Publié le 17 Mai 2014

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Publié le 16 Mai 2014

les hommen à Nantes  ..

 

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Publié le 16 Mai 2014

http://www.passiochristi.org/upload/media/images/FebinCover.jpg

 

Ordination sacerdotale en Inde (THOM) p. Febin Barose, CP 10 mai 2014 conféré par l'évêque Joseph Karikkassery du diocèse de Kottappuram. dans un climat de persécutions  oremus . deo gratias.

 

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Publié le 16 Mai 2014

Rédigé par philippe

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Publié le 16 Mai 2014

 

http://www.tldm.org/News23/Latin-Mass.jpg

 

http://www.allmercifulsavior.com/icons/a-Scs-Cyprianus-de-Carthago.JPG

 

 

L'Eglise nous entretient aujourd'hui de la patience .

 

Elle nous recommande, cette semaine, la pratique de cette vertu, d'une manière toute spéciale, et elle nous fait lire un beau passage du livre de Saint Cyprien sur la patience.

 

Le saint nous propose, d'abord, l'exemple de Dieu et du Christ:" Cette vertu est commune avec Dieu. C'est en lui que cette vertu a son principe, c'est de lui qu'elle tire sa gloire et sa dignité. Dans son origine et dans sa grandeur, la patience a Dieu comme auteur. Un bien que Dieu aime est recommandé par sa divine majesté. Si Dieu est notre Seigneur et notre Père, attachons-nous à la patience de celui qui est à la fois notre Seigneur et notre Père. Il faut, en effet, que les serviteurs obéissent et que les enfants ne soient pas dégénérés."

 

Saint Cyrpien parcourt toute la vie du Seigneur et nous montre partout sa patience, surtout dans sa Passion. La Sainte Ecriture de l'ancien comme du Nouveau Testment est également remplie d'exemples de patience. Enfin Saint Cyprien étudie la patience par rapport à la vie chrétienne.

 

Elle donne la persévérance, elle préserve des vices, elle fait naître l'amour, elle triomphe de la haine et de la discorde, elle fait surmonter les contrariétés de la vie.

 

"L'efficacité de la patience est très étendue. Dans toutes nos actions, rien ne peut s'achever sans recevoir sa force  de la patience. C'est la patience qui nous recommande et nous garde à Dieu. C'est elle qui tempère la colère, qui réfrène la langue, qui gouverne l'esprit, qui conserve la paix, qui dirige la bonne éducation, qui brise l'impétuosité des passions, qui réprime la violence de l'orgueil, qui éteint l'incendie des haines, qui maintient dans ses limites la puissance des riches, qui adoucit la détresse des pauvres, qui protège la bienheureuse intégrité des vierges, la laborieuses chasteté des veuves et l'amour indestructible des gens marités; elle rend humble dans la prospérité, fort dans l'adversité, doux en face des injustices et des injures. Elle apprend à pardonner vite à ceux qui commettent une faute; s'il l'on commet soi-même une faute, elle enseigne à demander, longtemps et avec insistance, le pardon.

 

Elle combat les tentations, elle supporte les persécutions, elle conduit à leur perfection les souffrances et le martyre.

 

C'est elle qui affermit les fondements de notre foi, c'est elle qui favorise le développement de notre espérance. Elle dirige toutes nos actions, elle nous rend capables de suivre la voie du Christ en nous faisant marcher dans sa patience."

 

 


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Publié le 15 Mai 2014

http://www.studyworkimmigrate.com/uploads/chavagnes.jpg

 

http://www.bpnews.net/ImageServerDB.asp?id=37587&width=530&quality=70&useHiRes=0

 

y a des gens super à Chavagnes !

 

Chavagnes en Paillers

Ce jeudi 15 mai 2014

 

Lettre ouverte à M. Le Président de la République, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Défense, Monsieur le Chef d’Etat major des armées. Aux Etats membres de l’UE et au monde.

 

Monsieur le Président,

 

C’est un honneur que de vous adresser ces quelques mots. Un honneur et une responsabilité. J’ai à cœur de vous écrire pour souligner la situation dramatique du Nigeria. Le Figaro daté samedi 3 mai 2014, en page 5, je cite : « Au Nigeria, le mystérieux rapt de 200 jeunes filles par Boko Haram ». Aussi la France même en temps de présidence normale à un devoir et une responsabilité en Afrique. Je ne me ferai pas donneur de leçon en Histoire, je ne suis pas qualifié pour ça. Néanmoins, en tant que citoyen du monde et plus particulièrement, en tant qu’homme et père de famille, vous comprendrez que je ne peux tolérer et qu’aucune famille ne peut tolérer une telle situation. Naturellement, conformément aux règles des Nations-Unies : non ingérence dans les affaires intérieures d’un Etat, me direz vous. Mais le Nigeria et le sort de ces 200 jeunes filles est crucial. La France, aujourd’hui une puissance moyenne, peut agir rapidement sur ce terrain sans créer de crise diplomatique. Nous en avons les moyens, militaires et humains. En effet, c’est de la responsabilité de la France de protéger la vie lorsque celle-ci est menacée par un quelconque fanatisme. Aux armes, citoyens ! Que la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 ne soit pas un vain mot. Aux armes ! Marchons … Que ce théâtre d’opération délicat soit l’occasion pour la France unie avec l’UE de réinvestir sa mission de lumière des nations, lumière pour le monde.

Vive la France ! Vive l’Europe ! Agissons vite et bien … dans un plan d’action réfléchi à l’aune de la civilisation ou hommes, femmes et enfants demeurent libres et égaux en droits.

En régime démocratique, à l’ère des satellites et de la transparence, nous autres citoyens du monde sommes en droit de savoir et le devoir d’agir pour ces deux cents jeunes filles.

 

Monsieur le Président, daignez accepter mes salutations respectueuses.

A vous,

Martin GARDEY DE SOOS

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Publié le 15 Mai 2014

  en pensant à quelqu'un! quoi de mieux que la messe de la ste Trinité !

 

 

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Publié le 15 Mai 2014

  félicitations

 

http://diocese64.org/images/actualites/th/Paul_Marie_Boutin_Diocese_64_ordination_diaconale_2014.JPG

 

Paul-Marie Boutin, séminariste du diocèse, en formation à Rome au séminaire Sedes Sapientiae, a été ordonné diacre en vue du Sacerdoce par Monseigneur Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, le 4 mai 2014 à la cathédrale de Bayonne au cours d'une très belle messe, magnifiquement animée par le choeur d'hommes basque Pottorak,


 à laquelle plusieurs centaines de fidèles (parmi lesquels de nombreux parents et amis de Paul-Marie) ont participé.

 

Le nouveau diacre s'est vu confier la mission de poursuivre ses études en entamant à Rome une licence canonique de théologie en Ecriture sainte.

 

 

link diocèse de Bayonne

 

 

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Publié le 14 Mai 2014

http://www.juntadeandalucia.es/averroes/varaderey/periodico_invierno/noticias2_archivos/notici12.jpg

 

C'est pourquoi, quand je veux me représenter sous une forme sensible la toute première origine de la religion chrétienne, je me figure d'abord la consternation de nos premiers parents au moment qui suivit leur péché.

 

Mon Dieu! que le présent était fâcheux, et que l'avenir était sombre! Devant eux à l'horizon, il n'y avait que des nuages menaçants, et dans ce noir lointain aucune éclaircie ne se faisait.

 

Mais voici que soudain la parole de Dieu y fait briller l'arc-en-ciel, cet arc d'heureux présage dont l'Ecriture dit : Considérez l'ar-en-ciel, et bénissez celui qui l'a fait; il embrasse l'immensité du firmament dans son cercle glorieux. Il est le signe d'alliance restaurée entre les hommes et Dieu; dès qu'il a paru, on peut espérer et prévoir le retour de la sérénité!

 

Oui, Dieu montrait à nos premiers parents dans le lointain de l'avenir, quelque chose qui était de nature à relever en eux l'espérance. Mais encore, quel était l'objet précis de cette espérance? Dieu ne leur laissait pas ignorer,  et dans le disque de l'arc-e-ciel mystique, il faisait paraître à leurs yeux encore mouillés de larmes, la douce, l'aimable, la ravissante image qu'on vénère dans toutes les églises du monde, l'image qui est partout, ou sur le haut ou à côté du tabernacle: l'image de la Vierge tenant son fils entre ses bras, mulierem et semen ejus. Et au-dessus on voyait le ciel de nouveau ouvert; au-dessous la bête ou le serpent écrasé, car: je mettrai des inimitiés entre toi et la femme, entre ta postérité et le fruit de ses entrailles; par son fruit, elle t'écrasera la tête.

 

La voilà donc, cette vision, cette consolation, cette promesse, point de départ de toute notre religion. Mais remarquons qu'elle n'en contenait encore que les points fondamentaux.

 

C'était bien le chistianisme, mais le christianisme dans ce qu'il avait de plus rudimentaire et de plus réduit, si je pouvais ainsi parler. Et toutefois, dans ce rudiment même, dans cette quintessence du christianisme encore à sa plus simple expression, il fallait que la sainte Marie eût sa place marquée, et la place que nous venons de voir. Comme si le christianisme n'eût pas été le christiannisme, c'est-à-dire la religion qui répare avec usure le mal causé par le péché en nous reliant à Dieu par les liens de la miséricorde, sans la Mère très aimable que nous saluons des noms si doux, de Mater divinae gratiae, de refugium peccatorum, de causa mostrae laetitiae, et à qui nous disons: vita dulcedo et spes nostra, salve !

 

Non, Jésus-Christ n'aurait pas été à nos yeux le médiateur éminemment gracieux que nous connaissons, que nous adorons, et que nous aimons, s'il n'avait eu une mère, et s'il ne l'avait intimement associée à son oeuvre de réparation, en en faisant cette Mère de grâce......

 

Cardinal Louis Billot S.J.

 


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Publié le 14 Mai 2014

   http://3.bp.blogspot.com/-ijD1mKVdh3Q/Tmxral29WyI/AAAAAAAAEP0/vXEhNC9qqwM/s400/Inmaculada+de+Ti%25C3%25A9polo+detalle.jpg

 

 

Ne perdons donc pas de vue les trois progrès de l'oeuvre diabolique, et voyons en regard trois degrés correspondants dans l'oeuvre de rédemption dont Dieu traçait les grandes lignes.

 

   Voici d'abord la femme pécheresse avec qui lui le serpent avait lié d'amitié, et par la séduction de laquelle il avait commencé son triomphe. Et Dieu lui oppose une nouvelle femme, dont il fera lui-même l'ennemie mortelle du serpent, inimicitias ponam inter te et mulierem, pour qu'elle devienne le principe, l'origine, et le premier point de départ de sa déconfiture.

 

   Voici en second lieu, le chef de notre race, asservi à Satan par l'entremise de la femme séduite,, et en qui l'humanité entière venait d'encourir l'esclavage du péché. Et Dieu lui oppose le libérateur donné au monde par l'entremise de la nouvelle femme, de celle qui ne connaîtra point d'homme. (Luc I, 34), bien appelé pour cette raison semen illius, et dans lequel tout le genre humain aura sa rançon.

 

   Voici enfin cette postérité spirituelle que Satan s'était créé sur terre: semen tuum: cette postérité, dis-je, que le dédain ou le refus du bienfait de la rédemption lui devait conserver ici-bas, mais comme sujet d'une déroute plus complète et plus humiliante encore.

 

   Et Dieu lui oppose cette grande Eglise, corps mystique et plénitude de Jésus-Christ selon la parole de l'apôtre (Eph. I,23), comprise donc, elle aussi, dans la semence ou postérité de la femme bénie entre toutes les femmes; et déjà les échos du paradis terrestre résonnaient du fameux non praevalebunt, se traduisant par la finale de la sentence portée contre Satan: ipsa conteret caput tuum, elle t'écrasera la tête.

 

   C'est ainsi que l'ordre de la réparation devait suivre parallèlement l'ordre de la ruine. C'est ainsi que Dieu répondait à la séduction de la première femme, par le décret visant la sainte Vierge Marie; au funeste entraînement du premier homme, par l'annonce de Jésus rédempteur; à l'asservissement du monde, par la fondation d'un royaume des cieux sur terre, et à l'étourdissant succès de Satan, par l'assurance d'une inévitable défaite.

 

   Que si nous venons de voir une nouvelle Eve, la contradiction de la première, et un nouvel Adam, l'opposé de l'ancien, il y aura encore le nouvel ange, l'ange Gabriel, qui interviendra pour le salut de la même manière, exactement, que l'ange Lucifer était intervenu pour notre perte.

 

   Il y aura encore le nouvel arbre de la croix, en opposition à l'arbre de la science du bien et du mal, ut qui in ligno vincebat, chante l'Eglise, in ligno quoque vinceretur: il y aura même le nouveau fruit cueilli sur le nouvel arbre, nous voulons dire la sainte eucharistie destinée à réparer tout le mal que le fruit cueilli à l'arbre fatal nous avait causé d'abord.

 

   En un mot, il n'était pas possible de mieux retourner contre un ennemi orgueilleux, enflé de son succès, la ruse dont il avait usé, et tout le plan qui lui avait réussi au delà de toute espérance.

 

   Mais, sans nous attarder ici en de plus longues explications, notons plus spécialement, en quel jour éclatant était mise dans l'antique oracle qu'on a pu décorer du nom de protévangile, la femme, contre partie de la prière Eve; comment elle vient en tête, occupe le premier rang, et est le sujet auquel se réfère et se rapporte tout le reste; comment le Rédempteur et les siens n'y sont annoncés que sous la domination de postérité de cette femme bénie entre toutes les femmes, semen illius; comment enfin selon la version de la Vulgate, qui ne s'éloigne tant soit peu de la matérialité du texte original, que pour en faire ressortir davantage le véritable sens, Dieu va dire que c'est elle, qui portera le coup décisif à la puissance du serpent, encore que, bien entendu, elle ne le pût faire qu'en raison de Celui que par son virginal enfantement elle devait mettre au monde.

 

Mais la tournure marquait mieux le profond jugement qui renvoyait le serpent à ses propres machinations; comme si Dieu lui avait dit alors:

 

Tu as tenté la faiblesse de la femme, eh! bien, tu sentiras la pesanteur de son bras;

Tu as essayé de son amitié, tu expérimenteras son inimitié;

par elle tu as assuré ton triomphe, par elle tu seras débouté de tes fins;

autant une première fois elle te fut favorable, autant elle te deviendra fatale : une femme Satan, une femme t'écrasera la tête, ipsa conteret caput tuum.

 


 

 

Louis Billot S.J.

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