Publié le 12 Décembre 2020

Rédigé par Philippe

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Publié le 12 Décembre 2020

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Publié le 11 Décembre 2020

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Publié le 11 Décembre 2020

 

 

   L'Incarnation ne suffit pas, il faut l'habitation en nous. L'Incarnation nous offre le Verbe; elle le met à notre disposition; elle nous permet de l'accueillir, si nous voulons, elle donne le pouvoir de devenir enfants; elle ne nous constitue pas "enfants". 

   Nous devenons enfants si le Verbe devenu l'un de nous, en chacun de nous, y renouvelle pour chacun et en chacun cette Incarnation, s'empare de notre nature individuelle comme, par l'Incarnation en Marie, il s'est emparé de la nature humaine en général, y vit sa vie terrestre, en renouvelle plus ou moins toutes les étapes. 

   Il ne le fait que si nous lui sommes un sein de mère entièrement livré à l'action de l'Esprit-Saint.

   La Vierge doit être là dans la préparation plus ou moins longue, souterraine et cachée, où l'Esprit enfante l'amour dans notre esprit pour se communiquer à partir de là à notre chair. 

  Tout ce qui s'est fait en elle doit se faire en nous.. et par elle.

  Elle est toujours " Marie de qui Jésus naît " . 

 

dom Guillerand 

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Publié le 11 Décembre 2020

 

 

 

Lots of people over the past two days.

Thanks to my many visitors! 

 

I send them all my best wishes with my prayers. 

best wishes to the monks of Clear Creek.

the best. 

Philippe 

 

Les compteurs ont explosé ! 

C'est plus chaleureux qu'en France, ici c'est à peine si on vous répond ! n'ont pas le temps sont confinés.. ça les arrange pas . ! on est encore assez bête pour s'inquiéter de leurs nouvelles, mais bon ! 

 

 un spectateur inattendu sans masque  ! 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 10 Décembre 2020

   

 

 

 

 

Dieu est toute beauté.

   D'absolue, il n'en est pas d'autre que Lui.

   L'unité de Sa nature et la Trinité de Ses personnes, Sa lumière éblouissante pour les yeux créés, Sa pureté sans tâche, Son infinie grandeur se confondent avec l'essentielle beauté. 

   Les saints qui, parfois ont aperçu un instant, derrière le voile de la vie actuelle, dont un coin était relevé pour eux, cette essentielle beauté en ont immédiatement ressenti une surnaturelle extase. La vue de ce beau, infini et exquis, que l'on ne peut qualifier justement avec des paroles humaines et la possession qui nous en sera donnée deviendront pour nous, au Ciel, le bonheur qui semblerait trop court s'il n'était pas éternel. 

   En créant en dehors de Lui des êtres, Dieu voulut , nous enseigner la théologie, y mettre les traces de Son Etre à Lui, c'est-à-dire Sa beauté. De là le charme de la nature qui nous paraît parfois à juste titre infini et que , souvent, nous sommes de la sorte. Ce que nous rencontrons, ce qui nous y attire, ce qui nous y ravit, c'est la trace de la beauté divine! 

   N'avons-nous pas souvent, en contemplant un coucher de soleil, lorsque vous rentriez à votre presbytère après une longue journée de labeur éprouvé quelque chose de divinement calmant et reposant du contact, sur votre front, des rayons rougis de l'astre qui allait s'éteindre?  N'avez-vous pas ressenti une émotion profonde, un sentiment de pureté en contemplant, au lever d'un jour de printemps, le lys qui venait de s'ouvrir dans votre jardin?  N'avez-vous pas , si une chance heureuse vous a mené au bord de la mer, et que vous y fussiez seul à regarder et à méditer, subi tout à coup, au milieu de la recherche par votre oeil d'un horizon qui reculait toujours, l'emprise sur votre âme de la pensée et de l'amour de Dieu? 

   Dans l'éclat du soleil à sa dernière lueur, dans la blancheur immaculée de votre lys, dans l'immensité des flots, c'était tout à coup, la trace de la divine et infinie beauté que vous aviez rencontrée et qui avait impressionné votre âme . " La beauté de toutes les choses , dit saint Augustin, c'est, en quelque manière, leur voix pour dire le Seigneur." 

   Aimons la nature créée par Dieu ! Sans doute le tabernacle où réside Sa personne est toujours, par excellence, l'endroit où il veut que nous Le cherchions et Le trouvions; sans doute l'Evangile qui redit au monde Sa parole est toujours le livre dans lequel il souhaite que nous lisions Ses enseignements et Son amour ! Mais que je plains ceux qui ne savent pas Le rencontrer aussi dans le cadre merveilleux de la nature créée. L'entendre dans le bruissement de l'eau qui coule sous la feuillée; Le reconnaître dans le bruit de la tempête qui bouleverse nos vallées et nos collines. 

   Mais Dieu ne s'est pas contenté de répandre à profusion dans la nature les traces de Sa beauté. Il a voulu plus et mieux: Il a créé un être fait à Son image et qui par conséquent, pût, comme un miroir fidèle, par son intelligence, ses tendresses, ses volontés, l'étendue de cette intelligence, la pureté de ce coeur, la force de cette volonté, puis par toutes les vertus qu' Il lui donnerait d'atteindre en l'élevant à l'état surnaturel et en lui conférant la grâce, pût, dis-je, refléter la Nature , la Trinité, les Perfections divines. 

   Quelle resplendissante beauté possédait et irradiait l'homme avant son péché! .. Nous le pouvons soupçonner ! ... C'était bien après avoir tiré du néant cette dernière et plus parfaite créature que Dieu s'était arrêté, trouvant que son oeuvre était véritablement belle. C'était pour jouir de cette oeuvre qu' Il daignait visiter au paradis terrestre Adam et Eve et converser avec eux . La première mission de l'homme avait été de faire éclater en lui, aux yeux de Dieu , qui se complait en ce qu'Il avait fait la perfection divine. 

   En même temps qu'il était lui-même un reflet , une image de la Beauté incréée, l'homme reçut une seconde mission: celle de faire sortir, à son tour, de son être des oeuvres qui, elles aussi - operatio sequitur esse - seraient belles et médiatement, sans doute, mais réellement rediraient au monde l'éternelle splendeur. Et pour cela le Créateur qui avait doué l'homme de la pensée, lui donna le don de se traduire par les lèvres, par les mains et de tirer des sons, des mots, des lignes, des couleurs, des pierres, et des proportions des choses la beauté, toujours divine, quand elle est vraie, et dont l'impression, l'audition, la vue élèvent vers Dieu les âmes et les foules.

Ce fut le génie ! 

  Et , reflet lui-même de la céleste beauté, de quoi l'homme, tel qu'il était sorti des mains du Créateur, n'eût-il pas été capable en tant qu'admirable artiste s'il avait su garder en lui la présence divine et le divin Idéal! 

   Hélas, il tomba dans le péché; sa nature fut blessée; il perdit la surnaturelle beauté, ne fut plus la ressemblance de Dieu et devint moins capable d'en faire éclater les merveilles dans les oeuvres qui sortiraient, désormais de son être déchu et éloigné de l'Idéal. 

   Pourtant il restait une créature, c'est-à-dire un être pouvant encore, même sans qu'il le voulût et sans qu'il s'en doutât, trahir dans ses oeuvres la beauté de ses origines. Puis, ne voulant pas être vaincu par le mal et souhaitant voir encore Ses divins désirs accomplis en l'humanité, Dieu répara les désordres de celle-ci par l'Incarnation et la Rédemption de son Fils et Jésus-Christ redonna aux hommes la possibilité, dans la mesure où ils profiteraient du salut accompli par la Croix, de refléter encore du divin dans leur être, de produire encore de la divine beauté par leur génie.  

   Quand, à travers le monde, le laid, à mon avis plus que cela: l'atroce, plus que cela encore: le ridicule règnent presque partout restons, nous , enfants de l'Eglise, fidèles à ses traditions et gardiens de la beauté de ses monuments et de son culte. 

   Nous n'oublierons pas que tout ce qui est beau dans nos églises élève l'âme de nos fidèles vers Dieu, l'idéale beauté. 

    Soyons fiers de cette beauté catholique, de cet art religieux; aimons-les , étudions-les, gardons-les dans toute la mesure du possible favorisons-les. 

   " Je veux que mon peuple prie sur de la beauté." St Pie X 

   " Je veux qu'en entrant dans nos églises, mon peuple entre dans de la beauté; je veux qu'en levant les yeux vers les statues qui ornent les murs, sur les ornements qui parent les autels, sur les vêtements qui servent aux prêtres, mon peuple aperçoive de la simplicité, sans doute, de la pauvreté, hélas! souvent, mais toujours du bon goût et de la beauté. " 

 

 

 

 

  

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Rédigé par Philippe

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Publié le 10 Décembre 2020

 

"La foi me donne la certitude que la mort n'est pas la fin."

 

 Paolo Rossi avait 64 ans. Il était papa de trois enfants et venait de renouveller ses voeux de mariage avec Federica Cappelletti. La veuve a confirmé la mort de son mari en lui faisant ses adieux sur les réseaux sociaux.

Paolo Rossi et Federica Cappelletti s'étaient mariés en 2010 et ont renouvelé leurs voeux au mois de mars 2020, à l'occasion de leurs noces d'étain (correspondant à 10 ans de mariage), aux Maldives. Le couple a donné naissance à deux filles, et l'ancien footballeur était papa d'un garçon. 

 

 

"La foi m'a beaucoup aidé, surtout dans les moments difficiles": le champion parle de son lien avec Dieu.

Né en 1956, marié à la journaliste Federica Cappelletti et père de trois enfants, il a parlé de sa foi catholique, de ses objectifs professionnels et de ceux de sa vie privée, bien plus précieux.

La foi?

Mon havre de paix! Malgré une carrière incroyable de vrai champion, "Pablito" a réussi à ne pas se perdre et à ne pas se laisser submerger par le succès.

La foi et la famille lui ont permis de rester les pieds derrière le ballon mais bien ancrés. L'éducation que j'ai reçue a été décisive, tout comme ma foi et ma famille, qui ont toujours été un havre de paix. Aussi, j'ai toujours été convaincu que le succès est éphémère. Bien sûr, j'ai obtenu des résultats importants, j'étais très satisfait de mon travail et je gagnais tout ce que je pouvais, mais au final j'ai toujours trouvé beaucoup plus de satisfaction à sortir avec mes amis, à avoir de bonnes relations avec ma famille et avec une femme. Ce sont les choses fermes et solides qui restent dans le temps: c'est le vrai bonheur. Le succès et la renommée sont de belles choses qui explosent bruyamment et meurent tout aussi vite. Le chemin qui mène au bonheur en est un autre et est quotidien ...​​​​​​

En tant qu'enfant j'étais un garçon de chœur et je pensais être prêtre Paolo Rossi était le garçon de chœur de sa paroisse et, comme beaucoup de footballeurs, son talent pour le football s'est manifesté là même à l'âge de 10 ans. L'église était comme sa deuxième maison et les prêtres étaient des figures fondamentales dans son éducation, à tel point qu'à un moment donné il a pensé à prononcer les vœux. Dès mon plus jeune âge, j'ai fréquenté l'église: j'étais enfant de chœur dans ma ville, Santa Lucía, ville de Prato, et la paroisse était le principal lieu de rencontre. Croiriez-vous que j'ai découvert ma passion pour le football ici même: à 10 ans. Avez-vous joué dans l'équipe que Don Sandro a organisée?

En fait, j'ai grandi parmi les prêtres et il était presque naturel d'avoir la curiosité de savoir à quoi ressemblait un séminaire: ce qu'ils faisaient, à quoi ressemblaient les jours. Je n'avais pas de vocation sacerdotale, mais je voulais avoir une petite expérience, disons-le ainsi, dictée par la sympathie que je ressentais pour ce monde. J'ai donc été au séminaire pendant une semaine, mais j'ai vite compris que ce n'était pas mon truc.

Ma génération était une génération dans laquelle les valeurs chrétiennes étaient encore très importantes: elles faisaient partie intégrante de notre culture et imprégnaient notre comportement. Personnellement, la foi m'a beaucoup aidé, surtout dans les moments difficiles. Je ne suis pas un "fanatique" mais je crois fermement que nous ne faisons que traverser cette Terre et que tout ne se termine pas après la mort. Entre autres, d'un point de vue footballistique, j'ai joué pendant quatre ans à Florence, dans une équipe appelée Cattolica Virtus della Comunità giovanile San Michele: c'était une réalité compétitive très appréciée au niveau régional, dirigée par deux prêtres. L'un d'eux était le père Ajmo Petracchi et je suis resté en contact avec lui jusqu'à sa mort en 2001. (Credere)

 

′ Paolo s'est battu jusqu'à la fin. Elle ne voulait pas partir. Je lui ai dit : ′′ Vas-y, lâche-toi. Tu as trop souffert. Abandonne ce corps ". Avant qu'il ne parte, je lui ai murmuré ces mots, je suis sûre qu'il les a entendus. ′′ Sache que je vais élever nos petites filles et être proche de ton premier fils Alexandre ". A ce moment-là, Alexandre était à côté de moi.

Puis je lui ai dit de prendre tout mon amour et celui des enfants et d'essayer d'aller bien, d'être heureux pour toujours. Il est parti dans mes bras 

Nous nous sommes aimés tous les jours, nous avons toujours été proches. Et Paolo m'a aussi rappelé dans le dernier message qu'il m'a écrit ".

Ce sont les mots de Federica Cappelletti, épouse de Paolo Rossi. 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 10 Décembre 2020

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Publié le 10 Décembre 2020

crèche de Fontgombault. 

 

 

 

"Joyeux Noël et Bonne Année 2021 malgré les difficultés des temps! 

Priez pour nous.  Que le Bon Dieu dans la Crèche vous bénisse."
+fr Philippe Anderson, abbé Clear Creek USA.
 

Que l'Emmanuel vous bénisse. Bien fraternellement.

+ fr Jean Pateau abbé.

​​​​​​

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Publié le 9 Décembre 2020

 

  L'Avent est empreint de tristesse, parce que l'attente est une épreuve, et que les hommes se lassent des oeuvres de longue haleine, parce que l'Eglise déplore le prodigieux aveuglement des siècles et qu'elle ne se résout pas à être privée de l'objet de ses vifs désirs, parce que l'avènement que l'Avent nous présage à la fin du monde sera celui de la justice et qu'il y a tant d'hommes qui abusent de la miséricorde ! 

   Mais il est embaumé de joie: car la confiance des chrétiens est tout appuyée sur la puissance divine, car l'Eglise sait où les promesses la mènent: à la crèche du doux Enfant de Béthléem, " où Dieu se manifeste ", et aux bonheurs sans lendemain de la famille du Christ parvenue à sa perfection éternelle.

Ces deux sentiments se mêlent dans la liturgie : la tristesse, apparente dans le cadre des cérémonies, l'extérieur de la pénitence; mais tempérée par les certitudes de la foi et l'admiration des sollicitudes divines; la joie, un peu voilée et discrète, ce qui donne à ce temps une suavité spéciale, un charme délicat et pudique, tel que sans doute le ressentait Notre-Dame, lorsqu'elle attendait la venue imminente de son Fils et que son coeur de Vierge se gonflait d'amour aux approches de sa maternité, dans la douceur du silence. 

   Notre-Dame domine l'Avent. L'Eglise attend avec elle et comme elle. Pour l'une , c'est un Fils et pour l'autre un Epoux, mais des deux côtés, c'est un même Dieu qui s'empare d'une même nature humaine. 

   Notre-Dame n'a pas enfanté pour elle seule; l'Eglise ne va au-devant de son Christ que par ses enfants et pour eux. Elles reçoivent la Vie à charge de la répandre. Mais Notre-Dame peut dicter à l'Eglise son attitude et ses paroles : elle est la mère de l'Epouse, étant celle du Fils de Dieu. Sa tendresse fut la première; rien n'est comparable à cette pure tendresse. L'Eglise ne peut être aimable et belle qu'en se modelant sur les traits de celle qui ne fut jamais touchée que par la grâce et par la beauté. La Vierge reine des Anges connut avant tout autre des mélodies plus suaves que celles des Anges. Et quand les chantait-elle avec plus de candeur, avec plus de fraicheur et de vérité profonde que lorsqu'elle portait en son sein bienheureux Celui qu'elle avait accepté de posséder avec le Père, tandis qu'elle était consciente de représenter, seule, toute la création de Dieu? 

Le Fils dans la Mère et la Mère dans le Fils

Chantaient les louanges de Dieu;

Une douce mélodie de leurs lèvres s'évadait;

C'était un cantique nouveau, que ne pouvait chanter personne

Sinon l'Agneau lui-même et la Mère de l'Agneau ! 

 

    L'Eglise romaine ouvre l'Avent à Sainte-Marie Majeure. Geste plein de sens; filiale déférence et habileté. La jeune Vierge accueille avec un sourire réservé et charmant, quasi aurora consurgens. La médiatrice de toutes grâces mènera au Médiateur. Il n'y a pas encore de médiateur, en effet; la liturgie nous le laisse entendre sans retard. Sa première oraison - et il en sera de même pour les quatre dimanches - s'adresse directement au Seigneur, contrairement à l'usage des autres temps, mais n'intercède pas par lui. 

   La rédemption doit s'appliquer à tous les hommes. (2ème dim. de l'Avent) veniet ad salvandas gentes.

L'Eglise , qui n'ignore pas les attentions maternelles , nous conduit ce jour-là à ste Croix de Jérusalem, et c'est le peuple juif qu'elle prend à témoin de cette prophétie en lui rappelant un texte d'Isaïe. Les Juifs ont été les dépositaires du germe messianique, les mainteneurs de l'espérance. Ils ont duré tant que leur race pouvait être précieuse dans les plans du Seigneur; on leur en doit hommage: Que la rédemption ait débordé leurs frontières, cela ne peut leur nuire, et l'Eglise n'y voit plus qu'un objet de joie, elle qui est universelle.

Alors , elle s'adresse  à tous ses enfants et leur montre l'avènement plus proche, la joie plus franche. Le rejeton de Jessé va paraître - le matin même, à Matines, on a lu ce passage d'Isaïe - et en lui, par la vertu de l'Esprit Saint, on peut aborder en espérance. Il guérira les boiteux, ressuscitera les morts, annoncera l'évangile. Ce jour-là sur la prière de Jean-Baptiste prisonnier et réduit au silence, le Seigneur se fait connaître lui-même, et l'Eglise, l'ayant reconnu , s'écrie : Fais-nous voir ta bonté, afin que ton peuple se réjouisse en toi! ... 

  La joie monte, à mesure que l'Avent approche de son terme. Nous entrons dans la basilique de Saint Pierre. Nous pouvons y suivre saint Grégoire; il a connu et pratiqué la forme actuelle de notre liturgie de l'Avent. D'ailleurs, l'Avent est plus ancien encore; il a de peu suivi Noël et remonte, par conséquent à l'état embryonnaire, au V° siècle. Comme la confiance éclate en ce jour ! comme elle est sûre d'elle-même ! " Mes frères , réjouissez-vous dans le Seigneur; ne vous inquiétez pas; confiez seulement quels sont vos  besoins. " 

 

 

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Rédigé par Philippe

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