cueillez tout le jour. La vie tout entière ne nous est donnée que pour tendre vers Dieu et nous unir continuellement à Lui par la soumission de tout notre être: elle doit être tout entière un grand et perpétuel acte d'adoration en esprit et en vérité. Détourner une seule pensée, un seul sentiment, une seule action , c'est refuser à Dieu le service complet auquel il a droit de notre part.

   Pour les saints, qui furent de grands chrétiens et qui doivent être nos modèles, la vie fut une surnaturalisation de chaque jour, de chaque instant, de chaque action; les saints furent ces " vrais adorateurs qui adorent le Père en esprit et en vérité."

   Chaque nouveau matin ils disaient :" C'est aujourd'hui que je commence."

Que commençaient-ils? L'oeuvre de la sainteté, leur marche vers Dieu.

A leur avis, ils n'avaient pas été assez généreux, assez actifs, la veille.Rien n'était fait encore de la grande oeuvre pour laquelle ils étaient en ce monde, ou si peu. Alors, ils s'appliquaient de leur mieux au devoir présent, à la série des occupations quotidiennes. Continuellement, ils ajoutaient à l'édifice de leur vie, aujourd'hui une pierre, demain une autre, veillant seulement à ce que toutes les pierres fussent de bon grain et mises à leur place. Loin d'eux l'illusion de croire que tout leur édifice spirituel pût être bâti une fois pour toutes, ce qui eût comporté, ni plus ni moins la confirmation en grâce, beau privilège qui n'est guère de ce monde.

   Chaque nouveau matin, les saints disaient encore :" Ce jour qui luit est peut-être le dernier de notre vie; nous le passerons comme s'il était le dernier." Sous cette pensée de la mort continuellement menaçante, leur esprit se faisait plus attentif, leur volonté plus agissante.

   Ainsi attentifs à sanctifier les jours , les uns après les autres, c'est toute leur vie qu'ils ordonnaient vers son terme, vers Dieu, Bossuet donnait ce conseil: " Il faut régler sa vie et l'accomplir de manière que chaque jour nous tienne lieu de toute la vie."

abbé Rouzic.

 

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Repost0

Publié le 24 Avril 2017

photos petit Placide

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Publié dans #divers

Repost0

Publié le 24 Avril 2017

L’image contient peut-être : écran

 

rien que de voir leurs tronches !  ... oups ! Silviu je t"en prie ne chante pas la Marseillaise, ça vaut pas le coup .

Voir les commentaires

Rédigé par Philippe

Publié dans #divers

Repost0