Publié le 23 Mars 2020

 

 

no such thing for morale !!!!  they're not confined!  

rien de tel pour le moral !   trop content.  ils font effort nos amis russes! thank you very much. a friend ! quelle voix splendide ...  un peu de gentillesse, toujours bon à prendre. 

"thank you very much ! Denis  " 

❤️

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Publié le 23 Mars 2020

 

en union de prières pour votre famille.

Ph. 

 

L'archevêque de Tarragone et président de la Conférence épiscopale de Tarragone raconte comment les prêtres et toutes les autorités ecclésiastiques s'engagent à n'abandonner personne.

 

"J'ai invité des prêtres à téléphoner à tous les paroissiens. Une attention maximale surtout pour les plus faibles." Les rites de Pâques pourraient avoir lieu à huis clos

pas ici que ça arriverait ! la charité y est  confinée, depuis si longtemps.. 

même si on est seul. question d'habitude. le jour où on me demandera comment je vais, il pleuvra des cacahuètes  ! 

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Publié le 23 Mars 2020

 

 

merci Maestro  ! 

 

 

 

Soloist: Timofey Vladimirov (piano)

 

 

Jacques Forestier (Canada) J.S.  Bach . violin. 

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Publié le 22 Mars 2020

Rédigé par Philippe

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Publié le 22 Mars 2020

 

 

" ne jamais désespérer de la 

miséricorde de Dieu." 

règle de st Benoît. 

 

"Nous nous souvenons des victimes, de leurs familles, des professionnels qui sont chargés de la guérison et de la sécurité, et de ceux qui, par des gestes simples et encourageants, aident dans ce qu'ils peuvent"

Un distributeur de gel hydroalcoolique remplace le bassin d'eau bénite vide à l'entrée du choeur. Comme il n'était plus dans la pharmacie du village, nous avons dû l'improviser à la maison en utilisant l'alcool de fabrication de liqueur bénédictine avec un autre élixir préparé par l'herboriste et collectionneur de plantes naturelles.

Les célébrations - toujours aussi encombrées de Silos - nous sont étranges avec des bancs vides de fidèles, sans visiteurs, sans invités, sans pèlerins ...

Bien que nous soyons seuls, le rythme liturgique n'a pas été réduit du tout et avec une force émotionnelle nous chantons l' introit grégorien: "Exsurge Domine, adiuva nos et libera nos, propter nomen tuum ...". Que la quasi-irruption de Pâques enlève ce fléau qui nous cogne tout de suite! Cela va bientôt passer ce carême décharné et mortel!​​​​​​

Nous sommes autosuffisants et nous allons bien. Nous avons besoin de peu pour passer au jour le jour. Nous avons également le jardin. Mais comme nous n'avons pas de revenus supplémentaires, nous ne pourrons pas garder le personnel embauché longtemps, continuer les travaux d'entretien et de restauration typiques d'un monument comme celui-ci, et pire encore, nous sommes limités à faire des dons de solidarité comme celui que nous avons fait. peu à une mission africaine.​​​​​​

Nous recommandons l' achat en ligne  de produits monastiques . Certains monastères n'ont pas plus de revenus que la vente de leurs produits que désormais personne ne peut acheter dans ses tours. Soutenons-les dès maintenant, ne laissons pas tout pour les grandes plateformes de vente en ligne.​​​​​​

Logiquement, il n'est pas difficile pour nous d'être «enfermé». Nous n'avons pas à sortir. Mais nous sommes préoccupés par les personnes âgées et les malades car ce sont des personnes à haut risque qui ont leurs propres problèmes de vieillesse et de maladies chroniques. Il serait très risqué de devoir se rendre d'urgence à l'hôpital maintenant.

Et nous ne pouvons pas oublier nos frères du prieuré de Montserrat à Madrid , dont la majorité sont plus âgés, et la maison de soins infirmiers qu'il abrite. Nous ne désespérons pas de la miséricorde de Dieu. Ses conceptions sont insondables et nous ne renonçons pas à faire une lecture croyante de ce qui se passe. 

Nous nous confions à sa providence et à sa sagesse.
​​​​​
 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 22 Mars 2020

 

 

 

« Seigneur Jésus, je crois fermement que Tu es présent dans le Saint Sacrement
de l’Eucharistie. Je T’aime plus que tout et je Te désire de toute mon âme.
« Après toi languit ma chair comme une terre assoiffée » (ps 62)
Je voudrais Te recevoir aujourd’hui avec tout l’amour de la Vierge Marie, avec la joie et la ferveur des saints.
Puisque je suis empêché de Te recevoir dans le sacrement, viens au moins spirituellement visiter mon âme.
En ce temps de carême, que ce jeûne eucharistique auquel je suis contraint me fasse communier à Tes souffrances et surtout, au sentiment d’abandon que Tu as éprouvé sur la Croix lorsque Tu t’es écrié : « Mon Dieu, mon Dieu pourquoi m’as tu abandonné ».
Que ce jeûne sacramentel me fasse communier aux sentiments de Ta Très Sainte Mère et de Saint Joseph quand ils T’ont perdu au Temple de Jérusalem, aux sentiments de Ta Sainte mère quand elle Te reçut, sans vie, au pied de la Croix.
Que ce jeûne eucharistique me fasse communier aux souffrances de Ton Corps mystique, l’Église, partout dans le monde où les persécutions, ou l’absence de prêtres, font obstacle à toute vie sacramentelle.
Que ce jeûne sacramentel me fasse comprendre que l’Eucharistie est un don surabondant de Ton amour et pas un dû en vue de mon confort spirituel.
Que ce jeûne eucharistique soit une réparation pour toutes les fois où je T’ai reçu dans un cœur mal préparé, avec tiédeur, avec indifférence, sans amour et sans action de grâce.
Que ce jeûne sacramentel creuse toujours davantage ma faim de Te recevoir réellement et substantiellement avec Ton corps, Ton sang, Ton âme et Ta divinité lorsque les circonstances me le permettront.
Et d’ici là, Seigneur Jésus, viens nous visiter spirituellement par Ta grâce pour nous fortifier dans nos épreuves. Maranatha, viens Seigneur Jésus. »

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 22 Mars 2020

 

pour tous mes amis (es) ... Chouette, le ciel est gris ! deo gratias . C'est laetare... parait-il. 

Александр Долгов (саксофон) Alexandre Dolgov

 

Semen Salomatnikov

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 21 Mars 2020

 

Chers Amis,

Flavius Josèphe, dans La Guerre des Juifs contre les Romains (Liv VI, c. XXXI), évoque longuement les signes annonciateurs de la dévastation du Temple par les armées de Titus, en l’an 70 de notre ère :

À la fête dite de la Pentecôte, les prêtres qui, suivant leur coutume, étaient entrés la nuit dans le Temple intérieur pour le service du culte, dirent qu’ils avaient perçu une secousse et du bruit, et entendu ensuite ces mots comme proférés par plusieurs voix : « Nous partons d’ici. »

Le 15 avril 2019, il y a presque un an, Notre-Dame de Paris était en feu. Aujourd’hui la nef de la cathédrale, comme celle de bien des églises du monde, est vide et silencieuse. Les routes, les places, sont désertes. Dieu nous aurait-il abandonnés ? En ces temps difficiles, je veux vous rejoindre pour vous manifester la proximité des moines et l’assurance de leur prière.

Beaucoup parmi vous vivent la privation imposée de la Messe et de l’Eucharistie comme une grande souffrance. L’occasion douloureuse vous est donnée de vous souvenir que l’Eucharistie est un don gratuit, non un dû. C’est aussi le moment d’un examen de conscience sur la façon dont nous nous préparons à recevoir ce sacrement, et sur la manière dont nous le recevons : les sacrements ne sont-ils pas trop souvent traités à la même enseigne que les biens de consommation ? Ce temps vous invite à une prière familiale et personnelle renouvelée et plus intense. Les diocèses développent heureusement des moyens pour y initier les fidèles. Heureusement aussi, les églises restent encore ouvertes, et le Saint-Sacrement y est parfois exposé. Notre prière doit vraiment s’intensifier en ces périodes de détresses corporelles et spirituelles.

Oculi mei semper ad Dominum : « Mes yeux toujours tournés vers le Seigneur », chantions-nous dimanche dernier à l’introït de la Messe. Ces mots résonnent comme une invitation pressante, alors que le fléau d’une épidémie particulièrement contagieuse dévaste la terre, sans que personne ne puisse dire aujourd’hui quelles en seront les conséquences.

Il y a déjà et il y aura encore des morts. Les médias en offrent le décompte quotidien, ajoutant le nombre des nouveaux cas diagnostiqués, et celui des gens dont l’état se révèle particulièrement grave.

Monseigneur Jérôme Beau, archevêque de Bourges, remarquait: «La situation sanitaire que notre monde traverse nous révèle beaucoup sur la fragilité humaine, et particulièrement de nos sociétés. Dans quelque temps, il sera nécessaire d’y réfléchir aussi théologiquement. Aujourd’hui, nous sommes d’abord invités à la prière, à la charité et à la prudence. »

Contre la propagation de ce virus inconnu, des mesures de prudence ont été recommandées par les pouvoirs publics et spécifiées dans les diocèses par les évêques. Ces mesures dérangent nos habitudes. Il ne viendrait pourtant à l’idée de personne de supposer qu’elles ont été prises dans un autre but que de préserver la santé de la population et d’éviter autant que faire se peut une contagion massive, en particulier des personnes vulnérables que les services hospitaliers ne pourraient prendre en charge. Les respecter relève de la charité. N’oublions pas l’avertissement de saint Paul aux Romains : « Que chacun se soumette aux autorités en charge. Car il n’y a point d’autorité qui ne vienne de Dieu, et celles qui existent sont constituées par Dieu. Si bien que celui qui résiste à l’autorité se rebelle contre l’ordre établi par Dieu. Et les rebelles se feront eux-mêmes condamner. » (Rm, 13, 1-2) Tant que rien de contraire à la loi divine ne nous est commandé, il faut obéir. Mieux vaut obéir que de commenter sans fin, au risque de s’épuiser et d’épuiser les autres, les décisions prises par ceux qui sont responsables et qui cherchent de façon évidente le bien de tous. Les plus loquaces dans le genre de la critique sont souvent ceux qui ont le moins de responsabilités. C’est dans ce contexte que des restrictions d’accès à l’église abbatiale vous sont imposées.

Cette crise sanitaire mondiale révèle aussi la petitesse de l’homme en face de la nature. Un virus, ce n’est pas très gros et pourtant... Le colosse fait d’or et d’argent qui asservit le monde tremble et révèle ses pieds d’argile. Les bourses s’effondrent. Les frontières se ferment. Aurions-nous oublié que notre planète si confortable poursuit une course fulgurante dans un univers hostile ? Que la nature est généreuse, mais qu’elle peut s’épuiser ? Que le petit homme qui naît a besoin d’être accueilli, aimé ? Que tout homme a besoin d’être aimé ?

Confronté au fléau, l’homme moderne, si sûr de lui, apparaît impuissant. Acheter la mort d’un enfant, acheter le silence des hommes en face d’une enfance ou d’une humanité exploitées et avilies ne lui pose pas de problème ; mais ce petit virus, lui, nul ne peut l’acheter. Il ne se vend pas. Sans foi ni loi, il contamine, offrant au monde l’image de ce qui se passe de manière beaucoup plus discrète, silencieuse et depuis longtemps, dans le domaine moral. Évoquons à titre d’exemple la double et récente décision particulièrement révoltante de trois juges de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), rendue publique le 12 mars dernier, qui prive les sages-femmes en Europe de la garantie de leur droit à l’objection de conscience face à l’avortement. Comment imposer à ceux qui font profession de lutter pour la vie de poser des gestes de morts, et leur refuser une légitime liberté de conscience en face d’un acte qui demeure objectivement un crime ? Notre monde est devenu fou, incohérent.

Que faire ? L’angoisse devant ce monde, devant cette épidémie serait-elle la seule réponse ? Ou plutôt, ne serions-nous pas invités à regarder ailleurs ?

Peut-on en effet imaginer que l’homme ait pu subsister tant d’années dans un univers potentiellement hostile si un Autre ne l’avait depuis toujours aimé et protégé ? L’homme, qui semble découvrir à ses dépens qu’il n’a pas tout pouvoir, fera-t-il le pas d’accepter sa condition de créature ? Est-il plus exaltant de se considérer comme le fruit du hasard, ou de se reconnaître modelé par un Dieu qui accomplit toute chose par amour ? Si je sais que toute chose a pour Maître et Seigneur le Dieu qui m’a créé, alors l’univers, les pays voisins, le frère ou l’ami d’hier peuvent bien devenir hostiles : en Lui se trouve ma confiance et mon salut. La terreur ou l’anxiété ne sont plus la seule réponse à la souffrance. La consolation de la présence de Dieu, seule, la rend supportable. Alors, au cœur de l’épreuve, la lumière paraît. La vie de l’homme retrouve un sens. Le monde n’est plus cet univers liquide et gluant où tout homme, comme en apesanteur et sans repères, lutte contre un inéluctable destin : retourner au néant. Non, la vie de l’homme a un sens. Elle est grande. Elle est belle.

L’épreuve que nous vivons aujourd’hui, si elle rappelle la faiblesse de l’homme, invite aussi à méditer la grandeur, la miséricorde et la bonté de Dieu. Elle nous invite à l’adoration. Si nos yeux se tournent vers le Seigneur, il ne faut pas douter que Dieu, lui aussi, nous regarde toujours. Comme l’affirme saint Paul : « Cherchez à imiter Dieu, puisque vous êtes ses enfants bien-aimés. Vivez dans l’amour, comme le Christ nous a aimés et s’est livré lui-même pour nous... Conduisez-vous comme des enfants de lumière. » (Eph 5,1-2.8)

Que doivent faire des enfants de lumière en ces temps si sombres ? Plusieurs fois par jour, le moine redit avec le psalmiste : « Notre secours est dans le Nom du Seigneur, qui a fait le ciel et la terre. » (Ps 123, 8) Invoquons ce nom par la prière, pour l’éloignement de ce fléau, pour le personnel soignant particulièrement sollicité, pour les malades et leurs familles, pour les gouvernants qui ont à gérer cette situation difficile dans un pays en état de profonde crise économique, éthique et, osons le dire, spirituelle. Si la crise que nous vivons nous conduit à implorer le secours de Dieu, elle nous invite aussi à y associer le monde, à l’inviter à adresser, au mépris de tout respect humain, une prière à Dieu.

Les moines portent dans leur prière tous ceux qui sont touchés par les cataclysmes que nous vivons, les familles dont la vie est bouleversée, les entreprises, les salariés fragilisés, tous nos amis.

En ces temps, la tentation peut se faire plus grande de se replier sur soi-même et d’oublier les autres. Ce repli doit être combattu par une charité inventive. En cela, l’épreuve que nous vivons devra porter du fruit. L’homme de notre temps a besoin de s’ouvrir à l’autre, de respecter sa propre humanité, de respecter la nature, et cela commence au sein même des familles souvent si disloquées. Regardez comment tant de soignants payent de leur personne, mettent en danger leur vie au service de la vie des autres. Quel beau témoignage !

Le confinement imposé est aussi l’occasion de redécouvrir le cœur du foyer, ce lieu si sacré de la vie de famille et en famille. Devant le mal, les hommes redécouvrent ce lieu où ils ont été conçus, où ils ont grandi, où ils ont appris à vivre ensemble sous le regard de Dieu ; ce creuset de l’amour familial si malmené se révèle un refuge béni. Puissiez-vous prendre en ces jours le temps du silence, le temps de vivre la vraie vie.

Pour nous moines, la charité passe par l’offrande de notre prière. Unissez-vous spirituellement à nous chaque mardi, lors des Messes pro tempore mortalitatis, « pour les temps d’épidémie », que célèbrent les prêtres de l’abbaye en réponse à la demande de notre évêque.

Unissez-vous aussi à la neuvaine à Notre-Dame de Lourdes, et au geste proposé par les évêques de France, qui invitent à déposer, le mercredi 25 mars prochain, fête de l’Annonciation, une bougie sur le rebord de la fenêtre, au moment où sonneront les cloches des églises. Ce signe, expliquent-ils, « sera une marque de communion de pensée et de prière avec les défunts, les malades et leurs proches, avec tous les soignants et tous ceux qui rendent possible la vie de notre pays. Ce sera aussi l’expression de notre désir que la sortie de l’épidémie nous trouve plus déterminés aux changements de mode de vie que nous savons nécessaires depuis des années. »

Notre-Dame est notre Mère, tout particulièrement en ces temps difficiles. Nous nous adressons à elle chaque jour après None, en chantant la séquence dont le texte est joint à ce message.

Soyez assurés, chers amis, de la prière des moines pour vous, pour les soignants, pour ceux qui assurent le service de la charité auprès des personnes faibles, malades ou âgées, et pour le monde entier in hac lacrimarum valle, dans cette vallée de larmes. Une vallée qui peut devenir aussi le lieu d’une renaissance, comme nous l’espérons, comme nous le confessons, et comme nous voulons y travailler. Saint Chemin vers Pâques.

+ fr Jean Pateau abbé. 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 21 Mars 2020

 

 

"Nos choix, lorsqu’ils s’arrêtent au Christ, nous donnent de poser l’acte le plus beau, l’acte suprême de la créature spirituelle : le choix de Dieu. Ce choix transfigure la vie, et en particulier le regard porté sur le prochain. Voir le Christ en tout homme, c’est l’honorer, et c’est surtout honorer le plan de salut de Dieu sur lui, ce plan par lequel Dieu invite tout homme à la vie éternelle.

A contrario, l’oubli de Dieu, l’ignorance, voire le refus de notre condition de créature, désorientent l’histoire de l’humanité. Le grand fleuve qui menait au paradis ne coule plus. L’instant présent n’a plus de passé et se trouve sans lendemain. Il ne vaut que par le poids d’une jouissance qui au fond l’épuise en s’épuisant. La vie humaine n’a plus de sens. L’espérance s’éteint. ... 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 21 Mars 2020

 

 

pour Agnès et sa famille.

 

 

 

Seigneur, ayez pitié de nous.

Jésus-Christ, ayez pitié de nous.

Seigneur, ayez pitié de nous.

 

Jésus-Christ, écoutez-nous.

Jésus-Christ, exaucez-nous.

 

Père céleste qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.

Fils Rédempteur du monde qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.

Esprit Saint qui êtes Dieu, ayez pitié de nous

Fils Rédempteur du monde qui êtes Dieu, ayez pitié de nous

Esprit Saint qui êtes le seul Dieu, ayez pitié de nous.

Trinité Sainte qui êtes le seul Dieu, ayez pitié de nous

 

Sainte Marie, Patronne des exorcistes,                                                    priez pour nous.

 

Notre Père Saint Benoît, ...

Gloire des Patriarches, ...

Rédacteur de la sainte Règle, ...

Image de toutes les vertus, ...

Exemple de perfection, ...

Soleil resplendissant dans l'Eglise du Christ, ...

Inspirateur de nombreux saints, ...

Auteur de merveilles, ...

Honneur des confesseurs de la Foi, ...

Défenseur magnifique des âmes au moment de la mort, ...

Vainqueur de Satan et de tout l'enfer, ...

Par la sainte Croix, toujours vainqueur des esprits impurs, ...

Protecteur puissant contre les épidémies, les poisons, les maladies, les maléfices et les tentations du démon, ...

Soutien des exorcistes, ...

Saint Benoît, serviteur de Jésus-Christ, ...

Saint Benoît, rempli de l'Esprit-Saint, ...

Saint Benoît, rempli de l'esprit de tous les justes, ...

Saint Benoît, sage législateur, ...

Saint Benoît, patriarche des moines d'occident, ...

Saint Benoît, père d'un très grand nombre de saints, ...

Saint Benoît, maître de vie spirituelle invincible dans la foi, ...

Saint Benoît, inébranlable dans l'espérance, ...

Saint Benoît, animé de l'amour de Dieu, ...

Saint Benoît, ferme appui des malheureux, ...

Saint Benoît, toujours prêt à secourir, ...

Saint Benoît, très bon pour les pauvres, ...

Saint Benoît, très bon pour les malades, ...

Saint Benoît, très bon pour les enfants, ...

Saint Benoît, modèle de pureté, ...

Saint Benoît, modèle d'humilité, ...

Saint Benoît, modèle de charité, ...

Saint Benoît, modèle de piété, ...

Saint Benoît, vertueux dès la jeunesse, ...

Saint Benoît, doué du don des miracles, ...

Saint Benoît, fidèle à recevoir les sacrements, ...

Saint Benoît, retourné à Dieu en priant, ...

Saint Benoît, protecteur de ceux qui vous invoquent, ...

Agneau de Dieu qui enlevez les péchés du monde, pardonnez-nous Seigneur !

Agneau de Dieu qui enlevez les péchés du monde, exaucez-nous Seigneur !

Agneau de Dieu qui enlevez les péchés du monde, ayez pitié de nous ! 

Prions

Père des miséricordes et Dieu de toute consolation, qui avez façonné le cœur de saint Benoît à votre image et à votre ressemblance, envoyez votre Saint-Esprit et créez en nous un cœur pur selon le cœur de votre Fils Jésus-Christ.

Père Eternel et Miséricordieux, vous avez fait don à Saint Benoît de votre puissance contre l'ennemi commun, nous Vous prions de nous accorder, par ses mérites et son intercession, de mener le combat contre le démon sous la protection de la Très Sainte Vierge et pour l'honneur de Votre Fils Jésus-Christ qui, étant Dieu, vit et règne avec vous en l'unité du Saint-Esprit pour les siècles des siècles. Amen.

 

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Rédigé par Philippe

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