Publié le 25 Juin 2009

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Publié le 25 Juin 2009






Rome: Le cardinal italien Francesco Marchisano a 80 ans le 25 juin

Le collège des cardinaux compte 114 électeurs en cas de conclave
Rome, 24 juin 2009 (Apic) Le cardinal italien Francesco Marchisano, président du Bureau du travail du Siège apostolique, a 80 ans le 25 juin 2009. Depuis cette date, il ne fait donc plus partie des cardinaux électeurs en cas de conclave. Le collège des cardinaux compte dès lors 114 électeurs en cas de conclave, sur 186. Le prochain cardinal à fêter ses 80 ans sera, le 4 juillet, le Colombien Dario Castrillon Hoyos, président de la Commission pontificale "Ecclesia Dei".

Né le 25 juin 1929 à Racconigi, au Piémont, dans le nord de l'Italie, et ordonné prêtre pour le diocèse de Turin le 29 juin 1952, Francesco Marchisano est titulaire d'une licence en Ecriture sainte et d'un doctorat en théologie. Il est au service de la curie romaine depuis 1969 et a été, pendant près de 20 ans, sous-secrétaire de la Congrégation pour l'éducation catholique.

   Nommé secrétaire de la Commission pontificale pour le patrimoine culturel de l'Eglise en octobre ...

 

 

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Publié le 25 Juin 2009






Le bonheur de l'homme se trouve en Dieu ...       
Par Sœur Myriam, de l'abbaye bénédictine de Bouzy la Forêt   

"Quel est l'homme qui aime la vie et désire voir des jours heureux ?" (Ps 33, 13). Dans le Prologue de sa Règle, saint Benoît nous répercute la question du psalmiste. Et pour celui qui répond : "moi", il écrit sa petite Règle pour nous aider à suivre le chemin de l'Evangile. "Quoi de plus doux, frères bien-aimés, que cette voix du Seigneur qui nous invite ? Voici que dans sa tendresse, le Seigneur nous indique le chemin de la vie." (Prologue de la Règle Bénédictine - RB).

L'appel du Seigneur est unique pour chacun et se manifeste différemment pour chacun. Si un jour j'ai frappé à la porte du monastère, c'est sans doute, parce que vers 14-15 ans, en me demandant quelle orientation donner à ma vie, je me suis dit que je n'avais qu'une vie et qu'il ne fallait pas la rater. Une phrase de l'Evangile m'interpellait : "Que sert-il à l'homme de gagner le monde entier s'il perd sa vie ?" (Lc.9, 25) Traduisons : que sert-il d'avoir une belle situation professionnelle si c'est pour manquer le but de sa vie ? (l'amitié avec Dieu). En poursuivant mes études, j'ai entendu quelqu'un dire : "Pour moi être bien nourri, logé, vêtu, cela suffit." Au fond de moi s'éleva une protestation : "l'homme est tout de même fait pour beaucoup plus grand que cela !". Jean-Paul II nous l'a rappelé avec force au Parc des Princes "La société de consommation ne rend pas l'homme heureux !". Poursuivant encore mes études, j'observais autour de moi des jeunes revenant ivres tard le soir. Pourquoi ? Sinon parce qu'ils cherchaient un bonheur qu'ils ne trouvaient pas et ne pouvaient pas trouver là où ils le cherchaient. J'aurais voulu leur dire que le bonheur de l'homme se trouve en Dieu. "J'ai dit au Seigneur : tu es mon Dieu, je n'ai pas d'autre bonheur que toi." (Ps15, 2) ou avec saint Augustin : "Tu nous as faits pour toi Seigneur, et notre cœur est sans repos tant qu'il ne demeure en toi." Comment le leur dire ? Je compris que ce n'était pas par des paroles que je pouvais l'affirmer, mais par ma vie.

Alors j'ai cherché comment au mieux servir Dieu et les hommes, en vivant pour le Christ. Il m'a semblé, que pour moi, cela pouvait se réaliser dans une vie de prière cachée. Certains trouvent tout d'un coup. Pour moi ce fut un long jeu de piste. Le Seigneur me donnait de temps à autres quelques indications, dans la méditation de sa Parole, comme par exemple celle-ci : "Le Christ s'est fait obéissant jusqu'à la mort, et la mort sur une croix." (Ph.2, 8), ou le passage du dialogue entre Jésus et l'homme riche : "Jésus posa sur lui son regard, et il se mit à l'aimer." (Mc.10, 21) largement commenté par Jean-Paul II. Les événements de la vie, fut-ce un échec, dans l'éclairage de Dieu, sont aussi de bonnes indications.

Après avoir fait plusieurs stages dans différentes communautés, j'ai découvert chez les Bénédictines de Notre-Dame du Calvaire, alors à St-Jean-de-Braye, que je pouvais, là, dans cette communauté, réaliser ce désir profond que le Seigneur avait fait grandir en mon cœur : me mettre à l'école du Christ qui s'est fait obéissant par amour, pour vivre toutes choses avec Lui, en Lui, dans l'amour de Dieu notre Père, m'unir à la prière de Marie, notre Mère, se tenant près de la Croix de Jésus et portant en son cœur tous les hommes, et ceci avec des sœurs, pour apprendre à aimer comme Jésus nous a aimés et pour qu'il nous conduise tous ensemble à la vie éternelle (cf.RB72).
Quelle joie le jour où franchissant la porte du monastère je commençai ce nouveau pèlerinage intérieur ! Certes il y a des cailloux sur la route et, comme on m'en avait prévenue, des tempêtes sur le lac de Tibériade, mais le Seigneur est toujours prêt à nous tendre la main quand on l'appelle au secours, comme Pierre lorsqu'il s'enfonçait dans les flots.

Toi qui cherches où t'attend le Seigneur, espère en lui, demande-lui dans la prière, il ne manquera pas de t'indiquer le chemin, par sa Parole, par sa présence dans les événements, par les moyens qu'il connaît. N'hésite pas à prendre contact avec les communautés, elles sont toujours prêtes à accueillir quelqu'un qui cherche sa voie. "Que cherchez-vous ?", demande Jésus à deux disciples de Jean-Baptiste -"Maître où demeures-tu ?" -"Venez et voyez." (Jn.1, 38-39)

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Publié le 25 Juin 2009



  

Pope Benedict XVI kisses a baby

 

 

Le pape a exprimé sa « vive appréciation » pour « l'engagement à défendre l'enfance victime de la violence et des armes ».

Benoît XVI a dit « penser à tous les enfants du monde, spécialement à ceux qui sont exposés à la peur, à l'abandon, à la faim, aux abus, à la maladie, à la mort ».

« Le pape est proche de toutes ces petites victimes et il les rappelle toujours dans sa prière », a ajouté Benoît XVI




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Publié le 25 Juin 2009




Locus iste a Deo factus est, inaestimabile sacramentum, irreprehensibilis est.





"Mon Dieu, donnez-nous des prêtres, de saints prêtres.
Donnez-nous des moines, de saints moines."


"Quelqu'un estime que le Seigneur l'appelle à la vie bénédictine; il se "convertit"; il vient frapper à la porte. Chose étrange, elle ne s"ouvre pas de suite, et l'accueil est très réservé, presque mausssade.

... La première remarque de saint Benoît est pour défendre de recevoir pêle-mêle tous ceux qui se présentent. "

Cette partie de la règle a dû je pense être aménagée, disons humanisée, vu la rareté des vocations dûe au déséquilibre de la société actuelle . D'où vient la crise de l'Eglise, si ce n'est aussi de ce déséquilibre moral et religieux que l'on constate dans tous les milieux aujourd'hui. L'excès n'est pas  bénédictin. Comme on ne se fait pas moine pour fuir le monde ou pour simplement la liturgie. On ne rentre pas dans un couvent parce qu'il y a une messe à l'ancienne. C'est un des motifs qui peuvent conduire à y être candidat, mais pas un motif premier pour être moine.

 La messe n'est qu'un moyen pour arriver à Dieu. En raison de cette mauvaise finalité il y a eu des échecs. Et l'on constate avec joie de la persévérance des nouveaux qui viennent de milieux différents et où l'éducation n'a pas été que doctrinale.


L'excès de religieux fait des déséquilibrés. La juste mesure, le juste milieu fait la vocation. A Fontgombault on a su maintenir cet équilibre qui fait l'harmonie.


L'époque de St Benoît n'est sans doute plus la même.

" De plus, saint Benoît savait que la vie monastique est la réserve de Dieu.

"Sans doute, les motifs spéciaux qu'on avait jadis de se montrer un peu austères n'existent plus aujourd'hui... l'expérience prouve que ces précautions ne sont point superflues, puisque bon nombre de ceux qu'on accueille n'aboutissent pas.
...
Mais enfin dans la vie bénédictine, on ne réclame guère de nous qu'une aptitude: la disposition intérieure à nous sanctifier. Et cette aptitude existe lorsqu'on est résolu à développer les énergies de son baptême.
C'est sur la volonté du candidat que doit s'exercer principalement la curiosité des supérieurs.

... On remarquera que ce n'est que graduellement, et par étapes, avec un lent et prudent progrès, que le candidat pénètre dans la famille bénédictine:

la porte, l'hôtellerie,, la cella moviliorum et enfin l'entrée in congregatione.


dom Delatte

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Publié le 24 Juin 2009

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Publié le 24 Juin 2009




Ainsi tout homme averti fuit l'excès et le défaut, recherche la bonne moyenne et lui donne la préférence, moyenne établie non relativement à l'objet, mais par rapport à nous.


De même toute connaissance remplit bien son office, à condition d'avoir les yeux sur une juste moyenne et de s'y référer pour ses actes.

 

C'est ce qui fait qu'on dit généralement de tout ouvrage convenablement exécuté qu'on ne peut rien lui enlever, ni rien lui ajouter, toute addition et toute suppression ne pouvant que lui enlever de sa perfection et cet équilibre parfait la conservant. Ainsi encore les bons ouvriers couvrent toujours les yeux fixés sur ce point d'équilibre.


Ajoutons encore que la vertu, de même que la nature, l'emporte en exactitude et en efficacité sur toute espèce d'art ; dans de telles conditions, le but que se propose la vertu pourrait bien être une sage moyenne. Je parle de la vertu morale qui a rapport avec les passions et les actions humaines, lesquelles comportent excès, défaut et sage moyenne. Par exemple, les sentiments d'effroi, d'assurance, de désir, de colère, de pitié, enfin de plaisir ou de peine peuvent nous affecter ou trop ou trop peu, et d'une manière défectueuse dans les deux cas.

Mais si nous éprouvons ces sentiments au moment opportun, pour des motifs satisfaisants, à l'endroit de gens qui les méritent, pour des fins et dans des conditions convenables, nous demeurerons dans une excellente moyenne, et c'est là le propre de la vertu : de la même manière, on trouve dans les actions excès, défaut et juste moyenne.


Ainsi donc la vertu se rapporte aux actions comme aux passions. Là l'excès est une faute et le manque provoque le blâme ; en revanche, la juste moyenne obtient des éloges et le succès, double résultat propre à la vertu.


La vertu est donc une sorte de moyenne, puisque le but qu'elle se propose est un équilibre entre deux extrêmes. [...]


La vertu est donc une disposition acquise volontaire, consistant par rapport à nous, dans la mesure, définie par la raison conformément à la conduite d'un homme réfléchi. Elle tient la juste moyenne entre deux extrémités fâcheuses, l'une par excès, l'autre par défaut.

 


ARISTOTE


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Publié le 24 Juin 2009




"Voici la loi sous laquelle tu veux servir et combattre; si tu peux l'observer, entre; mais si tu ne peux pas, tu es libre, pars."



Le moine est un homme que le Saint Esprit a appelé à abandonner les préoccupations, les désirs et les ambitions des autres hommes, afin de consacrer sa vie entière à chercher Dieu. Mais si le terme nous est familier, la réalité qu'il signifie est un immense mystère.

Car, en fait, personne au monde ne sait de façon précise ce que "chercher Dieu" signifie avant d'avoir soi-même commencé à le faire. Personne ne peut même expliquer à un autre ce que signifie cette recherche si l'autre n'est en même temps éclairé, au fond de son cœur, par l'Esprit. Finalement, l'on ne peut chercher Dieu que si l'on a déjà commencé à Le trouver, si l'on a d'abord été trouvé par Lui : le moine est un homme qui cherche Dieu parce que Dieu l'a trouvé.


En un mot, le moine est l'homme de Dieu. Or puisque tous les hommes ont été créés par Dieu pour pouvoir Le trouver, ils sont tous, en un certain sens, appelés à être des "hommes de Dieu" ; mais ils ne sont pas tous appelés à être moines. Le moine est donc celui qui est appelé à s'adonner exclusivement et parfaitement à l'unique chose nécessaire à tous les hommes : à la recherche de Dieu. D'autres peuvent légitimement chercher Dieu par une voie moins directe, mener une vie droite en ce monde, fonder une famille chrétienne. Le moine écarte ces choses, bonnes en soi, pour aller à Dieu par la route directe. Il se retire du "monde" pour s'adonner entièrement à la prière, à la méditation, à l'étude, au travail, à la pénitence sous le regard de Dieu. Le moine se distingue même entre tous les religieux en ce qu'il se voue essentiellement et exclusivement à la recherche de Dieu, plutôt qu'à la recherche des âmes pour Dieu.


Il nous faut cependant admettre que la vocation monastique tend à être, pour le monde moderne, un problème et un scandale. Dans les civilisations essentiellement religieuses, comme celles des Indes ou du Japon, la vocation monastique est plus ou moins admise. Dans une société tout entière orientée vers autre chose que les soucis éphémères des affaires ou des plaisirs, personne ne s'étonne que des hommes consacrent leur vie à un Dieu invisible. Mais dans une civilisation matérialiste qui est fondamentalement irréligieuse, le moine est incompréhensible parce qu'il ne " produit rien" . Sa vie semble complètement inutile. Les chrétiens eux-mêmes sont parfois troublés par cette apparente "inutilité" du moine, et croiraient facilement qu'un monastère est une sorte de dynamo qui, sans "produire" elle-même la grâce, procure au monde cette denrée spirituelle infiniment précieuse.


Les premiers Pères du monachisme ne s'occupaient pas de ces arguments, pour valides et nécessaires qu'ils fussent. Ils ne trouvaient pas que la recherche de Dieu eût besoin d'être défendue, ou plutôt ils comprenaient que si les hommes ne sentent pas qu'il faut chercher Dieu avant tout, aucune autre défense du monachisme ne pourra les convaincre.

Dieu doit-Il donc être cherché ? La loi la plus profonde de l'être humain est son besoin de Dieu, son besoin de vie. Dieu est la Vie. "En Lui était la Vie, et la Vie était la lumière des hommes, et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont pas comprise." (Jean 1). Le besoin le plus profond de nos ténèbres est de comprendre la lumière qui brille au milieu d'elles. Aussi Dieu nous a-t-Il donné, comme premier commandement : "Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutes tes forces." La vie monastique n'est donc pas autre chose que la vie de ceux qui ont pris terriblement au sérieux le premier commandement, et n'ont, dans les termes de Saint Benoît, "rien préféré à l'Amour du Christ". (...) Le moine cherche la plénitude de la vie et la maturité totale de la foi chrétienne. Pour lui, " vivre c'est le Christ".


Pour être libre de la liberté des enfants de Dieu, le moine renonce à sa volonté, à ses droits aux possessions terrestres, à l'amour de ses aises et de son confort, à son orgueil, au désir de fonder un foyer, à la libre disposition de son temps, à la faculté d'aller où il veut et de vivre selon son jugement. Il vit seul, pauvre, silencieux, obéissant. Pourquoi ? À cause de ce qu'il croit, de la parole du Christ qui a dit : "En vérité, je vous le dis, nul n'aura quitté maison, femme, frères, parents ou enfants à cause du Royaume de Dieu, qui ne reçoive bien davantage en ce temps-ci, et, dans le temps à venir, la vie éternelle."

 

Thomas Merton.



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Publié le 24 Juin 2009

La prêtrise séduit peu : il n'y aura en 2009 que 90 ordinations de prêtres destinés à exercer le service de Dieu dans les paroisses, pas assez pour compenser les départs de leurs anciens, atteints par la retraite ou la mort.Dix nouveaux prêtres seront ordonnés samedi à Notre-Dame. En 2008, il y avait eu également 10, et 101 pour l'ensemble de la France. Depuis 1995, le nombre des ordinations oscille entre 142 (2000) et 90 (2004). Chaque année, de nombreux diocèses n'en célèbrent aucune.



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Publié le 24 Juin 2009

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