Publié le 26 Juin 2018

Rédigé par Philippe

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Publié le 25 Juin 2018

Rédigé par Philippe

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Publié le 25 Juin 2018

 

pour Nilo & Alexandro... (No recibió mi tarjeta. ¡Qué miseria! , ¡¡Por una vez estoy escribiendo!!

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Publié le 25 Juin 2018

 

pas de messe, le dimanche 15 Juillet 2018

 

Nous remercions par ailleurs mr. l'abbé Loïc Bellais curé de la cathédrale, et la fraternité saint Pierre,  pour les efforts apportés quant à la célébration de la messe forme extra et d'avance, nous souhaitons à mr . le curé , de bonnes et saintes vacances bien méritées.

 

première nomination pour mgr Jacolin.

Avec l’accord de Mgr François JACOLIN, évêque nommé de Luçon

Par décision de l’abbé Jean BONDU, administrateur diocésain

à partir du 1er septembre 2018,

Monsieur l’abbé Loïc BELLAIS (curé de la paroisse Notre-Dame de la Plaine et recteur de la cathédrale de Luçon) est mis à la disposition du diocèse aux armées, pour une durée de trois années, renouvelable.

La nomination du prochain curé de la paroisse se fera ultérieurement. Bravo Loïc ! très content pour vous. félicitations.

En union de prières avec notre nouvel évêque mgr . Jacolin.

 

 

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Publié le 25 Juin 2018

 

 

 

 

PRIÈRE À NOTRE DAME DU SACERDOCE

 

Vierge Marie, Mère du Christ prêtre, Mère des prêtres du monde entier, vous aimez tout particulièrement les prêtres, parce qu'ils sont les images vivantes de votre Fils unique. Vous avez aidé Jésus par toute votre vie terrestre, et vous l'aidez encore dans le ciel. Nous vous en supplions, priez pour les prêtres!

Priez le Père des cieux pour qu'il envoie des ouvriers à sa moisson. Priez pour que nous ayons toujours des prêtres qui nous donnent les sacrements, nous expliquent l'Evangile du Christ et nous enseignent à devenir de vrais enfants de Dieu. Vierge Marie, demandez vous même à Dieu le Père, les prêtres dont nous avons tant besoin et puisque votre cœur a tout pouvoir sur Lui, obtenez nous, Ô Marie des prêtres qui soient des saints.

Amen

 

 

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Publié le 24 Juin 2018

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Publié le 24 Juin 2018

 

Ordinations diaconales et sacerdotales
Dimanche 24 juin 2018
en la fête de la Nativité de saint Jean-Baptiste,

Chers Frères et Sœurs,

Ordonné prêtre il y a 34 ans, j’avais accolé à mes images d’ordination ce simple verset de l’Evangile de Matthieu, au chapitre 19 : « Viens et suis-moi ». L’appel est laconique, incisif, déterminant.

Cet appel retentit particulièrement aux oreilles et surtout au cœur de ces 10 ordinands qui en ce jour, vont être ordonnés prêtres et diacres. Cet appel s’adresse à leur liberté. Il traverse leur histoire. Il les plonge dans une mission que le Christ leur confie en les configurant à Lui et qui prolonge la sienne.

Le philosophe Paul Tillich parlait du peuple chrétien en le qualifiant de « peuple du temps ». C’est-à-dire un peuple qui se constitue, non pas à partir d’un territoire à défendre ou à conquérir, non pas à partir d’un patrimoine à faire fructifier, mais à partir d’une promesse énoncée par Dieu pour tout homme et pour tous les hommes et qui les ouvrent à une histoire. Un peuple que Dieu accompagne par son Eglise, et que Dieu attend au bout du voyage.

C’est cette relation structurante que le peuple chrétien entretient avec le temps, que le prêtre doit prendre en charge dans son ministère. Dans le livre de la Genèse, le monde et le temps ont été créés par Dieu ensemble. Comme le cosmos, le temps est l’œuvre de Dieu. Il est donné par Dieu à l’homme pour se parfaire et se perfectionner, pour « s’accoutumer à Dieu » (Saint Irénée de Lyon). Dieu se donne à nous dans le temps. Il s’y révèle.

Avec le péché, par la mort qu’il provoque, le temps s’arrête. Le temps devient sans issue. Par sa désobéissance, l’homme se prive de Dieu. Toute l’histoire du Salut dans l’Ecriture est sous le signe du rachat du temps grâce à la rédemption du Christ. Le Christ rejoint notre histoire mortelle pour l’ouvrir dès maintenant par sa résurrection à l’éternité de Dieu.

Le prêtre exerce un ministère de sanctification du temps pour nous aider à le traverser, à remplir le temps de sa charité. Le rôle du ministre ordonné est d’ordonner le temps au Christ pour le sauver de son caractère irréversible, irrémédiable, fugace. La venue de Jésus en notre chair a fait entrer l’éternité de Dieu en notre histoire. La liturgie que le prêtre préside a pour vocation de transfigurer le temps en histoire sainte. Dans le chronos qui décompte mécaniquement les jours et les heures, se superpose le kairos de la résurrection.

A chaque messe dans notre temps marqué par la finitude, absorbé par notre subjectivité, nos impatiences ou nos désespérances, s’actualise la présence de Dieu. Le Christ se fait alors contemporain de notre histoire et nous faisons nôtre le temps du Christ. Nous entrons dans le temps de Dieu qui est celui de l’éternité et qui fait irruption dans notre histoire. Notre temps est ainsi mis en récit, et pris en charge à partir de l’Evangile.

Le temps que nous figeons dans des photos ou des vidéos. Le temps que nous oublions ou que nous confions au déroulement mécanique de l’horloge et de nos montres. Le temps que nous idolâtrons dans l’utopie des idéologies du progrès ou de la divination. Le temps que nous gaspillons dans la fièvre de l’urgence et du stress, sans continuité, sans construire une histoire. Le temps que nous subissons sans pouvoir infléchir son cours… Bref, toutes les perversions, les immaturités, les illusions que nous entretenons dans notre manière d’habiter et de vivre le temps et d’en user… le prêtre doit en devient le thérapeute, le gardien, le pédagogue.

En célébrant la Pâque du Seigneur, l’année, les semaines trouvent un centre de gravité, son sommet, son assomption en Dieu. Pâques est à la fois un point de convergence vers la plénitude du temps dans le Christ en gloire, et en même temps, un point de départ, de renouveau de notre humanité. Le décompte du temps dans l’année liturgique se fait d’ailleurs à partir de cet événement pascal, rappelé et actualisé en chaque messe, et chaque dimanche.

Le ministère du prêtre atteste de la présence de Dieu qui accompagne notre histoire. De la naissance, il fait une renaissance par le baptême. De la célébration de l’amour lors du mariage, le signe de l’alliance indéfectible de Dieu avec les hommes (Lui qui est l’Epoux fidèle). De la mort, une ascension vers le Ciel lors de la célébration des funérailles. La foi part de l’histoire du salut pour comprendre notre propre existence. Elle devient herméneutique. Le Christ nous éclaire sur la manière d’habiter notre temps, de le comprendre, de le finaliser. Le prêtre est ministre de l’actualité de Dieu : « Il est là », clamait le saint curé d’Ars en brandissant l’hostie. «  Qui a l’instant présent, a Dieu », disait encore Thérèse d’Avila.

La suractivité de nos occupations ou l’envahissement des moyens de communication qui nous fixent dans l’instantané (portable, internet), et qui envahissent notre vie quotidienne de plus en plus connectée en permanence, nous empêchent d’être présent à soi-même, aux autres, à Dieu.

Comme le souligne le pape François, le prêtre, lui, doit inscrire son ministère dans le temps long, dans une temporalité qui est celle de l’accompagnement d’une personne ou d’une communauté dans la durée.

La Bible offre une représentation spatiale du temps qui souligne cette dimension de persévérance, de constance indispensable à toute maturation. Patriarches et prophètes ont été des marcheurs. Jésus lui-même exercera son ministère comme un pèlerinage qui s’achèvera par la montée vers Jérusalem. Le temps chrétien se présente dans l’Ecriture comme une croissance biologique que rappellent les Evangiles : la semence jetée en terre qui grandit jour et nuit, la graine de moutarde qui deviendra un jour un grand arbre, le levain dans la pâte… Saint Cyprien de Carthage soulignait que crecere (c’est-à-dire croître) et credere (croire) vont de pair. Dieu travaille avec le temps, mais à chaque instant, il faut apprendre à accueillir sa présence, à cueillir sa providence. Comme le disait saint Bède le Vénérable, « renaître chaque jour, de commencement en commencement ».

Le prêtre fait aussi mémoire. Il conjugue la foi d’aujourd’hui à partir d’un événement du passé qu’il explique. Face à l’idée de progrès qui s’est développée depuis le 18ème siècle, le siècle des Lumières, avec l’idée d’un dépassement continuel du passé, d’une sacralisation du nouveau et de la mode, on assiste à la dévaluation du passé, à l’obsolescence de ce qui nous a précédés, à l’oubli des racines. Le chrétien au contraire, ne cesse de faire mémoire. La foi nous fixe à un événement dont l’Eglise n’a jamais fini d’en épuiser le sens : « Faites ceci en mémoire de moi », dira Jésus à la Cène. Croire c’est, à partir du Christ, faire l’anamnèse de l’histoire du Salut qui nous ouvre à un sens, qui offre une orientation à notre temps, qui guérit notre mémoire oublieuse ou blessée. C’est ce que célèbre chaque prêtre quand il reçoit la confession des péchés et offre le pardon de Dieu. Par son entremise, nous sommes réconciliés, non seulement avec Dieu et avec notre prochain, mais aussi avec notre propre passé.

Enfin, la mission du prêtre est de nous rappeler que Dieu cherche et attend l’homme.

Dieu se trouve en nous (c’est l’expérience que nous faisons en consommant l’hostie), mais aussi devant nous. «  Je vous précède en Galilée », dira Jésus ressuscité aux siens. La vie chrétienne a rapport à l’espérance. Notre foi est non seulement héritage mais promesse. Cette promesse n’est pas seulement une annonce prophétique d’un avenir meilleur, mais aussi un envoi, une tâche qui s’ouvre devant nous. Il nous faut préparer la venue glorieuse du Seigneur qui nous est rappelée à chaque messe. En ces temps marqués par la désespérance, où tant de personnes sont privées d’avenir ou les défis économiques et environnementaux où les conflits armés grèvent le futur de notre planète, où le consumérisme conduit inexorablement au désenchantement, au repli sur soi, et en fin de compte à la violence, le prêtre est témoin d’espérance. Il propose la miséricorde de Dieu comme un remède pour notre temps. Aussi bas qu’on puisse chuter, on ne peut tomber qu’en Dieu.

La vocation du prêtre est de dire Dieu, de donner Dieu, de donner l’espérance de Dieu. Le prêtre n’a de raison d’être que l’enfantement des âmes à Dieu. C’est sa joie. C’est son labeur. Et pour cette mission, il donne toute sa vie, il donne tout son temps. Il est appelé à remplir son temps de charité pastorale et de confiance en Dieu. Telle est sa prière.



+ Dominique Rey Ordinations sacerdotales et diaconales La Castille, le 24 juin 2018

 

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Publié le 24 Juin 2018

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Publié le 23 Juin 2018

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Publié le 23 Juin 2018

 

 

 

48 aniversario de su ordenación sacerdotal

Une dizaine de séminaristes deviendront prêtres au 23e anniversaire de la cathédrale.

Le cours se termine. Les salles de classe sont vides. Aussi ceux du Séminaire, ceux qui accueillent les jeunes qui veulent consacrer leur vie au sacerdoce. Une douzaine d'entre eux, les aînés, ne reviendront pas l'automne prochain. Ils ne le feront pas parce qu'ils seront déjà responsables d'une paroisse du diocèse. Le 23, ils seront ordonnés. Ce jour-là, 10 séminaristes deviendront prêtres. Le chiffre est éloquent, puisqu'il est le double de celui des nouveaux prêtres qui ont rejoint la pastorale du diocèse l'année dernière.

"C'est un bon chiffre", qui a aussi la valeur frappante de l'augmentation parfois imprimée dessus, ce que personne n'a longtemps nié n'est pas propice à cette vocation. Le prêtre Fernando Ramón, recteur du Séminaire La Inmaculada de Moncada, considère qu'avoir atteint l'âge de dix ans "est une raison d'espérer", bien qu'il soit prudent, en soulignant qu'à un autre moment il pourrait y avoir une autre tendance. Les nouveaux prêtres quittent les salles de classe des trois séminaires de Valence. Six de Moncada, deux du centre de Santo Tomás de Villanueva et deux autres du Corpus Christi,'Le Patriarche'.

Le résultat de ce cours est de nouveau celui enregistré en 2015, cinq fois plus élevé que l'année académique précédente et trois fois plus élevé qu'en 2016. Le nombre le plus bas des cours les plus récents s'est reflété en 2014, lorsque trois séminaristes sont devenus pasteurs. Ce chiffre est en baisse de moitié par rapport à 2013, où le nombre d'ordinations était de six.

Le Recteur rappelle qu'en octobre dernier, sous la direction du Cardinal Archevêque de Valence, Antonio Cañizares, ils sont tous devenus diacres. Maintenant, sa période de formation se termine avec son ordination sacerdotale, qui se tiendra dans la cathédrale.

Ramon souligne qu'en plus de la cérémonie qui fait d'eux de futurs curés, il est aussi très important le moment où chacun d'entre eux célébrera la première messe dans sa paroisse d'origine. Le plus jeune a 24 ans. Ce sont des profils différents, une réalité qui se répète depuis des années dans les incorporations, d'abord au séminaire et ensuite dans le sacerdoce.

L'origine de chacun d'entre eux, tel que décrit par Fernando Ramón, offre un parcours "très varié". Cela signifie qu'il marque un voyage à travers tout le territoire diocésain, y compris la région de la province d'Alicante qui appartient au diocèse de Valence. A l'occasion de leur ordination diaconale, l'archevêché les a déjà présentés. Ainsi, de La Inmaculada, Juan Alberto Ballester, de El Verger ; Carlos Dutor, lié à Nuestra Señora del Pilar de Catarroja ; Daniel Francés, de Nuestra Señora del Lluch de Alzira ; José Manuel Giménez, de Santa María de Oliva ; Juan-Honorio Huguet, de Llutxent ; et Antonio Muñoz, de San José de Ontinyent. De Santo Tomás de Villanueva Jordi Cerdá, de Canals, et Camilo Ruiz, de la paroisse de Santo Tomás Apóstol à Valence.

Venant du Patriarca, José Gómez, de la paroisse de Monte Sión à Torrent, et Juan Pérez, de San Miguel et San Sebastián à Valencia. Tous "se verront bientôt attribuer une paroisse" et commenceront leur travail à partir de là.

Résultats d'un exercice financier

Avec deux fois plus de commandes que l'an dernier, un cours qui avait déjà commencé avec des données qui parlaient d'une augmentation s'est terminé. En septembre, le recteur du centre de Moncada a confirmé qu'il y avait eu 15 nouvelles incorporations, 14 du territoire ecclésiastique valencien et une du diocèse d'Ibiza, inclus dans la province ecclésiastique valentine.

Le nombre de séminaristes a également augmenté par rapport à l'année académique précédente. Cinq de plus qu'au cours de la période 2016/2017. On savait aussi que dans le Petit Séminaire de Xàtiva, qui a son siège à l'École Claret de Xàtiva, il y avait 32 étudiants âgés de 11 à 18 ans.

A la veille des ordinations, Fernando Ramón souligne qu'ils travaillent déjà aux nouvelles incorporations pour l'année à venir, ce qui sera un exercice avec de nouveaux développements dans le programme de formation après les modifications approuvées par le Pape. Comme le recteur de Moncada l'a déjà dit à une autre occasion, il s'agit du document " Ratio Fundamentallis ", qui contient les clés de la formation des futurs prêtres.

A l'occasion de la célébration de la Journée du Séminaire, en mars, la Conférence épiscopale espagnole (CEE) a annoncé la situation de tous les diocèses d'Espagne. Valence est en deuxième position, avec 70. A la tête se trouve le diocèse de Madrid, avec 121 séminaristes. Les enfants ont également vu leurs salles de classe plus pleines d'élèves qu'à d'autres occasions.

Le CEE a noté que 1 263 aspirants à la prêtrise se formaient dans les séminaires d'Espagne, soit 1,3% de plus que l'année précédente. En outre, il y a eu une augmentation de 9% des nouveaux revenus pour les séminaristes seniors. Dans cette variation, la contribution des centres valenciens dont les principaux sont les responsables a joué un rôle.

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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