divers

Le petit Placide a la douleur de vous faire part du décès de Monseigneur Jacques Masson et adresse à Hermas et à toute sa famille ses sincères condoléances.

Notre Dame du Sacerdoce priez pour lui, merci pour tout.

Notre Dame du Très Saint Rosaire,

Saint Michel, priez pour lui.

en souvenir de ces années mémorables, je ne pouvais rester dans le silence, encore merci Monseigneur,

"nous sommes les ouvriers d'une oeuvre éternelle .."

dom Delatte.

suspension de ce blogue pour une durée indéterminée.

Requiescat in pace.

HERMAS INFO.

  :P

Qui n’a pas au moins une fois dans sa vie bu une Bénédictine ? Si la consommation s’est aujourd’hui considérablement modifiée (pour des cocktails), la Bénédictine se buvait, il y a encore 20 ans, en guise de digestif. Mais connaissez-vous tous les secrets de cet élixir ?

Histoire

C’est en 1505 qu’un moine vénitien, Bernardo Vincelli, s’installe dans la superbe abbaye de Fécamp en Haute Normandie. Appartenant à l’ordre des Bénédictins, Vincelli se plie à la rigueur de toutes les règles de St Benoît : prière, travail manuel et intellectuel. Intellectuel et herboriste inspiré, Vincelli profite des atouts de la situation géographique de Fécamp, trouve sur les falaises locales un grand nombre de plantes médicinales (angélique, mélisse, ysope) et en même temps peut se fournir en matières premières plus exotiques via le port et ses arrivages de bateaux ramenant des épices de contrées lointaines. Il concocte donc une boisson liquoreuse dont les vertus dépassent largement les frontières régionales puisqu’on dit que François 1er en aurait fait son élixir préféré. Pendant trois siècles les moines de l’abbaye distillent selon la recette établie en 1510. La Révolution aidant, l’intérêt pour la boisson disparaît et il faut attendre 1863 pour que la Bénédictine renaisse. En effet, le marchand de vin, Alexandre Le Grand (rien à voir avec l'empereur), redécouvre chez lui dans sa bibliothèque (toujours rien à voir avec la bibliothèque d'Alexandrie) un grimoire avec le traité d’alchimie de Dom Bernardo Vincelli et la recette de l’élixir. Il n’en faut pas plus à ce marchand de vin pour se passionner pour ce jus : il nomme la boisson Bénédictine et la fait revivre en France puis partout dans le monde. Cinq générations de Le Grand se penchent sur le berceau doré de la liqueur qui affichent aujourd’hui une production de 3 millions de bouteilles par an. En 1988, le dernier Le Grand vend la boisson à Martini et la marque est aujourd’hui détenue par Bacardi, ce groupe familial ayant racheté Martini en 1993.

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Depuis vingt ans l’ICES (Institut Catholique d’Études Supérieures) s’investit dans la formation humaine, intellectuelle, culturelle et spirituelle de ses étudiants et assure une présence d’Église dans le monde universitaire.

, Mgr Castet, évêque de Luçon, dans la ligne de la Constitution

apostolique Ex Corde Ecclesiae de 1990 sur les universités et instituts catholiques et dans celle des Ordonnances récemment adoptée par la Conférence des évêques de France, érige l’ICES canoniquement et le constitue comme une institution d’Église, dont l’identité et la mission sont clairement définies.

Après consultation d’universitaires qualifiés et de la Congrégation pour

l’Éducation catholique, les statuts canoniques de l’ICES ont été approuvés. Ainsi, l’ICES, d’ores et déjà établissement d’enseignement supérieur libre de plein droit, devient un institut universitaire reconnu par l’Église catholique. L’offre, la structure, et l’organisation des diplômes proposés par l’Institut, restent inchangés ainsi que l’encadrement offert à ses étudiants.

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premier bain de Juin....

photos petit placide

si j'avais parié  j'en aurais gagné des sousous !!!!

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Le petit Placide vous souhaite de bonnes et

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saintes vacances

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2010 en vous remerciant de votre fidélité.

oscar

photos : petit Placide

27 juin 2010

phtos  petit placide

27 Juin 2010

tombons amoureux de la mer !

photos petit Placide, 24 Juin

tombons amoureux de la France !

Il y a six mois et demi, sous les ordres de leur chef de corps, le colonel Vincent Pons, plus de 600 de ses personnels s'envolaient pour une mission difficile et exigeante au cœur de l'Afghanistan. Quelques jours après le retour des derniers éléments, en présence du général d'armée, Elrick Irastorza, Chef d'état major de l'armée de terre (CEMAT) les hommes de la "Task Force Black Rock" se sont retrouvés une dernière fois pour procéder à la dissolution de ce Groupement tactique interarmes (GTIA) mis sur pied pour remplir la mission. Une force opérationnelle armée également par des Cavaliers de Gap, des Légionnaires du 2ème Régiment Etranger de Génie de Saint-Christol et des personnels détachés d'autres unités, notamment de Varces.

Après avoir remis la Croix de la Valeur militaire à 11 cadres et chasseurs s'étant particulièrement distingués lors d'accrochage, le Chef d'état major de l'armée de terre est longuement revenu sur la réussite de cette mission aux confins de l'Indu Kush.

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avec toutes nos félicitations. très belle leçon de morale civique. Merci.