Publié le 6 Juin 2008



Dieu est en vous comme étant l'Etre infini, et il vous comble de ses faveurs.
Il est tout-puissant ; il vous fait du bien et il vous aime avec sa toute-puissance.
Il est sage ; vous sentez qu'il vous fait du bien avec sa sagesse.
Il est infiniment bon ; vous sentez qu'il vous aime avec sa bonté.
Il est Saint ; vous sentez qu'il vous aime et vous fait du bien avec sa sainteté.
l est juste ; vous sentez qu'il vous aime et vous comble de faveurs d'une manière juste.
Il est miséricordieux, compatissant, clément ; vous éprouvez sa miséricorde, sa compassion et sa clémence.
Il es l'Etre fort, sublime délicat ; vous sentez qu'il vous aime d'une manière forte, sublime, et délicate. Il est chaste et pur ; vous sentez que son amour pour vous est chaste et pur.
Il est vrai ; vous sentez qu'il vous aime en vérité.
Il est libéral (Sg 6,17) ; vous constatez qu'il vous aime et vous comble de faveurs d'une manière libérale, sans intérêt aucun, avec le souci unique de vous faire du bien.
Il possède une souveraine humilité et c'est avec une souveraine humilité et une souveraine estime de vous qu'il vous aime.
Il vous met à son niveau ; il se découvre lui-même à vous avec joie dans ces connaissances qu'il vous donne ; il vous montre un visage plein de grâce et, dans cette union avec lui qui vous fait tressaillir de joie, il vous dit : « Je suis à toi et pour toi ; je suis content d'être ce que je suis pour être à toi et me donner à toi ».
Qui pourra exprimer ce que vous ressentez, ô bienheureuse âme ! en vous voyant aimée de la sorte ...

st jean de la Croix

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Rédigé par philippe

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Publié le 5 Juin 2008



"Recevez-moi Seigneur, suivant votre promesse et je vivrai; et ne permettez pas que je sois confondu dans mon
espérance".

"voulez-vous persévérer dans votre sainte entreprise jusqu'à la mort?
je le veux, avec l'aide de la grâce de Dieu.


cérémonie de profession.

"La mission est sacrée, tu l'exécutes jusqu'au bout."

"Vitam aeternam omni concupiscentia spirituali desiderare."

règle de st Benoît



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Rédigé par philippe

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Publié le 5 Juin 2008



Réparer, s'offir. Invitation du sacré Coeur à plus d'amour, de tolérance. Réparer le mal qu'on a fait, qu'on a pas voulu faire.
 La souffrance seule unit les âmes. Dans ces lacs d'amertume, on apprend seulement ce qu'aimer et donner veulent dire. On y retrouve ses vrais amis, ses proches. Tout le reste est superficiel et a si peu d'intérêt. Ce sont des "pseudos" qui ne veulent rien dire qui n'appartiennent à rien.
Là nous nous identifions à quelqu'un et notre famille est immense dans la communion des saints.
Emblème puissant du Sacré Coeur pour nous inviter sans doute à changer enfin le nôtre.
 C'est la meilleure école, l'école de la patience et de la miséricorde, l'école du pardon, l'école de l'amour  On y trouve sans doute sa raison d'être et d'espérer. L'amour aura raison de tout. L'amour aura sa revanche, l'amour aura son dernier mot. Là où il n'y a pas de rejet mais qu'aspiration.
Nous sommes des petits kangouroux avec plein de réserve et nos fautes freinent tant notre élan et nous collent à la pauvre terre, nous apesantissent sur "ce limon indigne d'une âme immortelle",  et nous empêchent tant de sauter, de sauts en sauts jusqu'au dernier, l'ultime. Fasse que ce soit le bon et du bon côté. 
Quelle belle occasion de se réconcilier avec le monde et l'univers...
Coeur Sacré de Jésus, pardon, miséricorde.





 


adoration au collège, on ne manquera pas de s'y joindre.
intention de prières: pour Olivier.

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Rédigé par philippe

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Publié le 5 Juin 2008

On va à la chapelle dire son chapelet et au retour ma surprise est quand même énorme, un message d'un de mes meilleurs amis.. un vieil ami ça.
Ben dis donc, depuis le temps.
Bon il faudra que l'on se revoie quand même.. raconter nos vieilles histoires d'antan. Merci,  car il arrive au meilleur moment. Le Seigneur est vraiment délicat. Comme me dit un confrère, on devrait aller à la chapelle plus souvent... lol..
Ma prière, évidement pour toi et les tiens...Alors n'hésite pas à passer. Entre les Indes et Londres, il y a Chavagnes et des anglais, bof qui sait! On ne va pas se donner rendez-vous à Cusco quand même, d'abord je n'ai  pas de passeport..
Merci beaucoup cela m'a fait énormément plaisir, un rayon de soleil c'est pas trop mal. Il m'en faut si peu pour me rendre heureux, mais là c'est quand même pas mal, il a fait effort le Bon Dieu surtout quand on s'y attend pas. enfin des fois que cela fasse tâche d'huile qui sait!


Philippe..

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Rédigé par philippe

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Publié le 4 Juin 2008



« L'éducation - la vraie - celle qui donne seule des résultats complets et définitifs consiste à apprendre aux enfants à faire usage de leur liberté. »


Je crois que c'est là le point capital. Il faut savoir que l'enfant est un être né pour être libre, qu'il est vite conscient et avide de sa liberté, qu'il n'admet pas que l'on touche à ce bien le plus précieux de son être. [...]


« L'enfant doit sentir chez son éducateur ce respect vrai et profond de sa liberté ; à l'occasion même, l'éducateur insistera pour que l'enfant prenne une conscience plus nette de cette liberté. Puis dans un travail, qui s'exerce plus par l'action discrète et silencieuse de la présence que par les remontrances, il explique affectueusement à son élève comment on doit librement et volontairement se soumettre à un règlement pour former sa volonté et pour assurer le bon fonctionnement de la vie en société.


Lui expliquer le pourquoi de l'obéissance, sa grandeur. Bien souligner qu'aucun homme n'a le droit, en tant qu'homme, de commander à un autre homme ; mais que toute autorité est une délégation de l'autorité divine et que toute obéissance, en définitive est une obéissance qui remonte jusqu'à Dieu. Aller toujours au fond des choses ; ouvrir de larges horizons ! »


Peu nombreux sont les éducateurs qui ont cette souple discrétion d'action, qui savent marcher, non devant, mais derrière l'enfant, pour le laisser aller à son train et n'intervenir que lorsqu'il y a danger d'erreur qui aboutirait à un moindre épanouissement moral. [...]

 

père Jacques de Jésus carme.


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Publié le 4 Juin 2008




Et pourtant il faut vivre encore,
Dormir, s'éveiller tour à tour,
Et traîner d'aurore en aurore
Ce fardeau renaissant des jours?
Quand on a bu jusqu'à la lie
La coupe écumante de vie,
Ah ! la briser serait un bien !
Espérer, attendre, c'est vivre !
Que sert de compter et de suivre
Des jours qui n'apportent plus rien ?

Voilà pourquoi mon âme est lasse
Du vide affreux qui la remplit,
Pourquoi mon coeur change de place
Comme un malade dans son lit !
Pourquoi mon errante pensée,
Comme une colombe blessée,
Ne se repose en aucun lieu,
Pourquoi j'ai détourné la vue
De cette terre ingrate et nue,
Et j'ai dit à la fin : Mon Dieu !

lamartine.

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Publié le 4 Juin 2008

pour mon ami jean-yves. et pour les autres.
Happy birthday!



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Rédigé par philippe

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Publié le 3 Juin 2008



"Une âme attentive s'arrêtera devant ce caractère de Dieu: la patience de son amour éternel, l'attente tranquille, l'attente "quand même", l'attente sans découragement, comme si, pour lui, attendre ne coûtait pas, comme si son amour lui faisait oublier sa dignité infinie, comme si, dans l'invincible patience de son amour, il ne se souvenait plus qu'il est Dieu. ....

... Et, si l'âme consentait à regarder, elle verrait bien, au front de celui qui lui parle et aux boucles de sa chevelure, qu' il y a des gouttes de sang mêlées à la rosée de la nuit."

... Je voudrais que vous fussiez assez chrétienne pour bénir le Seigneur, pour le bénir de tout et pour lui dire, même à travers vos anxiétés et vos larmes: j'ai confiance en vous.  ne faiblissez pas, ne vous dérobez pas à Dieu....


dom Delatte.

« Dieu tournerait le monde pour trouver la souffrance afin de la donner à une âme sur laquelle son DIVIN regard s'est fixé avec un amour indicible!...  Que nous font, à nous, les choses de cette terre... Serait-ce notre patrie que ce limon si peu digne d'une âme immortelle et que nous importe que de chétifs hommes coupent les moisissures qui poussent sur ce limon, plus notre coeur est au Ciel, moins nous sentons ces piqûres d'épingles...
 Mais ne crois pas que ce ne soit une grâce et une grande de les sentir car alors notre vie est un martyre et un jour Jésus nous donnera la palme.
 Souffrir et être méprisé ! quelle amertume mais quelle gloire !
Voilà la devise du Lys-Immortelle!... Nulle autre ne saurait lui convenir. Mon coeur te suit dans la noble tâche que Jésus t'a confiée. Tu n'es pas Soldat mais Général... Souffrir et encore et toujours... Mais tout passe. »

ste Thérèse.







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Rédigé par philippe

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Publié le 2 Juin 2008


A G A P E
UN OUTIL POUR
TRANSMETTRE LA FOI.

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Rédigé par philippe

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Publié le 2 Juin 2008



un curé de paroisses:

Concèlèbrer la messe Chrismale est un acte hyper-traditionnel.

 On ne se renie pas quand on agit dans l' obéissance de l'Eglise et pour la Charité.

 Il faut regarder le NOM comme porteur de la Tradition et de renouveau dans la continuité et non pas en terme de rupture ( Cf Message du Pape à la curie en décembre 2005). Les rites peuvent s'enrichir et pour ma part j'appelle de mes voeux, dans ma prière, la refonte des 2 missels en un seul avec l'ancien offertoire.

Le missel de 1965 utilisés par Fontgombault et Randol me semblerait excellent.

 Enfin je constate qu'il y a des saints qui vivent dans la perfection de la Charité et qui pratiquent des les 2 formes du Rite Romain. 
Au ciel, il n'y aura plus de Missel puisque nous seront pour toujours avec le Christ que nous verrons de nos yeux, dans le face à face éternel. C'est lui la cause finale!

....autre message,

1.- Depuis plus de quarante ans, l'Eglise catholique vit une crise profonde, en particulier en Europe, spécialement en France, dont elle peine à sortir. De profonds fossés se sont creusés, ou ont été sciemment creusés entre différentes parties du troupeau, et force est de constater que ni le constat de la gravité de la situation, ni le manque cruel de prêtres, ni l'enjeu du salut des âmes ne parviennent à l'emporter sur ces divisions ou à mettre efficacement en œuvre certaines volontés.

En France, la pomme de discorde est double : le concile, et la question liturgique. Surtout la question liturgique. Beaucoup, en effet, qui se déclarent "contre" le concile n'en ont en réalité jamais lu les textes (comme beaucoup, probablement, de ceux qui se déclarent "pour" - encore que la différence, pour eux, est qu'ils se placent ainsi d'emblée en confiance du Magistère, ce qui n'est pas du tout la même chose).

Messe de Paul VI contre messe "de saint Pie V". Cette dialectique a alimenté toutes ces années, émaillées de conflits en tous genres, de haines, d'injustices réciproques. Inutile de revenir là-dessus. Ce qui retient aujourd'hui l'attention, c'est que le pape Benoît XVI, parce qu'il est le Pasteur du troupeau, a voulu le réunir, en essayant d'apaiser ce conflit et de permettre à chacun de trouver sa place. Plus généreux en cela que ne l'avaient été ses prédécesseurs, il a fondé cette intention de deux manières : théologiquement, en articulant les deux formes liturgiques mises en cause l'une à l'autre (ordinaire et extraordinaire), sur un seul rite latin ; juridiquement, en reconnaissant le droit de chaque prêtre à célébrer selon les deux formes liturgiques et en établissant les conditions d'accès, au sein même des paroisses, à la forme extraordinaire.

Pour un observateur objectif, les conditions d'une véritable pacification étaient ainsi mises en œuvre. Des conditions finalement très simples, qui appellent simplement de chacun un peu de bonne volonté et de sens réel de l'Eglise, en rupture avec la poursuite des intérêts et des ambitions personnelles. Leur "liant", a priori, ne devait pas faire défaut, puisqu'il s'agit tout de la charité elle-même, dont l'Eglise n'est pas supposée être avare. De fait, en bien des endroits, des Pasteurs et des fidèles sont entrés dans l'intention du Saint-Père, et l'ont faite leur, pour le bien de tous, en accueillant ceux qui sont bel et bien leurs fils ou leurs frères, et ces derniers jouent eux-mêmes "le jeu" d'une collaboration loyale au bien des âmes.

Mais, malheureusement, de fortes résistances demeurent.


2.- Il y a d'abord celles d'autres fidèles et d'autres Pasteurs qui, ayant le sentiment d'avoir jadis consommé heureusement une rupture avec les catholiques dits "traditionalistes" et une forme liturgique qu'ils paraissent honnir, n'entendent pas céder un pouce de ce qu'ils croient être une conquête irréversible. C'est comme si l'Eglise leur appartenait. Ils y ont fait jadis leur Révolution culturelle et peu leur importe qu'elle ait laissé sur le carreau tant de personnes, et qu'en maints endroits ils n'en caressent le souvenir que sur des ruines. L'essentiel est qu'il soit laissé libre court à leur inventivité et aux niaiseries désacralisées dans lesquelles ils se sont accoutumés de vivre. Il est hors de question pour eux de faire une place aux "intégristes". Rappelez-vous ces applaudissements indignes qui ont retenti dans une église à Saint-Germain-en-Laye à l'annonce par le curé de ce que la forme extraordinaire n'y serait pas célébrée.

Mais il y a un certain nombre de traditionalistes qui ont la nuque tout aussi raide. Bien sûr, Benoît XVI est en tous leurs discours. On se flatte de le rencontrer, on en parle avec des trémolos dans la voix. Ne s'est-il pas rangé à notre cause ? Le saint homme ! C'est ainsi du moins qu'ils l'analysent, le croient et le font croire. En réalité ils se mentent à eux-mêmes, et ils mentent aux autres. Car ils ne prennent du Pape que ce qui les arrange, et rien de plus. L'un d'eux me disait il n'y a pas si longtemps, peu avant d'aller faire des ronds de jambe auprès de son curé pour obtenir que soit célébrée la forme liturgique extraordinaire, en se présentant devant lui comme un fidèle bien soumis, bien sous tous rapports, avec du "Saint-Père" par ci et du "Saint-Père" par là, qu'il n'en avait rien à faire du Concile Vatican II.

Tels autres font mine d'ignorer, à propos de la messe, qu'en contrepoint des mesures juridiques évoquées plus haut, le Pape a explicitement souligné que « évidemment, pour vivre la pleine communion, les prêtres des communautés qui adhèrent à l'usage ancien ne peuvent pas non plus, par principe, exclure la célébration selon les nouveaux livres. L'exclusion totale du nouveau rite ne serait pas cohérente avec la reconnaissance de sa valeur et de sa sainteté. ». Le Pape le précise très clairement : « Evidemment ». Comment le dire autrement ? Autrement dit : cela va de soi, parce que la forme ordinaire est bel et bien le droit commun liturgique de l'Eglise latine, et qu'une telle exclusion ne va pas sans une erreur dans la foi.

Qu'importe ! Les mêmes ergotent, biaisent, font mine de n'avoir rien vu, rien lu. Pire, certains prêtres ne craignent pas de gloser pour tenter d'expliquer que cette précision explicite ne les concernerait pas. Pourquoi ? Parce qu'ils se sont vu reconnaître le droit de célébrer selon la seule forme extraordinaire. La belle affaire ! Comme si la précision de Benoît XVI pouvait viser d'autres personnes que celles qui sont dans cette situation et comme s'il appartenait au Père Lambda ou à l'abbé Trucmuche de déterminer arbitrairement les limites à lui apporter !

Pourquoi rappeler cela ? Parce que le Cardinal Castrillon Hoyos, Président de la commission Ecclesia Dei, homme fort conservateur et honoré comme tel par ces milieux, vient de faire une déclaration qui encourt leurs foudres. Le 30 mai dernier, il a déclaré ceci (selon ce qu'on nous rapporte du Forum catholique) :

« Je suis heureux de promouvoir l'application que notre Saint Père a exprimée dans ce Motu Proprio Summorum Pontificum et j'invite mes frères évêques à être généreux dans l'application de ce document important.

Je vous invite aussi, mes chers fils et frères, à lutter pour faire partie intégrante des diocèses dans lesquels vous allez servir.

Frères, montrez un profond respect pour la forme ordinaire du rite romain en concélébrant avec votre évêque à la messe Chrismale du Jeudi Saint, ce signe de communion sacerdotale convient particulièrement ».

Il n'y a là rien, objectivement, qui ne soit la très stricte expression de ce que demande le Pape. Pourtant, vous n'y pensez pas ! Concélébrer selon la forme ordinaire, le nouveau rite ! Ces réactions sont très révélatrices. De fait, quels que soient les discours, « l'exclusion de principe » évoquée par le Pape comme étant incompatible avec « la pleine communion » existe bel et bien. Il serait largement temps que certains ecclésiastiques ou certains fidèles y réfléchissent loyalement et cessent de se jouer la comédie de la communion pleine et exemplaire, et cessent de la jouer aux autres.

Nous n'écrivons pas cela par plaisir. Au contraire. Par tristesse et par révolte. Personne n'oblige un traditionaliste à avoir d'autres convictions que les siennes. Mais un minimum d'honnêteté et de loyauté devrait l'obliger à ne pas les faire passer pour une authentique expression de la pensée catholique, voire pour celles du Pape alors qu'il est tellement évident que ce n'est pas le cas. Il est tout aussi consternant et désespérant de voir des prêtres et des fidèles se construire une vision de l'Eglise exclusive de nombreux fidèles qui n'attendent que de voir reconnaître le droit que leur a accordé le Saint-Père. Pourquoi tant de résistances de part à d'autre à une œuvre commune pourtant si nécessaire, au moment où l'Eglise, en France, manque si cruellement de prêtres et parfois même de repères ? Il n'y a de réponse que dans les raideurs du "vieil homme", la volonté propre des uns et des autres, et dans l'action de l'Ennemi de tout bien. Le mois de juin qui s'ouvre est l'occasion de prier le Sacré-Cœur de répandre plus d'amour dans l'Eglise, plus d'intelligence du cœur.

Jean-Pierre


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