Publié le 13 Août 2019

 

photos petit placide

 

Il y a déjà deux ans, le Cardinal Sarah était l'invité du diocèse de Luçon au 15 Août 

Pour ses 5o ans de sacerdoce, de retour du Gabon,  il est pour les fêtes du 15 Août à l'abbaye de Lagrasse,

meilleurs voeux Eminence.

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 13 Août 2019

Virgen de la Victoria. Malaga

 

 

 

Miraculé, le torero de Malaga, Jimenez Fortes a été encorné à deux reprises au cou alors qu'il toréait à Madrid en 2015 . Gravement blessé au cou le 14 mai 2015, et s'en sortant miraculeusement, il se fait de nouveau blesser le 16 août 2015, à la gorge.

 

"La foi m'a donné de trouver la force pour aller de l'avant ",

 

Le jeune torero Saúl Jiménez Fortes (1990) est l'un des grands noms qui se font une place dans le monde de la corrida. Ce malagueño, qui se déclare croyant, recevra une cape de la seo le 19 août prochain, après la promenade de la Corrida Picassiana, pour être l'auteur de la meilleure corrida de Malaga en 2018. Cette cape, dessinée par le brodeur malaguène Salvador Oliver, porte l'image de la Virgen de la Victoria, patronne du diocèse de Malaga, et des éléments qui rappellent le Cristo Coronado de Espinas de la Cofradía de Estudiantes.

- Dans le manteau est représentée l'image de la Vierge de la Victoire, la patronne du diocèse et dans le précédent qui a reçu, la Vierge de la Grâce et de l'Espérance (étudiants) à qui vous avez une dévotion particulière.

- C'est vrai, j'ai pris ton trône en semaine sainte. Dans la religiosité populaire, j'aborde cette image mariale, mais la foi va bien au-delà des images et je suis un homme de foi.

- Comment est la foi de Saúl Jiménez Fortes ?

- Je ne suis peut-être pas un bon pratiquant, mais je suis un croyant et je suis convaincu que la bonté est la meilleure façon de comprendre les gens. De plus, la foi m'a fait puiser, dans les moments les plus difficiles de ma vie, la force d'aller de l'avant.

 

- Que pensez-vous si les capes  ont des symboles religieux sur leurs broderies ?

- Je pense que la cape , et tout élément du costume de lumière, doit être identifié à la personne qui la porte et Salvador le brodeur et designer connaît bien ma dévotion à la Vierge. Je pense qu'il doit avoir une identité avec la personne qui l'utilise, qu'il y a cohérence. Concrètement, j'aime qu'il y ait des éléments religieux parce que ce sont des moments de grande tension et de peur dans votre vie et sentir que vous portez quelque chose de vos proches, de votre foi, vous fait aller à la place avec plus de tranquillité et de paix.

Le monde de la tauromachie est très risqué, comment en êtes-vous arrivé là ?

- Dans mon cas, la tauromachie est quelque chose de très naturel dans ma famille, depuis ma naissance. Je ne me souviens pas de la première fois que j'ai vu une fête de tauromachie parce que mes parents étaient déjà liés à ce monde. Tu vivais à la maison naturellement. Quand j'ai décidé de me consacrer professionnellement à la tauromachie, j'avais environ 16 ans. Au début, vous le prenez comme un passe-temps et chaque fois que votre motivation et votre engagement grandissent.

- Y a-t-il un rituel avant d'aller sur la place ? Prier ?

- Sur presque toutes les places, il y a une chapelle et un temps de ramassage avant le départ. Dans toutes les corridas, avant de partir, il y a de nombreux moments dans la journée où l'on parle à soi-même et à Dieu et où l'on cherche la force et la foi pour que tout aille bien.

Mais, il y a une partie de moi qui est très pragmatique et je n'aime pas m'accrocher à une superstition ou à un rituel, je ne veux pas dépendre de quelque chose que parfois on peut faire et parfois on ne peut pas, c'est un détachement qui vous donne la liberté.

 

- Un art très risqué et tendu, mais aussi d'une grande affection de la part du public. Comment vivez-vous cette partie de la reconnaissance ?

- Ce n'est pas la recherche du succès et de l'approbation qui m'a conduit à être torero, mais plutôt la relation avec l'animal et avec ce que je voulais capturer. J'ai dû apprendre à vivre avec. Au début, c'était quelque chose qui m'a coûté cher, mais chaque fois que vous vous sentez plus chanceux parce que lorsque vous êtes sur un ring et qu'il y a une foule de 15 ou 20 000 personnes qui s'enthousiasme pour ce que vous faites et ce que vous ressentez, c'est très agréable et je me sens très chanceux. Mais ce n'est pas toujours le cas.

D'autres fois, vous vous sentez plus vulnérable, les choses ne sortent pas et vous pouvez ressentir la frustration des gens qui attendent quelque chose de plus de vous.

Comme dans la vie, il y a un peu de tout. Si le succès était si facile, il ne serait pas si précieux.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 13 Août 2019

 

Comme c'est la tradition avant le début de la saison, le personnel, le corps technique, le président et les directeurs de Valencia CF ont visité la Basilique de la Virgen de los Desamparados pour demander une bonne saison et lui offrir des  fleurs.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 13 Août 2019

Rédigé par Philippe

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Publié le 11 Août 2019

 

 In memoriam dom Jean-Michel Barais osb +

 

Szymon Jarzyna

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 11 Août 2019

 

Olivier Vaudoit tire les brancards des malades, les manœuvre, les aligne au cordeau. Certains demandent à changer de place, “pour être à côté“: il s’exécute sans broncher. Il dirige simultanément les bénévoles qui accompagnent les malades en fauteuil roulant. Le photographe opère avec énergie mais sans à-coup, les gestes sont précis. Il s’agit aussi de placer les pèlerins bavards, passifs mais enjoués – Pensez! c’est LA photo du pélé! – et peu attentifs à ses directives.

Du tact et de l’énergie

La mise en place d’une photo de groupe, d’apparence facile, est un art méconnu qui exige diplomatie et efficacité. D’autant qu’il faut faire vite car l’heure du dîner approche et la chaleur est accablante pour les malades. Le bonhomme ne montre aucun signe d’agacement. Il a l’habitude.

“En fait, il faut du tact et de l’énergie“, explique Olivier, photographe pour sur le sanctuaire depuis 1986. “Et il faut donner de la voix mais sans crier“. La mise en place du groupe, devant les marches de la basilique du Rosaire, prend finalement une bonne vingtaine de minutes.

Il finit par grimper sur un grand escabeau de chantier, s’assure, prépare sa prise de vues tout en captant l’attention des pèlerins. Et… c’est dans la boîte! En tout 30 secondes suffisent pour une photo que les Romands iront chercher dans l’après-midi à la boutique située à quelques pas du sanctuaire.

La photo de groupe, un incontournable

“Je fais aussi des ouvertures (messes d’ouverture de pèlerinage), des reportages, la messe à la grotte mais la photo de groupe est un incontournable“, précise le photographe qui arpente le sanctuaire depuis 33 ans.

Juillet et août constituent, avec le printemps, la haute saison à Lourdes. Les journées sont aussi denses qu’irrégulières. Certains jours, Olivier enchaîne parfois plusieurs reportages et photos de groupes. “A la fin de la saison, je ne peux plus voir mes boîtiers. Je ne fais plus de photo pendant un mois“.

Ce Normand d’origine a suivi ses parents qui se sont installés à Tarbes. Il obtient un Certificat d’aptitude professionnelle (CAP, équivalent du CFC) de photographe à l’école de photo d’Orthez. Diplôme en poche à 20 ans, il pige comme correspondant local pour le quotidien régional La Dépêche du Midi, tout en cherchant une place de photographe. Il couvre les matches de rugby, de tennis et remplace des photographes en congé.

Il est finalement engagé en 1986 pour une saison par le grand-père de Cécile Durand, actuelle propriétaire de Photo Durand, un des trois magasins de photo accrédités sur le sanctuaire. Le jeune photographe suit des événements du lieu, effectue des petits reportages pour Le journal de la grotte, la gazette du sanctuaire, depuis disparue. “Avec l’école j’avais les bases mais le père de Cécile m’a vraiment appris le métier. Une sacrée école du cadrage et de la mise au point!“

1500 personnes photographiées à la chambre

Olivier Vaudoit rappelle qu’à l’époque, il photographiait des groupes de 500, 1’000 ou 1’500 personnes à la chambre photographique de grand format et avec une cellule posemètre à main pour mesurer la luminosité. “On faisait aussi des groupes au format 120 avec des bobines de 10 vues, soit deux photos par groupe. On n’avait pas le droit à l’erreur. C’était stressant“.

Il effectuait ses reportages avec des appareils au format 6×6. L’autofocus capable de faire automatiquement la netteté n’existait pas et le numérique n’avait pas encore été inventé. La boutique tournait au rythme de deux développements par jour. Le patron était lui-même photographe, se souvient-il, “on parlait tout le temps de photo et de matériel“.

Après 33 ans, Olivier n’est pas lassé. Il sourit: “J’ai dû participer à plus de messes que certains curés!“ Pourtant au terme de la première saison, il ne souhaitait pas rester. “Mais c’était le premier job où je gagnais ma vie et j’étais là plus pour la photo, dans mon élément, que pour la foi“, assume-t-il. La pratique de la photo n’a rien à voir avec une quelconque vocation religieuse. Le photographe est baptisé, il n’a pas fait sa première communion. “Le catéchisme, c’était pas pour moi“.

“On vit avec les malades“

“Au début, c’est sûr, tous ces malades, ça me remuait. J’étais parfois mal à l’aise, surtout lorsqu’il s’agissait d’enfants lourdement handicapés“, mais, s’empresse-t-il d’ajouter: ce n’est pas pour autant qu’il tombe à genoux en prière à la Grotte. Avec le temps, il s’habitue mais ne sera jamais complètement blasé. “En fait, on vit avec les malades. C’est Lourdes“.

Certes, il n’a pas vécu de conversion mais des cas l’ont marqué comme cette jeune américaine de 19 ans. “Elle est venue plusieurs années de suite. Elle avait un très beau visage mais elle était atteinte d’une maladie incurable“. Il évoque ce jeune garçon trisomique qu’il est le seul à pouvoir photographier. D’autres, les habitués, lui tendent les bras dès qu’ils l’aperçoivent.

“Il faut rester simple, ne pas aller démarcher les gens ou leur sauter dessus“. La photo rapproche des pèlerins: une ou deux questions d’ordre technique et la conversation s’engage. Il s’est fait des amis. “Jamais je n’aurais visité Naples comme je l’ai fait avec ce Napolitain rencontré au sanctuaire!“

“Le vrai miracle de Lourdes c’est que tous ces pèlerins voient plus malheureux qu’eux. Ils arrêtent de regretter les yeux bleus que n’a pas eu leur fils quand ils voient un enfant aveugle de naissance. D’autres arrêtent de se plaindre de problèmes physiques au bras quand ils croisent une personne née sans bras ou estropiée“.

Après 33 ans, c’est toujours un peu la même chose, bien sûr. “Mais je ne me lasse pas“. Avec une photo, on donne du plaisir à des gens assure-t-il. “Ils sont contents. C’est ce qui compte“.

(cath.ch/bh)

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Rédigé par Philippe

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Publié le 10 Août 2019

 

 

"Je crains les êtres gonflés de certitudes. Ils me semblent tellement inconscients de la complexité des choses … Pour ma part, j’avance au milieu d’incertitudes. J’ai vécu trop d’épreuves pour me laisser prendre au miroir aux alouettes. "

Helie de st Marc.

   Aussi , loin de nous la présomption et toute fausse sécurité; demain peut-être la persécution éclatera: que ceux qui se croient et se disent forts se tiennent sur leurs gardes. Il peut survenir des épreuves plus lourdes que celles endurées jusqu'ici , et que Dieu a mesurées à notre faiblesse. Non sans doute que le Seigneur, qui est fidèle, permette jamais que l'épreuve dépasse absolument nos forces: avec la tentation qu'il envoie, en face de l'épreuve qui grandit, Dieu donne la force surnaturelle requise pour résister; mais ce n'est pas sur nous que nous devons jamais nous appuyer, et ce surcroît de force ne nous viendra que de lui.

dom Delatte. 

 

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 10 Août 2019

 

Né à Madrid (Espagne) en 2000. Elle a commencé ses études de violon à l'âge de 3 ans. Elle entre ensuite au Conservatoire Professionnel de Majadahonda, où il obtient en 2016 le Prix de Fin d'Etudes, le Prix Extraordinaire de Musique de la Communauté de Madrid et le Prix National de l'Enseignement Artistique professionnel. Parallèlement, entre 2011 et 2016, elle a étudié avec Sergey Teslya. Elle a suivi des cours de perfectionnement musical en Espagne, au Royaume-Uni, en Autriche, en Suisse et en Italie, où elle a suivi des master classes avec Nicolás Chumachenco, Frederieke Saeijs, Yuri Zhislin, Mauicio Fuks et Krzysztof Wegrzyn notamment. Elle a obtenu le premier prix aux concours Violons pour la paix (2013), Ciudade Vigo (2015), Intercentros Melómano Madrid (2015), Solistas del Proyecto Talentos OSM (2016 et 2017) et Ciutat de Llíria (2017).  a remporté le deuxième prix du concours Ciutat de Xátiva (2016). Elle a obtenu le deuxième prix du XXVème Concours International Andrea Postacchini (2018). Elle s'est produite en soliste avec plusieurs orchestres : Joven Orquesta Promúsica (CSM de Málaga, 2013), Orquesta del CSM de Vigo (Teatro Afundación de Vigo, 2016), Orquesta de Cámara Andrés Segovia dans un concert organisé par A+ Música (Auditorio Nacional, 2017) et la Orquesta Sinfónica de Madrid - Proyecto Talentos (Auditorio Nacional, 2017). Elle a participé à plusieurs festivals dans la Communauté de Madrid tels que Must Talent Festival, Noches del Real Sitio et Los Nocturnos Clásicos de Cibeles, et des festivals internationaux tels que Ticino Musica en Suisse et Allegro Vivo en Autriche. Depuis 2016, elle étudie à l'école de musique Reina Sofía, à la chaire de violon Telefónica, avec le professeur Marco Rizzi. Elle  bénéficie de bourses d'études de la Communauté de Madrid et de la Fondation Albéniz.

Elle a reçu de Sa Majesté la Reine Sofia le diplôme d'étudiant le plus remarquable dans le cours 17/18. En 2018, en tant qu'élève de l'École, elle a interprété en soliste le premier mouvement du Dobre Concierto de J.S. Bach avec Anne-Sophie Mutter, accompagnée par Camerata Viesgo à l'Auditorium Sony et a été membre de l'Orchestre Freixenet, dirigé par Pablo González. Elle a également été membre du Cuarteto Óscar Esplá d'Asisa, sous la direction de Heime Müller.

Es un virus madrileño !

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 9 Août 2019

Rédigé par Philippe

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Publié le 9 Août 2019

 

 

 

 

 

 

La bière est la boisson alcoolisée la plus consommée dans le monde avec plus d'un milliard 800 millions d'hectolitres par an (contre 300 millions d'hectolitres de vin) ; sans doute aussi la plus ancienne. Signe de sa popularité, son nom dérive du latin bebere (boire, tout simplement).

Les premières traces d'une boisson issue de la fermentation de céréales ont été découvertes sur le site de Jéricho (Palestine) et remontent à 12000 ans av. J.-C.

Sa découverte est vraisemblablement due à un concours de circonstances.

Des hommes auraient retrouvé des céréales mouillées par la pluie, exposées au soleil et contaminées par des levures présentes dans l'air. Ils auraient bu cette bouillie fermentée et apprécié ses vertus euphorisantes. Ainsi serait née la bière ou plutôt son ancêtre.

Diverses sortes de céréales se prêtent à la fabrication de la bière (maïs, riz, sorgho, blés) mais l'orge est la plus utilisée.

Les appellations de la bière

Les Mésopotamiens  nous ont laissé les premières références écrites à la bière, qu'ils appelaient « sikaru ».

 

Les anciens Égyptiens la connaissaient quant à eux sous le nom de « zythum », repris plus tard par les Grecs. Ils attribuaient sa découverte au dieu Osiris lui-même.

En Grèce moderne, c'est toujours sous le nom de « zythos » qu'est désignée cette boisson. Les Chinois fabriquaient également différentes sortes de bières sous le nom de « tsiou ».

Les Romains et les Grecs, amateurs de vin, considéraient la bière comme la boisson des barbares (autrement dit des étrangers). Les Romains la désignaient comme la boisson de Cérès, déesse des moissons et des céréales, d'où le nom de « cervoise » attribué à la boisson favorite des Gaulois (de « ceresis vitis », la vigne de Cérès).

Ingénieux comme l'on sait, les Gaulois avaient inventé le tonneau en bois de chêne pour la fermentation et le transport de leur boisson favorite ainsi que pour le vin.

Le christianisme réinvente la bière

Aux alentours de l'An Mil, les monastères se multiplient dans la chrétienté occidentale, jusque dans les régions nordiques, impropres à la culture de la vigne.

En conformité avec la règle de leur ordre, les moines  accueillent volontiers les gens de passage et leur servent une bière épaisse.

Cette boisson, qui est bouillie lors de son élaboration, a l'avantage d'être plus saine que l'eau courante, et évidemment plus nourrissante.

Observateurs et méthodiques, les moines ne manquent pas d'améliorer les techniques de fabrication de la bière.

Et c'est à une sainte abbesse, Hildegarde de Bingen (1098-1179), fondatrice de l'abbaye de Rupertsberg, en Rhénanie, que l'on doit la découverte des vertus du houblon : « L'amertume du houblon combat certaines fermentations nuisibles dans les boissons et permet de les conserver plus longtemps », écrit-elle.

Dès lors, le houblon va supplanter les autres plantes amères utilisées pour aromatiser la bière (gentiane, coriandre, sauge, absinthe).

Les moines n'ont pas le monopole de la fabrication de la bière. Des maîtres-brasseurs laïcs, le plus souvent des femmes, apparaissent dès l'An Mil.

Le brassage contre le choléra

Saint Arnould, évêque de Soissons au XVe siècle, découvre à l'occasion d'une épidémie de choléra que les buveurs de bière sont moins fréquemment atteints que les buveaurs d'eau. Pour encourager ses ouailles à consommer la bière, il trempe sa crosse dans une cuve et brasse lui-même la bière. Cela lui vaut d'être devenu le saint patron des maîtres-brasseurs.

Le mot « brasseur », notons-le, vient du vieux français brace, qui désignait l'épeautre ou l'orge, et par extension la préparation de la bière (notamment le brassage de la cuve).

herodote

 

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Rédigé par Philippe

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